Qui paierait 1,5 millions par jour pour des chimères !!!! Comment il se fait que les gens aiment tellement dépenser pour des peanuts En plus, Loto Québec, chercher a courtiser les jeunes pour donner gout aux jeux, c’est pitoyable ! Pour une fois, des jeunes qui n’auraient pas le vice du jeu et on veut les incité .. !!! Non je le dis souvent et je le répète je n’achètes pas de loterie .. et j’en veux pas .. car pour moi c’est une exploitation plus qu’autre chose
Nuage
Loterie : Environ 1,5 million de billets par jour
Malgré la quantité faramineuse de billets vendus, les ventes de loteries stagnent depuis le début des années 2000.
© Archives / Agence QMI
MONTRÉAL – Les Québécois ont dépensé l’an dernier 1,8 milliard $ pour acheter 550 millions de billets de loterie, ou près de 1,5 million par jour.
Ils n’ont cependant pas tous le même intérêt dans toutes les régions de la Belle Province. Un classement réalisé par TVA Nouvelles à partir des chiffres de vente de loteries pour chacune des 17 régions du Québec fait en effet ressortir de nombreuses disparités.
C’est dans la Côte-Nord que l’on trouve, sans conteste, les plus gros acheteurs de billets de loterie.
Les habitants de cette région consacrent en moyenne 430 $ par an à l’achat de billets. Ceux de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine et du Saguenay-Lac-Saint-Jean occupent, respectivement, la deuxième et la troisième place.
Montréal arrive en dixième position et Québec, en quinzième. Au dernier rang se trouvent les habitants de l’Estrie avec une moyenne annuelle de 231 $. On passe donc presque du simple au double entre la première et la dernière place.
Pourtant, l’offre est la même dans les 8600 points de vente de loteries de la province.
« On ne conçoit pas une loterie en se disant “celle-là on va la concevoir particulièrement pour les gens du Saguenay-Lac-Saint-Jean”. Donc c’est conçu dans une optique provinciale, mais le succès des loteries est variable », a expliqué Jean-Pierre Roy, le porte-parole de Loto-Québec.
Les 18-30 ans visés
Malgré la quantité faramineuse de billets vendus, les ventes de loteries stagnent depuis le début des années 2000. Loto-Québec cherche donc à développer de nouvelles clientèles et, elle ne fait pas de mystère, ce sont les 18-30 ans qui sont dans sa mire.
Selon Jean-Pierre Roy, « Loto-Québec doit trouver une façon d’atteindre la nouvelle clientèle, donc la clientèle des nouveaux adultes. Les jeunes dans la vingtaine, dans la trentaine n’ont pas nécessairement les mêmes pratiques de jeux de hasard que leurs parents ou grands-parents. »
Le meilleur exemple : en 1977, la Mini représentait 40 % du chiffre de vente de Loto-Québec. Trente-cinq ans plus tard, elle compte pour moins de 1 % des revenus de la société d’État.
« Le marché est passablement à maturité, il faut travailler fort pour le maintenir au niveau actuel, soit 1,8 milliard $ par année », a indiqué le porte-parole de Loto-Québec.
Loto-Québec redistribue 900 millions $ par an aux gagnants de loteries. Près de 500 millions $ sont versés en redevances au gouvernement et 125 millions $ vont aux organismes communautaires qui exploitent ses kiosques de vente.