L’émouvante prouesse d’une Japonaise qui joue du violon malgré son bras amputé


La Japonaise Manami Nomura, 33 ans, a perdu son bras dans un grave accident de la route en 2004. Elle poursuivi son but de devenir championne de natation, et a terminé 4e au Jeux paralympiques de Pékin en 100 m brasse et 8e aux Jeux de Londres, selon sa biographie sur les sites des Jeux paralympiques. Elle a même été plus loin grâce à une prothèse adaptée pour jouer du violon. Il faut dire qu’elle a une excellente dextérité, car le violon n’est pas l’instrument le plus facile à jouer.
Nuage

 

L’émouvante prouesse d’une Japonaise qui joue du violon malgré son bras amputé

 

 

Une pilule informatisée pour se préparer à la chaleur aux Jeux de Tokyo


Avec les changements climatiques, les Jeux olympiques et paralympiques se préparent aux chaleurs à Tokyo en 2020. Avec une petite pilule informatiser qui donnera des informations lors d’un entrainement ou une compétition sur la chaleur corporelle pour préparer la course en fonction des données
Nuage

 

Une pilule informatisée pour se préparer à la chaleur aux Jeux de Tokyo

 

Après s'être écroulé à l'arrivée du 50 km des Jeux de Rio en 2016, le Canadien Evan Dunfee, 4e, reçoit de l'eau des officiels.

Après s’être écroulé à l’arrivée du 50 km des Jeux de Rio en 2016, le Canadien Evan Dunfee, 4e, reçoit de l’eau des officiels. Photo : Getty Images/JEWEL SAMAD

L’équipe olympique canadienne des Jeux de Tokyo de 2020 se prépare à faire face à la chaleur étouffante de la capitale nippone grâce à une pilule informatisée capable de mesurer la température corporelle.

RADIO-CANADA AVEC LA PRESSE CANADIENNE

Développée par une entreprise française, cette technologie permet aux athlètes de mieux réguler leur température durant l’entraînement ou la compétition.

« Nous pouvons prendre quelqu’un comme [le marcheur olympique] Evan Dunfee, lui faire avaler la pilule, puis le laisser faire un entraînement d’une heure et revenir. Nous pouvons alors télécharger l’information contenue dans la pilule : sa température interne prise toutes les 30 secondes pendant l’ensemble de son entraînement », explique Trent Stellingwerff, un spécialiste de la science du sport qui travaille pour l’équipe canadienne.

« Les deux facteurs principaux qui influencent la température corporelle sont l’indice humidex, la chaleur ambiante combinée à l’humidité et évidemment l’intensité de l’exercice », ajoute-t-il.

La technologie Bluetooth permet à Stellingwerff d’obtenir immédiatement les données contenues dans la pilule grâce à un appareil portatif, qui n’est pas sans rappeler le fameux tricordeur de Star Trek.

La pilule contient jusqu’à 16 heures d’enregistrement des données corporelles qui peuvent être transmises sans-fil (et au travers de la paroi abdominale) par la suite.

Dunfee, 4e au 50 km des Jeux de Rio, sera l’un des d’athlètes canadiens qui testeront cette technologie aux Championnats d’Amérique du Nord, d’Amérique centrale et des Caraïbes (NACAC), qui auront lieu du 10 au 12 août à Toronto.

« Cette pilule changera la manière dont nous comprenons la réponse du corps à la chaleur parce que nous obtiendrons une quantité d’informations qu’il était impossible d’avoir auparavant », dit Dunfee.

Il suffit d’avaler la pilule et juste après la course ou l’entraînement, Trent va venir à nous, tenir l’appareil contre notre estomac et télécharger toutes les données. C’est plutôt fou! Evan Dunfee

Dunfee et Stellingwerff disent que la pilule leur permettra d’apprendre jusqu’à quelle température corporelle les athlètes d’endurance peuvent aller avant que leur corps commence à cesser de fonctionner. Ensuite, ils pourront planifier la course en fonction des données recueillies.

« Ça ira comme suit : « Alors, nous avons fait ton profil de chaleur corporelle et s’il fait 40 degrés Celsius avec 90 % d’humidité à Tokyo, voici le rythme que tu devrais avoir pour la première moitié de la course. Et s’il fait 30 degrés Celsius, alors nous pouvons être un peu plus dynamiques et nous pouvons probablement aller à ce rythme » », dit Stellingwerff.

C’est un peu de la science, ça reste des décisions éclairées, mais c’est toujours un peu une forme d’art. Trent Stellingwerff

La chaleur étouffante qui pourrait s’abattre sur Tokyo aux Jeux de 2020 a été au cœur des discussions des organisateurs après qu’une vague de chaleur sans précédent eut frappé le Japon le mois dernier. Au moins 116 personnes sont mortes et le mercure a monté jusqu’à 41 degrés le 23 juillet, la température la plus haute jamais enregistrée au Japon.

En plus de cette pilule informatisée, d’autres technologies sont à l’essai auprès des athlètes canadiens, dont un timbre mesurant le taux de sodium, de glucose et de protéines dans l’organisme grâce à la sueur.

« Nous pouvons donc utiliser quantité de choses pour avoir la meilleure idée possible de comment nous nous adaptons à la chaleur », poursuit Dunfee.

Un thermomètre montre la température (43,6 degrés Celcius) qui règne sur le chantier de construction du nouveau stade olympique national de Tokyo, en juillet dernier.

Un thermomètre montre la température qui règne sur le chantier de construction du nouveau stade olympique national de Tokyo, en juillet dernier. Photo : Getty Images/KAZUHIRO NOGI

Stellingwerff souligne qu’être bien préparé pour la chaleur de Tokyo sera encore plus important pour les athlètes paralympiques, puisque les blessures à la colonne vertébrale inhibent la capacité de suer.

« Si vous ne pouvez pas suer, vous ne pouvez pas dissiper la chaleur. Et si vous ne pouvez pas dissiper la chaleur, il y a un potentiel que le corps entre dans une spirale qui est rapidement impossible de contrôler », insiste-t-il.

La meilleure arme contre la chaleur sera l’acclimatation, conclut le spécialiste. Ainsi, la majorité des athlètes canadiens s’envoleront pour le Japon plusieurs semaines avant leur compétition.

Les Jeux olympiques de Tokyo auront lieu du 24 juillet au 9 août 2020 et les Jeux paralympiques suivront du 25 août au 6 septembre. En 1964, les premiers Jeux de Tokyo avaient eu lieu en octobre afin d’éviter les mois les plus chauds du calendrier.

https://ici.radio-canada.ca

Le Saviez-Vous ► Les Jeux olympiques antiques : les sports qui ont disparu


Les Jeux olympiques d’hiver sont finis, il y a eu des perdants et des gagnants dans diverses disciplines. Ces compétitions existent depuis l’antiquité et à travers le temps certains sports ont été exclus pour certaines raisons comme les courses de char (avec chevaux) qui ne font plus partie de notre temps, ou encore par manque d’intérêt ou par cruauté. Les plus surprenants qui ont exister comme disciplines furent les épreuves artistiques en musique, littérature, sculpture, peinture et architecture
Nuage
 

 

Les Jeux olympiques antiques : les sports qui ont disparu

 

Pascal Boutreau
Journaliste

 

Course de chars

C’était l’événement le plus attendu des Jeux olympiques antiques, dès 680 avant J.-C. Sur des chars menés par des attelages de deux ou quatre chevaux, les courses étaient émaillées de nombreux accrochages, de quoi ravir le public.

Pancrace

Scène de pancrace peinte sur un kylix. Le lutteur de droite essaie de crever l'œil de son adversaire. L’arbitre intervient avec un fouet pour sanctionner la faute. © Domaine public

Scène de pancrace peinte sur un kylix. Le lutteur de droite essaie de crever l’œil de son adversaire. L’arbitre intervient avec un fouet pour sanctionner la faute. © Domaine public

Les actuels combattants du très controversé « ultimate fight » auraient connu leur heure de gloire lors des Jeux olympiques antiques avec la discipline du pancrace, une sorte de lutte où l’arrachage des yeux et les morsures constituaient les seules limites.

Course en armes

Lors des premières éditions vers 520 avant J.-C, les participants étaient équipés d’un casque, d’une armure et d’un bouclier. Plus tard, ils furent autorisés à ne porter qu’un bouclier. L’épreuve se disputait sur la distance de deux « stades », soit environ 386 mètres, à Olympie. Leonidas fut un des grands noms de cette discipline.

 

Jeux olympiques : les disciplines qui ont disparu depuis 1924

Croquet

En 1900, dans le Bois de Boulogne, se dispute une épreuve de croquet. C’est dans cette discipline que l’on note la présence pour la première fois aux Jeux olympiques de femmes. Les compétitions n’attireront qu’un seul spectateur payant.

Pelote basque

Même si seulement deux équipes participèrent au tournoi en 1900 à Paris, la pelote basque a bel et bien connu sa consécration olympique, sur un fronton installé à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine). Elle reviendra même comme sport de démonstration en 1924, 1968 et 1992.

L’équipe de police de Londres, vainqueurs du tir à la corde aux Jeux olympiques de Londres de 1920. © Domaine public

L’équipe de police de Londres, vainqueurs du tir à la corde aux Jeux olympiques de Londres de 1920. © Domaine public

Tir à la corde

De 1900 à Paris jusqu’à 1920, à Anvers, des compétitions de tir à la corde sont inscrites au programme olympique. Les équipes étaient composées de six tireurs. Une équipe de Danois et  de Suédois remporta la première médaille d’or face à la France.

Ski-joering

Une course de skieurs tractés par des chevaux, tel est le principe du ski-joëring, épreuve présente en démonstration aux Jeux d’hiver de Saint-Moritz, en 1928. La discipline existe toujours aujourd’hui, mais n’a vécu qu’une seule expérience olympique.

Architecture, Littérature, Musique, Peinture, Sculpture
Sous l’impulsion du Baron Pierre de Coubertin, des épreuves artistiques sont introduites au programme olympique de 1912 (Stockholm) à 1948 (Londres). Des médailles d’or sont ainsi distribuées dans cinq « disciplines » pour les créateurs d’œuvres d’art ayant un rapport avec le sport
.

Tir aux pigeons vivants et pêche


Si le skeet (une sorte de ball-trap) est au programme des Jeux olympiques actuels, il fut un temps où les pigeons vivants tenaient la place des disques d’argile d’aujourd’hui. Ainsi, en 1900 à Paris, 300 pigeons furent abattus dont 21 par le Belge Leon de Lunden, vainqueur du jour. Si elle n’eut jamais le statut officiel de sport olympique, la pêche fut discipline de démonstration en 1900 avec un concours organisé sur l’île aux Cygnes, près de la Tour Eiffel. 881 poissons furent remontés de la Seine par les 600 concurrents.

Polo à bicyclette

Comme la pêche, le polo à bicyclette dût se contenter du rang de sport de démonstration, en 1908 à Londres. À l’instar du polo à cheval, les participants étaient équipés d’un maillet et devaient marquer des buts.

https://www.futura-sciences.com

Des tatouages intelligents de conception québécoise au Super Bowl


Moi tout ce qui facilite un paiement avec des gadgets intelligents, je les redoute beaucoup. Bon, peut-être que je suis vieux jeu, mais c’est un moyen, d’après moi de perdre le contrôle de ses économies .. Peut-être que je me trompe
Nuage

 

Des tatouages intelligents de conception québécoise au Super Bowl

 

Ce tatouage permet de payer sans contact.

Ce tatouage permet de payer sans contact.   Photo : Connect & Go

Avant même que les Eagles et les Patriots ne s’affrontent dimanche, l’entreprise québécoise Connect & Go avait déjà gagné son pari. Plus de 70 000 amateurs de football portaient un tatouage intelligent conçu pour le paiement rapide.

Pour une deuxième année, cette innovation de Connect & Go a été testé durant la grand-messe de la NFL qui se tenait à Minneapolis, dans le cadre d’une campagne de paiement sans friction, en partenariat avec Visa et U. S. Bank.

Le tatouage intelligent, muni d’une puce, permettait de payer sans contact sur le site du Super Bowl.

« On se met un tatouage sur la main, on le relie à notre carte de crédit et on se promène. On scanne son épiderme et automatiquement, ça paie! », explique le cofondateur de Connect & Go Dominic Gagnon.

Le coeur de cette nouvelle technologie, ce n’est pas le tatouage, mais plutôt la puce. Connect & Go est surtout connue pour ses bracelets connectés.

Des bracelets connectés au JO

Le rideau tombé sur le Super Bowl, Connect & Go a maintenant la mission d’assurer la sécurité du village olympique de Pyeongchang, en fournissant des bracelets connectés aux athlètes et à leur famille.

L'un des bracelets conçus par la compagnie Connect & Go.

L’un des bracelets conçus par la compagnie Connect & Go. Photo : Radio-Canada/Olivier Lalande

« Qui le veut ne peut pas rentrer au village olympique. La sécurité au niveau du village olympique, c’est vraiment quelque chose d’important », informe Dominic Gagnon.

Le bracelet va être lié à la reconnaissance faciale. Chaque athlète ou membre de leur famille sera pris en photo. Dominic Gagnon, cofondateur de Connect & Go

Ce bracelet offre la possibilité de désactiver des accès à distance.

« Je peux changer dans ma base de données les informations en temps réel », dit l’entrepreneur.

Ce gadget permettra aussi d’acheter des dollars olympiques.

Des bracelets intelligents de l'entreprise québécoise Connect & Go

Des bracelets intelligents de l’entreprise québécoise Connect & Go   Photo : Connect & Go

Dominic Gagnon précise que sa technologie est « extrêmement » sécuritaire. Il peut récolter de nombreuses données, mais il ne peut pas savoir « qui vous êtes ».

Connecte & Go vient tout juste de signer un contrat avec le Festival d’été de Québec pour le contrôle d’accès avec des bracelets intelligents.

« On essaie de pousser de plus en plus les événements à accepter le paiement », dit-il.

http://ici.radio-canada.ca/

24 installations olympiques qui ont été abandonnées et qui prouvent à quel point les JO peuvent engendrer un énorme gaspillage d’argent !


Parmi les raisons que je n’aime pas les Jeux Olympiques est l’expulsion des gens pour construire tous les bâtiments reliés a ces jeux et souvent ces gens n’ont quasi rien en retour. En plus après 3 semaines d’intenses activités sportives, la vie revient à la normale et les bâtiments peuvent être laissés à l’abandon
Nuage

 

24 installations olympiques qui ont été abandonnées et qui prouvent à quel point les JO peuvent engendrer un énorme gaspillage d’argent !

 

1 – La piste de bobsleigh à Sarajevo (JO d’hiver de 1984)

Dado Ruvic

2 – Un bassin d’entraînement à Athènes (JO de 2004)

Thanassis Stavrakis/AP

3 – Tour de saut à ski à Cortina d’Ampezzo, Italie (JO d’hiver de 1956)

Fabio Gregorini

4 – Piscine dans le village olympique de Berlin (JO de 1936)

Peter Bromley

5 – Tour de saut à ski à Grenoble (JO d’hiver de 1968)

Maxime B

6 – Complexe olympique transformé en cimetière à Sarajevo (JO d’hiver de 1984)

Michael J. Haggerty

7 – Tribunes pour le kayak et la canoë à Athènes (JO de 2004)

Ioanna Sakellaraki

8 – Parcours kayak et canoë à Athènes (JO de 2004)

Milos Bicanski

9 – Arène de beach-volley à Pékin (JO de 2008)

David Gray / Reuters

10 – Piscine olympique à Athènes (JO de 2004)

Kyodo News / Newscom

11 – Village olympique à Berlin (JO de 1936)

Martin Sachse / Getty Images

12 – Les mascottes abandonnées de Pékin (JO de 2008)

Greg Baker / AFP / Getty Images

13 – Les porte-drapeaux à Athènes (JO de 2004)

Bored Panda

14 – Des barricades abandonnées en dehors du stade olympique d’Athènes (JO de 2004)

istory.kz

15 – Village olympique à Berlin (JO de 1936)

Bored Panda

16 – Piste de saut à ski vu d’en bas, à Sarajevo (JO d’hiver de 1984)

Dado Ruvic / Reuters

17 – Fontaines au village olympique d’Athènes (JO de 2004)

Thanassis Stavrakis/AP

18 – Court de tennis à Atlanta (JO de 1996)

David Goldman / AP

19 – Terrain de beach-volley à Athènes (JO de 2004)

Milos Bicanski

20 – Bassin de plongée à Athènes (JO de 2004)

Oli Scarff

21 – Arrêt de train au stade olympique de Munich (JO de 1972)

Julian Nuegebauer

22 – Stade olympique d’Atlanta en destruction en 1997 (JO de 1996)

Alan Mothner / AP Photo

23 – Parcours de kayak à Pékin (JO de 2008)

David Gray / Reuters

24 – Stade olympique de Sotchi (JO d’hiver de 2014)

Leon Neal / AFP / Getty Images

http://www.demotivateur.fr/

Le Saviez-Vous ► La torche olympique est une invention nazie


La flamme Olympique comme telle a son origine en Grèce, mais le relais que fait la flamme vient du régime Nazi, mais le symbole était bien différent de ce qu’il est maintenant
Nuage

 

La torche olympique est une invention nazie

 

La flamme en route pour Berlin en 1936 via Wikimedia License by

La flamme en route pour Berlin en 1936 via Wikimedia License by

Et non grecque comme on pourrait le penser.

On l’a présenté comme un héritage de la Grèce antique, pourtant le rituel de la flamme olympique tel qu’on le connaît aujourd’hui nous vient tout droit d’Hitler et des nazis, rapporte le site internet The Atlantic.

Certes, comme le rappelait en 2008 RFI, la flamme est effectivement née en Grèce, au sanctuaire d’Olympie, où elle brûlait sans discontinuer sur l’autel de la déesse Hestia.

L’idée de faire parcourir différents pays à la torche, elle, a en cependant germé dans la tête de Carl Diem, secrétaire général du comité d’organisation des Jeux de Berlin, en 1936. Hitler et Goebbels ont tout de suite adhéré à l’idée. Comme l’explique The Atlantic:

«Commencer le relais en Grèce et le terminer environ 2.400 kilomètres plus loin, à Berlin, renforçait l’idée d’un héritage aryen entre l’ancien et le nouveau pouvoir. Cela faisait également allusion à la conception d’Hitler d’une progression naturelle et civilisationnelle entre l’empire grec, romain et allemand.»

Bien sûr, la cérémonie actuelle n’a plus du tout la même signification, remarque The Atlantic, mais elle porte dans sa forme le fondement propagandiste du régime nazi, des costumes au code à respecter scrupuleusement.

http://www.slate.fr/

Un homme tente l’expérience du bobsleigh Le visage de la peur!


Je me demande si un saut en parachute pour la première fois est moins pire qu’essayer le bobsleigh. Quoiqu’il en soit, je pense que la vitesse de descente doit être vraiment surprenante
Nuage

 

Un homme tente l’expérience du bobsleigh

Le visage de la peur!

 

Le visage de la peur!

Crédit photo : Capture d’écran YouTube

Vous trouvez fous ces athlètes qui se lancent dans une descente d’enfer en bobsleigh aux Jeux olympiques d’hiver à Sotchi?

Incluez cet homme francophone qui a tenté l’expérience dans le lot.

Il est difficile de décrire la peur de l’homme avec des mots, alors nous vous laissons en juger par vous-mêmes.

«Oh! Put***… Oh! Mon dieu c’est parti!» a-t-il dit avant d’être poussé sur la piste.

 

http://tvanouvelles.ca/

Russie: trois ans de camp pour un écologiste critique des JO de Sotchi


On entend partout des nouvelles des Jeux Olympiques de Sotchi et moins des conséquences qu’ont ces jeux sur les gens qui ont protesté, les gens qui ont subi de graves conséquences. Je pense sérieusement qu’on devrait cesser ce genre d’évènement vu que cela va au-delà de l’esprit compétition.
Nuage

 

Russie: trois ans de camp pour un écologiste critique des JO de Sotchi

 

Le tribunal régional de Krasnodar (sud) a rejeté... (PHOTO MIKHAIL MORDASOV, ARCHIVES AFP)

 

Le tribunal régional de Krasnodar (sud) a rejeté l’appel d’Evgueni Vitichko, géologue et membre d’une association régionale de défense de l’environnement du Caucase du Nord (EWNC), a constaté une correspondante de l’AFP.

PHOTO MIKHAIL MORDASOV, ARCHIVES AFP

Agence France-Presse
KRASNODAR, Russie

La justice russe a confirmé mercredi en appel la condamnation à trois ans de camp d’un militant écologiste qui dénonçait les impacts sur l’environnement des travaux de préparation des Jeux olympiques d’hiver de Sotchi, qui battent actuellement leur plein.

Le tribunal régional de Krasnodar (sud) a rejeté l’appel d’Evgueni Vitichko, géologue et membre d’une association régionale de défense de l’environnement du Caucase du Nord (EWNC), a constaté une correspondante de l’AFP.

M. Vitichko avait été condamné en 2012, avec un autre militant, Suren Gazarian, à une peine de trois ans avec sursis pour avoir créé une ouverture dans une clôture dressée dans une zone protégée. Sa peine a été commuée en prison ferme fin 2013.

http://www.lapresse.ca/

Jeux olympiques: l’envers du décor


Je comprends que les gens puissent vouloir encourager les athlètes aux JO d’hiver de Sotchi, comme a tout autre JO, mais pourtant, nous sommes, de plus, en plus conscients des conséquences négatives (à moins de vouloir faire l’autruche) de tels événements sportifs, des drames humains et environnementaux. Alors sommes-nous donc complices si on se ferme les yeux devant de tels crimes ? Car suivre les Jeux Olympiques, c’est cautionné aussi le fait qu’on détruit la vie des gens, qu’on cache la pauvreté pour le spectacle !!!
Nuage

 

Jeux olympiques: l’envers du décor

 

Tatyana Samokhval a tenté de consoler sa mère,... (PHOTO ARCHIVES REUTERS)

Tatyana Samokhval a tenté de consoler sa mère, Valentina Khlystova, devant les ruines de sa maison qui a été démolie en septembre 2012 pour permettre le passage des canalisations d’égouts du village olympique de Sotchi.

PHOTO ARCHIVES REUTERS

NATHALIE COLLARD
La Presse

Qui dit Jeux olympiques dit revitalisation urbaine. Les transformations nécessaires pour aménager une ville en vue d’un événement d’une telle envergure ont plusieurs effets positifs sur le tissu urbain, mais elles ont aussi, parfois, des conséquences négatives pour les populations locales: éviction, démolition, embourgeoisement, etc.

Dans un rapport du Centre on Housing Right and Evictions des Nations unies (le COHRE, un comité qui a cessé ses activités en 2011), les auteurs notent qu’entre 1988 et 2008, les Jeux olympiques ont déplacé plus de 2 millions de personnes dans le monde, en plus de provoquer une flambée des prix de l’immobilier. Et c’est sans parler du «nettoyage social» qui a lieu avant le jour J: on cache les sans-abri et les prostituées, on efface des quartiers en décrépitude, on revitalise des coins de la ville sans prendre en considération les besoins des résidants… Bref, on procède à un grand nettoyage.

Jeux d’hiver 2014: Sotchi

On avait promis les Jeux les plus propres de l’histoire, mais la réalité est tout autre: dans la petite ville d’Akhshtyr, aux limites du site olympique, les gens se plaignent d’un immense dépotoir illégal à ciel ouvert grand comme trois terrains de football, selon l’Associated Press. Les travaux de construction ont également asséché le puits qui alimente la ville en eau. Quant à l’autoroute hypermoderne inaugurée en présence du président Vladimir Poutine, elle a forcé la démolition de plusieurs immeubles. Plus loin, on note la destruction de forêts et la contamination d’une rivière. Des milliers de personnes ont été déplacées. Dans la ville de Sotchi, on compte au moins 100 immeubles d’appartements qui sont désormais classés inhabitables.

Jeux d’été 2012: Londres

Les Jeux olympiques de 2012 étaient une belle occasion de revitaliser l’East End de Londres, mais l’agressivité et le peu de considération du London Development Agency ont laissé des cicatrices. Parmi les histoires les plus médiatisées, celle des 425 résidants de Clays Lane évincés de leur logement qui se trouvait à l’emplacement du futur village des athlètes. On a aussi procédé à un véritable nettoyage social: les prostituées et les sans-abri devaient disparaître. On évalue à environ 80 le nombre d’hôtels de passe qui ont été fermés par la police londonienne entre 2010 et 2012. Dans la foulée des Jeux, c’est aujourd’hui au tour des résidants de Carpenters Estate, dans le quartier multiethnique de Stratford, aux limites du site olympique, d’être victimes des effets de l’embourgeoisement.

Jeux d’été 2008: Pékin

À la veille des Jeux d’été de 2008, le défi était grand pour Pékin: réaménager la vieille ville et l’ouvrir au tourisme international qui allait connaître son apogée en août 2008. Comme à Londres, on fait disparaître les mendiants et les drogués, qui jurent dans le paysage. Sauf qu’au lieu de les déplacer vers un autre quartier, on les envoie dans des camps de rééducation (selon des informations fournies par Amnistie internationale). Au total, 1 million de personnes auraient été déplacées, dont 300 000 au centre-ville de Pékin seulement. Et c’est sans compter les maisons rasées, les quartiers démolis, les communautés anéanties. La ville est prête à temps, mais à quel prix?

Jeux d’été 2016: Rio De Janeiro

Rio s’apprête à accueillir non pas un, mais deux événements sportifs d’envergure internationale: la Coupe du monde de la FIFA en juin prochain et les Jeux olympiques en 2016. C’est donc un véritable électrochoc qui est administré à la métropole et, sans surprise, ce sont les plus pauvres qui écopent. En plus de la construction d’un nouveau stade et des installations olympiques, on veut doter Rio d’une infrastructure hôtelière et d’un système de transports efficace qui permettra de circuler aisément lorsque la ville sera assaillie de visiteurs provenant des quatre coins du monde. Pour construire ces nouvelles infrastructures, on démolit. On a déjà évincé 170 000 habitants des favelas, et ce n’est pas terminé.

Jeux d’été 1976: Montréal

L’art dans la rue. C’était l’objectif du projet Corridart mené par l’architecte Melvin Charney, un corridor d’oeuvres de 8 km dans la rue Sherbrooke, entre l’avenue Atwater et le boulevard Pie-IX. Une soixantaine d’artistes participent à l’événement qui doit durer tout le mois de juillet 1976. Mais dans la nuit du 13 au 14 juillet, sur l’ordre du maire Jean Drapeau, les cols bleus détruisent tout et les débris sont envoyés à la fourrière municipale. Huit artistes entament des poursuites contre la Ville, mais l’affaire traîne en longueur et ne se règle qu’en 1988. La Ville accorde finalement une somme de 4000$ à 5000$ à chaque artiste. On qualifiera l’incident de «plus gros cas de censure d’art public au Canada».

http://www.lapresse.ca/

Les vestiges oubliés des Jeux olympiques de Sarajevo


Les Jeux olympiques qu’ils soient d’hiver ou d’été ne m’intéresse plus, tous ces bâtiments qui ont couté des fortunes pour quelques jours de gloire .. ont apporter certes une bonne économie aux hôtes mais des gens ont été chassé de leur terre, on veut nettoyer les alentours des mendiants qui auraient pu profiter de la manne … Et quand vient la guerre, une catastrophe naturelle, il reste quoi ??? Des millions qui sont devenus des ruines
Nuage

 

Les vestiges oubliés des Jeux olympiques de Sarajevo

EN IMAGES – Il y a 30 ans, Sarajevo accueillait les Jeux Olympiques d’hiver 1984, ses milliers de sportifs de haut niveau et ses millions de spectateurs.

Depuis, le village olympique et la majorité des structures sportives édifiées pour l’occasion ont été abandonnés. Pendant la guerre de Yougoslavie, les pistes de luge ou encore de saut à ski ont été transformées en base de lancement de roquettes. D’autres installations ont fait office de bunker. Aujourd’hui, ce sont la nature et les tagueurs qui ont investis ces lieux historiques totalement désertés et laissés à l’abandon.

L’un des virages relevés de la piste olympique de bobsleigh fait office de support artistique pour les tagueurs de la capitale bosniaque. Crédits photo : DADO RUVIC/REUTERS

Les couleurs sont passées mais les anneaux olympiques trônent toujours en haut de la tour surplombant le Hall Zetra où avaient lieu les épreuves de patinage Crédits photo : DADO RUVIC/REUTERS

Sur le mont Igman, le site de saut à ski est totalement figé dans le temps, embourbé dans un brouillard épais. Le télésiège n’a pas fonctionné depuis trois décennies. Crédits photo : DADO RUVIC/REUTERS

Des murs de briques ont été érigés en bas des pistes de lancement pour éviter tout incident dû aux chutes de pierres ou encore aux folles idées des jeunes qui viennent s’amuser dans les ruines. Crédits photo : DADO RUVIC/REUTERS

Des poutres de maintien ont été installées en urgence dans la salle des juges dominant les pistes de saut à ski. Le lieu a été mitraillé de nombreuses fois pendant la guerre lorsque des soldats venaient s’y réfugier. Crédits photo : DADO RUVIC/REUTERS

On discerne encore sur les murs décrépits un dessin de la mascotte officielle des JO de Sarajevo, Vucko. Crédits photo : DADO RUVIC/REUTERS

Impraticable, la piste de lancement de l’épreuve de luge est presque totalement cachée par la végétation qui a repris ses droits au sommet du mont Trebevic. Crédits photo : DADO RUVIC/REUTER

 

http://www.lefigaro.fr/