Des entreprises américaines abandonnent la NRA


Depuis que les adolescents ont décidé de prendre en main des protestations contre le gouvernement américain et la NRA, on voit certaines choses bougés. Cela sera t’il suffisant pour qu’il y a un meilleur contrôle des armes ? En tout cas, pour le moment, et pour la première fois, la NRA perd des plumes
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Des entreprises américaines abandonnent la NRA

 

NEW YORK — Dans la foulée de la récente tuerie survenue dans un établissement scolaire de la Floride, certaines entreprises américaines remettent en question leurs investissements, partenariats et autres ententes avec l’industrie des armes à feu et sa porte-parole sur la scène publique, la National Rifle Association (NRA).

Des pétitions en ligne s’en prenant aux compagnies qui proposent des réductions aux membres de la NRA ont commencé à circuler et le mot-clic #BoycottNRA a la cote sur Twitter.

Pour une deuxième journée consécutive vendredi, certaines de ces sociétés, dont les noms apparaissent sur le site de la NRA, ont coupé les ponts avec l’organisation, qui continue à s’opposer farouchement à tout resserrement des règles régissant les armes à feu aux États-Unis.

Parmi ces entreprises figurent la compagnie de location d’automobile Hertz, qui a annoncé sur Twitter qu’elle mettait fin à son programme de réduction pour les membres de la NRA, la compagnie d’assurance MetLife et la société informatique Symantec, qui fabrique notamment l’antivirus Norton.

Les défections se sont produites un jour après que l’entreprise de location de voiture Enterprise, qui possède aussi Alamo et National, eut révélé qu’elle cesserait dorénavant d’offrir des réductions aux membres de la NRA et que la First National Bank of Omaha, l’une des plus importantes banques privées du pays, eut signalé qu’elle ne renouvellerait pas son entente de carte de crédit Visa avec la NRA.

La fusillade survenue le 14 février à l’école secondaire Marjory Stoneman Douglas à Parkland, au nord de Miami, a coûté la vie à 17 élèves et membres du personnel.

http://journalmetro.com/

Espèces menacées: nouvel instrument de spéculation financière pour l’élite chinoise


C’est une mentalité que je ne comprends pas du tout. Cela va au-delà de toute logique. Ces riches mettent de l’argent pour acquérir des espèces menacées pour faire plus d’argent quand ils auront totalement disparus .. De quoi à faire prendre beaucoup de risque pour les braconniers. Bref c’est choquant et le mot est faible
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Espèces menacées: nouvel instrument de spéculation financière pour l’élite chinoise

 

Patrice Juneau

Oubliez les REER, l’immobilier ou les terres agricoles pour assurer vos vieux jours. Selon l’élite chinoise, l’avenir est dans les espèces menacées.

Dans plusieurs entrepôts de Chine, des centaines de carcasses de tigres baignent en ce moment dans des cuves remplies d’herbes diverses et de vin de riz. Au cours des mois et des années à venir, ce vin d’os de tigre sera embouteillé (dans des bouteilles en forme de tigre) et par la suite vendu entre 80$ et 300$ la bouteille. Plus les carcasses baignent longtemps dans cette mixture, plus les bouteilles sont dispendieuses.

L’élite chinoise se procure un grand nombre de ces bouteilles de contrebande pour miser sur leur valeur future, comme d’autres investiraient dans l’art, les antiquités ou les métaux précieux. Comme le faisait récemment remarquer le journaliste John R. Platt (Scientific American), cette nouvelle forme de spéculation alimente grandement le trafic d’espèces en voie de disparition, l’élite chinoise pariant que la valeur de ces produits montera en flèche une fois les animaux complètement disparus.

On trouve dans cette nouvelle classe «d’actifs» non seulement les tigres (il n’en reste que 3200 sur la planète; 95% de moins qu’il y a cent ans), mais aussi les éléphants, les rhinocéros, les ours et même quelques espèces d’arbres. Or, plus le nombre de «collectionneurs» augmente, plus le trafic d’espèces menacées est rentable pour les braconniers.

À témoin, le prix de l’ivoire est passé de 564$ à 2100$ le kilogramme au cours de la dernière décennie. À l’heure actuelle, 93 éléphants sont massacrés chaque jour en Afrique (la moitié des individus décimés en cinq ans au Mozambique). La population de girafes, nouvelle cible des braconniers, est quant à elle passée de 140 000 à moins de 80 000 individus en 15 ans (certaines tribus croient que manger du cerveau de girafe protège du VIH). Le tout dernier rhinocéros blanc mâle sur la planète est pour sa part protégé jour et nuit par des soldats kényans (on comptait plus de 2000 individus dans les années 1960).

La médecine traditionnelle chinoise était jusqu’à tout récemment la principale cause du trafic d’espèces menacées, la croyance populaire prêtant des vertus curatives à certaines parties animales (os de tigre pour les rhumatismes, la malaria et les ulcères; cornes de rhinocéros pour les convulsions, la fièvre et le délire; sang de tortues pour le cancer, etc.). Tout cela a changé avec la crise financière de 2008. En moins de deux ans, diverses ONG ont remarqué de plus en plus de produits dérivés d’espèces menacées vendus à des fins spéculatives et non médicinales.

La découverte de cette nouvelle tendance a forcé le gouvernement chinois à interdire la vente d’os de tigres et de cornes de rhinocéros dans les nombreux encans du pays. Cette décision est à l’origine d’une perte à gagner de 322 millions $ pour les encans chinois en 2012. Mais ce commerce n’est pas disparu. Il a simplement migré sur le web et les médias sociaux.

Une petite bague en ivoire peut aller chercher jusqu’à 1000$ dans ce type de marché. Une corne de rhinocéros peut atteindre quant à elle plus de 100 000$. Les produits sont vendus sous des pseudonymes : «matériel africain» ou «plastique blanc» pour l’ivoire, «rouge» pour les becs de Bucerotidae, «t-shirts rayés» pour la peau de tigre et «noir» pour les cornes de rhinocéros. Il est possible de participer aux forums se prêtant à ce genre de commerce illicite sur invitation seulement.

Le prix des cornes d’éléphants et de rhinocéros les plus élaborées a tellement monté que seuls les Chinois les plus riches peuvent les acquérir. Mais ils ne sont pas les seuls acheteurs. La nouvelle classe moyenne, qui aspire à la richesse, veut elle aussi sa part du gâteau. Elle acquiert donc de plus petits items moins dispendieux, dans l’espoir qu’ils prendront de la valeur une fois les espèces complètement disparues. Mais même si les items sont plus petits, l’impact de 500 millions de personnes issues de la classe moyenne se fait sentir. La population chinoise étant d’environ 1,4 milliards d’habitants, même un petit pourcentage peut avoir des conséquences gigantesques.

La spéculation n’est pas le seul motif pour acquérir tous ces objets illégaux. Leur grande valeur en fait aussi une commodité intéressante, les «cadeaux» (pots-de-vin) étant une tradition chinoise particulièrement bien vivante. Plusieurs commerçants indiquent en effet qu’un grand nombre de leurs clients achètent du vin d’os de tigre ou des cornes d’ivoire pour soudoyer des fonctionnaires ou s’attirer les faveurs de partenaires d’affaires potentiels. La médecine cède ainsi sa place à la corruption, au grand dam des espèces menacées.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

La Lune est-elle à vendre ?


    Cette manie que nous avons a tout s’approprié pour faire de l’argent Ils ont réussi à trouver les lacunes dans les traités en rapport avec la lune pour que ce satellite naturel soit rentable par des sociétés a but lucratif
    Nuage

     

    La Lune est-elle à vendre ?

    La Lune photographiée en novembre 1969 par la mission Apollo 12. © Nasa

    La Lune photographiée en novembre 1969 par la mission Apollo 12. © Nasa

Par Azar Khalatbari

Acheter une parcelle sur notre satellite pour y construire des usines, des logements, etc. ? C’est ce que réclament des compagnies spatiales privées. Une demande pas si incongrue, au regard d’une législation qui date…

INVESTIR. L’agence de presse Reuters a divulgué une information début février 2015 qui est passée inaperçue de ce côté-ci de l’Atlantique : l’agence gouvernementale américaine chargée de l’aviation civile (FAA, Federal Administration Aviation) a officiellement reconnu pour la première fois que

« le désir du secteur privé de protéger ses investissements et son personnel amenés à travailler sur la Lune ou sur d’autres corps célestes » était légitime.

Autrement dit, ces compagnies privées devraient pouvoir… acheter des terrains et ériger des constructions pour leur propre compte sur d’autres planètes, exactement comme elles le font sur Terre lorsqu’elles décident d’investir dans n’importe quel pays !

Si ces intentions de la FAA venaient à être concrétisées par des propositions de lois, ce serait alors, on l’imagine bien, un tournant majeur dans la course à l’espace ! Pour l’heure, la Lune, notre satellite naturel, est protégé par le traité de l’espace de l’ONU, l’Organisation des Nations unies, datant de 1967. Mais les nouveaux acteurs du spatial ne sont plus des États mais des sociétés commerciales à but très lucratif. Et la pression qu’ils commencent à exercer sur les instances internationales devrait aller crescendo ! En effet, à l’origine de cette demande auprès de la FAA, on trouve Bigelow Aerospace, une entreprise de Las Vegas (États-Unis) qui projette déjà d’utiliser laStation spatiale internationale (ISS) à des buts commerciaux, de développer des habitats lunaires gonflables et d’organiser l’exploitation des ressources minières de notre satellite.

Le texte de l’ONU contraint les États, pas les entreprises privées

Ses concurrents nouvellement arrivés sur le marché espèrent faire de même : Deep Space Industries, créé en 2013 avec pour objectif d’exploiter les ressources minières… des astéroïdes ; Planetary Resources, financé par les deux très médiatiques Américains Larry Page (fondateur de Google) et Eric Schmidt (ancien directeur de Google) associé au Canadien James Cameron (réalisateur et explorateur des fonds marins), qui rêvent d’exploiter, eux aussi, les réserves d’eau et de platine des astéroïdes. Tout ce beau monde des affaires profite d’ailleurs du « coup de pouce » de Google qui a lancé le lunar X-prize, un prix qui promet 30 millions de dollars à l’équipe qui parviendra la première à rejoindre la Lune, à y parcourir au moins 500 mètres et à transmettre un très grand nombre d’images vers la Terre.

DÉROGATIONS. Tous ces entrepreneurs privés voient l’espace comme la nouvelle frontière de l’humanité destinée à être dépassée, investie et colonisée. Et les investisseurs prêts à les y aider exigent, en contrepartie, des garanties de privatisation. Face à ce flux de demandes, les défenseurs d’un espace international exempt de droits de propriété n’ont — comme arme — que ce traité de l’ONU vieux de 48 ans signé et ratifié par la totalité des puissances spatiales (États-Unis, Russie, France, Grande-Bretagne, Chine, Inde, Australie…). Celui-ci stipule que l’espace extra-atmosphérique (orbite terrestre, Lune et corps célestes compris) est libre d’accès aux États, sans que l’un d’eux puisse se l’approprier ou y tester des armes. La moindre dérogation doit faire l’objet d’un accord international. Son objectif était de préserver cette région pendant la guerre froide durant laquelle l’URSS et les États-Unis tentaient de démontrer leur supériorité militaire à travers la course à l’espace.

Mais les entreprises privées peuvent échapper à ce traité adapté aux États et s’installer en toute légalité dans les quelques pays qui n’ont pas ratifié le traité (îles, pays africains et républiques ex-soviétiques), ce qui n’est pas encore le cas… Le texte de 1967 a cependant été renforcé par le traité sur la Lune, proposé en 1979, au moment où les voyages lunaires semblaient se généraliser. Applicable depuis 1984, il stipule que les voyages vers la Lune doivent être effectués à des fins pacifiques. Mais les grandes puissances spatiales — à part la France — ne l’ont pas ratifié… En attendant, pour mettre en pratique leurs souhaits de coloniser la Lune, ces sociétés doivent surmonter une foule de problèmes techniques : exposition aux rayons cosmiques, impesanteur, production de denrées alimentaires… Ce qui peut encore procurer un délai précieux aux défenseurs d’un espace exempt de tout acte de propriété pour tenter de faire pression sur les instances internationales afin d’obtenir une législation adéquate. La course de la dernière chance.

http://www.sciencesetavenir.fr/

Les «chimpanzés» meilleurs que les hommes pour investir en Bourse


Si j’ai bien compris … les singes seraient meilleurs pour augmenter le portefeuille a la bourse. Hum, il y a des gens qui doivent se sentir insultés quelque part
Nuage

 

Les «chimpanzés» meilleurs que les hommes pour investir en Bourse

 

Les indices boursiers constitués de façon aléatoire sont plus performants que... (Photo archives AP)

PHOTO ARCHIVES AP

Agence France-Presse
Paris

Les indices boursiers constitués de façon aléatoire sont plus performants que les indices pondérés par capitalisation boursière, ce qui revient à dire qu’un chimpanzé investirait plus efficacement qu’un homme, selon une étude lundi de la Cass Business School de Londres.

«Nous avons réalisé une simulation informatique consistant à sélectionner et à pondérer de manière aléatoire un échantillon de 1000 actions, ce qui revient à évaluer les capacités d’un chimpanzé en matière d’investissement sur le marché», explique le professeur Andrew Clare, coauteur de l’étude, cité dans un communiqué.

L’étude, fondée sur des données collectées tous les mois aux États-Unis de 1968 à 2011, a répété cette procédure aléatoire 10 millions de fois pour chacune des 43 années étudiées, précise le chercheur.

En conclusion, «la quasi-totalité des 10 millions de chimpanzés-gestionnaires de fonds ont réalisé de meilleures performances que les indices pondérés par capitalisation», poursuit le communiqué, citant M. Clare.

L’étude, publiée sous forme de deux articles par le cabinet Cass Consulting de la Cass Business School, qui fait partie de la City University de Londres, portait sur les méthodes alternatives de construction d’indices boursiers, précise le communiqué.

http://www.lapresse.ca/

Notre vie est un compte bancaire


Avoir un mauvais crédit sur notre mode de vie a des conséquences facheuses .. d’ou l’importance de bien gérer notre vie pour ne pas être a découvert
Nuage

 

Notre vie est un compte bancaire

 

Les nombreuses demandes auxquelles nous devons faire face peuvent nous mener à l’épuisement émotif et physique. Nous contribuons à notre propre déficit lorsque nous donnons plus que nous ne recevons.

Étant donné que nous avons été programmés pour donner et que le fait de recevoir nous paraît égoïste, il nous faut beaucoup de courage pour doser ce qu’il est juste et raisonnable de donner.

Considérez votre vie comme un compte bancaire : combien de retraits et de dépôts quotidiens pouvez-vous porter à votre compte, en termes d’efforts physiques, de sentiments, d’intelligence et d’esprit? En fait, notre vie est un compte bancaire sur lequel nous retirons ou permettons aux autres d’effectuer de trop nombreux retraits.

 Afin de rétablir l’équilibre budgétaire, nous devons encaisser les crédits à profusion et consentir aux débits avec parcimonie. Si les sommes débitables aux plans physique, émotif, mental ou spirituel sont trop nombreuses, alors notre compte devient à découvert.

Il en résulte de la frustration, de la colère, de l’épuisement. Mais lorsque nous portons à notre crédit en fonction de limites réalistes, nous avons plus à donner. Même s’il nous est difficile de nous occuper de nous-mêmes, cela s’avère un excellent investissement.En veillant de la sorte sur nous-mêmes, nous nous assurons de n’avoir pas de découvert.

 En établissant des limites réalistes, j’investis sur mon existence. Je peux choisir ce que je donnerai et ce que je ne donnerai pas. J’instaure l’équilibre en veillant à mes besoins d’ordre physique, émotionnel, mental et spirituel.

Sagesse de femme, Sue Patton Thoele