Le Saviez-Vous ► La folle histoire du chasseur de trésor prisonnier tant qu’il ne livrerait pas la cachette de son butin


Une histoire rocambolesque causée par la cupidité après une découverte d’un trésor d’un bateau, le S.S. Central America qui a sombré dans les eaux en 1857 lors d’un passage d’un ouragan
Nuage

 

La folle histoire du chasseur de trésor prisonnier tant qu’il ne livrerait pas la cachette de son butin

 

Fishpool gold coins | Lawrence OP via Flickr CC License by

Fishpool gold coins | Lawrence OP via Flickr CC License by

Repéré par Vincent Manilève

Ses créanciers veulent savoir où il a placé l’or qu’il a trouvé en1988 dans l’Atlantique.

Il était considéré comme l’un des plus grands chasseurs de trésors des temps modernes. Aujourd’hui, il est devenu le prisonnier avec l’un des secrets les plus fascinants de ce début de siècle.

Tommy G. Thompson s’est fait connaître en 1988 lorsqu’il a retrouvé un navire rempli d’or dans l’Océan Atlantique. En 1857, un ouragan avait fait sombrer le S.S. Central America, coûtant la vie à 425 personnes et envoyant au fond de l’eau au moins trois tonnes du précieux métal. Après des années de recherches, l’expédition de Thompson a réussi à trouver l’emplacement exact du naufrage et y a envoyé un sous-marin du nom de Nemo pour plonger à plus de deux kilomètres de profondeur et récupérer le trésor, fait principalement des lingots et des pièces d’or. C’était le plus gros jamais découvert dans l’histoire des États-Unis.

Sauf que, comme le raconte aujourd’hui le Washington Post, la suite ne s’est pas passée comme prévue. Pour mener à bien les recherches nécessaires à la découverte et lancer l’expédition, Tommy Thompson a eu besoin d’investisseurs capables de croire en lui et de financer son expédition. Le trésor ayant révélé son potentiel, tous se frottaient les mains. Il leur a fallut de longues années pour comprendre que Thompson ne voulaient pas payer ses dettes.

«Deux des plus gros investisseurs de l’expédition ont amené l’affaire devant la justice dans les années 2000, écrit le journal, l’accusant d’avoir vendu presque tout l’or et gardé l’ensemble des profits pour lui.»

En 2012, un juge fédéral ordonne à Thompson de se présenter, ce qu’il ne fera pas, y compris quand un mandat d’arrêt est délivré contre lui.

Pendant trois ans il s’est caché avec sa compagne, louant une énorme maison en Floride sous un faux nom et qu’il payait avec l’or du S.S. Central America.

Il est devenu «l’un des fugitifs les plus intelligents», dira à l’époque un enquêteur.

 Derrière lui, il ne laisse que de maigres indices, comme un livre intitulé Comment être invisible. Finalement, il est arrêté en janvier 2015 lorsque les forces de l’ordre réussissent à pister la nuit d’hôtel payé par sa compagne.

Au début, la recherche des pièces d’or semble prendre une tournure positive: Thompson a plaidé coupable et semblait même accepter de donner l’emplacement du trésor, situé au Belize. Puis plus rien. Son avocat a récemment affirmé que Thompson avait des problèmes de mémoire, un argument vite balayé par le juge. La quête du trésor volé semble donc bloquée, à moins que le chasseur décide de parler. Une confession qui lui permettrait de quitter sa cellule dans un futur proche. En attendant, il doit payer une amende de mille dollars par jour. Ça en fait des pièces d’or. 

http://www.slate.fr/

De l’orichalque, ce mystique alliage antique, découvert dans une épave ?


Une autre épave découverte cette fois en Sicile mais qui avait dans son ventre un métal qui aurait été décrit par Platon. La composition de cet alliage n’aurait jamais été confirmée. Peut-être qu’aujourd’hui, il serait possible qu’il soit enfin découvert
Nuage

 

De l’orichalque, ce mystique alliage antique, découvert dans une épave ?

épave orichalque

Crédits : Sebastiano Tusa

Par Julie Aram

Des archéologues ont découvert 39 lingots dans une épave antique qui pourraient être de l’orichalque, ce métal décrit par Platon et par de nombreux autres textes antiques, mais dont l’existence n’avait jusqu’ici jamais été prouvée.

De l’orichalque, ce métal mythique décrit dans la littérature antique, a-t-il été découvert au large de la Sicile, dans une épave gisant à 300 mètres de profondeur ? C’est en tout cas ce que pensent les archéologues qui ont découvert cette dernière à l’issue d’une plongée sous-marine. L’épave aurait fait naufrage il y a 2600 ans environ, à 300 mètres des côtes siciliennes.

Qu’est ce que l’orichalque, au juste ? Il s’agit d’un alliage métallique que le géographe grec Strabon (-64 av. JC à 25 ap. JC) décrivait ainsi :

« …On trouve une espèce de pierre qui se change en fer par l’action du feu ; ce fer, mis ensuite en fusion avec une certaine terre, produit le zinc. Du mélange de ce dernier avec du cuivre résulte ce métal que certains appellent orichalcum. »

Selon Platon, ce métal recouvrait également les murs, les colonnes et le sol du temple de Poséidon, situé au milieu de la mythique île d’Atlantide…

Toutefois, l’existence de ce métal n’avait jusqu’ici jamais été avérée, même si sa description abonde dans les écrits antiques (les Romains le connaissaient d’ailleurs aussi, même s’il est probable que la composition de l’orichalque romain différait de l’orichalque grec).

Or, il s’avère que le métal retrouvé par l’archéologue italien Sebastiano Tusa est précisément composé de 75% de cuivre et de 15% de zinc. De quoi suggérer effectivement que ces lingots seraient faits de ce fameux orichalque…

Pour en savoir plus, vous pouvez vous reporter à ce reportage publié par Discovery (en anglais) : « Atlantis’ Legendary Metal Found in Shipwreck ».

http://www.journaldelascience.fr/

COLORADO Furieux à cause de son divorce, il jette un demi-million de dollars en or à la poubelle


Il y a des divorces qui sont plus difficiles que d’autres, et parmi les plus difficiles, il y a des gens qui vont vraiment n’importe quoi. Espérons que les lingots ont tombé dans des mains qui en avaient besoin
Nuage

 

COLORADO

Furieux à cause de son divorce, il jette un demi-million de dollars en or à la poubelle

 

PHOTO FOTOLIA

COLORADO SPRINGS – Un homme reconnu coupable de violence conjugale a déclaré devant un tribunal du Colorado, durant les procédures de divorce entamées par sa femme, qu’il a converti les épargnes du couple en or, et qu’il a jeté à la poubelle le précieux métal d’une valeur d’un demi-million de dollars.

Selon la transcription des procédures qui a été publiée par le Colorado Spring Gazette, Earl Ray Jones aurait jeté les pièces et les lingots d’or dans une benne à ordures derrière un hôtel, afin que sa femme ne puisse pas profiter de cet argent.

L’homme a fourni au tribunal des documents prouvant ses allégations selon lesquelles il a converti les économies en or après s’être vu refuser par la banque le retrait en argent comptant des 500 000$.

«On dit que lorsque des gens divorcent, ils entrent dans un état de folie passagère, a indiqué l’avocat de la femme, John-Paul Lyle. Sur une échelle de dix, ceci atteint le niveau maximum.»

Jones a été condamné en septembre dernier pour avoir séquestré puis battu sa femme. La victime, une enseignante, est incapable de travailler en raison des blessures qu’elle a subies, a fait savoir son avocat.

http://www.journaldequebec.com

Le Saviez-vous ► Ces trésors au fond des océans


Après avoir mit le billet Plus de 1500 lingots d’argent datant de 1941 remontés du fond de la mer quoi de plus normal de s’intéresser aux découvertes faites dans le fond des mers .. Car des gens se sont spécialisées dans ce genre de recherches pour retrouver des bateaux qui auraient coulé à différentes époques de l’histoire navale
Nuage

 

Ces trésors au fond des océans

 

trésor

La gourmette de Saint-Exupéry découverte dans une calanque marseillaise en 1998.Photo : DR

Le fond des océans, qui recouvrent 75 % de la surface de la planète, recèle de trésors submergés à travers les siècles. Certains restent enfouis, d’autres refont surface, de manière parfois surprenante. Metronews vous livre ses petites perles.

La gourmette de Saint-Exupéry

Le 27 octobre 1998, au large des calanques marseillaises, un pêcheur remonte dans ses filets une gourmette en argent. On y distingue une gravure, et plus précisément un illustre nom, dont la disparition survenue le 31 juillet 1944 restait jusqu’ici mystérieuse : Antoine de Saint-Exupéry, l’auteur, entre autres romans, du célébrissime Petit Prince. Des débris de l’épave de son avion seront découverts deux ans plus tard et formellement identifiés en 2004 comme appartenant au bimoteur de type Lightning P38 qu’il pilotait ce jour-là au départ de Bastia. Quant aux raisons de son crash, elles restent jusqu’ici inconnues, malgré le témoignage, jugé peu probable, d’un pilote allemand qui affirmait en 2008 avoir abattu un avion similaire ce même jour et dans la même zone.

Un ovni en mer Baltique ?

En juin 2011, une équipe d’explorateurs de fonds marins fait une bien étrange découverte en mer Baltique. A près de 80 mètres de profondeur, leur sonar détecte une immense masse cylindrique de 60 mètres de diamètre et de 3 ou 4 mètres de hauteur qu’ils ne parviennent pas à identifier. Un an plus tard, le 7 juin 2012, des plongeurs partent explorer l’objet non identifié pour obtenir des réponses à leurs nombreuses interrogations. Ils y font des découvertes encore plus déroutantes : l’objet ressemble à un champignon sur le sommet duquel sont disposées des pierres en cercle, recouvertes d’une matière semblable à de la suie. Deux faits étranges ont par ailleurs été relevés : un taux de radioactivité supérieure à la normale, mais aussi les appareils électroniques des chercheurs tombés en panne à l’approche de la masse. Pour l’heure, le mystère reste entier. Et on continue de fantasmer.

Le magot du tsunami

Le 11 mars 2011, un tremblement de terre suivi d’un tsunami dévaste les côtes japonaises, faisant près de 20 000 victimes. Quelques mois plus tard, en octobre, un bateau de pêche remonte à la surface un sac contenant plus d’un millier de billets de 10 000 yens, d’une valeur totale de 100 000 euros, au large d’Ofunato, sur la côte nord-est du pays, l’une des zones les plus ravagées par le tsunami. Pour les autorités locales, il est fort probable que cette découverte soit liée à la catastrophe, comme celles de nombreux autres coffres et enveloppes d’argent découverts depuis le 11 mars dans la région. Légalement, le magot revient à la personne qui a trouvé l’argent, au-delà d’un délai de 6 mois.

3 milliards de dollars submergés

En février 2012, des chercheurs de trésor américains ont remonté à la surface un incroyable butin localisé dans l’épave d’un cargo britannique torpillé en 1942 au large du Massachusetts. A son bord, une cargaison d’une trentaine de caisses de platine estimée à trois milliards de dollars. Cette découverte mettait fin à une attente de 4 ans, puisque en août 2008, le robot de la « Sub Sea Research » avait localisé le cargo britannique. Une aubaine, puisque le cours du platine explose depuis le début des années 2000. Par ailleurs, les chercheurs pensent que l’épave pourrait receler quelque 10 tonnes d’or, voire des diamants industriels. Pour l’heure, rien n’a refait surface.

Une Veuve-Clicquot trouvée dans une épave du XIXe siècle

L’épave d’une goélette ayant sombré au début du XIXe siècle, retrouvée en juillet 2010 au large d’un archipel finlandais, réservait une pétillante surprise. A son bord, deux bouteilles de champagne, dont une bouteille de Veuve-Clicquot, rien que ça. Selon les spécialistes, cette bouteille aurait même appartenu à Barbe-Nicole Clicquot Ponsardin qui dirigeait l’entreprise à cette époque. Mise aux enchères, elle a été acquise par un acheteur de Singapour pour la somme record de 30 000 euros, qui s’est également payé l’autre bouteille pour la somme de 24 000 euros. L’histoire ne dit pas si l’acquéreur les a consommées, ni s’il l’a fait à leur juste valeur. Ni même si ces cuvées étaient encore bonnes.

http://www.metronews.fr/