Ces fourmis déposent mystérieusement des fleurs autour d’un bourdon mort


À voir cette vidéo, nous avons l’impression qu’il s’agit de rite funéraire que les fourmis font sur ce bourdon mort. L’anthropomorphisme est une habitude bien humaine, mais la réalité peut être tout autre, comme le biologiste qui émet des suppositions plus réalistes.
Nuage

 

Ces fourmis déposent mystérieusement des fleurs autour d’un bourdon mort

 

 

La scène est incompréhensible et ressemble à un surprenant rituel.

« On dirait qu’elles organisent des funérailles », a écrit l’auteure de la vidéo, l’Américaine Nicole Webinger, dans un message l’accompagnant, rapporte le pureplayer Reshareworthy ce 22 août. 

On y voit des fourmis déposer des pétales, l’une après l’autre, autour du corps d’un bourdon, lui créant un véritable lit de petites fleurs roses. Personne ne sait expliquer pourquoi, bien que la scène évoque un rite funéraire.

L’écologiste du comportement Mark Elgar de l’université de Melbourne explique d’ailleurs qu’il compte « l’utiliser pour enseigner la biologie de première année l’année prochaine, pour illustrer le pouvoir de la suggestion ».

En effet, en tant qu’êtres humains, nous voyons ce qui ressemble à un rituel funéraire. Mais si nous nous arrêtons réellement pour réfléchir à ce que nous voyons, il s’agit objectivement d’un groupe de fourmis qui entasse des pétales auprès d’un bourdon mort, tandis que d’autres se promènent aux alentours. Tout est une question d’interprétation à ce stade, mais le Pr Elgar estime peu probable qu’il s’agisse vraiment d’un rituel.

Une chose est certaine : les bourdons comme les fourmis libèrent un acide oléique lorsqu’elles sont mortes. Les premiers se contentent alors de jeter les cadavres hors de la ruche, tandis que les secondes transportent leurs membres décédés vers un tas isolé. Certains pensent que, réagissant aux même signaux chimiques, les fourmis auraient pu déplacer le bourdon et l’entourer de pétales. Quand d’autres suggèrent que les fourmis l’ « embaument » de fleurs pour masquer l’odeur de la carcasse à d’autres prédateurs et la consommer plus tard. Quoi qu’il en soit, l’un comme l’autre comportement n’aurait encore jamais été observé auparavant.

Pour Mark Elgar, l’explication est peut-être plus simple.

« Le bourdon barre peut-être l’entrée du nid des fourmis, voilà pourquoi il y aurait un certain nombre de pétales autour de lui, et d’autres fourmis arrivant avec davantage de pétales. »

 À quoi il ajoute qu’il pourrait également s’agir d’une mise en scène pour obtenir une belle image. Qu’elle soit belle est la seule chose dont on peut être sûr.

 

http://www.ulyces.co/

Comme les humains, les chiens distinguent mots et intonations


Je pense que plusieurs s’en doute que les chiens peuvent reconnaitre l’intonation de leur maître ou des gens de son entourage. Cependant, les chercheurs ont pu le prouver et ainsi voir que ce sont les mêmes zones du cerveau qui s’activent que celles des humains
Nuage

 

Comme les humains, les chiens distinguent mots et intonations

 

© thinkstock.

Les chiens ont la capacité de distinguer les mots et les intonations grâce aux mêmes régions du cerveau que les humains, révèle une étude sur la manière dont le meilleur ami de l’homme interprète notre langage.

Publiée lundi dans la revue américaine Science, elle montre que le cerveau canin prête attention à la fois à ce que nous disons et à la manière dont nous le disons, expliquent des chercheurs de l’université Eötvös Loránd de Budapest. Les chiens comme les humains utilisent l’hémisphère gauche du cerveau pour interpréter les mots et des régions de l’hémisphère droit pour analyser l’intonation.

Le centre du plaisir dans leur cerveau n’est activé que lorsque des paroles de gentillesse et de louanges sont accompagnées de la juste intonation, ont déterminé ces chercheurs. Selon eux, ces observations suggèrent que les mécanismes neuronaux permettant de traiter les mots ont évolué beaucoup plus tôt qu’estimé jusqu’alors et qu’ils ne sont pas uniques au cerveau humain.

L’étude montre que si un environnement est riche en paroles comme c’est le cas dans une famille où vit un chien, les représentations du sens des mots peuvent se développer même dans le cerveau d’animaux incapables de parler.

« Le cerveau humain non seulement analyse séparément les mots que nous entendons mais aussi la manière dont ils sont dits, intégrant les deux types d’informations pour parvenir à un sens », explique Attila Andics du département d’éthologie de l’université Eötvös Loránd.

« Nos conclusions suggèrent que le cerveau des chiens fonctionne de manière très similaire?, une découverte qui pourrait aussi aider à faciliter la communication et la coopération entre chiens et humains, poursuit-il.

Pour cette étude, ces scientifiques ont dressé treize chiens pour qu’ils restent couchés totalement immobiles pendant un scanner du cerveau afin de mesurer leur activité cérébrale alors qu’ils écoutaient parler leur maître. Ils ont constaté que les chiens activaient une zone de l’hémisphère droit du cerveau pour distinguer une intonation signalant la gentillesse et une ne l’indiquant pas.

Ce même centre cérébral traite des sons qui suscitent des émotions mais qui ne sont pas des paroles, avaient déjà identifié ces chercheurs. La même zone du cerveau humain joue un rôle similaire, suggérant que les mécanismes d’interprétation des intonations ne sont pas spécifiques à la parole.

Selon ces scientifiques, ce qui « rend les mots uniquement humains ce n’est pas une capacité neuronale particulière mais notre créativité pour leur utilisation ».

http://www.7sur7.be/

L’attitude émotionnelle


Nous appréhendons souvent les évènements sans prendre de laisser le temps passer .. voir la suite Nos émotions répondent presqu’instantanément par des sentiments et des phrases toutes faites .. alors que notre attitude anticipe et pourtant la réalité pourrait être tout autre si nous laissons le présent agir
Nuage

 

L’attitude émotionnelle

 

 

Parfois on se complique la vie en lui donnant des interprétations qui vont nous nuire.

Pensez que ce ne sont pas les évènements qui influencent vos émotions, mais l’interprétation que nous en faisons.

Un évènement est une réalité, mais nos perceptions émotionnelles de celui ci créeront notre état d’esprit et notre état d’ esprit fera se reproduire les évènements auxquels nous nous sommes « habitués ».

Ils nous seront familiers et nous pourrons dire « je le savais, toujours la même chose ! » avec a l intérieur presque un sentiment de victoire…je le savais ma vie c est toujours la même galère…et le message part  la haut au point central de l univers…au disque dur qui enregistre


Pourquoi ? Vous y avez mis une telle intensité dans cette phrase, une telle  sensation de victoire !!!   Victoire ? Oui, la victoire dans le : « savoir que ça allait ce passer comme cela, comme d  habitude !!! ».

 

 Sarah

info-bonheur

Le sens des émotions


La nature humaine a besoin de ses émotions pour s’exprimer. Ils sont un langage en eux-même soit pour nous aider a mieux s’équilibré ou encore qui signifie que nous avons des problèmes a régler. Les émotions peuvent quand même nous amener vers des horizons sinueux quand ils sont exagérés par notre perception des événements .. Les reconnaitre est important pour retrouver un équilibre de vie
Nuage

Le sens des émotions

© Shutterstock

 

«Ce qui ne s’exprime pas s’imprime et nous déprime.»

Un dicton populaire qui encourage à exprimer nos émotions, toutes nos émotions, sous peine de dépression ou de brûlements d’estomac. Mais est-ce si vrai?

Par Yvon Dallaire, psychologue – Collaboration spéciale

 

Réaction ou existence

Encore faudrait-il faire la différence entre une réaction et une existence émotive. Il y a cinq grandes émotions de base: peur, tristesse, colère, culpabilité et joie. Réagir émotivement devant une situation donnée est tout à fait légitime. Mais le fait de réagir émotivement à propos de tout et de rien peut être le signe d’une existence névrotique.

Nos émotions sont des réactions que notre corps nous envoie pour signifier que certains de nos besoins, légitimes ou non, sont satisfaits ou insatisfaits. Ce sont donc des moyens que notre corps nous envoie pour que nous prenions soin de nos besoins et trouvions des moyens pour les satisfaire. Les émotions sont très utiles, car elles assurent ainsi notre survie.

La colère

Réagir par la colère à une attaque mettant notre vie en danger est tout à fait justifié. Mais se mettre en colère pour des riens signifie que nous n’acceptons pas que l’autre soit autre, que l’autre ne fasse pas ce que l’on attend de lui.

«C’est à cause de ton retard si je suis en colère».

Ce qui est tout à fait faux.

C’est mon interprétation du retard de l’autre qui est responsable de ma colère (il n’a pas le droit d’être en retard), pas le comportement de l’autre. Mon conjoint est responsable de son comportement, mais je suis pleinement responsable de ma réaction à son retard. J’aurais pu en profiter pour faire autre chose en l’attendant. L’existence colérique empoisonne l’auteur de la colère, ainsi que son entourage.

La tristesse

La tristesse normale s’exprime lorsqu’il y a une perte, créant ainsi un vide. L’existence dépressive signifie que notre vie est vide, que la vie est plate, que rien ne nous stimule. Or, la fonction du vide est d’être…rempli. Ma responsabilité consiste donc à entretenir ce vide ou à me prendre en main pour remplir ce vide avec ce que je veux réellement.

Pleurer pour des raisons valables attirera certes la compassion de notre conjoint. Mais utiliser la tristesse pour que mon conjoint remplisse mon vide éloignera plutôt mon conjoint… et agrandira mon vide, créant ainsi un cercle vicieux destructeur.

La peur

Mieux vaut avoir peur avant de traverser une rue achalandée. Mais être paralysé par la peur (de perdre mon conjoint, par exemple), développer des phobies qui restreignent mon comportement ne peut que miner la confiance en soi.

Pourtant, la peur possède un objectif vital: apprivoiser la source de mes peurs. La peur de l’isolement signifie qu’il me faut apprivoiser la solitude et apprendre à être bien avec moi-même, la seule personne avec laquelle je suis assuré de passer le reste de ma vie.

La culpabilité

Il est logique de payer vos contraventions parce que vous êtes coupable d’une infraction. Mais toujours se remettre en question parce que l’on a l’impression que tout ce qui va mal est de notre faute ou qu’il va sûrement arriver un malheur parce que je vis un moment de bonheur est tout autre chose.

Vous savez à quoi sert la culpabilité? À RIEN. Sauf à vous taper sur la tête, ce qui n’est pas très productif. La culpabilité n’est pas synonyme de la responsabilité.

Responsabilité veut dire: la capacité de répondre adéquatement à une situation donnée. Par exemple, arrêter de croire que je ne suis pas aimable parce que mon conjoint m’a quitté. Je parlerai de la joie, seule émotion agréable, dans une prochaine chronique.

http://fr.canoe.ca

Être son meilleur ami


Avant de s’ouvrir au gens, il faut d’abord apprendre a mieux se connaitre et s’aimer avec nos différences, améliorer ce qui peut être améliorer et accepter ce qu’on ne peut pas changer
Nuage

Être son meilleur ami

Devenez votre propre meilleur ami. Cela nous permet de répondre avec justesse et objectivité à ce que vous vivez.

En effet, si votre propre image que vous avez de vous-même est "tronquée", il est aussi difficile de voir le monde tel qu’il est parce que vous recevez l’image en retour que vous envoyez de vous-même.

Les interprétations confirment alors ce que vous ressentez… Aimez-vous et acceptez-vous !

Michel Poulaert