Le Saviez-Vous ►Les mystères de l’effet de lac dévoilés


Certaines régions reçoivent plus de neige que d’autres, une des causes semblent être l’effet de lac, Il faut des conditions spécifiques pour avoir des accumulations spectaculaires de neige comme ce qu’à reçu la ville de Buffalo
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Les mystères de l’effet de lac dévoilés

 

Photo : Lucie Desbiens, Port Elgin

Certaines régions sont plus susceptibles de recevoir davantage de neige en raison de l’effet de lac. Ce phénomène localisé donne souvent lieu à des accumulations colossales.

Recevoir 100 cm de neige en deux jours, c’est possible? En Ontario, cette réalité fait partie du quotidien, dans les régions situées aux abords des Grands Lacs. Au Québec, ce phénomène peut influencer les quantités de précipitations autour du lac Saint-Jean ou en Gaspésie.

L’effet de lac a généralement lieu du mois d’octobre jusqu’en décembre, mais il peut durer tout l’hiver si les plans d’eau demeurent libres de glace.

Les bourrasques de neige, terme aussi utilisé pour parler de l’effet de lac, se produisent lorsque l’air froid passe sur les eaux plus chaudes. La masse d’air se charge alors d’humidité et forme des nuages convectifs très intenses, qui engendrent d’importantes chutes de neige une fois au-dessus des terres.

En décembre 2013, certaines villes américaines et ontariennes situées près des Grands Lacs ont reçu des bordées de neige extrêmes. Il est notamment tombé plus de 130 cm à Redfield, une municipalité d’environ 500 habitants.

L’humidité qui s’évapore dans l’air se condense et forme des nuages, et des flocons de neige commencent à tomber.

 

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Huit feux de forêt font rage dans le nord du Québec Juillet 2013


Le Nord du Québec brûle et cette chaleur n’aide en rien pour atténuer les risques d’incendie de forêt. Il est clair que l’idée de faire des feux à ciel ouvert est interdit Il semble que c’est pour cela que des pannes électriques et le smog qui s’est fait sentir au sud de la province Il y a eu entre autre a Montréal des annulations de chirurgie et des pannes de métro a Montréal
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Huit feux de forêt font rage dans le nord du Québec

 

Au moins huit foyers d'incendie sont toujours actifs, dont quatre... (Photo archives PC)

PHOTO ARCHIVES PC

Au moins huit foyers d’incendie sont toujours actifs, dont quatre non-maîtrisés, dans le nord du Québec.

Les températures chaudes font grimper l’indice d’inflammabilité des forêts québécoises. La région de la Côte-Nord est particulièrement vulnérable, avec un danger d’incendie considéré comme extrême.

Le nord du Lac-Saint-Jean, l’Abitibi et toute la région de la Jamésie font partie des points chauds suivis de près par la SOPFEU.

La région d’Eastmain est la plus touchée et des Autochtones ont été déplacés. Les flammes ont ravagé pour l’instant entre 325 000 et 350 000 hectares dans le nord du Québec. Par ailleurs, la route de la Baie-James est fermée sur 301 km par mesure de sécurité.

La Société de protection contre le feu exerce une surveillance accrue sur tout son territoire, situé au sud du 51ème parallèle.

Après plusieurs jours d’assèchement et la faible quantité de pluie ces dernières semaines, Éloïse Richard, porte-parole de la SOPFEU estime que l’indice d’inflammabilité varie d’extrême à élevé sur une grande portion du Québec.

L’entreprise minière aurifère, Goldcorp, a d’ailleurs annoncé jeudi avoir demandé l’évacuation de la plupart de ses travailleurs en fonctions dans la région de la Baie James, à son projet minier Éléonore.

Avec La Presse Canadienne

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Lac-Saint-Jean : Sauvé de la noyade par son neveu


En hiver, nombre de noyade est recensé sur nos lacs et rivières la prudence est de mise et surtout en ces périodes de changement climatique qui rend les glaces moins épaisses .. Cet incident qui aurait pu être dramatique démontre aussi l’importance de ne jamais s’aventurer seul sur un plan d’eau ..
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Lac-Saint-Jean : Sauvé de la noyade par son neveu

Sauvé de la noyade par son neveu

Crédit photo : Agence QMI

Gabriel Tremblay et Armand Martel

Par Kate Tremblay | TVA Nouvelles

Un homme originaire de Desbiens, au Lac-Saint-Jean, remercie son jeune neveu de 17 ans, grâce à qui il est encore en vie. Armand Martel, âgé de 76 ans, est tombé dans les eaux glacées du Lac-Saint-Jean, vendredi matin.

Comme il le fait plusieurs fois par semaine depuis plus de 40 ans, M. Martel s’est rendu à sa cabane à pêche à motoneige. À son retour, il a constaté qu’une fissure qui s’était formée dans la glace s’était élargie.

«Je me suis arrêté pour aller sonder la glace et voir si je pouvais passer, explique le rescapé. J’ai mis le pied au mauvais endroit et c’est là que j’ai glissé dans l’eau.»

Heureusement, son neveu le suivait de près.

«Je lui ai pris les mains parce qu’il glissait, précise Gabriel Tremblay. J’essayais de m’agripper après la glace, mais je n’avais rien pour me tenir», se souvient le jeune homme.

Il a réussi à maintenir son grand-oncle la tête hors de l’eau, jusqu’à ce qu’un autre motoneigiste, qui passait dans le secteur, voit les deux hommes en difficulté.

«Il était temps qu’il vienne m’aider, parce que moi je glissais et j’avais peur que la glace casse», souligne Gabriel Tremblay, qui n’aurait pas hésité à poser ce geste de bravoure même envers un étranger.

Armand Martel est conscient de la chance qu’il a eue.

«J’ai eu le temps de penser à mes enfants et à ma femme, affirme-t-il avec émotions. Si mon neveu n’avait pas été là, je ne pense pas que j’aurais réussi à m’en sortir tout seul. Mes bottes étaient pleines d’eau. J’étais très lourd. Il m’a sauvé la vie», confie l’oncle.

L’homme s’en tire avec une bonne frousse.

«Il se forme toujours une fissure comme ça sur le Lac, je suis habitué. J’ai toujours pris la peine d’aller vérifier et c’est la première fois que ça m’arrive, ajoute-t-il. Je vais y retourner, mais je ferai encore plus attention. C’est la preuve que ça peut arriver même à quelqu’un de très prudent qui connaît bien le secteur.»

Gabriel Tremblay, lui, réalise à peine qu’il a posé un geste héroïque. Il compte bien sensibiliser ses amis aux dangers des cours d’eau en saison hivernale.

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