Le Saviez-Vous ► Top 10 des aliments les plus dangereux du monde


Il y a des aliments que nous devrions éviter, car ils comportent de trop risques pour la santé, voir même pour la vie. Une chose que je déplore, un aliment que nous avons en épicerie comme par exemple manioc, devrait avoir un avertissement très visible qu’il est dangereux de consommer cru. Car si comme moi, nous improviser, il risque d’avoir des conséquences malheureuses. Je voulais râper le manioc pour ajouter a ma salade, mais en fin du compte, j’ai laissé tomber et j’ai vu après sur le net que j’aurais fait une belle gaffe
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Top 10 des aliments les plus dangereux du monde

Marie-Céline Jacquier

Journaliste

Du fugu au poulpe vivant en passant par un fromage italien très spécial, ces spécialités culinaires ne sont pas sans danger… Voici dix des aliments les plus dangereux au monde. À consommer à vos risques et périls.

Si vous voyagez, personne ne vous oblige à goûter à certaines spécialités locales qui peuvent s’avérer fatales.

Le fugu ou poisson-globe (Japon)

Le fugu (photo ci-dessus) est un poisson très consommé au Japon mais qui contient un poison violent : la tétrodotoxine, une molécule neurotoxique produite par le foie, qui entraîne une paralysie pouvant aller jusqu’au décès. Le poisson-globe est connu pour se gonfler d’eau quand il se sent menacé. Sa commercialisation est réglementée pour éviter les accidents. D’après The Independant, cinq personnes sont décédées en 2015 en mangeant du foie de fugu.

Un poulpe vivant : le sannakji (Corée du Sud)

Le sannakji est une spécialité de Corée du Sud qui consiste à manger un poulpe encore vivant. Le problème est que les tentacules peuvent continuer à s’agripper, même après la mort de l’animal. Des cas d’étouffements sont possibles : il y aurait ainsi six décès par an.

Un fromage : le casu marzu (Italie)

Le casu marzu (ou « fromage pourri ») est un fromage traditionnel italien, provenant de Sardaigne, dans lequel des larves vivantes servent au processus de maturation du fromage. Le risque est que ces larves ne soient pas détruites par les sucs gastriques et restent dans l’intestin, provoquant douleurs abdominales, nausées et diarrhées.

Les racines de manioc doivent être correctement préparées pour éviter l’intoxication. © An NGuyen, Shutterstock

Les racines de manioc doivent être correctement préparées pour éviter l’intoxication. © An NGuyen, Shutterstock

Le manioc (Amérique du Sud)

La racine de manioc contient de la linamarine, qui, mangée crue, peut libérer du cyanure dans l’intestin. La racine doit donc être correctement cuite pour ne pas présenter de danger. En 2005, 27 enfants sont décédés aux Philippines en mangeant du manioc servi à leur école.

La grenouille taureau ou ouaouaron (Namibie)

La grenouille taureau est une grenouille africaine, plat traditionnel en Namibie, qui contient des molécules toxiques, les jeunes grenouilles étant les plus dangereuses. La toxine conduit à une déficience rénale.

Le ackee est toxique consommé cru et s’il n’est pas mûr. © Craig F Scott, Shutterstock

Le ackee est toxique consommé cru et s’il n’est pas mûr. © Craig F Scott, Shutterstock

Le ackee (Jamaïque)

Le ackee est un fruit emblématique de la Jamaïque qui contient des graines noires toxiques. La molécule toxique est l’hypoglycine, qui provoque des vomissements. En 2011, il y aurait 35 cas d’empoisonnement. Les fruits peuvent être mortels s’ils sont consommés crus et pas suffisamment mûrs.

Un coquillage : les palourdes de sang (Chine)

La palourde Tegillarca granosa vit dans des milieux pauvres en oxygène, ce qui fait qu’elle renferme souvent des virus et des bactéries. Ce coquillage peut ainsi transmettre les agents des hépatites A et E, de la dysenterie et de la typhoïde.

Un poisson fermenté : le fesikh (Égypte)

Le fesikh est un poisson qui a séché au soleil et qui a fermenté longtemps dans le sel. Il est traditionnellement consommé en Égypte lors de la fête de Cham el-Nessim, le jour du printemps. Chaque année, des Égyptiens sont hospitalisés après une intoxication alimentaire. Il existe un risque de botulisme à cause de la mauvaise conservation de ce poisson.

Ne mangez pas les feuilles de rhubarbe ! © photogal, Shutterstock

Ne mangez pas les feuilles de rhubarbe ! © photogal, Shutterstock

Les feuilles de rhubarbe (monde entier)

Les feuilles de rhubarbe contiennent de l’acide oxalique qui est toxique pour les reins où il forme des cristaux. Les symptômes de l’empoisonnement sont des nausées, des diarrhées, des problèmes pour respirer, des douleurs à l’œil, une urine rouge, des brûlures de la bouche et de la gorge.

Le pangium edule (Asie du Sud-Est)

Ce fruit est toxique à cause du cyanure d’hydrogène (HCN) qu’il contient. Il doit être correctement cuit et préparé avant consommation.

http://www.futura-sciences.com

Le Saviez-Vous ► Top 10 des aliments les plus dangereux du monde


Tout dans la nature n’est pas consommable, alors que d’autres denrées, il faut une attention particulière pour les consommer. Faut-il vraiment risquer de se rendre malade ou pire, en mourir ?
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Top 10 des aliments les plus dangereux du monde

 

Si vous voyagez, personne ne vous oblige à goûter à certaines spécialités locales qui peuvent s’avérer fatales.

Le fugu ou poisson-globe (Japon)

Le fugu  est un poisson très consommé au Japon mais qui contient un poison violent : la tétrodotoxine, une moléculeneurotoxique produite par le foie, qui entraîne une paralysie pouvant aller jusqu’au décès. Le poisson-globe est connu pour se gonfler d’eau quand il se sent menacé. Sa commercialisation est réglementée pour éviter les accidents. D’après The Independant, cinq personnes sont décédées en 2015 en mangeant du foie de fugu.

Un poulpe vivant : le sannakji (Corée du Sud)

Le sannakji est une spécialité de Corée du Sud qui consiste à manger un poulpe encore vivant. Le problème est que les tentacules peuvent continuer à s’agripper, même après la mort de l’animal. Des cas d’étouffements sont possibles : il y aurait ainsi six décès par an.

Un fromage : le casu marzu (Italie)

Le casu marzu (ou « fromage pourri ») est un fromage traditionnel italien, provenant de Sardaigne, dans lequel des larves vivantes servent au processus de maturation du fromage. Le risque est que ces larves ne soient pas détruites par les sucs gastriques et restent dans l’intestin, provoquant douleurs abdominales, nausées et diarrhées.

Le manioc (Amérique du Sud)

Les racines de manioc doivent être correctement préparées pour éviter l’intoxication. © An NGuyen, Shutterstock

La racine de manioc contient de la linamarine, qui, mangée crue, peut libérer du cyanure dans l’intestin. La racine doit donc être correctement cuite pour ne pas présenter de danger. En 2005, 27 enfants sont décédés aux Philippines en mangeant du manioc servi à leur école.

La grenouille taureau ou ouaouaron (Namibie)

La grenouille taureau est une grenouille africaine, plat traditionnel en Namibie, qui contient des molécules toxiques, les jeunes grenouilles étant les plus dangereuses. La toxine conduit à une déficience rénale.

Le ackee (Jamaïque)

Le ackee est toxique consommé cru et s’il n’est pas mûr. © Craig F Scott, Shutterstock

Le ackee est toxique consommé cru et s’il n’est pas mûr. © Craig F Scott, Shutterstock

Le ackee est un fruit emblématique de la Jamaïque qui contient des graines noires toxiques. La molécule toxique est l’hypoglycine, qui provoque des vomissements. En 2011, il y aurait 35 cas d’empoisonnement. Les fruits peuvent être mortels s’ils sont consommés crus et pas suffisamment mûrs.

Un coquillage : les palourdes de sang (Chine)

La palourde Tegillarca granosa vit dans des milieux pauvres en oxygène, ce qui fait qu’elle renferme souvent des virus et des bactéries. Ce coquillage peut ainsi transmettre les agents des hépatites A et E, de la dysenterie et de la typhoïde.

Un poisson fermenté : le fesikh (Égypte)

Le fesikh est un poisson qui a séché au soleil et qui a fermenté longtemps dans le sel. Il est traditionnellement consommé en Égypte lors de la fête de Cham el-Nessim, le jour du printemps. Chaque année, des Égyptiens sont hospitalisés après une intoxication alimentaire. Il existe un risque de botulisme à cause de la mauvaise conservation de ce poisson.

Les feuilles de rhubarbe (monde entier)

Ne mangez pas les feuilles de rhubarbe ! © photogal, Shutterstock

Les feuilles de rhubarbe contiennent de l’acide oxalique qui est toxique pour les reins où il forme des cristaux. Les symptômes de l’empoisonnement sont des nausées, des diarrhées, des problèmes pour respirer, des douleurs à l’œil, une urine rouge, des brûlures de la bouche et de la gorge.

Le pangium edule (Asie du Sud-Est)

Ce fruit est toxique à cause du cyanure d’hydrogène (HCN) qu’il contient. Il doit être correctement cuit et préparé avant consommation.

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L’ouragan Sandy dévaste Haïti et s’approche de la côte Est américaine


L’Ouragan Sandy ne semble pas vouloir lâcher prise et continu sa route dans l’océan après avoir frappé durement Haïti et autres pays ..maintenant elle continue toujours sa course vers les États-Unis et laissera probablement des séquelles au Canada
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L’ouragan Sandy dévaste Haïti et s’approche de la côte Est américaine

 

Le bilan des victimes de l’ouragan Sandy dans les Caraïbes a fortement augmenté samedi.

La tempête qui se déplace vers la côte Est américaine a coûté la vie à au moins 58 personnes, en plus de détruire ou d’endommager des milliers de maisons.

La Jamaïque, Cuba et les Bahamas ont été directement touchés par l’ouragan, mais la majorité des pertes en vies humaines et des dégâts sont survenus en Haïti, où il a plu pratiquement sans arrêt depuis mardi.

Le nombre officiel de morts en Haïti s’élève à 44, mais les autorités ont indiqué que le bilan pourrait encore s’alourdir. L’ouragan pourrait se faire ressentir au Canada au cours de la journée de lundi avec des vents plus forts qu’à l’habitude ainsi que de la pluie.

Rien de majeur pour l’instant. L’ouragan Sandy perturbe Obama et Romney Alors que cette énorme tempête menace la côte est des États-Unis, le président Barack Obama et le républicain Mitt Romney ont entamé samedi le dernier segment de la campagne présidentielle, à dix jours du scrutin. L’issue du duel dépendra d’une poignée d’États-pivots.

L’ouragan Sandy, qui s’approche de la côte, a contraint les équipes des deux candidats à la Maison-Blanche à ajuster leur horaire de campagne et à annuler certains événements. Même à cette date tardive dans la campagne, aucun des deux camps ne veut donner l’impression qu’il priorise la politique aux dépens de la sécurité publique.

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Les geysers les plus profonds du monde grouillent de vie


La mer a encore bien des secrets, mais a notre époque de nouvelles découvertes étonnantes sont mises a jour. Des nouvelles espèces sont dévoilés ressemblant des espèces déjà connu mais ayant la particularité d’être capable de vivre dans l’eau bouillante
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Les geysers les plus profonds du monde grouillent de vie

Les geysers les plus profonds du monde grouillent de vie

© AFP photo

Par Laurent Banguet

Ils sont situés à 5 km de profondeur, dans la fosse océanique des Caïmans, et leur température pourrait dépasser 450°C: les geysers sous-marins les plus profonds du monde grouillent pourtant de milliers de crevettes d’une espèce jusqu’alors inconnue, révèle une étude publiée mardi.

Ces geysers, qui crachent une eau brûlante incroyablement riche en minéraux et sont situés 800 mètres plus profond que tous ceux qui avaient été découverts jusqu’à présent, ont été repérés par une expédition menée par des scientifiques de Southampton, en avril 2010 dans la fosse des Caïmans, entre les îles du même nom et la Jamaïque.

Les experts y ont trouvé des hordes, jusqu’à 2000 individus par mètre carré, de crevettes pâles agglutinées autour des cheminées de six mètres qui forment le cratère de ces geysers. Ces crevettes sont dépourvues d’yeux au sens classique du terme mais ne sont pas pour autant aveugles: elles sont dotées sur le dos d’un organe sensible à la lumière qui pourrait leur permettre de s’orienter à la faveur de la légère luminescence des geysers.

Cette nouvelle espèce de crevette a été baptisée par les chercheurs Rimicaris hybisae, d’après le nom du véhicule sous-marin utilisé pour les capturer, «HyBIS».

Selon l’étude publiée par la revue Nature Communication, ces crevettes des îles Caïmans sont apparentées à l’espèce Rimicaris exoculata, qui peuple elle aussi d’autres geysers sous-marins. Mais ces geysers sont situés le long de la «dorsale médio-atlantique», à quelque 4.000 km de là, relèvent les biologistes britanniques.

À d’autres endroits, le long de fissures laissant s’échapper de l’eau chaude, les chercheurs ont trouvé des centaines d’anémones de mer aux tentacules blancs.

«L’étude des créatures de ces geysers et leur comparaison avec des espèces provenant d’autres geysers autour du monde nous aidera à comprendre comment les animaux se dispersent et évoluent dans les profondeurs marines», indique dans un communiqué le Dr Jon Copley, de l’Université de Southampton.

Nouvelles espèces?

Les geysers de la fosse des Caïmans rejettent des fluides très chauds inhabituellement riches en cuivre, d’un aspect fumeux et sombre qui leur a valu le surnom de "fumeurs noirs". Près de la fosse, les chercheurs ont également eu la "surprise" de trouver de tels "fumeurs noirs" sur les pentes d’une montagne sous-marine baptisée Mont Dent. Cette montagne culmine à trois kilomètres au-dessus du fond de la mer mais son sommet reste malgré tout à plus de 3.000 mètres sous la surface de l’océan.

«Les geysers chauds et acides n’ont jamais été vus dans des zones comme celle-là, et d’ordinaire on ne pense même pas à les y chercher», explique le Dr Doug Connelly, du Centre national d’Océanographie de Southampton.

Or des montagnes sous-marines comme le Mont Dent sont relativement courantes dans les océans, ce qui pourrait signifier que les geysers sont également plus répandus qu’on ne le pensait précédemment.

Sur ces geysers, les scientifiques ont retrouvé les mêmes crevettes pâles ainsi qu’une sorte de poisson-serpent ou des espèces encore jamais observées d’escargots et d’amphipodes, des crustacés semblables à des puces.

«L’un des principaux mystères des geysers sous-marins est de savoir comment les animaux qui les peuplent sont capables de passer de l’un à l’autre en franchissant les longues distances qui les séparent», souligne le Dr Copley.«Mais peut-être qu’il y a là-dessous plus de geysers que nous ne le pensons», conclut-il.

http://fr.canoe.ca