Cette Mexi­caine a inventé un plas­tique biodé­gra­dable et comes­tible fait en cactus


Et bien, si cela peut se faire avec du jus de cactus, peut-être d’autres plantes pourraient aussi être utilisé. Cela ne serait donc pas dommageable pour les animaux

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Cette Mexi­caine a inventé un plas­tique biodé­gra­dable et comes­tible fait en cactus


Crédits : BBC

par  illacNicolas Prou

Ay, carajo ! La BBC a rencon­tré au mois de juin une cher­cheuse incroyable. La chimiste mexi­caine Sandra Pascoe Ortiz a trouvé le moyen de créer un plas­tique durable à partir de jus de cactus

 Le maté­riau obtenu est véri­ta­ble­ment biodé­gra­dable (aban­donné dans la nature, il dispa­raît en un mois) et non-toxique. Animaux et humains peuvent donc l’in­gé­rer sans s’em­poi­son­ner.

Pour parve­nir à cet incroyable résul­tat, le Pr Ortiz à mis à contri­bu­tion ses élèves de l’uni­ver­sité de la vallée d’Ate­majac, près de Guada­lajara. Elle a débuté ses recherches en 2013 et espère abou­tir à une exploi­ta­tion commer­ciale de sa trou­vaille, pour réduire dras­tique­ment la pollu­tion plas­tique dont est respon­sable le Mexique, avant de l’ex­por­ter dans le reste du monde.

Pour obte­nir le substi­tut de plas­tique, la scien­ti­fique coupe les feuilles du cactus et les pèle, avant de produire du jus de cactus vert. Après un temps de repos au frais et l’ajout d’une substance chimique non-toxique, elle obtient une pâte de plas­tique qu’on peut utili­ser aussi bien pour créer des embal­lages que des maté­riaux plus épais et caou­tchou­teux. Utile et parfai­te­ment inof­fen­sif.

Source : BBC

https://www.ulyces.co/

Les jus de fruits aussi peuvent augmenter le risque de mort prématurée


Quand j’étais petite, on avait droit de temps à autre à une boisson gazeuse, mais généralement au repas, c’était du lait. Je ne me souviens pas d’avoir bu beaucoup de jus de fruits. Aujourd’hui, le jus ou les boissons gazeuse on remplacer le lait et l’eau, ce qui n’est guère mieux, car ils sont souvent trop sucrés.
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Les jus de fruits aussi peuvent augmenter le risque de mort prématurée



Boire des sodas, ce n’est pas bon pour la santé. C’est un fait établi. Ce qui l’est peut-être moins, c’est que boire des jus de fruits pourrait également mettre notre santé en danger. C’est du moins ce que conclut une récente étude.

Aux États-Unis, la moitié de la population déclare consommer au moins une boisson sucrée par jour. Et les efforts visant à modifier ces habitudes de consommation portent essentiellement sur les enfants et les sodas. Mais une étude réalisée par des chercheurs de l’université de Harvard (États-Unis) suggère aujourd’hui que les adultes devraient également être visés. Tout comme les jus de fruits.

En effet, les sucres présents dans les jus – même s’ils sont à 100 % naturels – ressemblent beaucoup aux sucres que l’industrie ajoute en masse aux sodas. Et les analyses des données de santé de plus de 13.000 Américains semblent montrer qu’une surconsommation de jus de fruits peut mener à une augmentation du risque de mort prématurée de 9 à 42 %.

Les jus de fruits jouissent d’une image saine. Pourtant, des travaux montrent qu’ils pourraient, tout comme les sodas, nuire à notre santé. © silviarita, Pixabay License

Les jus de fruits jouissent d’une image saine. Pourtant, des travaux montrent qu’ils pourraient, tout comme les sodas, nuire à notre santé. © silviarita, Pixabay License

Rien de tel… que l’eau !

Ainsi les chercheurs associent les jus de fruits – même s’ils restent moins délétères, grâce notamment aux nutriments qu’ils renferment – à un risque accru de développer un diabète ou une maladie cardiaque. 

« Les jus de fruits, mais pas les fruits entiers », précise Marte Guasch-Ferré, chercheur à l’université de Havard.

Les nutritionnistes recommandent d’ailleurs de ne pas consommer plus de 20 centilitres de jus de fruits par jour.

Les smoothies à base de fruits sont, quant à eux, généralement très caloriques. Les jus de légumes sont plus intéressants de ce point de vue, mais souvent riches en sel. 

« Pour ce que nous en savons aujourd’hui, l’eau reste la boisson idéale. Et pour remplacer les boissons sucrées, mieux vaut opter pour du thé ou du café… sans sucre ni lait », conclut Marte Guasch-Ferré


https://www.futura-sciences.com/

Les sodas pourraient entraîner une mort prématurée


Il semblerait que les sodas, boissons énergisantes ou jus de fruit industriels sucré ou avec du faux sucre soit un danger pour une mort prématurée et surtout pour les femmes. Les scientifiques ne savent pas pourquoi les femmes sont plus touchées. De toute manière, les boissons gazeuse et le restes ne devraient pas être une habitude de consommation
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Les sodas pourraient entraîner une mort prématurée

 

Résiste. | Fancycrave via Unsplash

Résiste. | Fancycrave via Unsplash

Repéré par Jasmine Parvine

Les femmes sont les plus touchées.

Si votre péché mignon est le Coca-Cola, cet article est pour vous. La consommation fréquente de sodas, boissons énergisantes et jus de fruits industriels entraînerait un risque élevé de mort prématurée, particulièrement chez les femmes, selon Vasanti Malik, chercheuse et chargée de cours au département de nutrition de l’école de santé publique Harvard T.H. Chan, qui s’est penchée sur le sujet.

D’anciennes études montraient déjà une corrélation entre les boissons sucrées, la prise de poids, le diabète de type 2, les maladies cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux, explique-t-elle à CNN. Pour elle, il était temps de déterminer s’il y avait un lien entre les sodas et les morts prématurées.

Des risques très élevés chez les femmes

Vasanti Malik et ses collègues ont utilisé les données de 37.716 hommes américains provenant d’une étude sur le suivi des professionnels de la santé, commencée en 1986. Pour les femmes, ils ont collecté celles de 80.647 Américaines, issues d’une recherche sur la santé des infirmières, débutée en 1980. L’équipe scientifique a examiné les différentes données à un instant T, en 1994.

Elle a remarqué que les principales causes de morts prématurées étaient les maladies cardiovasculaires, puis les cancers, notamment du colon et du sein.

Les résultats ont montré que les femmes qui buvaient deux portions (cannette, verre, bouteille) de soda par jour avaient 63% de risques supplémentaires de mourir prématurément, par rapport à celles qui en consommaient moins d’une fois par mois. Les buveurs réguliers, quant à eux, ne présentaient que 29% de risques en plus de mourir prématurément, comparé aux consommateurs très modérés de ce type de boissons. Les scientifiques n’ont pas encore réussi à déterminer pourquoi les femmes étaient beaucoup plus touchées que les hommes.

Globalement, le risque de mourir d’une maladie cardiovasculaire augmente de 31% et celui de mourir d’un cancer de 18%, entre les groupes qui boivent plus de deux portions par jour et ceux qui en boivent moins d’une par mois.

Le lien entre la consommation de sodas et une mort prématurée est toujours présent même lorsque des facteurs comme l’activité physique, l’alimentation, les données démographiques, les antécédents familiaux de diabète de type 2 sont pris en compte.

Faux sucre, fausse bonne idée

Vasanti Malik a également examiné les effets des boissons sucrées par des substituts comme l’aspartame. Au premier abord, ces sodas dits «sans sucres» semblent être une bonne idée. Cependant, les mêmes risques de mort prématurée par maladies cardiovasculaires se présentent pour les femmes qui en boiraient en moyenne quatre par jour. Les hommes, eux, ne sont pas touchés.

Une étude nationale de la Women’s Health Initiativemenée sur le long terme aux États-Unis a également révélé une corrélation entre les morts prématurées des femmes de plus de 50 ans et les boissons contenant du faux sucre.

Robert Rankin, président du Calorie Control Council, une organisation représentant l’industrie des aliments et des boissons hypocaloriques, recommande de ne pas tirer de conclusions hâtives de cette étude.

«Il est probable que les sujets de l’étude couraient déjà un risque plus élevé de développer ces affections et ont choisi des boissons sucrées hypocaloriques pour gérer leur consommation de calories et de sucres, ces produits s’avérant sans danger et bénéfiques pour ceux qui gèrent leur poids et leur glycémie.»

http://www.slate.fr/

Le Saviez-Vous ►14 aliments encore pires pour les dents que les bonbons


Il n’y a pas juste les bonbons qui abîment les dents. Il y a des aliments qui peuvent aussi faire des dommages à l’émail et provoqués des caries. Parmi eux, on peut trouver des alternatives, mais bon, d’autres, c’est plus difficile car on aime cela .. Donc, il faut trouver des compensations pour éviter le désastre
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14 aliments encore pires pour les dents que les bonbons

 

Les dents sont abîmées par le sucre des fruits secs.

nada54/Shutterstock

Par Daisy Chan, RD.com

Vous êtes peut-être en train de saboter votre beau sourire sans même vous en rendre compte. Sachez que les dents réagissent aux aliments que vous mettez dans votre bouche. En voici certains – autres que les bonbons – à éviter, selon les dentistes.

Fruits secs

« Manger des fruits séchés, c’est comme manger des bonbons, dit Stephen J. Stefanac, professeur de médecine orale et de parodontie à la faculté de dentisterie de l’Université du Michigan. Ils sont tout aussi collants et riches en sucre. »

 Cela signifie que ce dernier reste coincé entre les dents – la formule parfaite pour les caries. Oubliez les fruits secs et préférez-leur les fruits frais.

Soda

Il n’est pas surprenant que le soda ne soit pas bon pour vos dents. Une canette de soda de 350 ml (12 onces) contient 39 grammes de sucre, soit près de dix cuillères à café! Mais ce n’est pas le seul problème.

« C’est très acide, dit Tricia Quartey, dentiste à Brooklyn, New York. Et l’acidité peut éroder l’émail. »

Le pire, c’est de siroter du soda toute la journée, parce qu’alors vos dents sont longuement exposées au sucre et à l’acide.

Jus

Comme le soda, le jus embouteillé peut être acide et contenir des sucres ajoutés, parfois jusqu’à dix cuillères à café par portion. Ce sucre nourrit les bactéries qui causent la carie dentaire. Mais il existe au moins un dentiste qui recommande une surprenante alternative: le jus de pomme.

« Il n’y a généralement pas de sucres ajoutés dans le jus de pomme », explique Tyrone Rodriguez, directeur du service de dentisterie pédiatrique au Yale-New Haven Hospital.

Le Dr Rodriguez suggère de couper le jus de pomme avec de l’eau pour réduire davantage le sucre naturel ou de faire soi-même ses propres jus maison.

Sauce pour les pâtes

Les tomates sont bonnes pour la santé, mais très acides :

« Manger de la sauce tomate avec des spaghettis multiplie par deux les dommages à l’émail », dit la Dre Quartey.

La sauce acide peut attaquer l’émail des dents et les glucides contenus dans les pâtes aident à nourrir les bactéries responsables de la carie. La Dre Quartey recommande plutôt des pâtes au fromage.

Les dents sont sensibilisées par l'eau en bouteille.

aastock/Shutterstock

Eau embouteillée

Même l’eau ordinaire peut contenir des minéraux ajoutés pour en rehausser la saveur – et ceux-ci peuvent faire grimper l’acidité. En fait, ces eaux peuvent être aussi acides que le café ou le thé. Il est difficile de dire quelles marques sont plus acides que d’autres.

Par contre, si vous prenez de l’eau distillée, vous obtiendrez une eau moins acide (la distillation abaissant le pH – une échelle qui indique l’acidité – à un état plus neutre). Ou buvez simplement de l’eau du robinet.

Vinaigre de cidre de pomme

On a beaucoup vanté les vertus détoxifiantes de ce vinaigre, mais peu de gens réalisent que sa grande acidité peut éroder l’émail des dents en un rien de temps. Deux dentistes à qui nous avons parlé ont constaté une augmentation du nombre de personnes dont les dents ont été endommagées à cause du vinaigre de cidre de pomme.

Si vous en consommez, diluez-le toujours avec de l’eau, buvez-le en une fois et rincez-vous bien la bouche ensuite.

Café ou thé glacé

Le café et le thé peuvent vous aider à bien démarrer vos journées, mais ce ne sont pas des amis pour les dents. Ils sont en effet acides et diurétiques, ce qui signifie qu’ils peuvent assécher votre bouche.

« La salive est le système tampon que nous offre la nature pour tout rincer, explique le Dr Rodriguez. Quand on a la bouche sèche, on est plus vulnérable aux caries et aux maladies des gencives. »

Les café et thé glacés? Encore pire pour les dents, à cause du sucre ajouté. Un conseil : rincez-vous la bouche avec de l’eau après en avoir bu, cela vous aidera à protéger vos dents.

Les dents sont abîmées par le sucre des jujubes vitaminés.

Olga Malysheva/Shutterstock

Jujubes vitaminés

Ne perdez jamais de vue que les jujubes vitaminés ou les suppléments de fibres sont essentiellement des bonbons. Ils contiennent du sucre et sont à la fois moelleux et collants, ce qui leur permet de se nicher entre vos dents et de causer des caries. Protégez vos dents en choisissant les vitamines que vous avalez.

Croustilles aromatisées

Tout d’abord, les éclats durs peuvent couper vos gencives. Ensuite, ce sont des glucides raffinés et dont des aliments dont les bactéries de la bouche se nourrissent.

Enfin, leurs arômes, qui sont souvent acides, agissent comme du papier de verre sur vos dents, dit le Dr Rodriguez. Et plus l’arôme est prononcé, pire c’est. Essayez plutôt du maïs soufflé à l’air ou, mieux encore, des noix.

Pastilles contre la toux

Comme pour les jujubes vitaminés, les pastilles contre la toux ne sont peut-être pas considérées comme des bonbons, mais pour vos dents, c’est exactement ce qu’ils sont.

Le Dr Stefanac se souvient d’une patiente qui avait beaucoup de caries parce qu’elle prenait ces pastilles comme des médicaments : « Elle en suçait toute la journée. »

Alcool

La bière, le vin, les alcools forts et les cocktails peuvent tous abîmer vos dents, surtout si vous aimez siroter tranquillement votre verre. En plus des sucres qu’elle contient – sucres dont se nourrissent les bactéries – la bière subit un processus de carbonatation qui la rend acide, ce qui érode également l’émail des dents.

Le vin pourrait contenir plus de sucre que vous ne le pensez (un verre de blanc doux peut en contenir jusqu’à huit grammes), mais ce sont les cocktails sucrés que vous devriez vraiment surveiller : en plus du sucre, les boissons à forte teneur en alcool peuvent assécher la bouche, ce qui vous rend plus vulnérable aux caries et aux maladies des gencives.

 

Les dents sont abîmées par la glace.

Sergiy Kuzmin/Shutterstock

Glace

Le coupable, ici, c’est la dureté de la glace : en mâcher peut facilement casser une dent

« Je vois ça souvent, dit le Dr Stefanac. On le voit souvent chez les gens qui ont beaucoup de plombages, qui affaiblissent les dents. Ils mordent sur de la glace et se cassent un morceau de dent. »

https://www.selection.ca/

Une histoire du petit-déjeuner


Si la mondialisation n’est pas toujours une bonne chose, pour le café, thé, chocolat, c’est impensable de ne pas commencer la journée par un déjeuner sans café ou autre.
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Une histoire du petit-déjeuner

 

Petit-déjeuner | Aurelian Săndulescu (: via Flickr CC License by

Petit-déjeuner | Aurelian Săndulescu (: via Flickr CC License by

Benjamin Caraco et Nonfiction

L’histoire des trois boissons (thé, café, chocolat) qui composent notre repas du matin est au cœur des processus de mondialisation.

 

Le petit-déjeuner est un moment inaugural de la journée, à tel point qu’il symbolise parfois la banalité et de la répétition du quotidien dans la fiction. Bien qu’il soit fortement ancré dans les habitudes occidentales, il n’est pas dépourvu d’une histoire pluriséculaire que Christian Grataloup se propose de retracer dans Le Monde dans nos tasses. Trois siècles de petit-déjeuner.

Géohistorien, professeur émérite à l’université Paris Diderot, Grataloup est spécialiste de l’histoire du monde et de la mondialisation, sujets sur lesquels il a entre autres publié: Géohistoire de la mondialisation. Le temps long du monde, Faut-il penser autrement l’histoire du monde? et Introduction à la géohistoire. Son choix d’écrire une histoire du petit-déjeuner n’a rien de surprenant puisque ce repas est, par excellence, l’une des manifestations de la mondialisation, ou plutôt des mondialisations successives. Les trois boissons consommées le matin par les pays du Nord (thé, café et chocolat) viennent à l’origine du Sud et continuent à y être produites.

Avant que le petit-déjeuner ne s’impose comme le «plus petit commun dénominateur des pratiques alimentaires de la mondialisation», de nombreuses étapes furent nécessaires. Autrement dit, «il a fallu construire le monde».

Trois boissons, trois continents

 

Jusqu’à l’invention du petit-déjeuner, la composition du premier repas de la journée ne différait guère de celle des suivants. Ce n’est qu’à partir du XVIIIe siècle qu’il commence à s’en distinguer; tout comme le terme qui vient à le désigner. Dès lors, il s’organise autour d’une trinité de boissons d’origine tropicale: café, thé et chocolat. Le sucre joue aussi un rôle important. À cette époque, il n’est pas non plus produit localement mais extrait de la canne à sucre, qui pousse sous d’autres latitudes; la culture de la betterave sucrière changera ensuite la donne. Les jus de fruits à base d’agrumes viennent ensuite compléter la liste; leur origine asiatique ne détonne pas dans ce tableau. Les composants solides du petit-déjeuner (beurre, céréales) et le lait sont en revanche issus de productions plus «locales».

http://www.slate.fr/

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L’eau au citron aide-t-elle vraiment à perdre du poids ?


On voit souvent des aliments miracles qui a eux seuls peuvent amincir, débarrasser de nos toxines etc.. L’eau citronnée en fait partie. Pour ma part, si je met du citron dans l’eau, c’est pour changer le goût de l’eau de la ville et pas pour autre chose. De toute manière, il faudrait prendre beaucoup de citron pour avoir l’effet désiré et mettrait l’émail de nos dents en péril
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L’eau au citron aide-t-elle vraiment à perdre du poids ?

 

Boire un verre d’eau avec le jus d’un citron chaque matin avant le petit déjeuner serait un secret de minceur pour certaines personnes. Mais peut-on vraiment perdre des kilos en consommant cette boisson ?

Certaines célébrités ne jurent que par leur verre d’eau tiède mélangé à du jus de citron dès le réveil. Ce rituel serait leur secret de jouvence, de bonne mine et… de minceur. Lorsque les adeptes de l’eau au citron en vantent les mérites, ils parlent d’élimination des toxines, de réduction de l’appétit et de diminution de l’absorption des graisses.

« Le problème est que ça ne marche pas comme ça. En fait, l’eau au jus de citron laisse de côté la partie la plus efficace de ce fruit », expliquent les experts du site britannique Time.

Les mérites de cette boisson trouveraient fondement dans une étude japonaise de 2008, menée sur des souris. Les chercheurs ont observé, effectivement, une baisse de l’absorption des graisses chez les rongeurs ayant consommé du citron. Mais ces résultats n’ont pas été vérifiés chez l’être humain, et les souris ont mangé du zeste de citron, pas le jus. Si nous consommions autant de zeste de citron dans notre alimentation, expliquent les spécialistes, l’acide risque d’abîmer sérieusement l’émail de nos dents.

S’hydrater plus sainement

Mais consommé avec modération, le citron reste un aliment bénéfique. C’est une bonne source de vitamine C et de pectine, une fibre alimentaire. Ces deux nutriments sont associés à une baisse des risques d’obésité, mais pas assez pour aider à modifier le poids d’une personne. L’eau au citron n’est donc pas la boisson miracle pour perdre quelques kilos, mais un verre de temps en temps ne fait pas de mal au métabolisme.

Elle présente également un autre avantage important : elle peut aider les personnes qui n’aiment pas boire de l’eau, et qui consomment beaucoup de soda, à s’hydrater de façon plus saine, à condition de ne pas rajouter du sucre dans le verre. Alors n’hésitez pas à découper quelques rondelles de citron bio pour les plonger votre carafe d’eau, mais privilégiez une alimentation équilibrée et la pratique d’exercice physique pour rester en forme.

http://www.santemagazine.fr/

Detox: démêler le vrai du faux


Un peu partout, on entend parler des vertus d’une cure de détox. Cependant, ce qui est offert sur le marché, n’ai pas vraiment une bonne chose. Le corps peut faire son propre détox en choisissant une alimentation adéquate et non dans les jus et bouillons qui sont vendu sur le marché et qui le prix est assez élevé
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Detox: démêler le vrai du faux

 

Detox: démêler le vrai du faux

Décortiquer le vrai du faux.Photo Fotolia

En quelques années, la detox est devenue une forme de régime à part entière visant à perdre du poids à l’aide de cures hypocaloriques. À l’approche du printemps et de ses régimes amincissants, démêlons le vrai du faux sur ce que recouvre précisément la detox.

LA DETOX EST UN PROCESSUS NATUREL

VRAI. En réalité, la detox est un processus naturel de purification du corps qui a lieu en permanence dans l’organisme. Quand tout se passe bien, les fameuses toxines sont détruites et excrétées par différents organes du corps, appelés émonctoires: la peau, les poumons, les reins, les intestins, le foie.

En fonction de son métabolisme, les toxines accumulées (alimentation, air, tabac, cosmétiques, médicaments, métaux lourds, stress) sont éliminées plus ou moins rapidement. Ainsi, on peut chercher à détoxifier son corps toute l’année, notamment avec des aliments riches en antioxydants comme les fruits et légumes frais, bio sans pesticides.

LA DETOX EST UN RÉGIME

FAUX. Se mettre drastiquement au régime ou jeûner n’est pas une réponse adaptée à la détoxification. Le mot régime a été associé à tort au concept de detox alors que les deux démarches ne répondent pas au même besoin. La detox ne vise pas nécessairement à perdre du poids. Par contre, on veillera à éviter le sucre, la junk food et les cuissons au barbecue qui bloquent le travail des fameux émonctoires.

LES PLANTES PEUVENT AIDER EN CURE

VRAI. Certains compléments alimentaires ou tisanes à base de plantes peuvent être utilisés en cure pour optimiser les performances de la detox, en cas de surmenage, de stress ou de fatigue, par exemple.

L’artichaut, le chardon-marie, le romarin, le curcuma, le fenouil, le bouleau, le pissenlit, le radis noir, la reine-des-prés ou la fumeterre sont les plus efficaces. Certaines plantes comme la chlorelle, la spiruline et la laminaria japonica permettent de lutter contre les métaux lourds (mercure, aluminium, plomb).

LES CURES DE JUS ET LES BOUILLONS SONT DE BONS ALLIÉS

FAUX. Malgré leur apport en fruits et en végétaux, les jus, soupes ou bouillons présentent deux inconvénients. Premièrement, ils apportent des quantités de sucre et de sel trop importantes et moins de fibres qu’un fruit entier frais ou des légumes mâchés. Deuxièmement, la consommation exclusivement liquide n’est pas souhaitable, au risque de s’affamer, l’organisme ayant besoin d’un minimum de protéines.

Les petites quantités de viande blanche ou de légumineuses sont recommandées pour booster la detox. Attention au combiné soupe-tisane-yaourt le soir qui favorise la rétention d’eau. Par contre, il est conseillé de boire beaucoup d’eau (1,5l par jour).

LES MASSAGES FONT ÉLIMINER

VRAI. Les massages de la zone abdominale qui abrite les trois émonctoires – foie, reins et intestins – sont efficaces pour libérer les toxines. Mais la palme revient au drainage lymphatique qui favorise la circulation sanguine et aider la lymphe à drainer les déchets qui ne le sont pas fait par le sang.

http://fr.canoe.ca/

Du sucre ajouté dans la majorité des produits emballés?


Le sucre possède plusieurs noms qui mettent en déroute le consommateur qui veut faire attention aux taux de sucre dans ses aliments emballer. Le pire, c’est que ce que nous croyons meilleurs pour nous, ne l’est pas nécessairement
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Du sucre ajouté dans la majorité des produits emballés?

 

La Fondation des maladies du coeur et de... (photo Andrey Rudakov, archives bloomberg)

La Fondation des maladies du coeur et de l’AVC recommande que la consommation de sucre ajouté ne dépasse pas 10 % des calories totales ingérées au quotidien.

PHOTO ANDREY RUDAKOV, ARCHIVES BLOOMBERG

 

LOIS ABRAHAM
La Presse Canadienne
TORONTO

Des chercheurs qui ont examiné la proportion de sucre ajouté contenu dans différents produits alimentaires emballés s’attendaient à retrouver celui-ci en grande quantité dans les friandises, mais ont été surpris par son omniprésence dans la nourriture pour bébés, dans les barres tendres et dans les boissons.

Les deux tiers des produits dont la liste d’ingrédients a été passée en revue – plus de 40 000 au total – contiennent au moins une forme de sucre ajouté.

Les trois quarts des boissons comportent des sucres ajoutés, de même que des produits que les gens associent souvent à un choix santé, comme les barres tendres, a souligné le professeur à l’école de santé publique de l’Université de Waterloo, David Hammond, qui a travaillé sur cette recherche.

Environ la moitié des produits destinés aux bébés examinés par les experts contenaient du sucre ajouté, a par ailleurs ajouté M. Hammond.

Les chercheurs se sont penchés sur la présence de 30 types de sucre ajouté différents en se basant sur l’étiquetage des produits en vente, en mars 2015, dans les plus grandes chaînes d’épiceries canadiennes. Les résultats ont été publiés jeudi dans le journal de l’Association médicale canadienne, CMAJ Open.

Le sucre ajouté est généralement désigné comme le type de sucre qui est intégré à la nourriture et aux boissons pendant le processus de leur préparation ou de leur transformation. Les sucres naturels sont ceux qui sont contenus dans les fruits et légumes non transformés. On les retrouve aussi parfois dans le lait.

M. Hammond note que la situation est particulièrement préoccupante pour ce qui est de la composition des boissons.

«Les gens font la différence entre une bouteille de jus d’orange et une bouteille de Coke, (croyant que la première) est bien meilleure en matière de sucres contenus, a-t-il cité en exemple. Eh bien, si vous regardez notre analyse, cela vous dit, tout comme d’autres sources, que les jus contiennent en fait autant de sucre que les boissons gazeuses.»

Détecter la présence de sucre ajouté dans un produit en se fiant à son emballage peut s’avérer difficile pour les consommateurs. Certaines substances, comme celle dénommée «maltodextrine», peuvent ne rien leur évoquer.

La maltodextrine figure parmi les six formes de sucre ajouté les plus souvent remarquées par M. Hammond et ses collègues.

La Fondation des maladies du coeur et de l’AVC recommande que la consommation de sucre ajouté ne dépasse pas 10 % des calories totales ingérées au quotidien.

http://www.lapresse.ca/

Le jus de canneberge prévient et soigne les infections urinaires: faux


Longtemps, on nous disait que le jus de canneberge pouvait nous éviter des infections urinaires alors que c’est faux, enfin sauf peut-être celles qui souffrent d’infections urinaires à répétitions et seulement en guise de prévention
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Le jus de canneberge prévient et soigne les infections urinaires: faux

 

 

Agence Science-Presse) Vous avez avalé votre jus de canneberge ce matin et vous pensez être protégé contre les infections urinaires. Malheureusement pour vous, une nouvelle étude affirme ce que plusieurs autres ont affirmé avant elle : aucun impact mesurable.

D’où vient cette nouvelle information?

L’étude menée par une équipe de l’Université Yale et rapportée par plusieurs médias des deux côtés de l’Atlantique (notamment ici et ici), affirme que le jus de canneberge ne prévient ni ne soigne les infections urinaires courantes. L’étude est parue le 27 octobre dans le Journal de l’Association médicale américaine (JAMA)

Ce n’est pas la première fois que des études remettent en question les vertus proclamées du jus de canneberge. En fait, un large corpus de recherche était déjà arrivé la même conclusion. En 2012, des chercheurs britanniques avaient publié une revue scientifique de la question dans la revue Cochrane – il s’agissait là d’une troisième mise à jour des résultats de la première revue scientifique sur la question datant de 1998, et des mises à jour suivantes en 2004 et 2008.

Ce genre de revue scientifique s’appelle une méta-analyse: Cochrane synthétisait les résultats de 24 études, totalisant 4473 participants, qui portaient sur l’administration de jus de canneberge ou de comprimés de canneberges —dont 13 de ces études, totalisant 2380 participants, avaient comparé les deux. Dépendamment des études, les produits de la canneberge ont été comparés au placebo, à l’eau ou à l’absence de traitement.

Qu’est-ce qu’une infection urinaire?

Brûlures au moment d’uriner, douleurs au-dessus du pubis, fréquente envie d’uriner, frissons et urine trouble, les symptômes de cette infection affectent de nombreuses femmes. Selon la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada, de 50 à 60% des femmes adultes contracteront une infection urinaire au cours de leur vie. Mais les symptômes varient d’un cas à l’autre.

Les infections urinaires affectent plus souvent les femmes que les hommes en raison de leur morphologie : l’urètre, le canal de sortie de la vessie, étant plus court, la circulation des bactéries en provenance des intestins se fait plus facilement. Dans près de 80% des cas, il s’agit d’attaques de la bactérie E. coli (Escheria coli). La plupart du temps, ces infections se résorbent d’elles-mêmes ou avec prises d’antibiotiques.

Des litres plus tard, pas d’avancées

Dans leur nouvelle étude, les chercheurs de Yale, aux États-Unis, ont donné, chaque jour pendant un an, l’équivalent d’un demi-litre de jus de canneberge (concentré et en comprimé) à 185 patientes âgées.

Résultat : aucune différence statistique entre le groupe traité avec des concentrés de canneberges et le groupe-contrôle.

« Il ne semble pas y avoir de découverte majeure digne de mention, [dans cette étude], mis à part que l’extrait de canneberge ne diminue pas les quantités de bactéries ou de cellules immunitaires dans l’urine, ni les taux d’infections, de mortalité, etc. Au final, le traitement n’était pas plus efficace qu’un placebo », confirme le microbiologiste et infectiologue de l’Université de Sherbrooke, Louis-Charles Fortier.

La prévention plutôt que le traitement

S’il n’y a pas d’impact sur le traitement, il est possible la canneberge ait un léger impact sur la prévention, mais uniquement « pour les femmes souffrant d’infections urinaires chroniques », lit-on dans l’édition 2012 de la revue scientifique Cochrane.

Le jus de canneberge, plus souvent consommé, semble toutefois moins efficace que les comprimés,. Les femmes qui développent des infections chroniques, poursuit le Dr Carmel, peuvent les utiliser à titre préventif, avant de passer aux antibiotiques. Une recommandation identique à ce qu’avait statué en 2015 l’Association américaine d’obstétrique et de gynécologie.

D’où vient le mythe ?

L’ingestion quotidienne de produits à base de canneberge pour lutter contre les infections ne date pas d’hier. Consommée durant des siècles par les autochtones, la canneberge a gagné une aura médicinale que les promoteurs de santé naturelle vantent encore aujourd’hui : antibactérienne, laxative, contre les crampes d’estomac, etc.

Avant la découverte des antibiotiques, on prêtait surtout au jus de canneberge la vertu d’acidifier l’urine grâce aux composés « phénoliques » du jus, censés tuer les bactéries —en rendant le milieu acide, ces composés inhiberaient la croissance des bactéries.

Avec la découverte des antibiotiques, les médecins ont plutôt choisi de recourir à ces médicaments pour traiter les infections urinaires mais aussi en prévention, pour les infections récurrentes. Boire beaucoup d’eau, changer de savon, penser à s’essuyer d’avant en arrière et uriner après les relations sexuelles sont d’autres conseils préventifs mis de l’avant par de nombreux urologues.

Le temps de passer à autre chose ?

Pourtant, plusieurs médecins n’ont pas délaissé la prescription de jus de canneberge à titre préventif.

« Ce n’est pas nocif», relève le Michel Carmel, urologue.

Face à la nouvelle étude, l’urologue convient qu’il serait sans doute temps d’arrêter d’en prescrire, sans toutefois décourager les patientes qui souhaiteraient poursuivre ce remède inoffensif.

« Ce sont des plus jeunes femmes qui viennent me voir. De 10 à 15% font de nombreuses infections chroniques. Par contre, les hommes n’ont aucune raison de poursuivre ce traitement », relève le Dr Carmel.

Nicolle Lindsay de l’Université du Manitoba va plus loin. Selon elle, il serait plutôt temps de passer à autre chose, écrivait-elle dans un éditorial accompagnant l’étude de Yale («Time to move on») : «malgré de nombreuses études cliniques cherchant à évaluer l’usage des produits de la canneberge pour la prévention des infections urinaires rapportées, les résultats ont été variables et l’efficacité, s’il en existe une, reste inconnue après presque un siècle».

Verdict

Après des décennies de recherche :

  • aucune donnée probante ne permet d’affirmer que les produits de la canneberge permettent de prévenir ou traiter les infections urinaires.
  • il est toutefois possible qu’ils préviennent les infections chez les femmes qui en souffrent de façon chronique.

Pour distinguer une étude fiable

Il est toujours bon de vérifier si une étude citée par un média est une méta-analyse ou une étude unique, cette dernière portant par définition sur moins de gens et rassemblant moins de données. Il est également de mise de prendre le temps de s’interroger sur le média qui rapporte cette étude et de consulter ses références – si elles sont disponibles, évidemment.

Isabelle Burgun

http://www.sciencepresse.qc.ca/

Les aliments imposteurs


Il y a de produits qui se veulent santé, en affichant : faible teneur en sel, sans sucre, sans gras, etc. Alors que c’est aliments sont plus des pièges qu’autre chose
Nuage

 

Les aliments imposteurs

 

Nous avons souvent des idées préconçues sur certains aliments qui nous amènent à faire des choix pas toujours optimaux. Pour cette raison, plusieurs grandes marques mettent des allégations sur les emballages ou créent de nouvelles versions de leurs produits (sans gras, sans colorant…). Toutefois, il n’est pas rare que l’on dépose des aliments dans notre panier en pensant qu’ils sont bons pour notre santé, mais en réalité, ils sont des aliments trompeurs. Tour d’horizon parmi quelques-uns d’entre eux.

* Jus de fruits sans sucre ajouté

Les emballages de jus de fruits semblent toujours attirants : 100% jus, 14 portions de fruits, sans sucre ajouté… Toutefois, peu importe le nombre de portions de fruits contenu dans 250 ml, votre apport en fibre sera nul. Sachez aussi que le jus fruits contient autant de sucre que les boissons gazeuses!1 tasse de ce jus équivaut à 5 cuillères à thé de sucre. C’est pour cette raison qu’il est toujours préférable de croquer dans un fruit que de le boire.

* Smoothies

Si vous accompagnez votre repas d’un smoothie en breuvage, sachez qu’il peut renfermer assez de calories. Par exemple, cette bouteille de 450 ml renferme 250 calories provenant essentiellement des glucides des fruits (60g de glucides et 42 g de sucres), car il contient 3 portions ½ de fruits. Les fruits sont toujours une meilleure option que les boissons à base de fruits, car ils sont plus rassasiants. Il est rare de manger 3 fruits de suite, mais il est facile de passer à travers cette bouteille en quelques minutes!

* Muffins aux fruits et au son

Les muffins du commerce aux fruits semblent être un dessert santé pour les gens qui n’ont pas le temps de cuisiner. Erreur! La valeur énergétique d’un muffin est souvent égale ou supérieure à celle que devrait contenir le plat principal. Aussi, ces muffins sont souvent riches en gras (18 g de lipides), en sodium(340 mg) et en sucres (48 g de glucides et 27 g de sucres).

Bref, évitez les muffins du commerce et des cafés de style Tim Horton ou McDonalds, car même les variétés aux fruits ne sont pas des choix santé

Muffins du McDo (entre 380 et 450 calories)

Muffins du Tim Horton (350 à 400 calories)

* Jujubes aux vrais fruits

Ces jujubes de superfruits semblent être une bonne option. Les ingrédients sont peut-être plus intéressants que les jujubes ordinaires (car sans gélatine). Toutefois, peu importe la marque, les jujubes sont des bonbons donc l’ingrédient principal reste le sucre. Ainsi, pour 8 jujubes, on a 130 calories et 33 g de glucides, dont 20 g de sucre (4 cuillères à thé de sucre). Les valeurs nutritives sont de loin celles que l’on obtient en mangeant de vrais petits fruits!

* Croustilles de chou frisé

Les croustilles de chou frisé semblent être une bonne alternative aux chips traditionnelles. Erreur! Bien qu’elles sont moins caloriques et grasses que les autres produits comparables, elles fournissent beaucoup plus de sodium que les chips ordinaires (680 mg, donc 1360 mg pour un sac complet!).

* Croustilles de banane plantain

Êtes-vous du genre à grignoter des croustilles plantain salés? Si oui, sachez qu’un seul sac de 85 g = 440 calories, 25 g de lipides (dont 11g de gras saturés). Les gras saturés proviennent de l’huile de palme.Cette collation est aussi très riche en glucides (57g) d’où sa haute teneur en calories.

* Vinaigrette sans gras

Vous pensez faire un choix santé en optant pour la vinaigrette césar sans gras? En coupant les matières grasses, la liste d’ingrédients s’allonge : gélifiants, sucre, amidon. Aussi, les produits réduits en gras ont souvent une teneur en sodium plus élevée (comme c’est le cas pour cette vinaigrette).

* Céréales Nesquik de grains entiers pour enfant

Tout en attirant l’œil des enfants, ces bouchées de blé entier semblent quand même intéressantes à première vue.Toutefois, le sucre vient en deuxième position dans la liste d’ingrédients. Pour ¾ de tasse, on a l’équivalent d’environ 5 cuillères à thé de glucides, dont 2 cuillères à thé de sucre. La saveur sucrée habitue les enfants au goût du sucre. La liste d’ingrédients est aussi peu intéressante : sucre, sirop de maïs.

* Céréales avec perles de yogourt

Ces céréales probiotiques semblent très santé au premier coup d’œil : source de fibres, faible en sodium, sans OGM, probiotiques qui contribuent à la santé de la flore intestinale…Toutefois, les capsules de yogourt sont faites à partir d’huile de palmiste modifiée. Pour augmenter votre apport en probiotiques, éviter les enrobages de yogourt, car ils sont souvent faits base d’huile de palme.

* Céréales granola

Les céréales granola aux fruits semblent des options intéressantes, mais elles sont souvent riches en glucides. Soyez bien à l’affut, car la portion de référence est souvent plus petite que celle consommée.

À retenir : modérez votre consommation de granola ou mélangez-les avec d’autres céréales (de type flocons d’avoine par exemple) pour diminuer votre quantité.

* Boissons diètes

Même si elles contiennent 0 calorie, les boissons diètes sont des boissons sucrées. Le sucre est remplacé par l’aspartame (un édulcorant ou substitut de sucre), ayant un pouvoir sucrant. Les boissons gazeuses diètes ne sont pas intéressantes, elles entretiennent le goût du sucre et pourraient même stimuler l’appétit pour des aliments sucrés. Mieux vaut une eau gazéfiée.

http://tva.canoe.ca/