Ils appellent leur fils Google pour qu’il devienne un grand homme


Je trouve triste que des parents choisis des prénoms croyant que cela pourra leur permettre un avenir assuré. Des parents, enfin surtout le papa, a décidé de donner le prénom de Google à son bébé sans de nom de famille pensant que cela donnerait du prestige quand il grandira.

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Ils appellent leur fils Google pour qu’il devienne un grand homme


Crédits : Isal Mawardi / detik­com

par  Suzanne Jovet

Un couple origi­naire de Java en Indo­né­sie a appelé son bébé Google, sans deuxième prénom ou nom de famille, dans l’es­poir qu’il devienne lui aussi un leader de ce monde.

Âgé de huit mois, Google a reçu le titre du « nom le plus étrange au monde », rappor­tait The Jakarta Post le 23 juin 2019.

Choi­sir le prénom de son enfant est une tâche parti­cu­liè­re­ment déli­cate pour de jeunes parents. Andi et Ella ont alors pensé jeter leur dévolu sur des prénoms mention­nés dans le Coran. Mais le père de l’en­fant, Andi Cahya Sapu­tra, a envi­sagé au septième mois de gros­sesse de sa femme de donner à son enfant un prénom en lien avec la tech­no­lo­gie. Même si la mère n’a pas accepté l’idée au début, elle a fina­le­ment accepté de bapti­ser leur enfant du nom du moteur de recherche.

Crédits : Isal Mawardi / detik­com

Andi a refusé d’ajou­ter un deuxième prénom ou un nom de famille à Google. L’homme âgé de 31 ans n’a pas souhaité diluer l’es­sence du nom carac­té­ris­tique de son bébé. Mais la mère du petit a caché durant les trois premiers mois le prénom de son enfant. Pour Andi, le choix est stra­té­gique et pour­rait permettre Google de deve­nir un grand de ce monde.

« Google est le numéro un dans le monde, le site le plus visité par les gens. Google a une grande valeur symbo­lique, j’es­père que mon fils pourra aider beau­coup de gens et deve­nir une personne utile pour les autres », a-t-il déclaré.

Andi et Ella ont déjà choisi le prénom de leur prochain enfant, ce sera WhatsApp.

Source : The Jakarta Post

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Cette colline recou­verte par la végé­ta­tion serait en fait une mysté­rieuse pyra­mide vieille de 28 000 ans


Une colline, une végétation, c’est assez pour cacher une ancienne pyramide couvrant 15 hectares qui a été construite pendant des millénaires
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Cette colline recou­verte par la végé­ta­tion serait en fait une mysté­rieuse pyra­mide vieille de 28 000 ans

 

 

par  Ulyces  |

 

Le 12 décembre 2018, lors d’une confé­rence annuelle de l’Union améri­caine de géophy­sique, un groupe de cher­cheurs a révélé que la pyra­mide qu’ils venaient de décou­vrir sur l’île de Java, en Indo­né­sie, pour­rait être la plus vieille jamais retrou­vée. Le site archéo­lo­gique a en fait été visité pour la première fois au XIXe siècle, mais les archéo­logues ont enfin compris que la colline sur lequel se trouve Gunung Padang est en fait une pyra­mide, recou­verte par la végé­ta­tion, rapporte Live Science.

« C’est un temple unique », s’est réjoui Danny Hilman Nata­widjaja, le respon­sable du projet de recherche.

 C’est la forme « parti­cu­lière » de la colline qui a mis les cher­cheurs sur la piste d’un temple caché.

« Cela ne ressemble pas à la topo­gra­phie envi­ron­nante, qui est très érodée. La colline semble très jeune, arti­fi­cielle », a ainsi déclaré l’ar­chéo­logue.

Grâce à un système de radars, de rayons X et d’ima­ge­rie 3D, les scien­ti­fiques ont alors décou­vert plusieurs couches d’une struc­ture qui s’étend sur envi­ron 15 hectares, bâtie au cours de millé­naires. 

Le troi­sième « sous-sol », qui se trouve à 15 mètres sous la surface, pour­rait dater d’il y a 28 000 ans, d’après les cher­cheurs. L’étude de la colline leur a égale­ment permis de consta­ter la présente de chambres souter­raines jamais visi­tées.

« Aujourd’­hui encore, les locaux se rendent au sommet de la struc­ture, consi­dé­rée comme une desti­na­tion sacrée pour la prière et la médi­ta­tion, et cela pour­rait bien être la manière dont le site était utilisé il y des milliers d’an­nées », a affirmé Danny Hilman Nata­widjaja.

Sources : Live Science

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Un oiseau rare nourri à la marionnette pour sauver son espèce


Pour une fois, qu’il y a du positif dans des zoos, comme le zoo de Prague. La Pirolle à queue courte, est une espèce en danger. Les causes ? Comme d’habitude la perte de son habitat causé par la déforestation, l’agriculture et le braconnage pour les vendre et mettre en cage pour souligner le statut social des personnes égoïsmes, sauf que pour l’oiseau, les change de survie en cage est mince. Certains zoos comme Prague essaie de sauver l’espèce, par contre le zoo de Prague à opté pour nourrir l’oisillon une marionnette de substitution pour éviter l’imprégnation. Pourquoi pas les parents ? Il arrive que les parents se sentent menacés et qu’ils deviennent des cannibales. Donc, le zoo met toutes les chances de survie pour l’oisillon
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Un oiseau rare nourri à la marionnette pour sauver son espèce

 

Nourissage de jeune pirolle au zoo de Prague

Au zoo de Prague, la jeune Pirolle à queue courte de Java est nourrie avec l’aide d’une marionnette qui affecte les traits distinctifs de son espèce. Cette méthode permet d’éviter l’imprégnation.

AFP – MICHAL CIZEK

Par Guillet Emmanuel

La Pirolle à queue courte de Java est un oiseau extrêmement rare, quasiment disparu à l’état sauvage. La survie de son espèce ne dépend plus que de la réussite de son programme d’élevage. Le zoo de Prague innove pour permettre une meilleure réussite de celui qui se déroule en son sein.

C’est un petit pas vers l’espoir pour la Pirolle à queue courte (Cissa Thalassina). Cette cousine du corbeau, de la corneille ou de la pie est l’un des oiseaux les plus menacés du monde. L’oiseau, endémique des forêts montagnardes de l’île de Java, est en effet classé depuis 2012 par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) sur la liste des animaux en danger critique d’extinction. Selon les estimations les plus pessimistes, il n’en resterait guère plus d’une centaine, libre ou en captivité. La Pirolle à queue courte est victime de la perte de son habitat liée à la déforestation et à l’expansion agricole et du braconnage. Posséder cet oiseau est, à Java, un symbole de réussite sociale et sa rareté augmente sa valeur financière. Malheureusement les oiseaux sauvages ne survivent guère une fois mis en cage.

C’est pourquoi la Pirolle à queue courte est l’objet de programmes de reproduction et d’élevage en captivité menés par l’Asian Songbird Alliance de l’EAZA dans des centres d’élevage à Java comme le Cikananga wildlife center, près de la ville de Sukabumi. En Europe, les zoos de Chester et de Prague entre autres y participent. Et celui de Prague vient d’enregistrer une petite victoire puisqu’il vient de voir un oisillon naître en mars 2018. Il s’agissait par ailleurs de la cinquième naissance de Pirolle à queue courte dans ce zoo.

Une difficulté à surmonter pour élever les oisillons

Le problème était, après la naissance, d’élever l’oisillon pour qu’il devienne adulte et puisse se reproduire. Pour cela, l’écueil à éviter était l’imprégnation de l’oisillon par un humain. L’imprégnation est un phénomène mis en évidence pour la première fois par l’éthologue Konrad Lorenz avec ses oies cendrées. Il a ainsi montré comment dès leur arrivée au monde, les oisillons sont marqués par le premier sujet en mouvement. S’il s’agit de leur mère, ils la suivront normalement. Mais s’il s’agit d’un autre oiseau, animal ou humain – voire d’un objet pour peu qu’il bouge – ils seront marqués de la même manière. Cet autre individu sera considéré comme leur « mère ». 

Mais cette empreinte à la naissance joue aussi un rôle dans le choix des préférences sexuelles de l’oiseau. Pour sa parade nuptiale, l’oiseau privilégiera toujours l’espèce qui l’a imprégnée. Un corbeau ou un dindon imprégné par un humain fera sa parade nuptiale préférentiellement à destination des humains. Ce qui serait gênant pour une espèce aussi menacée que la Pirolle à queue courte.

Le petit de la Pirolle à queue courte de Prague est nourri manuellement, à la pince à épiler, grâce à une marionnette qui permet d’éviter l’imprégnation. © AFP – MICHAL CIZEK

L’oisillon du zoo de Prague avait été retiré à ses parents – s’ils se sentent menacés, les pirolles n’hésitent pas à cannibaliser leur nid, ce qui n’aide pas à la conservation de l’espèce. il fallait donc le nourrir et le soigner sans permettre d’empreinte. L’astuce utilisée par les soigneurs du zoo est brillante de simplicité. Le petit oisillon est nourri par les soigneurs à travers une sorte de manchon affectant grossièrement la forme et les couleurs de adultes de son espèce. Cette mère de substitution lui inculque en même temps le goût de sa propre espèce. La marionnette n’a même pas à être une copie fidèle d’une pirolle adulte ! Elle doit avoir les marques de signalisation typique de l’espèce : un bec rouge distinct et un masque noir sur fond vert clair.

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Deux nouvelles espèces de crabes vampires découvertes à Java


Deux nouveaux crabes ont été identifies, cependant, ils ne sont pas inconnus, car malheureusement, dû à leurs couleurs, ils sont très convoités par les collectionneurs pour être emprisonnés dans des aquariums
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Deux nouvelles espèces de crabes vampires découvertes à Java

 

Le crabe vampire aux pinces mauves est originaire de Java. © Chris Lukhaup

Le crabe vampire aux pinces mauves est originaire de Java. © Chris Lukhaup

Par Virginie Montmartin

Ces crabes, nommés ainsi pour leurs grands yeux jaunes, résident sur l’île de Java, en Indonésie. Ils sont très convoités pour leurs pinces de couleurs vives.

VAMPIRE. Deux nouvelles espèces de crabes ont été identifiées sur l’île de Java, en Indonésie. Enfin, pas tout à fait… Il était courant de les apercevoir dans les aquariums mais ils n’avaient ni nom scientifique déterminé ni origine connue. Ils étaient généralement nommés « crabes vampires » en référence à leurs yeux de couleur jaune. Cette situation était due au fait que ces animaux sont très convoités par les aquariums pour leurs couleurs vives mais les scientifiques n’avaient pas encore mené d’expéditions dans cette région. Les chercheurs, dirigés par Peter Ng Kee Lin de l’Université de Singapour, ont donc rectifié cette anomalie dans leur étude, publiée le 16 Janvier 2015 dans la revue Raffles Bulletin of Zoology et les ont nommésGeosesarma dennerle et Geosesarma hagen.

Des crabes connus pour leurs couleurs vives

Geosesarma dennerle, en plus des fameux yeux jaunes, a des pinces de couleur mauve, une carapace et des pattes violettes ainsi qu’un large rond blanc sur le dos. Geosesarma hagen a des pinces oranges, une carapace d’un orange plus clair et des pattes de couleur marron, sans oublier les fameux yeux jaunes. Ces deux crabes sont terrestres et vivent dans la végétation.

Selon cette étude, le passage de la vie marine à la vie terrestre explique l’apparition de ces couleurs vives. En effet, sur Terre, la communication entre individus n’est plus d’ordre chimique (contrairement au milieu aquatique où le transport des molécules est facilité par l’eau), mais beaucoup plus visuelle. Malheureusement, c’est à cause de leurs couleurs caractéristiques que ces crabes sont pêchés. Ils sont tellement convoités que les chercheurs ont eu des difficultés à obtenir des renseignements sur leur lieu de vie auprès des collectionneurs. Les « bons sites » sont devenus une vraie chasse gardée. Les biologistes pensent ainsi qu’il existe encore beaucoup d’espèces de crabes vampires à identifier dans les îles indonésiennes. 

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Découverte d’une espèce rare de primate


Découvrir une espèce qu’on croyait éteinte et n’ayant que très peu d’information peut laisser un espoir de sauver la race, mais avec tout les changements causé par l’homme en plus des catastrophes comme le feu, cela est une tâche difficile
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Découverte d’une espèce rare de primate

Découverte d'une espèce rare de primate
© AFP photo | Eric M Fell / Wiley-Blackwell – Les singes découverts sur l’île de Bornéo.


Une équipe internationale de scientifiques a découvert en Indonésie un primate très rare, le Langur de Miller qu’on croyait éteint ou sur le point de le devenir, selon une communication publiée vendredi dans l’American Journal of Primatology.
Ce primate (Presbytis hosei canicrus) fait partie d’un genre regroupant des mammifères primates asiatiques de la famille des Cercopithecidae présents sur diverses îles d’Asie du Sud-Est dont Bornéo Sumatra et Java.

Le Langur de Miller est présent à Bornéo dans seulement un endroit limité de l’île, dans le nord-est où son habitat a subi des incendies et sérieusement souffert des activités humaines dont minières et de la conversion de la forêt en terre agricole.


L’équipe scientifique a mené son expédition dans la réserve naturelle de Wehea au Kalimantan, partie indonésienne de l’île de Bornéo. Il s’agit d’une vaste étendue de forêt vierge de 38.000 hectares pour la plus grande partie préservée.


Cette région abrite au moins neuf espèces connues de primate dont les orangs-outans de Bornéo et les gibbons.

«La découverte du Langur de Miller a été une surprise puisque la réserve naturelle de Wehea était considérée comme étant hors de sa zone d’habitat», explique Brent Loken de l’Université Simon Fraser au Canada, un des membres de l’expédition.

«Les recherches futures viseront à estimer la densité de population de ces primates à Wehea et dans la forêt environnante», dit-il.

«Les inquiétudes d’une éventuelle extinction du Langur de Miller remontent à 2004 et des recherches lors d’une expédition menée en 2008 avaient conforté ces craintes d’une situation alarmante», ajoute-t-il.

Pour la dernière expédition, les scientifiques ont notamment installé des caméras dans plusieurs endroits de la réserve naturelle permettant de saisir des images de ces primates qui ont donc survécu dans une zone située à l’ouest de l’endroit où ils avaient été vus précédemment pour la dernière fois.

«Il n’a pas été facile de confirmer notre découverte» car «les seules descriptions du Langur de Miller viennent de spécimens dans des musées et nos photos de ces animaux prises à Wehea sont parmi les rares dont nous disposons», souligne ce chercheur.

«Bien que ces images confirment que ce singe existe encore le Kalimantan Est, il y a de grande chances qu’il reste l’une des espèces de primates les plus en danger d’extinction dans le monde», ajoute le scientifique.

Bornéo, est partagée entre le sultanat de Brunei et la Malaisie au nord, et l’Indonésie au sud.
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