Le Saviez-Vous ► 17 raisons médicales qui pourraient expliquer votre mauvaise humeur


La mauvaise humeur, peut-être passager ou plus fréquentes. Il se peut qu’une personne ait un mauvais caractère, mais aussi pour des raisons médicales
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17 raisons médicales qui pourraient expliquer votre mauvaise humeur

 

Votre caractère n’est peut-être pas la cause de votre mauvaise humeur, d’autres raisons sont possibles.

Un manque de sommeil

Faites du sommeil une priorité si vous voulez être de bonne humeur. De sept à neuf heures par nuit, et non les cinq ou six que dorment bien des adultes.

« Le sommeil est essentiel à la santé mentale ; le manque de sommeil rend plus irritable », affirme le Dr Steven Lamm, clinicien directeur du centre de santé masculine de la faculté de médecine Langone (NYU). « C’est comme lorsqu’un bébé pleurniche – après quelques heures de sommeil, il se sent mieux.

Il est bien normal d’avoir des sautes d’humeur quand la mémoire flanche et qu’on commence à oublier des conversations ou l’endroit où l’on a mis ses clés.

« En général, je pense que la frustration découle de la non-satisfaction des besoins », déclare le Dr Jeffrey Deitz, psychiatre de la région new-yorkaise. « Aux yeux de quelqu’un de l’extérieur, la frustration peut ressembler à de l’irritabilité ou à des sautes d’humeur. »

Des douleurs chroniques

Une douleur, comme un mal de dos, peut vous rendre de mauvaise humeur en raison de l’inconfort qu’elle provoque.

« Les gens ne veulent pas admettre qu’ils souffrent, alors ils deviennent irritables, dit le Dr Lamm. Ils se fâchent facilement parce qu’ils ont mal. »

Une dépression légère

« La dépression se décline en diverses intensités, de la dépression passagère qui fait partie de la vie normale à la dépression clinique qui peut bouleverser toute l’existence », affirme le Dr Deitz.

Sans nuire au fonctionnement quotidien, une dépression légère peut rendre une personne grincheuse, pessimiste ou même belliqueuse

De l’anxiété

Une échéance ou un événement à venir peut susciter de l’inquiétude, mais une personne atteinte de trouble de l’anxiété vit dans l’angoisse en tout temps.

« Une personne anxieuse est en état d’hypervigilance et peut réagir à la moindre provocation, explique le Dr Deitz. Un petit problème peut provoquer chez elle une réaction très vive et la mettre de mauvaise humeur. »

Une consommation exagérée de caféine

« La caféine exerce un profond impact sur le cerveau, selon le Dr Lamm. C’est un stimulant alors, si on est en manque, cela peut provoquer fatigue et irritation. »

Une personne « accro » au café peut être de mauvaise humeur si elle n’a pas eu sa « dose » ou si elle en a trop consommé.

Une insuffisance cardiaque

La lassitude est un signe d’insuffisance cardiaque. La personne qui en souffre s’inquiète de son essoufflement, des médicaments qu’elle prend et de sa santé en général, ce qui mettrait n’importe qui de mauvaise humeur. De plus, les problèmes cardiaques peuvent nuire à la circulation du sang dans le cerveau, siège du contrôle des émotions.

« Tout ce qui perturbe l’afflux sanguin au cerveau, en particulier aux lobes frontaux, peut rendre irritable », affirme le Dr Deitz.

Le trouble dysphorique prémenstruel

Bien des femmes constatent un changement de leur humeur quelques jours avant leurs menstruations, mais si ces symptômes durent plus d’une semaine et sont intenses, il pourrait s’agir d’un trouble dysphorique prémenstruel.

 « Le syndrome prémenstruel est un bon exemple des changements hormonaux qui affectent l’humeur, explique le Dr Lamm. Chez certaines femmes cependant, il est suffisamment intense et prolongé pour est très perturbant. »

La périménopause

Un peu avant la ménopause, certaines femmes subissent des variations hormonales rapides qui peuvent causer insomnie, bouffées de chaleur et irritabilité.

« On constate une variation rapide et importante des hormones féminines, en particulier de la progestérone qui est liée à l’agressivité chez la femme », dit le Dr Deitz.

Le trouble du déficit de l’attention

Une personne non diagnostiquée, mais atteinte d’un trouble du déficit de l’attention (TDA) peut s’emporter quand on lui reproche de ne pas terminer un travail sur lequel elle n’arrive pas à se concentrer.

« Une personne atteinte de TDA est irritable parce qu’on lui en demande trop », affirme le Dr Lamm.

Il ne faut pas poser trop vite ce diagnostic, car un trouble bipolaire traité par erreur comme un TDA peut aussi causer des sautes d’humeur, en raison des effets du médicament sur le cerveau et le système nerveux, prévient le Dr Deitz.

Une commotion cérébrale

Une blessure à la tête peut provoquer une commotion, même si la victime n’a pas perdu connaissance. Surveillez les manifestations de vertiges ou d’étourdissements et les changements d’humeur prolongés.

« Si une dizaine de jours après une blessure à la tête, la personne change de personnalité et s’emporte sans raison, elle pourrait avoir subi une lésion cérébrale grave », met en garde le Dr Deitz.

Pilules amaigrissantes

« Lorsqu’une personne a des sautes d’humeur, je me demande toujours ce qu’elle avale », affirme le médecin.

Il s’intéresse en particulier au, selon lui x médicaments amaigrissants en vente libre qui« survoltent le métabolisme, font transpirer, rendent les gens anxieux et favorisent les accès de colère ».

Des médicaments

Surveillez bien les effets secondaires de certains médicaments ! La prednisone parfois prescrite contre les allergies ou l’asthme, par exemple, cause souvent des sautes d’humeur.

« À fortes doses, la prednisone suscite un stress physiologique qui peut être source d’irritabilité, selon le Dr Deitz. Il faut être à l’affût de tout changement. »

Une hyperthyroïdie

Une surproduction d’hormones thyroïdiennes peut se traduire par des palpitations cardiaques, une sudation excessive et une sensation d’hyperactivité.

« C’est ce qu’on appelle ‘être sur les nerfs’, affirme le Dr Lamm. Cette sensation peut provoquer de l’irritabilité. »

Un trouble obsessionnel compulsif

Les gens obsédés par le rangement et l’ordre risquent davantage de se fâcher si quelque chose n’est pas à sa place.

« Une personne atteinte d’un trouble obsessionnel compulsif (TOC) est tout à fait heureuse quand on la laisse faire ce qu’elle veut. Elle se fâche toutefois quand on essaie de modifier ses routines », .

http://selection.readersdigest.ca/

Allergie aux acariens : un réel handicap au quotidien


Il impossible pour ceux allergiques aux acariens d’éviter ces petites bêtes et malheureusement cela peut rendre la vie compliquée. Il est donc important d’être diagnostiqué si des symptômes sont présents pour être traités
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Allergie aux acariens : un réel handicap au quotidien

 

phugunfire/shutterstock.com

Les allergiques aux acariens savent qu’il est difficile d’échapper à ces petits arthropodes, qui prolifèrent toute l’année dans nos maisons. Et les conséquences sur leur vie quotidienne est loin d’être anodine. Sport, sorties entre amis et même travail… une enquête montre que l’impact de cette allergie va plus loin qu’une simple gêne.

Eternuements, congestion nasale, maux de tête, démangeaisons et parfois asthme… Les manifestations d’une allergie aux acariens sont nombreuses. Le laboratoire ALK a souhaité en savoir plus sur les conséquences de ces symptômes sur le quotidien des patients. Il a donc commandé une enquête à l’institut OpinionWay.

Celle-ci a permis de souligner que « les symptômes les plus handicapants sont liés aux affections nasales », note le laboratoire. Ainsi « les éternuements (71% des adultes fortement ou moyennement handicapés) et les écoulements nasaux arrivent en tête des désagréments les plus cités, suivis par les démangeaisons et les yeux gonflés ou rouges ».

« Mais d’autres symptômes pouvant révéler une maladie plus grave touchent une bonne partie des répondants », poursuit-il. « Les difficultés à respirer, une toux chronique ou encore des sifflements dans la poitrine sont en effet des signes avant-coureurs de l’asthme. » D’ailleurs, « l’asthme touche près d’un patient sur deux ».

Peur de la crise

Ce handicap a des conséquences sur la vie au quotidien, sous forme de fatigue et d’irritabilité, y compris dans la vie professionnelle. Pour 76% des patients leurs performances sont altérées au travail.

Enfin, « plus des deux tiers des répondants déclarent être obligés de renoncer à certaines activités lors d’une crise d’allergie, ou par crainte de la déclencher », ajoute le laboratoire.

La pratique d’un sport et les activités qui impliquent la présence d’animaux sont les plus souvent évoquées, mais les sorties entre amis et les départs en vacances sont également source de problème.

« Cette étude vient donc appuyer la nécessité de faire de la pédagogie auprès des patients pour dépister et soigner le plus tôt possible leur allergie aux acariens », conclut le Dr Antoine Chartier, Directeur médical chez ALK France.

https://destinationsante.com

Partir vivre sur Mars, c’est subir un décalage horaire permanent à vous rendre fou


La rotation de la planète Mars, n’est pas la même que celle de la Terre, donc un changement des fuseaux horaires tous les 3 jours. Cela aura des effets sur l’humeur, l’attention, les troubles du sommeil et bien d’autres symptômes. Si la NASA réussit à amener des colons, mieux vaut savoir dans quoi ils s’embarquent, et cela, sans compter les autres obstacles qu’ils devront affronter
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Partir vivre sur Mars, c’est subir un décalage horaire permanent à vous rendre fou

 

Mars | Nasa via Flickr CC License by

Mars | Nasa via Flickr CC License by

Repéré par Emeline Amétis

Repéré sur Five Thirty Eight

À force de rajouter quarante minutes chaque nuit, l’horloge de Mars finirait par être tellement décalée qu’en quelques semaines, elle sonnerait midi à l’équivalent de minuit sur Terre.

Si la Nasa envisage la colonisation de Mars par l’humanité, vivre sur la planète rouge ne sera pas de tout repos pour les Terriens, selon un article du site Five Thirty Eight. Comme notre planète, Mars tourne sur elle-même mais plus lentement. Une rotation de Mars prend 39 minutes et 25 secondes de plus que les 24 heures que l’on connaît sur Terre. Ceux qui auraient la «chance» de déménager sur Mars, vivraient donc en décalage horaire permanent: ces quelques minutes de plus reviendraient à traverser deux fuseaux horaires d’est en ouest tous les trois jours.

«Nous vivons notre vie selon l’écoulement du temps, mais sur Mars, ce serait différent sur tous les points. Nous aurions besoin d’un nouveau vocabulaire, d’un nouveau rythme circadien et d’un millier d’autres ajustements. Une journée n’aurait rien à voir avec celles que l’on connaît sur Terre», affirme Five Thirty Eight.

Troubles du sommeil et irritabilité

À force de rajouter quarante minutes chaque nuit, l’horloge de Mars finirait par être tellement décalée qu’en quelques semaines, elle sonnerait midi à l’équivalent de minuit sur Terre. Et les conséquences finiraient elles aussi par se faire ressentir.

«Vous pourriez ressentir un brouillard cognitif qui vous ferait oublier des choses et vous condamnerait à mettre davantage de temps à apprendre de nouvelles. Vous pourriez commencer à faire des erreurs», suppose le site, d’après des expériences menées sur des souris réveillées à six heures de différence chaque semaine.   

La plupart des scientifiques qui ont travaillé selon l’horloge martienne l’ont détesté. Five Thirty Eight donne une longue liste d’exemple: en juillet 1997, quand le Sojourner rover et le Pathfinder lander ont exploré la planète, les scientifiques de la Nasa se sont mis à l’heure martienne. Ils ont abandonné avant que la mission ne soit terminée.

Plus récemment, en janvier 2004, 250 ingénieurs et contrôleurs de la Nasa ont retenté l’expérience à l’occasion de l’exploration des rover Spirit et Opportunity: 82% d’entre eux se sont plaints de troubles du sommeil, d’irritabilité, de manque d’attention et d’énergie.

«Les somnifères sont les médicaments les plus utilisés pendant les missions spatiales», écrit le site.

Tout n’est pas perdu

En bref, il ne ferait pas bon de dormir sur Mars. Et quand le rythme circadien est perturbé, le métabolisme ralentit: vous pourriez prendre du poids, vous sentir fatigué tout le temps, avoir plus de chances de devenir diabétique et/ou de développer un cancer. Sans compter la gravité moindre de la planète rouge et les effets secondaires qu’elle engendre, parmi lesquels vision trouble, maux de tête…

Ceci dit, tout n’est pas perdu.

«Avec la bonne lumière et un sommeil organisé, nous pourrions adapter nos rythmes circadiens aux journées martiennes», contrebalance Five Thirty Eight.

Mais cela n’arrivera pas sans une lumière artificielle qui imiterait parfaitement la perception des rayons du soleil sur Terre: la distance qui sépare Mars du Soleil est environ 1,5 fois supérieure à celle qui sépare la Terre du Soleil, ses effets ne sont donc pas du tout les mêmes sur la planète rouge.

http://www.slate.fr/

Menstruations: les hommes en auraient les symptômes


Outre la douleur et du sang dû aux règles, les hommes auraient aussi les symptômes du cycle menstruel tel que la fatigue, l’irritabilité et l’envie d’irrésistible de manger
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Menstruations: les hommes en auraient les symptômes

 

Menstruations: les hommes en auraient les symptômes

Apparemment, l’irritabilité est le symptôme le plus prégnant.Photo Cover Media

Un homme sur quatre souffrirait aussi de périodes menstruelles. Cette étonnante découverte est tirée d’un sondage effectué sur 2412 sujets en couple depuis au moins 12 mois. La moitié des participants étaient des hommes et 26 % d’entre eux semblaient souffrir de symptômes souvent liées aux règles.

Visiblement, les femmes interrogées n’étaient pas vraiment surprises, et 2/3 d’entre elles confirmaient que les «menstruations masculines» existaient effectivement. Et d’après 1/5 des femmes sondées, leur compagnon avait bien plus de mal à gérer cette période qu’elles-mêmes.

Apparemment, l’irritabilité est le symptôme le plus prégnant, avec 56 % des sujets touchés, alors que la fatigue arrive en seconde position, avec 51 %. 47 % d’entre eux déclaraient de leur côté qu’ils ressentaient des petites faims alors que 43 % des sondés se disaient carrément insatiables à la période du mois fatidique. Enfin, 15 % des sujets interrogés se sentaient régulièrement ballonnés.

Les femmes montraient beaucoup d’empathie envers leur compagnon et 43 % d’entre elles se sont dites particulièrement aux petits soins quand ce difficile moment à passer arrivait. D’après le docteur Jed Diamond, auteur de The Irritable Male, il est avéré que les hommes ont eux aussi leurs règles. Il a même donné un nom à cet étonnant syndrome: l’Irritable Male Syndrome.

«On pense souvent que le comportement des femmes est dicté par leurs hormones et celui des hommes par la logique, écrit-il dans son livre. Mais les hommes sont aussi touchés par des cycles hormonaux qui influent sur leur niveau d’énergie, leur colère, leur appétit sexuel et leur irritabilité.»

Les règles masculines sont étudiées depuis longtemps – et certains chercheurs pensent que les niveaux d’hormones des hommes sont régulés, à l’instar de ceux des femmes, par le cycle de la lune.

http://fr.canoe.ca/