Mangez une pomme avant de faire les courses, vous achèterez moins de junk food


On sait qu’il faut manger avant d’aller faire l’épicerie pour éviter d’acheter n’importe quoi. Il semble que le choix de l’aliment est tout aussi important, comme par exemple avec une pomme, les achats seront un peu sains
Nuage

 

Mangez une pomme avant de faire les courses, vous achèterez moins de junk food

 

<a href="https://www.flickr.com/photos/maxiub/5973822039">Juicy Apple</a>/ MaxiuB via Flickr CC<a href="http://creativecommons.org/licenses/by/2.0/deed.fr">Licence by</a>

Juicy Apple/ MaxiuB via Flickr CCLicence by

Vous avez peut-être déjà entendu le conseil préconisant de ne pas aller faire ses courses le vendre vide, pour ne pas se jeter sur les paquets de biscuits et autres choses bien sucrées et nourrissantes peuplant les rayons du supermarché.

Mais une autre recommandation pourrait nous aider à acheter des aliments plus «sains»: manger une collation «saine» avant d’aller se ravitailler. Des chercheurs de l’Université de Cornell ont mené plusieurs expérimentations pour tester leurs hypothèses à ce sujet. Leur étude, intitulée «Une pomme par jour met plus de pommes sur votre chemin: une collation saine prépare des choix plus sains», est publiée dans la revue Psychology & Marketing.

Pour le premier test, 120 consommateurs ont reçu au hasard un échantillon de pomme, ou de cookie, ou rien du tout, juste avant d’aller faire des courses. Les gens ont fait leurs emplettes et les chercheurs ont analysé les achats effectués. Le résultat est clair: ceux qui avaient mangé de la pomme ont acheté 28% de fruits et légumes en plus par rapport aux mangeurs de cookies, et 25% de plus par rapport à ceux qui n’avait rien mangé.

Ensuite, comme l’explique le site du labo de recherche sur l’alimentation de l’Université de Cornell, les cobayes ont fait du shopping virtuellement. Dans le second test, 56 participants ont reçu un cookie ou un morceau de pomme et on leur a demandé de s’imaginer au supermarché. On leur a présenté 20 paires de produits. Dans chacune, il y avait un produit faible en calories et un autre très calorique. Et les gens devaient choisir… Comme pour l’expérience précédente, ceux qui avaient mangé de la pomme ont fait des choix plus «sains».

Enfin, les chercheurs ont voulu savoir si une collation simplement perçue comme bonne pour la santé pouvait avoir des incidences sur les comportements d’achat. On a donné à un premier groupe du lait aromatisé au chocolat étiqueté «lait au chocolat sain et bon pour la santé». Le deuxième groupe a reçu le même lait, mais étiqueté comme étant riche et consistant, et le troisième groupe n’a rien eu. Tous les participants ont dû faire une sélection de produits dans un supermarché virtuel. Ceux qui avaient bu un lait étiqueté comme bon pour la santé ont choisi plus d’aliments sains… La simple perception d’avoir avalé une collation «saine» pourrait donc avoir une influence sur la suite.

Donc, comme le souligne Aner Tal, un des chercheurs, manger un petit truc léger et vitaminé avant d’aller faire les courses nous empêche d’être influencé par la faim, et pourrait en plus «nous mettre dans un état d’esprit sain et nous orienter vers de meilleurs choix alimentaires».

http://www.slate.fr/

Des armées de fourmis nettoient la Grosse Pomme


Ceux qui n’aiment pas les fourmis devraient pourtant apprécier leur utilité même dans les villes, car elles sont gourmandes et mangent tout aliments qu’elles trouvent dans rues, trottoirs. Elles sont en compétition avec les rats que si elles peuvent faire leur travail, elles pourraient, semble-t-il, limiter la prolifération des rats
Nuage

 

Des armées de fourmis nettoient la Grosse Pomme

 

Les fourmis de New-York sont utiles pour nettoyer les rues des déchets mais aussi pour limiter les populations de nuisible.  © François Gilson / Biosphoto / AFP

Les fourmis de New-York sont utiles pour nettoyer les rues des déchets mais aussi pour limiter les populations de nuisible. © François Gilson / Biosphoto / AFP

Par Ronan Dayon

Des chercheurs américains ont remarqué que les fourmis jouent un rôle important dans le nettoyage des déchets alimentaires dans la ville de New York.

NETTOYEUR. Les fourmis jouent un rôle important dans le nettoyage des rues et trottoirs de la ville de New York. C’est ce qu’a pu constater le Dr. Elsa Youngsteadt et ses collègues de l’Université de Caroline du Nord dans une étude parue dans la revue Global Change Biology.

60 000 hot-dogs en un an

Selon les experts, les arthropodes new-yorkais sont capables d’ingurgiter l’équivalent de 60 000 hot-dogs en un an

. »Cela met en évidence les services que rendent les arthropodes. Ils nous débarrassent de nos déchets », explique le Dr. Elsa Youngsteadt.

TEMPÊTE. Quand l’ouragan Sandy a frappé New York en 2012, les chercheurs menaient une étude sur les insectes urbains. L’année suivante, ils ont décidé de s’intéresser aux conséquences de l’ouragan sur le comportement des populations d’insectes de la ville.

Objectif : mesurer la biodiversité

Dans un premier temps, les scientifiques ont prélevé des spécimens d’insectes dans les rues et les parcs de New York. L’objectif était de mesurer la biodiversité des ces différents sites.

BIODIVERSITÉ. Ensuite, ils ont voulu mesurer quelle quantité de nourriture les arthropodes pouvait consommer. Et s’ils mangeaient plus de nourriture selon l’endroit où ils se trouvaient. L’hypothèse des chercheurs étaient que dans les lieux ou la biodiversité est riche, il y aurait plus de déchets alimentaires consommés

JUNK FOOD. Pour mesurer exactement la quantité de nourriture mangée par les arthropodes, les chercheurs ont placé sur les trottoirs et dans les parcs des restes de junk food. A chaque fois, un échantillon d’aliments a été mis dans une cage, de sorte que seuls les insectes puissent y accéder. Et l’autre échantillon à l’air libre, pour que tous les animaux atteignent les restes alimentaires. Au bout de 24h, les scientifiques ont récupéré la nourriture pour mesurer la quantité consommée.

La fourmi de trottoir est efficace

Les chercheurs ont donc découvert que l’ouragan Sandy n’avait pas eu de conséquence sur la consommation de nourriture par les arthropodes. Ce qui est surprenant car les sites étudiés ont été inondés pendant la tempête.

DÉCHETS. Plus étonnant, les scientifiques ont remarqué que les populations d’arthropodes des rues mangeaient deux à trois fois plus de déchets alimentaires que celles vivants dans les parcs, où la biodiversité est plus importante.

FOURMI. Selon le Dr. Youngsteadt, cela est dû au fait que l’espèce la plus commune dans les rues de New York est la fourmi de trottoir (Tetramorium). Cette dernière est particulièrement efficace pour nettoyer les déchets alimentaires en milieu urbain.

Entre fourmis et rats, la concurrence est rude

En comparant les quantités de nourriture consommées à l’intérieur et en dehors des cages, les chercheurs ont aussi remarqué que d’autres animaux comme les rats et les pigeons mangeaient les restes de junk food.

CONCURRENCE. Les scientifiques en conclut que les fourmis et les rats sont en concurrence pour manger les ordures des humains. Et que tout ce qui est mangé par les fourmis n’est pas disponible pour les rats.

UTILES.

« Les fourmis ne nous aident pas seulement à nettoyer nos villes, précise le Dr. Youngsteadt. Elles sont aussi utiles pour limiter les populations de rats et d’autres nuisibles. »

http://www.sciencesetavenir.fr/

McDonald’s : les 19 ingrédients contenus dans les frites révélés


La patate frite, il n’y a pas si longtemps, ce n’était pas compliqué !! Des patates et de l’huile !!! Alors pourquoi autant d’ingrédients pour simplement vendre une frite !!! En bref, l’ingrédient principal n’est peut-être pas tout à fait la patate …
Nuage

McDonald’s : les 19 ingrédients contenus dans les frites révélés

 

Pour ces frites, Mac Donald utilise pas moins de 19 ingrédients... dont des pommes de terre (ouf!) ©DURAND FLORENCE/SIPA

Pour ces frites, Mac Donald utilise pas moins de 19 ingrédients… dont des pommes de terre (ouf!) ©DURAND FLORENCE/SIPA

Grant Imahara, espiègle journaliste scientifique américain, a pu tourner un reportage dans une usine de fabrication de frites du célèbre géant de la « junk-food ». Et ce qu’il y a trouvé a de quoi surprendre.

FRITES. Bon, déjà, on vous rassure tout de suite, il y a bel et bien de la pomme de terre dans les frites de McDonald’s. Pour le reste, c’est plus compliqué… Pas moins de 18 autres ingrédients sont utilisés. L’ingénieur journaliste Grant Imahara, diplômé de l’université Californie du Sud, a été accueilli dans une usine de fabrication pour suivre l’ensemble de la chaîne de fabrication, assez impressionnante. Pour autant, il ne faut pas s’attendre à des révélations fracassantes puisque la visite a été très encadrée et sert désormais la promotion du géant de la « junk-food »…

 Parmi ces ingrédients on trouve des composants assez classiques comme le sel bien sûr, mais aussi l’huile de canola, de soja, des arômes naturels de bœuf ou de l’acide citrique. Plus surprenant en revanche, le recours à une forme de silicone assez commune dans les shampoings : le dimethylpolysiloxane (persévérez…) qui est ajouté pour éviter que l’huile ne mousse au moment de la cuisson. Un composé également utilisé dans les sodas au cola. Ou dans le Silly Putty, un caoutchouc très particulier.

Ci-dessus, Imahara présente, entre autres, le TBHQ, un antioxydant chimique utilisé dans l’industrie alimentaire pour éviter le rancissement des huiles et des graisses.

APPROUVÉ. Selon le reportage (approuvé par McDonald’s) aucun de ces composants ne constitueraient un risque pour la santé des consommateurs. Notons néanmoins que les recettes commercialisées sont parfois très différentes d’un pays à l’autre. Rien ne nous permet donc d’affirmer que, si vous ne vivez pas aux États-Unis, les frites que vous trouverez à votre prochain passage au fast-food sont faites de la même façon que cela est présenté dans ce reportage. Rappelons en outre que les produits proposés par les fast-foods sont en général très riches en graisses et tendent à favoriser l’explosion du nombre de personnes obèses risquant à terme de développer des maladies comme un diabète de type 2.

Ci-dessous, la visite complète du site de fabrication de la découpe de la pomme de terre jusqu’aux dernières étapes précédant le passage en « restaurant » :

http://www.sciencesetavenir.fr/

Une femme mange 5000 calories par jour pour doubler son poids


C’est ce que j’appelle de l’inconscience et de la pure stupidité, surtout qu’elle n’a que 23 ans. Quelqu’un qui le fait vraiment exprès pour un quelconque défi est une insulte a ceux qui n’ont pas grand chose pour se nourrir. Elle donne un très mauvais exemple ainsi que ceux qui l’encouragent
Nuage

 

Une femme mange 5000 calories par jour pour doubler son poids

 

Tammy au fil des ans

 

Une jeune femme a décidé d’ingurgiter 5000 calories par jour dans le but de faire parler d’elle et de devenir un nouveau sex-symbol taille XXL.

 

Tammy Jung est une jeune femme de 23 ans qui s’est lancée un défi dangereux pour elle. A l’heure où tout le monde essaye d’être plus fin à l’arrivée de l’été, à l’instar de la belle Kate Moss nue pour une publicité pour un autobronzant, cette femme a comme objectif de doubler son poids !

Elle a en effet décidé de gagner sa vie en devenant une BBW (Big Beautiful Woman) reconnue sur internet. Pour atteindre son but, elle mange de la junk food à longueur de journée : poulet frit, crème glacée, sirop d’érable, bacon…

Avec l’aide de son petit ami, elle ingurgite des doses de milk-shake impressionnantes avec un entonnoir. Son but final est d’atteindre les 200 kilos, elle en est pour l’instant à la moitié… Elle a expliqué au Huffington Post que manger la rendait heureuse et qu’elle était consciente de sa prise de risque pour sa santé.

http://www.huffingtonpost.co.uk/

http://www.meltybuzz.fr/

Comment notre environnement favorise l’obésité


Il y a plusieurs facteurs qui amène des gens a l’obésité, les recherches démontrent que bien sur les mauvaises habitudes alimentaires et la sédentarité et un des gros facteurs mais il y aurait beaucoup plus que cela .. l’environnement (nombre de fast food dans le quartier) le coût des aliments sains et la facilité d’amener les enfants a manger ce qu’il y a sur la table .. sans compté la génétique
Nuage

 

Comment notre environnement favorise l’obésité

 

Roos Koole/AFP ImageForum/ANP/AFP

La consommation de junk food est d’abord le marqueur d’une alimentation générale de piètre qualité. En croisant notre hérédité avec les conditions modernes d’alimentation, tout semble se liguer contre le maintien d’un poids raisonnable.

Par  damien Mascret

L’objectif est de démêler la part des gènes, des comportements et du milieu dans la genèse de l’obésité.L’objectif est de démêler la part des gènes, des comportements et du milieu dans la genèse de l’obésité.

Si l’on ne devient pas obèse par hasard, le comportement n’est pas, loin de là, la seule explication.

Pour le Pr Jean-Michel Oppert, médecin nutritionniste à la Pitié-Salpêtrière, «il faut faire la part entre ce qui relève de la physiologie, du comportement et de l’environnement, c’est-à-dire de facteurs en grande partie socio-économiques».

Le chercheur estime qu’il faudrait même considérer l’obésité comme «une réponse normale dans un environnement anormal, moyennant des susceptibilités individuelles».

Faut-il accuser l’abondance de fast-foods et autres distributeurs de junk food, aliment sans intérêt nutritionnel bourré de graisse ou de sucre, d’être la source de l’épidémie d’obésité qui sévit aujourd’hui? C’est vrai en partie, mais un peu court. Ainsi la consommation de junk food est d’abord le marqueur d’une alimentation générale de piètre qualité. De même, les études se sont multipliées ces dernières années pour tenter de mettre en évidence les liens entre obésité et densité des fast-foods dans une zone donnée. Mais les résultats ne sont pas très convaincants.

L’alimentation est une affaire complexe. «Certains concepts sont trop simplistes pour être vrais, comme l’idée que plus un fast-food, un supermarché, ou une salle de sports est proche, plus on l’utilise», concédait le Pr Oppert, lors des Journées de nutrition pratiques (Dietecom 2013) à Paris la semaine dernière.

L’étude des quatre cités menée en 2011 sur plus de 5000 jeunes adultes à Chicago, Minneapolis, Oakland et Birmingham (Alabama) illustre la complexité des analyses. Elle montre en effet que seuls les hommes ayant les revenus les moins élevés ont tendance à aller plus souvent que les autres dans les fast-foods. Et encore! À la condition qu’ils se situent dans un périmètre de moins de 3 km.

S’agissant de l’autre coupable fréquemment invoqué dans l’épidémie d’obésité, la sédentarité, l’analyse doit aussi être affinée. L’an dernier, Chantal Simon, professeur de nutrition à Lyon, soulignait l’absence de relation entre la proximité des équipements sportifs et la probabilité d’être obèse (programme Éliane). «Sauf pour les enfants issus des milieux défavorisés», précise le Pr Oppert.

Le coût élevé des fruits et légumes est souvent cité comme un obstacle majeur à une alimentation plus saine. Une étude publiée ce mois-ci dans la revue Preventing Chronic Disease à partir d’entretiens avec des personnes issues de groupes défavorisés notait bien que le coût élevé apparaissait quatre fois plus souvent que les autres freins ; mais d’autres paramètres jouaient aussi un rôle: le manque de produits de qualité à proximité, l’insuffisance de variété ou encore les difficultés de transport des achats, notamment pour les personnes âgées ou dépourvues de véhicules.

D’autres soulignaient par contraste la facilité d’accès aux fast-foods, mais aussi le manque de temps pour cuisiner et la facilité de recourir à des plats tout préparés. Enfin, certains avouaient céder aux enfants qui réclament leurs plats favoris, plutôt que de batailler avec eux.

Commentaire nostalgique d’un Américain interrogé dans cette enquête conduite en Caroline du Nord:

«Quand j’étais petit, on mangeait ce qu’il y avait sur la table. Personne ne nous demandait ce qu’on voulait manger!»

On voit bien que tout ne se résume pas à la plus grande disponibilité des fruits et légumes.

Dès lors, «Pourquoi n’est-on pas tous obèses?» se demande le Pr Philippe Froguel, spécialiste mondial de la génétique de l’obésité.

Car si l’on croise notre hérédité avec les conditions modernes d’alimentation, tout semble se liguer contre le maintien d’un poids raisonnable.

«Grâce aux études sur les jumeaux, explique le Pr Froguel, on a pu calculer que l’héritabilité (degré d’influence de la génétique sur l’apparition de caractéristiques physiques, NDRL) de l’indice de masse corporelle et du tour de taille était d’environ 75 %.»

Ce qui explique pourquoi la corpulence des parents est souvent un bon indice de ce que l’avenir réserve aux enfants, mais la génétique ne suffit généralement pas à déclencher l’obésité.

«On a des raisons de penser qu’il existe réellement des gènes qui rendent obèses, mais ce sont plutôt des gènes qui nous rendent plus sensibles à l’environnement», souligne le Pr Froguel.

«Ce sont surtout des obésités sévères chez des enfants qui ont tout le temps faim» ajoute-t-il.

Mais là, des raisons pathologiques solides expliquent la situation. Chez 1 à 5 % des obèses, on observe ainsi une absence ou une inefficacité de la leptine, substance normalement responsable de la sensation de satiété, ce qui pourrait expliquer le phénomène d’hyperphagie (faim constante).

«Ca ne veut pas dire que l’environnement ne joue pas un rôle», affirme le médecin, qui partage son temps entre une chaire de génomique à l’Imperial College de Londres et l’Institut Pasteur de Lille, car si la génétique joue un rôle, d’autres facteurs interviennent aussi dans la prise de poids. Ils peuvent même, heureusement, atténuer le poids des gènes. Il y a quatre ans, une étude réalisée au Danemark et en Finlande sur plus de 1000 paires de jumeaux a montré que, à gènes équivalents, celui qui avait le plus d’activité physique grossissait moins que son frère ou sa sœur.

D’ailleurs, ni les études de génétique de l’obésité, ni l’influence de l’environnement ne doivent faire oublier les principes de base d’une bonne alimentation. Marion Nestle, professeur de nutrition et de santé publique à l’université de New York, les explique dans son livre What to Eat (North Point Press, 2007):

«Ils sont si simples que je peux les résumer en dix mots: manger moins, bouger plus, manger beaucoup de fruits et légumes. Pour être parfaitement clair, j’ajoute cinq mots: doucement sur la junk food.»

Mais simple ne veut pas dire facile.

http://sante.lefigaro.fr

CONSOMMATION DE JUNK FOOD : LES ENFANTS INFLUENCÉS PAR LES CÉLÉBRITÉS


Les enfants sont influencés par ce qu’ils voient .. et encore plus quand l’influence est accompagnés de vedettes .. Personnellement, en plus des parents, les publicitaires, les vedettes ont une responsabilité de donner une meilleur image sur l’alimentation surtout pendant la période d’écoute ou des enfants sont plus susceptibles de se retrouver devant l’écran ..
Nuage

 

CONSOMMATION DE JUNK FOOD : LES ENFANTS INFLUENCÉS PAR LES CÉLÉBRITÉS

 

  • Consommation de junk food : les enfants influencés par les célébrités
  • © Jasmin Merdan – Fotolia.com

  • La présence de stars dans les publicités pour la junk food ou les fast food booste la consommation de ces produits par les enfants, affirme une étude de l’Université de Liverpool.

La consommation semble encore plus forte quand les aliments de type junk food sont positionnés en « plus produit » dans des films ou des séries où jouent des stars.

En effet, 181 enfants, âgés de 8 à 11 ans, ont regardé une pub parmi 3 pubs différentes, programmée dans un dessin animé de 20 minutes.

Trois pubs, pour des chips, une collation et ou jouet où étaient mise en scène une star, mais sans qu’elle en fasse la promotion, ni consomme le produit.

Ensuite, on a offert aux enfants deux bols de chips au choix, l’un de la marque de la publicité, l’autre à marque distributeur. Les 2 récipients contenaient des chips de la publicité. Les chercheurs ont ensuite analysé la consommation des enfants, pour chaque bol.

Les enfants sont très influençables

Les enfants qui ont vu la pub « chips », ont mangé beaucoup plus de chips que les enfants qui avaient vu l’annonce « collation » ou « jouet ». De plus ces enfants ont évidemment consommés plus de chips de la marque de la pub.

L’étude montre donc l’impact d’une personnalité sur le choix et la quantité consommée par les enfants. Même si la personnalité ne consomme pas le produit…

Cette étude va être publiée dans The Journal of Pediatrics via University of Liverpool.

 

http://www.topsante.com