Pour entrer aux USA, il faudra renseigner votre compte Facebook


Est-ce vraiment une manière de pister d’éventuel terrorisme sur le sol américain chez les voyageurs ? Est-ce une atteinte à la vie privée ?
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Pour entrer aux USA, il faudra renseigner votre compte Facebook

© thinkstock.

Pour obtenir le document ESTA (Electronic System for Travel Authorization), précieux sésame qui doit être obtenu afin d’être autorisé à entrer sur le sol américain, les voyageurs sont désormais invités à indiquer leurs comptes sur les réseaux sociaux.

D’après Politico, la mesure qui était envisagée par le gouvernement américain depuis cet été est désormais effective. Son objectif? Identifier d’éventuelles menaces terroristes. Elle est donc entrée en vigueur ce mardi 20 décembre et ce en dépit de l’opposition de géants d’internet et de défenseurs de la vie privée.

Sur le site qui permet de remplir le document ESTA, les voyageurs de 38 pays exemptés de visa pour entrer aux USA sont invités via un menu déroulant à lister leurs comptes sur Facebook, Twitter, YouTube, Instagram ou LinkedIn, entres autres propositions.

Facultatif mais…

Pour l’instant, ces indications sont facultatives, comme le stipule le formulaire. Toutefois, étant donné la rigueur des douanes américaines, il n’est pas absurde d’imaginer qu’en cas de doute de la part des Etats-Unis, cette absence d’informations puisse constituer un motif de refus d’entrée sur le territoire américain, d’autant que le pays de l’Oncel Sam n’est pas tenu de motiver ce refus.

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Le savoir-vivre se renouvelle à l’ère du numérique


Le savoir-vivre est-il en péril sur Internet ? Des gens qui écrivent en lettre MAJUSCULE qui en langage informatique signifie crier. Des photos de famille sans permission. Des mots qui n’auraient jamais dû apparaitre sur les réseaux sociaux. Et toute cette technologie va-t-elle rendre les gens plus méfiants, moins présent pour les proches ?
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Le savoir-vivre se renouvelle à l’ère du numérique

 

Le savoir-vivre se renouvelle à l'ère du numérique

Photo Fotolia

WASHINGTONQue répondre à son patron qui veut être votre «ami» sur Facebook? Faut-il partager les photos du mariage de votre meilleur ami? Quand enlever ses lunettes Google? L’ère numérique a créé de nouvelles règles de savoir-vivre.

«La technologie est source d’angoisse», explique Steven Petrow, auteur de manuels de savoir-vivre qui prodigue depuis le mois dernier des conseils sur les manières numériques pour le journal USA Today.

Il a ainsi récemment évoqué les courriels à envois multiples qui donnent le nom de tous les récipiendaires: pas bien, note-t-il. Les photos de mariage partagées par téléphone envoyées avant les images officielles: demander avant aux mariés.

«En fait, il s’agit de revenir aux principes de base: respect, gentillesse et politesse», affirme M. Petrow.

Les réseaux sociaux comme Facebook posent des problèmes particuliers d’étiquette: si des utilisateurs postent un message annonçant un décès, une naissance ou des fiançailles avant que les proches n’en soient informés, cela crée des tensions dans les familles.

«Sur Facebook, même si votre vie privée peut être protégée, le message peut être capté et renvoyé par quelqu’un d’autre», rappelle Emily Yoffe, qui prodigue ses conseils dans la colonne «Dear Prudence» sur Slate.

«Vous ne pouvez plus contrôler votre message une fois qu’il est posté», ajoute Mme Yoffe, qui conseille de traiter tous les messages sur les réseaux sociaux comme s’ils étaient publics.

M. Petrow remarque d’autres bizarreries, comme le «J’aime» que l’on peut cliquer à l’annonce d’une nouvelle triste.

«En fait, cela veut dire que vous avez pris connaissance de la nouvelle», dit-il, «cela peut se faire, mais je crois qu’il faut ajouter un message pour clarifier ce que vous voulez dire».

Boulettes sur Twitter

Les médias sociaux sont souvent utilisés pour rompre, annoncer une nouvelle relation, ce qui peut totalement surprendre la personne à qui on s’adresse.

«Il vaut mieux prendre son temps, en discuter avec l’autre personne», suggère-t-il.

Quant aux demandes d’un patron, M. Petrow conseille aux personnes faisant partie de l’encadrement de se tenir à l’écart pour éviter d’éventuels conflits. Les employés ne doivent pas ignorer la requête mais doivent proposer, par exemple, à la place une connexion au réseau professionnel LinkedIn, selon lui.

L’ère numérique est également entrée à l’Emily Post Institute, qui enseigne depuis plus d’un demi-siècle les bonnes manières.

«Les nouvelles technologies changent la vie des gens», note Daniel Post Senning, auteur d’un livre l’an dernier sur le savoir-vivre numérique.

Il faut donc savoir éteindre son téléphone portable. «Ces outils détournent notre attention des personnes avec qui nous nous trouvons», dit-il, ajoutant que «la plupart des gens le savent instinctivement».

Sur Twitter, la vitesse d’exécution a causé des problèmes.

«Des gens ont perdu leur emploi à cause d’un tweet peu judicieux», affirme Mme Yoffe.

Des boulettes sur Twitter se sont transformées en cauchemars pour les communicants de grandes firmes.

La compagnie aérienne néerlandaise KLM a ainsi soulevé la colère des Mexicains après avoir tweeté «Adios Amigos» (Adieu les Amis) après la défaite du Mexique face aux Pays-Bas lors du Mondial de soccer. La compagnie a présenté ses excuses, supprimé son tweet, mais le mal était fait.

«Nous encourageons les sociétés à être attractives, mais les personnes doivent comprendre qu’elles parlent au nom de la marque», estime Jeanette Gibson de Hootsuite, conseil en entreprises pour les réseaux sociaux.

Le savoir-vivre est aussi mis à l’épreuve par des objets du style Google Glass, les lunettes interactives.

Google a préventivement offert quelques conseils pour bien les utiliser, et notamment les éteindre dans de nombreuses situations.

Pour M. Petrow, ce genre d’outil fait craindre d’être espionné:

«Je ne crois pas que les éteindre va apaiser ces inquiétudes», dit-il, ajoutant que «chaque nouveau gadget crée ses propres problèmes de savoir-vivre».

Pour M. Senning de l’Emily Post Institute, il faut avoir une perspective historique:

«Toutes les générations ont pensé que le savoir-vivre se perdait. Quand le téléphone est entré dans les maisons, on pensait que cela allait détruire la vie de famille, et cela n’a pas été le cas».

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Heartbleed: des dégâts difficiles à évaluer


Le piratage Heartbleed cause bien des mots de tête, On change oui ou non nos mots de passe ? Doit-on changer sur tous les sites que nous allons ayant besoin d’un mot de passe ? Mais attention, dans vos courriels, certains profiterons de vous harponner en demandant des renseignements confidentiels pour changer votre mot de passe.
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Heartbleed: des dégâts difficiles à évaluer

 

Heartbleed: des dégâts difficiles à évaluer

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Sophie Estienne

 

NEW YORK – Presque une semaine après sa découverte, la faille informatique Heartbleed fait l’unanimité chez les experts pour ce qui est de sa gravité mais l’ampleur des dégâts reste difficile à évaluer.

Heartbleed («coeur qui saigne» en français) touche les versions postérieures à mars 2012 d’une portion de programme baptisée OpenSSL, intégrée à nombre de sites internet, serveurs de messagerie et autres accès distants aux entreprises de type VPN.

«C’est sans aucun doute une vulnérabilité critique», indique à l’AFP Thomas Gayet, un spécialiste de la lutte contre la cybercriminalité du cabinet français de conseil en sécurité informatique Lexsi. «Il y a des systèmes vulnérables depuis 2012» et «il y a pu y avoir une fuite de données».

Les pirates ne peuvent pas cibler précisément leurs attaques mais «si sur les deux dernières années des gens ont eu la connaissance de cette vulnérabilité et l’ont utilisée, cela maximise leurs chances d’obtenir des informations sensibles», juge l’expert.

L’agence de renseignement américaine NSA, dont l’espionnage à grande échelle sur internet avait été divulgué l’an dernier par son ancien consultant Edward Snowden, a en tout cas démenti formellement vendredi avoir eu connaissance et exploité Heartbleed.

Thomas Gayet reconnaît qu’il «n’est pas facile a posteriori de savoir si la faille a été utilisée» car cela «ne laisse pas de traces dans les fichiers».

La liste des victimes potentielles est très longue.

Parmi des services en ligne contactés par l’AFP, les groupes internet Yahoo! et Google, le réseau social Facebook et sa filiale de partage de photos Instagram, le site de vidéo en streaming Netflix, ou encore la plateforme de réservation d’hébergements chez l’habitant Airbnb ont effectué une mise à jour de sécurité.

Le site de distribution Amazon.com et le réseau LinkedIn se disent en revanche épargnés. Apple a assuré que ses systèmes d’exploitation iOS et OSX, ainsi que ses «services en ligne clé», n’étaient pas affectés.

Idem pour «la plupart» des services de Microsoft, dont la messagerie Outlook, la messagerie vidéo Skype ou la suite de bureautique en ligne Office 365.

MOTS DE PASSE

 

À côté des géants du web, les banques américaines ont été appelées par leurs régulateurs à remédier «le plus vite possible» à la faille. La première d’entre elles, JPMorgan Chase, a assuré vendredi que ses consommateurs n’avaient pas été exposés.

«Les grands groupes ont pu régler le problème assez vite», explique à l’AFP Tim Maurer, expert en sécurité de la New America Foundation. «Ce sont les entreprises plus petites et de taille moyenne qui n’ont pas nécessairement les ressources et les équipes d’experts en sécurité pour mettre leur système à jour rapidement».

Autre raison de craindre que le problème soit compliqué à régler: des fournisseurs d’infrastructures de réseaux informatiques et télécoms, comme Cisco ou Juniper Networks, soulignent que leurs équipements peuvent eux aussi être affectés.

Si Google estime que ses utilisateurs «n’ont pas besoin de changer leurs mots de passe», la mesure reste recommandée par beaucoup d’acteurs.

Facebook dit ainsi n’avoir «aucun signe d’activité suspecte» mais propose à ses membres de «saisir l’occasion (…) pour créer un mot de passe unique pour leur compte Facebook qui ne soit pas utilisé sur d’autres sites».

Yahoo! suggère en outre «de fournir un numéro de téléphone comme moyen secondaire d’identification».

Changer tous ses mots de passe sans discernement est «un mauvais conseil», prévient toutefois sur son site Graham Cluley, analyste indépendant spécialisé en sécurité informatique.

«On devrait seulement changer les mots de passe sur les sites qui ont confirmé avoir réglé le problème. Le reste augmenterait en réalité les chances que vos informations privées soient interceptées» par des pirates se dépêchant d’exploiter la faille avant sa disparition.

D’autres pourraient aussi, selon lui, utiliser Heartbleed comme prétexte pour des tentatives de «fishing», des courriels demandant de changer un mot de passe et renvoyant sur de fausses copies de sites internet populaires.

Les experts conseillent également aux internautes de surveiller avec une attention particulière leurs comptes bancaires, pour repérer une éventuelle transaction suspecte.

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Microsoft Hotmail enfin remplacé par Outlook.com en version finale


Moi, j’ai fait le changement il y a quelques temps, un temps d’adaptation comme toujours mais pour le reste tout va bien surtout qu’on n’est pas obligé de changer notre adresse courriel d’Hotmail pour aller vers Outlook et on peut donc se connecter via n’importe quel ordinateur tout comme on le fait présentement pour Hotmail
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Hotmail enfin remplacé par Outlook.com en version finale

 

Microsoft - Hotmail enfin remplacé par Outlook.com en version finale

Outlook.comn, le successeur de Hotmail, est désormais accessible en ligne dans sa version définitive.

Photo Outlook.com

Microsoft déploie officiellement, mardi 19 février, sa nouvelle génération de Webmail Outlook.com qui remplacera d’ici l’été 2013 l’historique Hotmail.

Le nouveau service mail de Microsoft se veut plus ergonomique et davantage adapté aux réseaux sociaux.

Outlook.com présente une nouvelle interface, plus sobre et intuitive, identique, quel que soit le terminal utilisé (ordinateur, téléphone intelligent, tablette).

Le service est connecté en permanence aux réseaux sociaux, comme Facebook, Twitter ou LinkedIn.

De cette manière, il est possible de profiter des statuts ou des nouvelles photos de ses amis, mais aussi de chatter avec eux directement depuis sa boite mail.

La liste de ses contacts est synchronisée avec l’ensemble des réseaux sociaux connectés. Bientôt, ce sera au tour de Skype d’être intégré.

Cette nouvelle messagerie peut trier les courriels par contact, type d’infolettre ou bien entendu date de réception.

Le service inclut gratuitement les Office Web Appspermettant de lire des documents Word, Excel ou PowerPoint ainsi que SkyDrive, le service de stockage en ligne de Microsoft.

Une transition en douceur

Mis en ligne en version bêta à l’été 2012, Outlook.com compterait déjà plus de 60 millions d’utilisateurs.

L’intégralité des comptes Hotmail devrait avoir migré vers Outlook.com avant l’été.

Sans changer d’adresse ni de paramètres, les utilisateurs de Hotmail retrouveront l’intégralité de leurs contenus dans une interface plus moderne et connectée au nuage informatique avec SkyDrive.

 

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Des employeurs demandent votre mot de passe Facebook


Comment trouver l’idée que des entreprises demandent les mots de passes de nos comptes pour mieux nous surveillez dans la situation économique actuelle ? Est-ce de l’abus de profiter du besoin de travailler ?
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Des employeurs demandent votre mot de passe Facebook

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Il est pratique courante pour les potentiels employeurs d’effectuer une petite veille stratégique sur des candidats en visitant leurs comptes Facebook et Twitter.

Outre votre acharnement à partager des vidéos de chat, une compagnie peut aussi savoir si vous avez tendance à boire (demandez à vos « amis » de supprimer votre identification sur ces images festives au plus vite!) ou si vous avez des comportements ou des propos pouvant aller à l’encontre de l’image de la marque.

Il existe des applications de tiers parti qui permettent d’optimiser l’aperçu de la présence web d’un individu sur Facebook ou Twitter, sans avoir à défiler sur son profil pendant des heures.

Les employeurs utilisent déjà ces applications, évidemment. Mais une nouvelle tendance est apparue aux États-Unis; celle des employeurs demandant les mots de passe pour accéder aux comptes personnels des candidats à l’embauche.

Dans une économie si fragile, il est peut-être dangereux de refuser des exigences de nos futurs employeurs. Qu’ils aient accès à notre profil Linkedin ou profil public Facebook ne leur suffit apparemment plus : ils veulent connaître vos amis et avoir accès à vos conversations privées.

C’était le cas, notamment, de Robert Collins, garde de sécurité américain qui a dû soumettre ses informations personnelles pour répondre aux soupçons d’affiliation à des gangs de rue. Celui-ci a accepté, tandis que Justin Basset, statisticien New Yorkais, a retiré sa candidature lorsqu’on lui a demandé l’accès à ses informations personnelles.

Mais dans ce rapport de force, tout le monde ne profite pas de telles opportunités : refuser un emploi, dans le contexte actuel, est une décision délicate.

Il est encore tout à fait légal de demander ces informations aux États-Unis, même si le Maryland et l’Illinois ont proposé des lois empêchant les employeurs d’avoir recours à de telles tactiques.

Est-ce que LinkedIn est devenu futile? Et que répondriez-vous si l’on vous demandait votre mot de passe Facebook à votre prochaine entrevue d’embauche?

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Plus de la moitié des recruteurs utilisent les réseaux sociaux


Si une personne se cherche du travail surtout dans de grandes compagnies, serait mieux pour le présent et l’avenir de faire attention a leur propos sur les réseaux sociaux, car il semble que de plus en plus les futur employés sont aussi recrutés ou écartés selon leur propos sur Internet
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Plus de la moitié des recruteurs utilisent les réseaux sociaux

Sondage - Plus de la moitié des recruteurs utilisent les réseaux sociaux

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PARIS – Attention à vos écrits sur Facebook, Twitter et autres réseaux sociaux: plus de la moitié des recruteurs disent consulter ces sites dans le cadre du processus d’embauche, dont un quart pour vérifier les informations sur les CV, selon un sondage publié lundi.

Selon cette enquête, réalisée par l’Institut TNS Sofres pour Expectra, filiale du groupe Randstad, 51% des responsables des ressources humaines disent recourir aux réseaux sociaux «régulièrement ou occasionnellement» au cours du processus de recrutement.

Outre la recherche de candidats, 25% d’entre eux disent se servir de ces réseaux, et notamment des réseaux professionnels comme LinkedIn ou Viadeo pour vérifier les informations fournies par les aspirants salariés sur leur curriculum vitae.

Pour dénicher leurs futurs employés, les entreprises privilégient toutefois toujours l’Association pour l’emploi des cadres (Apec) et Pôle emploi (56%) ou le bouche-à-oreille (47%) devant les sites internet de recrutement (45%) et les réseaux d’anciens de grandes écoles (22%).

«Il y a une vraie évolution dans l’utilisation de ces outils dans le processus de recrutement», a commenté Didier Gaillard, directeur général d’Expectra, ajoutant que le recours aux réseaux sociaux va certainement encore évoluer fortement dans les années à venir, mais que «le train est parti».

L’enquête a été réalisée du 21 septembre au 21 octobre 2011 auprès d’un échantillon de 1 459 responsables ou collaborateurs des ressources humaines dans autant d’entreprises, interrogés sur internet et en face à face.

Elle montre par ailleurs que les responsables restent optimistes pour 2012, 62% se disant assez optimistes et 8% très optimistes, et seuls 18% disant envisager de réduire leurs effectifs dans l’année.

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