Ceux qui croient en Star Wars


Il y a toutes sortes de religions en ce monde. Et on en renie quelqu’un et on est adepte à une ou un mélange de d’autres, par exemple croire à l’astrologie, la numérologie, les anges et ne pas croire en Dieu. Alors préfère ceux créer pour le cinéma, la science-fiction. Est-ce une adoration, une manière de vivre ?
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Ceux qui croient en Star Wars

 

COURTOISIE

Le groupe Facebook «Temple of the Jedi Order» compte 15 900 inscrits.

Au moment où Star Wars, épisode VIII: les derniers Jedi prend l’affiche, Présence a rencontré des francophones adeptes du jediisme –considéré comme une religion hyperréelle par certains universitaires – afin de discuter de leurs croyances basées sur la célèbre saga de science-fiction.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, Ludovic ne se promène pas dans la rue avec un sabre laser ou une cape. Au contraire. Habillé sobrement, il vit le jediisme de cette manière, tout en l’assumant complètement, même s’il préfère taire son nom de famille pour ne pas nuire à sa vie professionnelle.

«Je l’affiche, j’en parle; les gens me regardent un peu bizarrement. Mais il faut bien des gens qui posent la première pierre. Il y a bien eu Jésus, et les gens l’ont suivi. Je ne prie pas Dieu, ni Yoda, c’est plus une philosophie de vie et des valeurs à transmettre, comme la vérité, l’honnêteté. J’aime Star Wars, mais je ne suis pas un fan fini; je n’ai pas de Faucon [ndlr: nom d’un vaisseau spatial] dans ma chambre», illustre ce père de famille de Québec.

Une rencontre déterminante

Ludovic a été bercé dans sa jeunesse par les contes du roi Arthur.

«L’idée des Chevaliers des temps modernes, ça m’a parlé. George Lucas s’est inspiré de bouddhisme, de taoïsme, mais aussi des chevaliers de la table ronde!», lance le collectionneur d’épées de films.

Sa rencontre avec un marchand dans une brocante a d’ailleurs été déterminante.

«Il m’a parlé d’armes, de katanas, mais aussi de sa religion. Ça m’a intrigué, alors j’ai voulu approfondir. Je fais du reiki [ndlr: une pratique de soins qui prétend s’appuyer sur des énergies], de la méditation et des arts martiaux. J’ai vu qu’il y avait des connexions avec ce que je faisais et aussi mon métier», explique-t-il.

Sur Facebook, l’Ordre jedi du Québec compte 44 j’aime, mais un seul organisateur.

«La personne qui a ouvert l’Ordre n’est plus actif; je suis le seul à représenter l’Ordre au Québec, mais il y en a d’autres aux États-Unis», souligne-t-il.

 

Ouvrir une école

En cours d’entrevue, Ludovic confie son désir de mettre sur pied une école à Québec où la philosophie du jediisme serait enseignée. Les élèves y seraient formés sur les plans physique, spirituel et professionnel.

«Je veux que ça reste sérieux avec des fondations solides, je ne veux pas des gens habillés en Chewbacca [ndlr: nom d’un personnage de la saga]. Je n’ai pas encore contacté l’organisation canadienne. Ça viendra quand ce sera plus abouti et que j’aurai le financement», dit-il, reconnaissant qu’il s’agit d’un projet à long terme.

Ludovic aimerait créer un lieu de rencontre, spirituel, où seraient enseignés le reiki, le yoga et d’autres pratiques actuelles.

«Je suis en train d’écrire un livre sur mes démarches. On est tous à quelque part des maîtres chevaliers, on a tous quelque chose à transmettre à quelqu’un», croit-il.

Jedi depuis 30 ans

Habitant Dijon, en France, Alexandre Orion est officiellement jedi depuis 2012, mais cette philosophie le suit en réalité depuis qu’il a 19 ans. Et il vient de souffler ses 51 bougies.

«Je ne me souviens pas exactement quand j’ai commencé à être jedi, mais ça a débuté avec les entretiens entre le mythologue Joseph Campbell et le journaliste américain Bill Moyers sur «La Puissance du mythe». J’avais 22 ans et ça m’a éclairé sur la manière de répondre à nos besoins existentiels par le récit», raconte-t-il.

Celui qui porte le titre de chevalier (il y a cinq niveaux, soit novice, padawan, chevalier, maître et grand maître) souligne qu’il ne se costume pas, sauf lors de cérémonies spéciales, «ce qui est assez rare», convient celui qui se dit au service de tous.

Il fait partie du Temple of the Jedi Order, comptant 15 900 inscrits.

«De 200 à 1000 sont actifs durant une année moyenne», nuance-t-il.

Les réunions entre membres sont peu fréquentes, soit une à deux fois par année, que ce soit à Cheltenham (Gloucestershire), aux Pays-Bas ou aux États-Unis.

M. Orion n’est pas en mesure de préciser le territoire couvert par le jediisme «étant donné que la France est une république laïque et que le territoire ne se laisse pas couvrir par une organisation à caractère religieux», a-t-il dit.

Mission: chargé d’éducation

Depuis un an, M. Orion est chargé d’éduquer les adeptes. Il se laisse guider dans son rôle par la question suivante:

«Qu’est-ce que les membres apprennent vraiment ici?»

Il pense qu’il lui faudra quelques années d’observations et de dialogue pour synthétiser le début d’une réponse.

M. Orion ne se considère pas plus spécial qu’autrui.

«En tant que jedi, je vis ma philosophie selon les aléas de la vie, comme tout le monde. Il n’y a rien de plus spirituel que la vie quotidienne, avec une synchronisation de temps à autre du temps sacré avec du temps profane. Les transformations yin-yang sont la plus claire et évidente manifestation de la ‘force’, du tao, que je connaisse», conclut-il.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Le Saviez-Vous ► Le Monstre de Spaghettis volant, Maradona, Star Wars… ces cultes qui rivalisent d’étrangeté


Aujourd’hui, on crée des religions pour n’importe quoi ! Certains sont tirés d’un film, d’autres de sport, etc …
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Le Monstre de Spaghettis volant, Maradona, Star Wars… ces cultes qui rivalisent d’étrangeté

 

Karen Martyn, premier pasteur de l’Eglise du Monstre de Spaghetti volant, a célébré samedi un mariage reconnu officiellement par la Nouvelle-Zélande. Photo: AFP

RELIGION – Les adeptes du culte du Monstre de Spaghettis volant a célébré samedi son premier mariage officiel. Mais cette religion, reconnue officiellement en Nouvelle-Zélande, n’est pas la plus étrange que vous puissiez croiser.

 

C’est une grande victoire pour les adeptes de l’Eglise du Monstre de Spaghettis volant. Ce samedi, un représentant de ce culte pour le moins original a célébré son premier mariage reconnu officiellement, à Wellington, en Nouvelle Zélande. Une union qui a reçu la bénédiction de l’Etat néo-zélandais, quatre mois après que l’Eglise a été reconnue comme une religion officielle dans le pays.

Pour les « pastafariens », l’univers aurait en fait été créé par un monstre de spaghettis volants invisible et indétectable, « après avoir beaucoup bu ». Ils vénèrent les pirates et considèrent que la baisse de leur nombre est la cause de l’augmentation des catastrophes naturelles. Ils célèbrent par ailleurs des fêtes telles que « Holiday » (vacances en anglais), « Pastover » au moment de la Pâque juive ou Ramendan au moment du ramadan. Un monstre volant formé de spaghettis ? L’idée peut certes sembler peu crédible, mais elle est loin d’assurer aux pastafariens le titre de religion la plus bizarre de la planète, tant la compétition est rude.

► Les Maradoniens

L’union de deux adeptes du maradonisme Photo: AFP

Créé en Argentine, ce culte célèbre comme il se doit le génie du football Diego Maradona. Il compterait actuellement quelque 100.000 adeptes. L’Eglise maradonienne compte deux fêtes religieuses, le Noël maradonien, le 29 octobre, qui célèbre la naissance du footballeur, et les Pâques maradoniennes, en l’honneur du match Argentine-Angleterre et du but de « la main de Dieu », le 22 juin 1986. Si ses origines footballistiques vous rebutent, sachez qu’il n’est pas obligatoire d’être un adepte du ballon rond, même si c’est probablement recommandé.

► Jediisme

Maîtrise de la Force, des sabres laser… tels sont les objectifs des adeptes du jediisme. Photo: AFP

Avec des millions de fans tout autour du monde, Star Wars ne pouvait pas échapper à son propre culte. Les partisans du Jediisme mènent leur vie en suivant les préceptes des chevaliers du film, qui prônent la paix, la sérénité et s’accompagnent parfois d’une forme de méditation. Selon les membres de ce mouvement, l’univers se compose d’une énergie mystérieuse appelée la Force, d’où proviennent toutes les formes de vie et que les Jedi doivent apprendre à maîtriser. Dans la bataille pour la religion la plus barrée, les Jedi partent avec un avantage de poids : leur sabre laser, qui n’a de rival dans aucune galaxie, fut-elle lointaine, très lointaine…

► Le Dudeisme

Le Dudeisme, c’est tout de même 250.000 adhérents !

Comme le Jediisme, le Dudeisme est tiré d’un film, en l’occurrence « The Big Lebowski », réalisé par les frères Coen et sorti en 1998. Les adeptes de cette religion suivent les préceptes du Dude, personnage central du film incarné par Jeff Bridges, personnage célibataire, sans emploi, sans ambitions et qui se laisse porter par la vie. Leurs rituels s’inspirent du Dude : ne rien faire, prendre un bain en écoutant des chants de baleine, fumer du cannabis (si la législation le permet) et boire du White Russian, etc. Si l’on organisait un match pour départager les religions, les dudeistes oublieraient probablement de venir participer. Sauf s’il s’agit de bowling, l’activité la plus sacrée de cette religion.

► La Sainte Eglise du Cannabis

Paradoxalement, ce n’est pas la démocratisation du cannabis qui a entraîné l’apparition de cette religion, mais une loi – très controversée – adoptée par l’Etat de l’Indiana, aux Etats-Unis. Le « Religious freedom restoration act », adopté fin mars 2015, qui permettait à un particulier ou une entreprise d’invoquer une entrave à sa liberté de religion pour se défendre dans un procès. Ni une ni deux, un petit malin en a profité pour créer une congrégation religieuse autour du cannabis, dont la consommation est interdite dans l’Indiana. Pour les adeptes de cette religion, fumer de l’herbe est chez eux un acte de prière. Les mettre en prison pour cela reviendrait donc, estiment-ils, à entraver leur liberté de religion. Pas sûr que l’argument tienne devant les tribunaux…

Au-delà de ces cinq exemples, les cas de religions surprenantes sont nombreux : celle consacrée au piratage, l’Eglise de la licorne rose invisible, celle du Bacon, de Kanye West, etc. Il y en a même une qui vénère un homme capable de transformer l’eau en vin, c’est dire…

http://www.metronews.fr/i

Le Saviez-Vous ► Sabres laser, son dans l’espace et vitesse de la lumière : "Star Wars" se rebelle face à la science


On entend beaucoup parler du film de science-fiction Star Wars. Il faut beaucoup d’imagination pour créer une telle saga. Les scientifiques se sont penchés sur les films de Star Wars, en fait les lasers, la vitesse de la lumière, la destruction de la planète noire et autres sujets ne peuvent être une réalité scientifique. Mais bon, c’est un film qui plaît à beaucoup de monde et c’est le défi de tout bon film
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Sabres laser, son dans l’espace et vitesse de la lumière : « Star Wars » se rebelle face à la science

 

Si ses films ont fait naître une passion pour l’espace chez plusieurs générations, George Lucas a parfois fait fi des connaissances scientifiques pour développer l’univers de sa saga.

La saga Star Wars a certainement changé la perception de l’espace de plusieurs générations. Les plus petits vont eux aussi découvrir cette galaxie lointaine, très lointaine dès le 16 décembre, avec Le Réveil de la Force, et vont approcher les étoiles, suivre les rythmes des sabres laser et sursauter devant les multiples explosions.

Mais, depuis plus de 35 ans déjà, des scientifiques passent au crible les films pour pointer du doigt les nombreuses erreurs qui peuplent l’univers imaginé par George Lucas. Francetv info a interrogé l’astrophysicien Roland Lehoucq, auteur de Faire de la science avec Star Wars (éd. Le Pommier). Pour lui,

« tout est faux dans Star Wars, mais on s’en fiche. Ce qui compte, c’est qu’à partir de ce film, le grand public peut parler de sciences ».

Dans l’espace, personne n’entend un X-Wing voler

Tirs de vaisseaux, explosions… Dans Star Wars, l’espace est très bruyant. Pourtant dans le vide spatial, nulle atmosphère pour propager les ondes sonores.

« Des sons dans l’espace, c’est tout simplement impossible. Pour que le son puisse se propager, il faut de la matière. De l’air, du bois, n’importe quoi. Or, dans l’espace règne le vide. On peut toujours hurler, personne ne nous entendra », explique Roland Lehoucq.

Mais des batailles muettes ne raviraient sûrement ni les spectateurs, ni les équipages d’un vaisseau qui se fait attaquer de l’extérieur sans pour autant en être informé. L’astrophysicien propose donc une solution :

« Dans les vaisseaux de Star Wars, il pourrait y avoir un système qui sonorise le vaisseau, qui simule l’ambiance extérieure, l’urgence de la situation » en recréant le bruit des tirs qui visent le vaisseau de l’extérieur, par exemple.

Le sabre laser est une arme impossible à fabriquer

Les sabres laser font partie de l’ADN de Star Wars. Jedi et Sith utilisent ces armes aux différentes couleurs lors de leurs affrontements. Quatre raisons font pourtant du sabre laser une véritable erreur scientifique.

« Premièrement, pendant les combats, les sabres laser s’entrechoquent, comme s’il s’agissait d’objets matériels… mais la lumière n’est pas de la matière », commente Roland Lehoucq.

Si deux sabres laser ne peuvent pas entrer en contact, ils n’en restent pas moins dangereux car capables de découper ou de brûler.

Deuxième raison, la lumière laser n’est pas visible.

En effet, « c’est une lumière directive qui ne va que vers un seul point. Elle ne se dirige pas vers votre œil sauf si le laser y est pointé », souligne l’astrophysicien.

Troisième approximation :

« Les sabres laser ont une longueur définie [un mètre environ]. Or, la lumière se propage en fait en ligne droite jusqu’à ce qu’elle rencontre un obstacle. » 

Dernière explication, et non des moindres, la puissance nécessaire pour faire fonctionner un sabre laser est estimée à plus d’un milliard de watts. Soit l’énergie d’une centrale nucléaire. Difficile à faire tenir en poche. Une arme totalement improbable selon l’astrophysicien, donc, n’en déplaise aux scientifiques qui tentent de reproduire cet accessoire mythique.

Pas besoin de laisser ses réacteurs allumés

Que ce soit Han Solo dans le Faucon Millenium ou les pilotes des vaisseaux ennemis le pourchassant, aucun des personnages de la saga ne se soucie vraiment des économies d’énergie – pas très COP21, tout ça. Pour voyager, leurs réacteurs sont constamment allumés. Si nos avions ont besoin d’une propulsion constante et forment ainsi leur traînée blanche, les réacteurs des vaisseaux spatiaux ne devraient avoir besoin que d’une simple impulsion. C’est le principe d’inertie.

« Dans l’espace et sans frottement, si on vous pousse une fois, vous continuez à avancer à vitesse constante. Les pilotes n’ont besoin d’allumer les réacteurs que lors du départ, pour ralentir et pour changer de direction », note Roland Lehoucq.

Impossible de dépasser la vitesse de la lumière

Pour échapper à l’Empire de Dark Vador, le Faucon Millenium utilise ses moteurs d’hyperpropulsion. Comme la plupart des vaisseaux de la saga, celui du contrebandier Han Solo est en effet capable de traverser la galaxie à une vitesse supérieure à celle de la lumière.

« Cela viole complètement une loi de la physique », réagit Roland Lehoucq.

La vitesse de la lumière est en effet indépassable pour un objet matériel, possédant une masse.

« On peut s’en approcher, sans jamais la dépasser. Seule la lumière, qui est immatérielle, peut aller à cette vitesse », détaille-t-il.

L’Etoile noire ne peut pas détruire la planète Aldorande

Alderaan Exploding

Pour démontrer sa puissance dans Un nouvel espoir, le quatrième épisode de Star Wars, Dark Vador décide de détruire Aldorande. L’Etoile noire déploie ainsi un laser ultra-puissant qui fait exploser la planète de la princesse Leia.

Mais « pour détruire une planète, il faut une quantité considérable d’énergie, explique Roland Lehoucq.Et quand on estime la puissance du laser utilisé sur Aldorande, on comprend qu’il faudrait en fait 100 000 fois l’énergie dégagée par le soleil ». 

Il est ainsi impossible pour l’Etoile noire, bien plus petite que notre soleil, de concentrer autant d’énergie. Pas de quoi parader, donc, de la part de l’Empire.

http://www.francetvinfo.fr/

Le Saviez-Vous ►10 religions vraiment bizarres


Il y a des religions franchement bizarres, et dire que le prince Philip serait selon certain une divinité. Il y a aussi ceux qui sont inspirés du Jedi, ou même une religion qui fut une muse pour Harry Potter
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10 religions vraiment bizarres

 

Jediisme

Oui, il existe sur cette planète des gens qui ont fondé une religion inspirée des enseignements philosophiques des Jedi qu’on peut trouver dans Star Wars. Notamment, la Force (soit avec vous) est une vraie puissance de l’univers. Mais les adeptes ne suivent pas un code unique: il y a de nombreuses manières de pratiquer le jediisme, qui s’inspire aussi du Taoisme, du Bouddhisme…

Et comme tous les Jedi, les membres de l’organisation se sont fait attaquer par un homme déguisé en Dark Vador en 2008. Il était ivre.

Church of All Worlds

Cette religion néopaganiste a été fondée en 1962 par Oberon Zell-Ravenheart et sa femme Morning Glory Zell-Ravenheart. Elle est inspirée par une religion fictionnelle du même nom dans le livre En terre étrangère, de Robert A. Heinlein.

Au programme de cette religion, un peu de mythologie grecque (Gaïa, la déesse mère), de fantaisie (un royaume des fées). Le plus génial étant certainement l’école fondée récemment par Zell-Ravenheart – The Grey School of Wizardry – inspirée de Poudlard (Harry Potter).

Church of Euthanasia

On rigole un peu (beaucoup) moins ici. Il s’agit d’une organisation fondée à Boston par le révérend Chris Korda. Leur but: « restaurer l’équilibre entre les Humains et les autres espèces de la planète ».

Leur commandement numéro un est ainsi le suivant: « Tu ne procréeras pas », duquel découlent quatre principes: suicide, avortement, cannibalisme (mais seulement quand la personne est décédée), et sodomie (ainsi que tout acte sexuel ne menant pas à la conception d’un enfant).

Le culte du prince Philip

Avez-vous déjà pensé que le prince Philip, duc d’Édimbourg, mari de la Reine d’Angleterre, était un être divin? Vous, non, mais quelques tribus du sud-ouest de l’île de Tanna au Vanuatu, oui.

Ils croient que le prince Philip est le fils de l’esprit de la montagne, qui a traversé les océans pour aller se marier à une puissante femme, avant de revenir à sa terre d’origine.

Le discordianisme

Au fondement du discordianisme, le chaos. Fondée vers 1950 en Amérique et popularisée par The Illuminatus! Trilogy de Robert Anton Wilson, cette religion revendique tout simplement que c’est le chaos qui dirige le monde, qu’il n’existe ni ordre ni désordre.

Deux choses à retenir: tout le monde peut devenir pape et imprimer sa « carte de pape« . Et cette religion serait assez prisée chez les hackers.

Le mouvement raëlien

Ah, voici une doctrine de chez nous. Le mouvement raëlien a été fondé en 1974 par le français Claude Vorilhon, plus connu sous le nom de Raël.

Pour la petite histoire, la doctrine sur base sur la croyance que Raël aurait été capturé par des extraterrestres, envoyé sur la planète « Elohim », où il aurait passé du temps avec ses potes Jésus, Bouddha, Confucius, Mahomet…

Les Elohim auraient 25000 ans d’avance technologique sur nous et auraient créé la vie en laboratoire. Ils devraient nous rendre une petite visite en 2025 et, avouons-le, nous n’en pouvons plus d’attendre.

Happy Science

Ryuho Okawa a fondé cette religion pour enseigner ces quatre voies: amour, introspection, sagesse et progrès. Jusque-là, tout va bien. Mais il ne s’arrête pas là.

« La vérité universelle que nous enseigne Maitre Okawa nous offre une meilleure connaissance de nos vies et du monde. », est-il indiqué sur leur site internet.

 Okawa prétend communiquer avec les esprits de Mahomet, Jésus, Bouddha et Confucius. Entre lui et Raël, on ne sait plus trop qui est le patron.

Pana Wave

Fondée en 1997 par Yuko Chino, Pana Wave est un groupe religieux qui a très, très peur des ondes électromagnétiques. Ils pensent qu’elles sont la cause des catastrophes environnementales et du réchauffement climatique. Alors pour s’en protéger eux-mêmes, les membres avaient pour habitude de s’habiller tout en blanc.

Chino avait prévu la fin du monde pour 2003. On dirait bien que ça n’est pas arrivé. Alors il a trouvé la solution: il affirme avoir « décidé » de remettre à l’apocalypse à plus tard. Tremblons.

La société Aetherius

George King, un beau jour de 1954, s’ennuyait dans son appartement à Londres. Quand tout à coup, Aetherius se mit à crier:

« Prépare-toi! Tu vas devenir la voix du parlement interplanétaire. »

Et c’est ce qu’il fit. Il fonda la société Aetherius, qui est un mélange de yoga, d’idées venues du bouddhisme, de l’hindouisme, du christianisme et… de la sagesse des extraterrestres. D’ailleurs, Jésus et Bouddha eux-mêmes seraient des aliens. On a failli y croire.

http://www.huffingtonpost.fr/

Tremblez, les chats jedi sont parmi nous !


Une vidéo  qui garanti des sourires si ce n’est pas des rires en voyant ces chats faire leur pirouettes, des attaques comme seule les chats savent faire .. et leur coup manqué
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Tremblez, les chats jedi sont parmi nous !

 

Vous pensiez tout savoir de la vie secrète de vos chats ? Vous vous trompiez !

Après avoir révélé l’existence des chats ninjas, notre ami Faireset dévoile celle des chats jedi, encore plus terrifiants, encore plus entraînés, encore plus… hilarants !

Armés de leurs sabres laser, doués du pouvoir de contrôler les esprits, ces champions des pirouettes (et des chutes ! ), ne sont pas une légende urbaine.

Vous n’y croyez pas ? Le doute ne sera plus permis une fois que vous aurez visionné cette vidéo !

 

http://wamiz.com/