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L’importance de partager notre bonheur, nos bons moments pour faire profiter les autres ainsi qu’augmenter nos propres sentiments
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Je faisais cette expérience étrange qu’une joie qu’on ne peut partager devient presque un chagrin.


Marie-Aude Murai

Un sourire qui vaut mille mots


Le sourire dépend comment la personne qui reçoit le perçoit. Ce test est sur un groupe limité d’homme, alors que probablement, les femmes pourraient réagir autrement. Il y a des sourire qui sont perçu comme bonheur, joie et aussi de pouvoir et dominance.
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Un sourire qui vaut mille mots

Des sourires.

Photo : iStock/bowie15

Tous les sourires n’expriment pas que de la joie ou du bonheur. Ils sont parfois associés à la dominance ou au pouvoir, et nos corps réagissent différemment selon le message perçu.

Explication.

Un texte d’Alain Labelle

Des psychologues américains et israéliens ont montré que les sourires associés à la dominance mènent à une forte réaction physique. En fait, le corps des destinataires de ces sourires réagit et voit une augmentation d’hormones associées au stress.

De l’autre côté, les sourires associés à la récompense ou au renforcement d’un comportement semblent servir de tampon contre le stress pour ceux à qui ils sont destinés.

Les expressions faciales mènent réellement le monde. Nous le savions, mais il n’y avait pas beaucoup de science qui le prouvait. Jared Martin, Université du Wisconsin-Madison

    Ces travaux montrent que les différences subtiles dans vos expressions faciales pendant que vous discutez avec quelqu’un peuvent fondamentalement changer son expérience, ses réactions corporelles et la façon dont il perçoit que vous l’évaluez.

    Dans ces travaux, trois types de sourire ont été évalués :

  • de dominance (lié au pouvoir et au statut)

  • d’affiliation (communique un lien et montre que vous n’êtes pas une menace)

  • de récompense (grand sourire que vous donnez à quelqu’un pour lui faire savoir qu’il vous rend heureux)

    Les chercheurs ont testé la réaction de 90 étudiants masculins qui devaient donner une présentation orale devant une webcam à des juges, d’autres camarades de classe (qui participaient à l’étude).

    Pendant leurs présentations, les participants ont pu apercevoir de brefs extraits de réactions des juges, mais chacune des vidéos avait été préenregistrée et représentait un type de sourire.

    Durant ces présentations, les chercheurs surveillaient la fréquence cardiaque des présentateurs et prélevaient périodiquement des échantillons de salive pour mesurer la présence de cortisol, une hormone associée au stress.

    Constat : s’ils recevaient des sourires de dominance qu’ils interpréteraient comme négatifs et critiques, les présentateurs ressentaient plus de stress, si bien que leur niveau de cortisol montait et restait élevé longtemps après leur discours.

    D’un autre côté, s’ils recevaient des sourires de récompense, les orateurs les associaient à une approbation, et cela les empêchait d’être stressés et de produire du cortisol.

    L’effet des sourires d’affiliation se rapprochait de ceux de récompense, mais les résultats étaient plus difficiles à interpréter. Les auteurs estiment que le message d’affiliation dans le contexte de jugement était probablement plus difficile à percevoir pour les présentateurs.

    En outre, les participants dont le rythme cardiaque variait le plus montraient des réactions physiologiques plus fortes aux différents sourires.

    Mais les chercheurs affirment que la variabilité du rythme cardiaque peut être influencée par plusieurs facteurs, de l’obésité à l’anxiété en passant par la dépression. Ces facteurs peuvent entraîner une diminution de la variabilité du rythme cardiaque. Ils peuvent rendre les personnes moins susceptibles de reconnaître les signaux sociaux tels que la domination et d’y réagir.

Ces choses que nous portons en nous changent notre façon de percevoir le monde. Jared Martin

Les résultats de l’étude montrent que les sourires ne constituent pas nécessairement une rétroaction non verbale positive et qu’ils peuvent influer sur les interactions sociales en affectant la réaction physiologique des personnes qui les perçoivent.

Le petit échantillon de participants exclusivement masculins limite la possibilité de généraliser ces résultats. D’autres recherches sont nécessaires pour déterminer si les hommes et les femmes réagissent différemment au même type de sourire.

Le détail de ces travaux est publié dans Scientific

http://ici.radio-canada.ca

Les chiens sont capables de percevoir nos émotions


Pour ma part, je ne suis pas surprise qu’un chien peut ressentir les émotions des êtres humains, et à mon avis, les chats à un certain degré peuvent aussi détecter les émotions de son maître, mais peut-être moins que le chien
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Les chiens sont capables de percevoir nos émotions

 

 

Le chien sait reconnaître la joie chez un humain. ©SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA

Le chien sait reconnaître la joie chez un humain. ©SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA

Pour la première fois, une étude vient de démontrer que les chiens savent reconnaître la joie et la colère chez les humains. Une capacité cognitive que l’on croyait jusque-là réservée aux primates.

COGNITION. À partir des expressions de votre visage et des intonations de votre voix, un chien peut connaître votre humeur, une capacité qui n’était jusqu’à présent attribuée qu’à l’homme selon une nouvelle étude publiée mercredi 13 janvier 2016 dans la revue Biology Letters de la Royal Society britannique. Les animaux peuvent interpréter les émotions de leurs semblables et deviner ainsi leurs intentions, mais seulement au sein d’une même espèce. Pour capter les émotions chez une autre espèce, le cerveau doit être capable de retranscrire en représentations mentales des images et des sons. Il doit être en mesure de les évaluer, les comparer, les associer, les combiner.

Les chiens ont la notion de joie et de colère

Pour les besoins de cette étude, des chercheurs de l’Université de Lincoln, au Royaume-Uni et de l’Université de Sao Paulo au Brésil ont placé 17 chiens devant des images de visages exprimant la joie ou la colère, associées à la voix d’une personne heureuse ou énervée. Des représentations de visages joyeux étaient successivement associées à une voix enjouée et à une voix en colère. Même chose avec les images de visages de personnes visiblement énervées. Ils ont alors constaté que les chiens étaient beaucoup plus attentifs si les expressions faciales correspondaient à la « bonne » voix, laissant supposer qu’ils étaient capables d’analyser le lien entre ces deux sens et de définir si l’information était cohérente.

Une aptitude innée

« Notre étude montre que les chiens ont la capacité d’intégrer deux sources d’informations sensorielles différentes et d’aboutir à une perception cohérente des émotions humaines« , explique Kun Guo de l’Université de Lincoll. « Cette capacité cognitive n’avait, jusqu’à présent, été mise en évidence que chez l’homme », ajoute-t-il. 

Beaucoup de propriétaires de chiens rapportent que leurs animaux semblent très sensibles aux humeurs des membres de la famille. Cependant, il y a une différence importante entre apprendre à réagir de façon appropriée à une voix en colère et déchiffrer différentes données, note l’étude.

« Ici, les chiens n’ont eu aucune période de familiarisation avec les sujets », explique Daniel Mills. « Cela suggère que cette capacité à combiner des signes émotionnels est propre à l’animal. » « Cette aptitude peut être due à la relation particulière qu’il entretient avec les êtres humains », explique à l’AFP Natalia Albuquerque qui a mené l’équipe de recherche.

http://www.sciencesetavenir.fr/

Grand Bonheur


Il y a des gens qui attendent tellement de la vie, qu’ils oublient que le présent apporte plus souvent qu’autrement des petits moments à partager et sitôt que des petits bonheurs passent, ils se dépêchent de les oublier
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Grand Bonheur

 

« Beaucoup de gens perdent les petites joies dans l’attente du Grand Bonheur. »

Pearl. S.Buck

Voleur de joie


C’est un exercice qui est souvent difficile, mais quand on arrive a reprendre le dessus de nos émotions négatives, les choses semblent mieux aller.
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Voleur de joie

 

Ne laissez pas les négatifs voler votre joie. Lorsque vous perdez votre joie, vous perdez votre force

Sam Yã

Le ronronnement du chat : que signifie-t-il vraiment ?


Les chats ronronnent et leur ronronnement est apaisant pour l’être humain. On croit plus ou moins à tort que le chat ronronne par plaisir, quand il est content. Mais, en réalité, il existe toute sorte de ronronnements comme certes le contentement, mais aussi, la soumission et la douleur
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Le ronronnement du chat : que signifie-t-il vraiment ?

 

Crédits photo : skye underwater – Flickr

Pourquoi les chats ronronnent-ils ? Ce bruit si apaisant est-il toujours un signe de contentement ?

Alors qu’on ne cesse ces derniers temps de vanter les bienfaits de la ronronthérapie, il est bon de rappeler d’où provient le ronronnement du chat, et sa signification. Expression de bien-être, oui, mais pas toujours !

Comme nous l’explique Marie-Hélène Bonnet, comportementaliste du chat, les félins ne ronronnent en effet pas seulement lorsqu’ils sont bien dans leurs pattounes :

Un échange entre les chatons et leur mère

 

Le chat dès son plus jeune âge ronronne. Ce phénomène dû aux mouvements alternatifs de l’air dans l’appareil respiratoire est propre aux félins, grands et petits.

Le chaton ronronne de plaisir en tétant sa mère, qui elle même ronronne pour informer ses petits que tout va bien, qu’elle est là pour les protéger, qu’ils sont en sécurité. Lors de ces échanges de ronronnements, il y a aussi un échange phéromonal qui va indiquer au chaton que tout va bien que sa mère veille sur lui et le protège.
Ces instants d’intimité totale entre la chatte et ses chatons, où ils se sentent complètement en sécurité, la plupart des chats le rechercheront toute leur vie quand ils seront angoissés, notamment avec le
patounage, qui est systématique lors de chaque tétée, réflexe présent dès la naissance du chaton, et même in utéro !

Le ronron apaisant

Plus tard, le chat ronronne par plaisir, quand il se sent en toute quiétude. Il n’a pas peur, se sent en harmonie avec vous, il se lâche et la machine se met en route. Il ronronne aussi en se frottant dans vos jambes, pour vous dire  » tout va bien, je suis heureux de te voir«  et déposer ces fameuses phéromones territoriales sur vous. Mais aussi « j’ai faim, soif ou envie de câlins !« , ce qui revient à vous faire part d’une demande en ronronnant !

De la même façon si un chat sent son maître fatigué ou malade il viendra ronronner en se collant long de lui pour le bercer et l’apaiser, on connaît toutes et tous la fameuse ronronthérapie que les psychologues pour humains mettent à profit.

Parallèlement, il ronronne face à un chat agressif pour lui faire savoir qu’il est pacifique, c’est le ronronnement de soumission. Un chat qui a peur peut donc ronronner aussi.

Le ronronnement de la douleur

Et enfin, en plus de ces différentes formes de ronrons, il en existe un dernier, celui de la douleur, comme si le chat essayait de se débarrasser du mal en le désarmant, comme s’il avait affaire à un adversaire. Un chat agonisant ronronne. Le bercement doit l’apaiser ainsi que les phéromones qu’il dégage il doit se rassurer face à la mort. Mais il n’y a encore une fois aucune certitude sur ce processus.

Toutefois, ces mécanismes sont encore mal connus et il est difficile de différencier les types de ronrons pour un novice (peur, joie, douleur, soumission).

Là aussi, un chat qui ronronne sans cesse doit faire l’objet d’une analyse comportementale afin de définir si un traitement prescrit par le vétérinaire est nécessaire. De la même façon un chat qui ne ronronne jamais doit être vu, il peut souffrir de stress et ne pas oser ronronner face à vous, par peur.

Marie-Hélène Bonnet
Comportementaliste du chat

http://wamiz.com/

La joie de vivre


Il est vrai qu’acheter ou recevoir quelque chose qu’on avait vraiment envie procure un semblant de bonheur, mais il est de très courte durée. Alors que nos émotions sont des moments qui restent plus longtemps en mémoire
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La joie de vivre

 

 » La joie de vivre ne s’achète ni au supermarché ni même dans les magasins de luxe. »

Pierre Rabhi

Le poirier qui traverse les saisons


Nous devons apprendre a ne pas juger trop vite .. de considérer qu’une partie d’un évènement, une personne, …. car il y a des silences, des saisons de vie que ne savons pas … Chaque situation que nous vivons nous-même arrivera a un moment de la vie .. qui certaines fois sera plus difficile que d’autres mais comme nous ne savons pas l’avenir … il ne faut pas abandonner ..
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Le poirier qui traverse les saisons

 

C’est l’histoire d’un homme qui est le père de 4 garçons.

Il voulait apprendre à ses fils à ne point juger précipitamment.

Pour cela il les envoya faire une enquête personnelle pendant laquelle ils devaient se rendre à une distance lointaine et aller chacun observer un poirier.

Le premier fils partirait en hiver, le second au printemps, le troisième en été et le benjamin en automne. Quand tous furent partis et revenus, il les rassembla et leur demanda de lui décrire ce qu’ils avaient vu.

Le premier fils dit que l’arbre était noir, affreux, tout plié et que ses branches étaient tordues.

Le second dit : « Non, il était couvert de pousses vertes et plein de belles promesses ».

Le troisième avait un point de vue bien différent : « il était plein de fleurs agréables à sentir et je l’ai trouvé majestueux, c’était l’arbre le plus gracieux que je n’avais jamais vu ».

Le benjamin secoua sa tête pour leur faire remarquer que son observation n’était pas du tout la même : « les fruits étaient tous murs, lourds de leur jus, plein d’engagements et d’espoirs ».

Le brave homme leur dit alors : « mes fils vous avez tous raison. Eh oui, vous êtes tous allés voir ce poirier à une saison différente et chacun d’entre vous a vu une seule période de la vie de cet arbre ».

Il leur dit aussi : « vous ne pouvez pas juger un arbre en seulement une saison, ni un être humain sur une impression. L’essence de ce qu’ils sont en réalité ne peut être connue en seulement une petite partie de vie, car il y a les joies, les peines, les regrets, etc. Ils peuvent seulement être appréciés que bien plus tard dans leur existence. Si vous abandonnez en hiver alors vous manquez inévitablement la promesse du printemps, la beauté de l’été et l’accomplissement de l’automne. »