L’australopithèque Little Foot, 3,67 millions d’années, enfin sortie de sa gangue


20 ans à extraire une femme âgée de plus de 3 millions d’années, gangue de pierre et d’assembler ses os et voici l’australopithèque Mme Little Food.Espérant que l’étude de cette femme révélera son histoire
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L’australopithèque Little Foot, 3,67 millions d’années, enfin sortie de sa gangue

 

L'australopithèque Little Foot

L’australopithèque Little Foot, 3,67 millions d’années, trouvée en Afrique du Sud.

UNIVERSITÉ DU WITWATERSRAND

Par Rachel Mulot

L’australopithèque Mme Little Foot est âgée de 3,67 millions d’années. Il a fallu 20 ans pour l’extraire de sa gangue de pierre et la reconstituer. Découverte en Afrique du Sud, elle a été présentée le 6 décembre 2017 au monde entier.

Il a fallu 20 ans au professeur Ron Clarke et à ses collègues Stephen Motsumi et Nkwame Molefe, pour sortir Mme Little Foot de sa gangue de pierre de la grotte de Sterkfontain, en Afrique du sud. Morceau, par morceau. La belle australopithèque a été dévoilée le 6 décembre 2017 au public, assemblée sous un cercueil de verre, au cours d’une cérémonie émouvante à l’Université du Witwatersrand, à Johannesbourg. Cette découverte de longue haleine confirme que l’Afrique du sud est l’un des berceaux évolutifs les plus importants pour les origines humaines. Dotée de 90% de ses ossements, Mme Little Foot serait l’australopithèque la plus complète au monde, ravissant le record de Lucy. Plus vieille australopithèque d’Afrique du sud, elle a été datée de 3,67 millions d’années et son anatomie particulière fascine les spécialistes. 25 articles scientifiques sont en cours d’écriture et de lecture par des pairs et devraient paraître au début de l’année 2018 dans une revue spécialisée de rang A. Découverte par Ron Clarke, de l’Institut d’études évolutionnaires de l’Université du Witwatersrand entre 1994 et 1997, elle avait été surnommée « little foot » par le grand paléontologue Philip Tobias (décédé en 2012) parce que le premier os qui avait été exhumé était un petit morceau de pied.

Photo de l’Université du Witwatersrand.

Ron Clarke avait repéré l’os dans un morceau de brèche découpé dans une grotte profonde de Sterkfontain, rapporté à l’Université et demandé à ses assistants Stephen Motsumi et Nkwame Molefe d’aller fouiller pour voir s’il trouvaient d’autres ossements. Le puzzle a duré deux décennies.

Le paléontologue Ron Clarke et Mrs Little Foot dans la grotte de Sterkfontain

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Karabo: découverte d’un squelette «pré-humain» unique


Un jeune enfant mort il y a deux millions d’année .. ayant encore presque tous ses os va raconter l’histoire de sa vie et des hommes et femmes qui vivaient a la même époque .. Une aubaine pour les scientifiques
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Karabo: découverte d’un squelette «pré-humain» unique

 

L’étude de ses dents a en outre révélé très récemment un régime alimentaire étonnant: alors que la plupart des autres hominidés se nourrissaient de feuilles et des plantes tendres, Sediba préférait largement le bois et les écorces d’arbres.

AFP

Agence France-Presse

Le squelette «le plus complet jamais découvert d’un ancêtre de l’homme», appartenant à un australopithèque vieux de deux millions d’années a été exhumé près de Johannesburg par des scientifiques sud-africains, qui lui ont donné le nom de Karabo.

Il s’agit «presque à coup sûr (…) du squelette le plus complet jamais découvert d’un ancêtre de l’homme», a déclaré le professeur Lee Berger, de l’université du Witwatersrand (Wits) de Johannesburg, qui a identifié au scanner des fragments importants d’ossements enchâssés à l’intérieur d’un bloc rocheux d’un mètre de diamètre.

Le jeune individu, baptisé Karabo, avait entre 9 et 12 ans au moment de sa mort. Il appartient à l’espèce «Australopithecus Sediba», et provient de la grotte de Malapa, sur le très riche site archéologique sud-africain connu sous le nom de «berceau de l’humanité», inscrit au patrimoine mondial de l’humanité.

Le scanner a révélé la présence dans la roche de fragments de mâchoire, de côtes, d’un fémur complet comme il n’en existe aucun dans les collections actuelles, ainsi que de vertèbres et d’autre éléments de membres.

Australopithecus Sediba n’est pas un inconnu pour les scientifiques. On sait qu’il a vécu il y a environ deux millions d’années, à peu près à l’époque où les primates du genre «homo», nos ancêtres directs, ont succédé sur terre aux australopithèques primitifs.

Des fragments de deux spécimens avaient été découverts en 2008 au même endroit, à quelques kilomètres au nord de Johannesburg.

«Ce qui rend ce site unique», a expliqué à l’AFP Bonita De Klerk, chef de laboratoire à Wits, «c’est que nous avons réussi à trouver toutes les pièces du puzzle. Ces squelettes sont presque complets, et à chaque fois que nous faisons une découverte comme celle-là, nous ajoutons une pièce manquante au puzzle».

Long bras et gros cerveau

La place de Sediba dans l’arbre généalogique de l’espèce humaine n’est cependant pas encore totalement définie. Il pourrait être un descendant d’Australopithecus Africanus, lui-même issu d’Australopithecus Afarensis, la famille de la célèbre «Lucy» vieille de trois millions d’années, et considérée par certains scientifiques comme une grand-mère possible de l’humanité.

L’espèce fascine les scientifiques, car elle présente à la fois des caractéristiques propres aux hominidés modernes et anciens, avec une posture droite permettant la bipédie, mais des pieds qui suggèrent qu’il vivait partiellement dans les arbres, un cerveau relativement complexe, de longs bras, des doigts courts et un pouce long permettant de saisir avec précision.

L’étude de ses dents a en outre révélé très récemment un régime alimentaire étonnant: alors que la plupart des autres hominidés se nourrissaient de feuilles et des plantes tendres, Sediba préférait largement le bois et les écorces d’arbres.

L’histoire de la découverte de Karabo relève de l’anecdote. Le bloc de pierre prélevé sur un site riche en fossiles dormait depuis presque trois ans dans un laboratoire de Wits, dans l’attente d’être analysé.

C’est en le déplaçant au mois de juin de cette année pour l’embarquer dans un véhicule qu’un technicien du laboratoire a remarqué une protubérance qui semblait surgir de la pierre.

«Il a appelé le professeur Berger et il a dit:  »Oh, je crois que c’est une dent d’hominidé ». Il avait raison», raconte Mme De Klerk. «Mais quand nous avons scanné le rocher, nous nous sommes aperçu qu’il y avait bien plus qu’une dent, il y avait plein d’autres ossements du même individu».

Le bloc rocheux sera prochainement cassé et ouvert pour en extraire les fossiles pétrifiés.

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Un chat sud-africain survit à un passage à la machine à laver


Les chats aiment se cacher et quelques fois pas au meilleurs endroits .. Je ne sais pas si ce chat comme beaucoup d’autres chats n’aime pas l’eau, mais espérons qu’elle se méfiera a jamais de la laveuse a linge
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Un chat sud-africain survit à un passage à la machine à laver

 

AFP/Archives

Un chat sud-africain a survécu sans dommage à un passage à la machine à laver de deux heures à Johannesburg, a rapporté vendredi le quotidien The Star.

Ayant mis son linge dans la machine à laver, Karin Bennett, 63 ans, a cherché en vain chez elle et chez la voisine sa petite chatte noire, Tabitha.

Entendant des miaulements répétés, elle a enfin vu le minet à travers le hublot de la machine, qui tournait depuis 1 heure 45.

Après avoir coupé l’électricité et s’être battue avec la porte de la machine qui refusait de s’ouvrir, cette habitante de Johannesburg a amené l’animal chez le vétérinaire.

Lavée et rincée –mais pas essorée–, la chatte Tabitha souffrait d’hypothermie et avait de l’eau dans les poumons. Mais elle a pu rentrer chez elle cinq heures plus tard, selon The Star.

« Le vétérinaire m’a dit qu’elle avait perdu sept de ses neuf vies ! », a raconté Mme Bennett au journal.

Selon Karin Bennett, Tabitha a survécu parce qu’elle ne fait plus sa lessive qu’à l’eau froide pour faire des économies.

Après avoir ostensiblement fait part de sa mauvaise humeur, la chatte noire semble avoir rapidement oublié sa mésaventure, et se cache à nouveau dans les endroits les plus incongrus, selon sa maîtresse.

© 2012 AFP

http://actualites.ca.msn.com

Twitter sauve un homme d’un kidnapping


Il y a certains avantage d’utiliser les réseaux sociaux et les gazouillis des twitteurs,  en cas de problème il y a des gens qui peuvent rendre de grand service pour sauver une vie, ..
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Twitter sauve un homme d’un kidnapping

 

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Nous savions déjà que les réseaux sociaux étaient puissants. Mais qui aurait cru que Twitter aurait un jour sauvé un homme d’un kidnapping?

L’histoire s’est déroulée dans la ville de Johannesburg, en Afrique du Sud. Un homme circulait à bord de sa voiture dans le nord-ouest de la capitale sud-africaine, comme si de rien n’était. Soudain, deux hommes, camouflés par la noirceur de la nuit, ont surgi de nulle part. Armés, ils ont obligé leur victime à s’installer dans le coffre de sa propre voiture.

Les choses auraient pu mal tournées si l’homme n’avait pas gardé avec lui son téléphone cellulaire. Aussitôt enfermé dans le coffre, il a envoyé un message texte à sa petite amie. Cette dernière a eu recours à Twitter pour tenter de sauver son compagnon.

Son message était accompagné de « @PigSpotter ». Les internautes l’utilisent plutôt pour informer la communauté de Twitter qu’il y a des contrôles routiers de la police ou des barrages dans un secteur donné. Il reste que ce type de message est partagé parmi 109 000 usagers, dont plusieurs firmes privées de sécurité qui souhaitent apporter leur aide dans la recherche.

L’une de ces entreprises, K9 Law Enforcement, a pu obtenir la position du téléphone de la victime, grâce à son numéro de téléphone. Après avoir tenté en vain d’intercepter le véhicule en fuite, les deux agresseurs se sont finalement fait prendre dans un barrage routier mis sur pied par la police.

L’homme n’a pas été blessé et a même pu récupérer son automobile. Est-ce que les choses auraient été différentes si sa conjointe n’avait pas eu recours à Twitter?

http://www.branchez-vous.com