Le Saviez-Vous ► Votre chien ou votre chat vous mangerait-il si vous mouriez ?


C’est glauque comme question !! Mourir sans que personne le sache alors qu’un ou des chiens ou chats sont encore présents. Qui va les nourrir ? Servirons-nous de repas si des animaux domestiques ne peuvent pas sortir d’eux-mêmes ?
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Votre chien ou votre chat vous mangerait-il si vous mouriez ?

 

 

par Clara Zerbib, journaliste animalière

 

C’est une question terrible que se posent (ou pas) de nombreux propriétaires d’animaux : si vous veniez à mourir subitement, seul dans votre appartement, votre chien ou votre chat vous mangerait-il pour survivre ?

Le chien, meilleur ami de l’Homme… vraiment ?

On dit souvent que le chien est le meilleur ami de l’Homme. Mais aussi que c’est l’être le plus fidèle qui soit. Entièrement dévoué à son maître, il vit pour le satisfaire. Si l’on se fie à cette description plutôt élogieuse, il apparaît peu probable qu’un chien puisse dévorer son humain adoré. Il devrait normalement préférer mourir de faim, la vie n’ayant de toute façon plus aucun sens sans son maître.

En réalité, ça ne se passe pas vraiment comme ça… Même s’il existe de nombreuses histoires de chiens qui se sont laissés mourir de chagrin après le décès de leur humain, sur le moment c’est tout de même l’instinct de survie qui prime. En effet, les chiens descendent des loups et, malgré leur domestication, ils ont gardé certains instincts de leurs ancêtres sauvages.

Ainsi, si votre chien se retrouve enfermé dans votre maison avec pour seule source de nourriture votre cadavre, il semble évident qu’il n’hésitera pas un seul instant. Mais seulement au bout de plusieurs jours, quand la faim le tiraillera vraiment…

Plusieurs jours… ou pas !

… Enfin, c’est ce qu’on aimerait croire. En réalité, dans 24% des cas il s’est écoulé moins d’une journée avant que les chiens ne commencent à manger leur propriétaire. Parfois même ils avaient accès à leur nourriture habituelleMais comment l’expliquer ?

Il s’agit en fait probablement d’une façon pour eux d’extérioriser leur stress provoqué par ce décès soudain de leur propriétaire. La panique qui les gagne les pousse à tenter de faire réagir leur maître en le poussant, en le léchant puis en le mordant. Or, la morsure peut stimuler la faim.

Pour preuve, 73% des cas impliquaient des morsures au visage contre 15% à l’abdomen. Pourtant, c’est la poitrine et l’abdomen que les loups ont tendance à manger en premier. En effet, c’est là que se trouvent les organes les plus riches en nutriments.

Quels sont les chiens concernés ?

La plupart des cas documentés de chiens qui ont dévoré une partie du corps de leur propriétaire sont des chiens de chasse ou de travail. Il s’agit généralement de chiens de moyenne ou de grande taille. En effet, le plus petit chien à avoir adopté ce comportement était un Beagle.

Par ailleurs, dans trois cas où les propriétaires ont été mangés par leurs chiens jusqu’à être décapités, il s’agissait de Bergers Allemands.

À noter que les chiens craintifs, sujets à l’anxiété de séparation, peuvent être plus enclins à adopter ce type de comportement.

Et le chat ? 

Si vous mourez inopinément dans votre maison et que votre chat a la possibilité de sortir, il y a de fortes chances pour qu’il retourne à l’état sauvage. Ou tout du moins qu’il tente de chasser des proies pour se nourrir (rongeurs, oiseaux…). Et il n’attendra pas d’être affamé pour ça ! Au contraire, nos amis félins comprennent vite ce qu’il se passe. Ils savent immédiatement que, vous mort, leur seule issue est de s’en aller.

Et qu’en est-il si votre chat est coincé dans l’appartement avec votre dépouille ? Eh bien, tout comme le ferait un chien, il y a de grandes chances pour qu’il finisse par vous manger. Dans ce cas, les félins ont tendance à commencer par dévorer les parties molles, notamment le nez et les lèvres.

Source

https://animalaxy.fr/

Le Saviez-Vous ► Pourquoi les chiens mangent-ils de l’herbe ?


Les animaux savent se servir de la nature pour se soigner, les animaux domestiques ont encore cet instinct. Le chien mange de l’herbe pour des raisons médicales, il faut juste s’assurer que l’herbe n’est pas traité de produits chimiques et que l’animal soit vermifugé.
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Pourquoi les chiens mangent-ils de l’herbe ?

 

 

Vous avez peut-être constaté que votre chien consomme occasionnellement de l’herbe. Ce comportement est normal. En revanche, s’il commence à en ingurgiter de plus en plus, il faut en tenir compte et faire attention. En effet, votre chien est susceptible d’être malade.

Les raisons qui poussent un chien à manger de l’herbe

Les vétérinaires sont d’accord pour dire que la consommation d’herbe est due à plusieurs facteurs :

  • L’instinct : le régime alimentaire du loup était composé de viandes, de baies et d’herbes. Le chien possède ce comportement inné et il est donc tout à fait normal que votre compagnon agisse instinctivement en consommant de l’herbe.
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  • Pour se purifier l’estomac : un repas mal digéré et votre chien voudra ingurgiter une importante quantité d’herbe pour irriter la paroi de son estomac et donc vomir. En revanche, même après un bon repas, le chien peut consommer un peu d’herbes pour faire une purge, « nettoyer » en quelque sorte son estomac.

  • Le pica : lorsque votre chien mange presque en permanence de l’herbe, du sable ou de la terre, il est sujet au pica. Il est préférable de consulter son vétérinaire, car le pica peut être dû à des troubles du pancréas, de l’estomac ou du comportement.

  • Par manque de fibres : l’herbe préférée des chiens est le chiendent, car elle est riche en fibres. Si le régime alimentaire de votre chien comporte des carences en fibres, il est possible qu’il aille en consommer en dehors de ses repas. Dans ce cas, vous pouvez ajouter des fibres aux repas de votre chien avec des carottes, du brocoli, du céleri.

Attention à l’herbe consommée !

En règle générale, la consommation d’herbe n’est pas inquiétante. Il faut toutefois faire attention à l’herbe que votre chien consomme. En effet, si votre herbe est traitée avec des insecticides ou des produits chimiques, cela peut avoir de graves conséquences sur l’état de santé de votre compagnon.

Par ailleurs, il faut aussi veiller à ce que votre animal soit vermifugé, car les parasites déposent leurs œufs sur l’herbe.

Source

https://animalaxy.fr/

Le Saviez-Vous ► Pourquoi les chiens enterrent-ils leurs os ?


Creuser pour un chien fait parti de son comportement ainsi qu’enterrer les os permet comme ses ancêtres de conserver les restes
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Pourquoi les chiens enterrent-ils leurs os ?

 

chiens

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Regardez-les faire les innocents ! Crédits : Pixabay

par Louison

Si vous êtes propriétaire d’un chien et que vous possédez un jardin, vous avez sûrement déjà râlé en voyant votre chien retourner le gazon.

 Cependant, le chien qui creuse dans le sol ou qui enterre son os est aussi un gag courant de BD ou de dessins animés. Mais ce « gag » vient d’un comportement complètement normal. Mais alors : pourquoi les chiens creusent-ils et enterrent-ils leurs os ?

Pourquoi les chiens aiment-ils creuser ?

Dans cette question, il y a deux comportements distincts. Tout d’abord, le fait de creuser. Creuser est en fait un jeu pour votre chien. Cela lui permet de se dépenser et de découvrir des choses enterrées. Plus le chien est autorisé à creuser quand il s’ennuie, plus il le fera, parce que pour lui, c’est un jeu. Si vous voulez que votre chien arrête de creuser, vous avez plusieurs solutions :

  • Le surveiller quand il sort et jouer avec lui quand il commence à s’ennuyer.
  • Grillager les endroits où il n’a pas le droit d’aller, par exemple des parterres de fleurs (attention, cela ne l’empêchera pas de creuser).
  • Aménager un espace, comme un tas de sable dans lequel vous lui faites prendre l’habitude d’aller creuser en enterrant ses jouets dedans.

Pourquoi les chiens enterrent-ils leurs os ?

Il s’agit ici d’une situation différente d’un jeu. En effet, il y a quelques milliers d’années, le chien était un charognard et un chasseur. Cela veut dire qu’il ne savait pas quand serait son prochain repas. Ainsi, quand celui-ci tombait sur une grosse carcasse, il mangeait puis enterrait le reste. Ainsi, il se constituait des réserves – notamment pour une période durant laquelle il ne trouverait plus rien. Ce serait cet instinct qui pousserait nos chiens (qui sont pourtant bien nourris) à conserver le surplus en l’enterrant dans le jardin.

Source

https://lesavaistu.fr/

Le Saviez-Vous ► Pourquoi trouve-t-on les chatons si mignons?


Pourquoi les chatons nous attirent plus que les chiots, les chatons ont un peu l’aspect des bébés, selon les chercheurs, qui par instinct, on veut les protéger sans compter que nous aimons la douceur de la fourrure, de leur binette si mignonne
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Pourquoi trouve-t-on les chatons si mignons?

 

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A kitten licking its paw | Eric Han via Unsplash License by

Repéré par Aurélie Rodrigues

C’est à cause de notre instinct.

 

Repéré sur The Guardian

Vivre avec un chat peut s’avérer être une tâche ardue: réveils en pleine nuit, miaulement intempestif pour avoir de la pâtée, oiseaux morts dans la cuisine, petit «cacadeau» caché dans un coin du salon, morsures et griffures à répétition… Pourtant, près de 30% des foyers français possèdent un chat comme animal de compagnie –bien loin devant les 20% qui possèdent un chien.

Mais pourquoi trouve-t-on ces petites boules de poiles si mignonnes?

Dean Burnett, spécialiste en neurosciences, maître de conférences à l’université de Cardiff et cat lover s’est penché sur la question pour The Guardian.

L’être humain a besoin de contacts doux et réconfortants

Des études ont montré que les primates cherchent instinctivement un contact doux et agréable –de préférence celui de ses parents ou d’un proche.

Comme l’explique The Guardian, ce besoin pourrait provenir d’une évolution du concept de «toilettage social»: une pratique gratifiante et importante dans le développement des jeunes primates et autres mammifères.

Plus la fourrure est «attrayante» et douce plus notre envie sera puissante. La fourrure douce et duveteuse des chatons fait partie des éléments qui font que nous les trouvons mimis –cela explique aussi pourquoi il est très rare de trouver des animaux «visqueux» ou «écailleux» mignons.

Le «schéma enfant» ou «Kindchenschema»

Lors de ses premières recherches sur la mignonnerie des animaux, Konrad Lorenz, un scientifique et éthologue autrichien, a créé l’expression «Kindchenschema». Ce mot-valise désigne l’aptitude humaine à réagir de façon innée à des êtres vivants ressemblant à des bébés. Plus ils ressemblent à un bébé, plus on les trouvera mimi. La taille de la tête et des yeux disproportionnée par rapport au reste du corps est une composante importante. C’est pourquoi nous trouvons que les chatons sont si mignons: eux-aussi eux aussi adoptent ces caractéristiques.

L’instinct de prendre soin de plus faible que soi

Certains animaux conservent leur fourrure douce et duveteuse à l’âge adulte, tout en restant de petite taille. Pourtant, notre cerveau sera plus attiré par un bébé chat plutôt que par un chat adulte. Comme le précise The Guardian, notre cerveau est en quelque sorte «piraté» par des processus neurologiques puissants. Ce phénomène s’explique par notre besoin instinctif de prendre soin des bébés et des êtres que nous considérons plus vulnérables que nous.

La prochaine fois, si on vous accuse de trop aimer les chats, vous pourrez toujours dire que votre cerveau a été «piraté».

http://www.slate.fr/

Une baleine sauve une biologiste d’un requin tigre


C’est assez spécial comme comportement des baleines à bosse. On peut comprendre que par instinct que les baleines se protègent entre elles des requins. Mais à protéger un humain, c’est étonnant. C’est ce qu’une baleine à bosse a fait pour protéger une biologiste qui travaille pour protéger les baleines, et cette fois-ci, ce sont les baleines qui l’ont protégé d’un requin-tigre
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Une baleine sauve une biologiste d’un requin tigre

 

Christophe Da Silva

Pour Nan Hauser, cette scène serait le premier cas enregistré de protection d’humains par des baleines contre des requins.

« J’ai passé les dernières 28 années à protéger les baleines, et jusqu’à maintenant, je ne savais même pas qu’elles me protégeaient », a avoué la biologiste.

La scène s’est déroulée près des îles Cook, dans le Pacifique Sud. Sur les images, la biologiste Nan Hauser nageait avec une baleine à bosse et n’a pas vu le requin tigre d’environ trois mètres de long s’approcher d’eux.

« Elle n’a pas arrêté de me pousser »

C’est alors que la baleine à bosse de 25 tonnes a protégé la femme, la recouvrant de ses nageoires. Le mammifère marin a même soulevé Nan Hauser sur son dos à la surface de l’eau.

« Je n’étais pas sûre de ce que la baleine faisait quand elle s’est approchée de moi et elle n’a pas arrêté de me pousser pendant plus de 10 minutes. Cela semblait être des heures », a confié Nan Hauser au journal The Independent.

Question d’instinct

Pour Nan Hauser, qui assure qu’une seconde baleine tentait aussi de repousser le requin, c’est la preuve de l’instinct des baleines à protéger les autres êtres vivants.

« J’ai passé les dernières 28 années à protéger les baleines, et jusqu’à maintenant, je ne savais même pas qu’elles me protégeaient », a conclu la biologiste.

http://www.7sur7.be/

Comment laisser aller votre passé


Je n’aime pas tellement les coachs de vie, mais j’aime bien la façon dont elle présente les choses en cas d’échecs. J’estime que ses conseils ne sont pas justes pour les échecs professionnels, mais aussi pour les échecs personnels
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Comment laisser aller votre passé

 

OLYA KUZOVKINA UNSPLASH

L’échec fait partie de la vie. Voici comment passer par-dessus

Personne n’aime l’échec. En tant qu’êtres humains, nous sommes programmés pour nous protéger contre la douleur. Quand nous avons mal, notre instinct est de changer les choses pour le mieux, et ce, le plus rapidement possible.

Le problème, c’est que souvent, on n’apprend pas à affronter l’échec. On cache nos vrais sentiments à l’égard du problème et on les garde enfouis en nous.

Apprendre à laisser aller le passé peut nous aider à affronter une situation d’échec dans le futur.

«Pour se relever d’un échec et aller de l’avant, on doit intégrer les leçons apprises, recalibrer pour innover, et élargir la situation à qui on est aujourd’hui – pas ce que nous pensions que nous allions devenir» dit l’auteure Cassie Mendoza-Jones à HuffPost Australie.

Mendoza-Jones est une coach d’alignement professionnel et une conférencière motivatrice qui vient de lancer son deuxième livre, It’s All Good, un guide pratique pour accepter qui l’on est à travers les difficultés (disponible au Canada le 17 octobre).

Mendoza-Jones suggère quelques façons de passer à travers l’échec et de laisser aller le passé.

C’est correct de changer d’avis

«Saviez-vous que vous avez le droit de changer d’idée? Après une défaite, quand vous traversez des moments difficiles, ou quand vous retenez de vieilles croyances sur vous-même qui pourraient vous ralentir, vous pouvez changer d’avis», dit Mendoza-Jones.

Comme le fait de prendre une décision sur ce que vous voulez manger et porter, vous pouvez choisir de faire face à la douleur et à la défaite de façon plus douce et compatissante.

«Vous décidez aujourd’hui comment vous allez prendre soin de vous, comme vous décidez ce que vous allez manger pour déjeuner.»

«C’est vous qui décidez comment vous voulez investir votre temps, votre énergie et votre attention. Vous pouvez aussi décider avec qui vous voulez passer du temps (en général!). Vous pouvez décider de recommencer à zéro et de reconnaître les choses qui n’étaient plus sur les rails. C’est nécessaire pour pouvoir être qui vous êtes aujourd’hui.»

«C’est correct de changer d’idée. Vous avez le pouvoir de choisir – qu’est-ce que vous devez laisser aller? À quoi avez-vous besoin de vous aligner? Qu’est ce que vous voulez incarner davantage?» dit Mendoza-Jones.

Arrêtez de capoter sur l’avenir

On capote sur l’avenir quand on essaie de prévoir les problèmes du futur pour les empêcher d’arriver, et ce, afin d’éviter la douleur.

«Pour devenir la meilleure version de nous-même, avec les défis, les échecs et tout- on doit vivre dans le moment présent.»

ROB BYE UNSPLASHS’en faire pour le futur ne changera pas le résultat.

«Quand on est inquiets, on pense au futur parce qu’on pense que ça va nous aider à résoudre un problème qui n’est pas encore survenu» dit Mendoza-Jones.

«Mais en fait, ce que j’ai trouvé, c’est que ça prend toute notre énergie. Au lieu de ça, rapportez votre énergie au moment présent et soyez ancrés et présents. C’est de là qu’on peut avancer et se montrer sous notre meilleur jour.»

Ayez de la compassion envers vous-même (et vivez dans le présent)

Vous devez regarder votre passé – et votre échec – dans les yeux, les reconnaître, et ensuite vous permettre d’avancer grâce à eux – pas en dépit d’eux.»

«Avant, j’étais trop difficile envers moi-même quand en fait, ça n’avait pas d’importance. En me tapant sur la tête, tout ce qui se passait, c’est que je vivais dans le passé et que je me permettais de rester coincée dans le regret, la douleur, la colère, le ressentiment et la honte.»

Vous devez vous enlever du poids sur les épaules.

«Réalisez que si vous pouviez avoir fait les choses différemment, vous l’auriez fait. Maintenant, ayez de la compassion envers vous-même.»

BROOKE CAGLE UNSPLASH

«N’ayez pas peur de vos idées, des temps difficiles, ou de votre ancien système de croyances. À la place, élargissez-vous à ce que vous êtes aujourd’hui en regardant vos défis dans les yeux, en prenant les leçons nécessaires pour votre croissance, et en continuant à avancer,» a dit Mendoza-Jones.

«Vous êtes assez fort pour traverser les épreuves auxquelles vous faites face. Croyez en vous.»

Ayez confiance que vous êtes exactement où vous devez être

Mendoza-Jones croit que vous êtes exactement où vous devez être, même si vous ne le pensez pas.

«Les choses ont une drôle de façon de fonctionner, et si elles ne fonctionnent pas, c’est parfaitement correct. Ce n’est pas joyeux de microgérer sa vie. Vous allez trouver que le courant passe mieux si vous laissez aller les perceptions rigides de votre esprit par rapport à où vous pensiez être.»

«Soyez ici, maintenant, aujourd’hui, et honorez-vous pour ce que vous êtes. C’est de cet espace que vous pouvez faire des actions concrètes pour aller de l’avant. C’est seulement avec cette mentalité que vous pourrez vous faire confiance et vous abandonnez au plan général» dit Mendoza-Jones.

Ce texte initialement publié sur le HuffPost Australie a été traduit et adapté de l’anglai

http://quebec.huffingtonpost.ca

Les pour et les contre de laisser son chat sortir


    Je respecte ceux qui aiment mieux garder leurs chats à la maison et que de toute façon, en appartement ce n’est pas toujours évident. Je me pose quand même la question, avons-nous droit de décider à leur place ? Contrairement aux chiens, les chats sont indépendants et selon leur personnalité, ils devraient pouvoir choisir, mais c’est mon humble avis
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    Les pour et les contre de laisser son chat sortir

    La décision de laisser son chat ou son chaton s’aventurer à l’extérieur ou de le garder à la maison n’est pas à prendre à la légère. Voici quelques conseils pour peser le pour et le contre.

    Pour tous ceux qui en ont la possibilité, la question de laisser accès à l’extérieur à votre chaton ou chat adulte va forcément se poser un jour. Avant de décider, il est préférable de vous interroger sur certains points : l’intérêt et les avantages de ces sorties pour votre animal, les éventuels dangers, etc. Les réponses vous permettront de choisir la meilleure des solutions, et pour vous, et pour votre matou.

    La personnalité et les besoins de votre chat

    Gardez en tête que, bien qu’ils soient à l’origine des chasseurs, tous les chats n’aiment pas nécessairement sortir. Chaque animal a sa propre personnalité et ses préférences. Ainsi, un chat qui aura essentiellement vécu dehors avant d’être adopté aura certainement du mal à rester enfermer et aura besoin pour son bien-être d’avoir accès à l’extérieur. A l’inverse, un chat qui aura longtemps vécu en intérieur ne ressentira pas le besoin de sortir, ou un autre qui aurait vécu une expérience traumatisante en extérieur (avec un autre animal notamment) rechignera peut-être à mettre son museau dehors. Chez le chaton vivant en intérieur, cet appel de grands espaces peut se faire entendre comme ne jamais se manifester. Apprenez à connaître et écouter votre boule de poils pour décider avec lui.

    La plupart des chats sont d’un naturel curieux et certains voudront partir en exploration au-delà des murs de votre maison ou appartement pour vivre de nouvelles aventures sensorielles. Toutefois, certains matous d’intérieur connaîtront une vie toute aussi épanouie sans aller dehors, pourvu que leur environnement soit suffisamment stimulant.

    Les avantages de laisser votre chat sortir

    C’est évidemment en extérieur que votre chat pourra le mieux suivre son instinct de chasseur, vivre de nouvelles expériences et faire de l’exercice. En explorant, courant, se cachant, se roulant, sautant, grimpant, faisant ses griffes, même dans un espace limité, il aura en effet moins de risques de prendre du poids et toutes les stimulations (plantes, odeurs, insectes, lumières) participeront à son bien-être.

    N’hésitez pas à lui aménager une litière naturelle à l’extérieur et à laisser un coin d’herbes où il appréciera se tapir et jouer.

    Les risques

    Si les stimulations sont nombreuses à l’extérieur pour votre chat, les dangers peuvent l’être tout autant. A commencer par les voitures si vous vous trouvez à proximité d’une route, qu’elle soit plus ou moins fréquentée. Les autres animaux (sauvages ou de compagnie) peuvent aussi représenter une menace s’ils se montrent agressifs. Des bagarres peuvent lui infliger des blessures et l’exposer à des maladies infectieuses.

    Un chat dehors peut par ailleurs être exposé à diverses substances toxiques comme les granulés anti-limaces, la mort-aux-rats ou l’antigel mais aussi à des plantes toxiques : le lys, le muguet, le jasmin étoilé, la jonquille, la tulipe, le rhododendron ou encore le cyclamen, ainsi qu’à des parasites (puces, vers, tiques).

    Et bien sûr, un chat qui sort et s’aventure trop loin court toujours le risque de se perdre ou bien de rester coincer dans le garage ou la maison de quelqu’un.

    Evaluer les risques et prendre des précautions

    Avant de vous décider, il est donc impératif d’évaluer les risques potentiels auxquels pourrait être exposé votre animal. Vous trouvez-vous proche d’une route ? Vos voisins ont-ils des animaux ? Cultivez-vous des plantes toxiques pour lui ? Votre jardin est-il clos ? Le chat a-t-il moyen de rentrer facilement dans la maison si personne n’est présent pour lui ouvrir ?

    Si vous choisissez de le laisser sortir, un certain nombre de précautions s’imposent :

  • Vérifier les vaccinations de votre chat

  • Le faire pucer pour qu’il puisse être identifié s’il se perd

  • Le faire stériliser

  • Le traiter régulièrement contre les vers, les puces et les tiques et vérifier son pelage lorsqu’il rentre

  • Le munir d’un collier anti-étranglement avec un médaillon d’identification

  • Installer une chatière s’il sort lorsque vous n’êtes pas là (vous pouvez choisir une chatière à reconnaissance électronique)

  • Eviter de le laisser sortir lors des heures de pointes ainsi que la nuit si vous habitez près d’une route

  • Observer ses explorations et vérifier qu’il ne va pas déranger vos voisins (en rentrant chez eux ou en faisant ses besoins dans leur jardin)

  • Lui fournir une litière extérieure, à l’abri des regards, voire même un endroit où il pourra se réfugier s’il se sent en danger mais ne peut pas rentrer

  • Veillez à ce qu’aucun produit chimique et objets coupants ne soient dehors et demandez aux voisins de faire de même

  • Assurez-vous qu’il n’y ait pas de plantes toxiques dans votre jardin/balcon/terrasse

    Peut-on laisser sortir son chaton ?

    A l’échelle d’un chaton, le monde extérieur est si vaste qu’il peut être aussi intriguant qu’effrayant. Il ne sert donc à rien de précipiter les choses et un intérieur peut représenter un espace d’exploration et de jeux suffisants. Si toutefois vous voulez faire profiter votre petit félin du grand air en toute sécurité, il est préférable d’observer en amont quelques précautions supplémentaires.

  • Protégez votre chaton des maladies infectieuses et attendez une semaine après sa première série de vaccins, son vermifuge et son traitement anti-puces avant de le laisser sortir

  • Ne le laissez jamais seul, accompagnez-le toujours à l’extérieur

  • Privilégiez un endroit et un horaire calme, le moindre bruit risquant de lui faire peur

  • N’oubliez pas qu’un chaton peut courir très vite, surtout s’il est effrayé

  • Limitez les courtes périodes de jeu dehors puis rentrez-le

  • Vérifiez que votre clôture ne comporte pas de trous ou recouvrez la balustrade de votre balcon pour qu’il ne passe pas au travers

  • Recouvrez les sources d’eau (bassin, fontaine, etc.) dans lesquelles il pourrait tomber et se noyer

    Ne pas laisser sortir son chat

    Après avoir pris en compte les avantages et inconvénients à laisser sortir votre chat, vous pouvez tout à fait décider qu’il est préférable pour lui de rester à l’intérieur. Si vous aménagez celui-ci en conséquence, il n’y a aucune raison pour que votre matou ne vive pas heureux, en bonne santé et épanoui.

    Créer un environnement stimulant vous évitera en effet quelques inconvénients tels que la prise de poids due à une activité physique moindre, un plus grand risque de développer du diabète ou de l’arthrose, la frustration de ne pas entièrement donner libre cours à son instinct qui se traduira par un chat qui fait ses griffes partout et urinera en dehors de sa litière, ou encore une dépendance plus grande à votre présence pour s’occuper.

    Certaines solutions simples et peu coûteuses vous permettront de faire de votre intérieur un lieu stimulant et sûr pour votre matou :

  • Un arbre à chat et/ou un accès sans danger à des meubles en hauteur et aux fenêtres

  • Des jouets distributeurs de nourriture l’aideront à ne pas manger trop ni trop vite et fourniront une activité physique et mentale

  • Une activité ludique régulière en votre compagnie

  • Des jouets faits maison qui l’occuperont de longues minutes

  • Des recoins isolés dans lesquels il pourra se cacher

Attention, les chats même d’intérieur doivent être pucés. S’il venait à s’échapper malgré votre vigilance, il sera ainsi identifiable et vous le retrouverez plus facilement. Veillez également à ce qu’aucune plante toxique ne se trouve chez vous et que les issues (portes, fenêtres, etc.) sont bien fermées.

https://wamiz.com

En 2017, les chats seront plus connectés en Saskatchewan


La technologie à la rescousse des chats dans un refuge au Canada. Et oui, il y a des applications pour ça ! Des applications interactives qui permettent au chat de garder leur instinct de chasseur
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En 2017, les chats seront plus connectés en Saskatchewan

 

Les jouets traditionnels pour chats sont désormais de l’histoire ancienne à la Humane Society de Regina. L’organisme mise sur un nouveau programme de stimulation pour les chats recueillis par le refuge : les applications interactives sur les tablettes.

Il y a déjà quelque temps que les outils technologiques ont fait leur entrée dans le monde animal et pendant la période des Fêtes de 2016, la société de protection des animaux réginoise a décidé d’embrasser la tendance.

«Le programme vise à stimuler mentalement les chats qui n’ont pas de famille pour le faire», explique la directrice générale Lisa Koch qui y voit un «simple outil» permettant de «garder les animaux heureux et en santé», en attendant que ceux-ci trouvent un foyer.

«Les félins demeurent actifs en chassant sur la tablette différents types de proies, à divers degrés de difficultés. Et ils captent aussi l’attention des bénévoles qui sont à leurs côtés, le meilleur des deux mondes», explique Lisa Koch.

«Les chats entretiennent ainsi certains aspects de leur instinct naturel comme la chasse, mais ils reçoivent également l’attention des bénévoles aimant qui travaillent sur place», affirme-t-elle.

La Humane Society de Regina précise qu’elle est à la recherche de tablettes usagées pour développer le programme davantage, mais aussi de bénévoles âgés de 12 ans et plus.

D’après un reportage de Raluca Tomulescu.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Chat guide d’aveugle, véritable alternative au chien ou fantasme ?


Il a déjà eu un chat guide, ce fut un cas vraiment exceptionnel. Mais, peut-on vraiment éduquer un chat comme pour les chien-guides ? Sachant que minou est indépendant de par sa nature ? Quelle race de chat serait un bon candidat ?
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Chat guide d’aveugle, véritable alternative au chien ou fantasme ?

 

Le premier chat guide d’aveugle

Le seul chat guide connu à ce jour, c’est Baby ! Il s’était fait connaître en 1947 aux Etats-Unis grâce au magazine Life. Ces derniers lui consacraient à l’époque un reportage photo suite à sa récompense reçue pour un dévouement sans faille à sa maîtresse aveugle.

Premier chat guide d'aveugle

© Loran Smith

Baby, c’était l’inséparable compagnon de Carolyn Swanson. Cette femme malvoyante était aidée au quotidien par son matou. Tenu en laisse par sa propriétaire lors de ses déplacements,il suffisait amplement à la vieille dame pour effectuer tous ses gestes du quotidien, sans l’aide de ses voisins.

«L’histoire de Baby est un cas exceptionnel»

Si seules certaines races, comme les Labrador, les Golden Retriever et les Berger Allemand sont prédestinées à devenir chiens guides, comment un chat pourrait-il le devenir ?

Pour un certain nombre d’experts, espérer voir un chat devenir guide d’aveugle est compliqué voire même impossible.

Marie-Hélène Bonnet, comportementaliste animalier spécialiste du chat nous a confié que

«l’histoire de Baby est un cas exceptionnel. Elle vient d’une reconnaissance et d’une fusion extraordinaire entre Carolyne et son chat, créant un lien protecteur entre les deux. C’est d’ailleurs le seul cas connu depuis 70 ans».

Chat guide d'aveugle

© Royal Institute for Blind

En effet, les félins sont connus pour être des animaux territoriaux dépassant rarement la limite de leur territoire durant les sorties. Vous avez donc peu de chance d’arriver à destination lorsque ces derniers vous guident ! De plus, les matous seraient de grands solitaires se considérant comme l’égal de l’Homme.

Le chien, lui, a toujours vécu en meute avec une hiérarchie omniprésente, même si l’humain a aujorud’hui remplacé le mâle alpha. Par conséquent, si le chien obéit et travaille pour nous, c’est avant toute une question d’instinct, sans oublier qu’il le fait par plaisir. Le chat, quant à lui, agit et pense différemment.

La taille et la force du chat sont d’autres freins à la fonction de guide d’aveugle : l’animal qui va guider une personne malvoyante doit avoir une taille adaptée à son humain. C’est d’ailleurs pour cela qu’aucun chien de petite taille n’effectue ce travail. De plus, il doit être capable d’ouvrir un tiroir ou de porter certains objets, ce qu’il sera dans l’incapacité de faire dû à son manque de force.

Néanmoins, si une formation du chat existait, elle serait similaire à celle du chien : conditionnement positif, ritualisation, jeux et clicker training. On doit cependant y ajouter une phase de sélection dès le plus jeune âge à la suite de laquelle un seul chaton de la portée sera apte à être éduqué.

En effet, ce dernier doit s’habituer et s’imprégner du contact humain jusqu’à en ressentir un besoin constant, comme pour les chiens. Sans oublier que cette formation serait inemployable en considérant un éventuel changement de propriétaire. Si un éducateur avait la chance, au bout de plusieurs années, d’apprendre à son chat à lui porter assistance, le félin ne le ferait sûrement pas avec une autre personne. Dans le cas présent, l’éducateur devra être le malvoyant. D’autant plus que la formation serait nettement plus longue que celle du chien.

Chat guide d'aveugle

© Royal Institute for Blind

Toutefois, la race de chat la plus apte à devenir guide d’aveugle serait le Siamois. En effet, cette boule de poils est sûrement l’une des races les plus intelligentes. Son plus gros avantage : leur capacité à imiter certains gestes humains, comme ouvrir les portes.

Si le chat réussissait à devenir un animal utilitaire tel que le chien, ce dernier pourrait gagner une place considérable au sein de notre société.

Bien qu’il soit tout de même en constante évolution dûe à l’augmentation de sa population et le culte félin sur les réseaux sociaux, s’il ne devient pas le «meilleur ami de l’homme» à cause de son caractère indépendant, il pourrait devenir «l’ami préféré de l’homme», selon le vétérinaire comportementaliste Stéphane Tardif. 

Malheureusement, pour la plupart des spécialistes, le chat aura peu de chance de devenir notre futur guide d’aveugles… Et ce, même à l’avenir, ces derniers n’ayant pas évolué depuis les années passées : leur instinct d’animal indépendant et solitaire ne devrait pas changer, leur refusant une nouvelle fois la place de guides. Toutefois, certains experts s’autorisent à croire à l’arrivée de chats assistants, ayant par exemple la possibilité de rapporter des petits objets.

Quelques mots sur les chiens guides…

Le parcours du chien-guide n’est, quant à lui, pas des plus reposant… Avant d’être confié aux mains d’une personne malvoyante, le toutou va traverser un parcours du combattant jusqu’à ses 18 mois. C’est à cet âge-là qu’il se verra discerner son certificat d’aptitude.

Alternant une vie entre famille d’accueil et école de chiens guides, le toutou suivra son apprentissage à l’aide d’éducation positive se basant sur des récompenses, des friandises, des jeux et des caresses.

Par Charline Béduit

Crédits photo : Royal Institute for Blind

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Votre chat est plus actif la nuit ? Voilà pourquoi !


Il y a des chats qui s’habituent au rythme des humains, mais d’autres ont encore leur instinct de chasseur et préfère être actif la nuit
Nuage

 

Votre chat est plus actif la nuit ? Voilà pourquoi !

 

Par Deborah KoslowskiCrédits

photo : Shutterstock

Vous aimez profondément votre matou, le choyez tant et si bien qu’il ne manque de rien et pourtant, à la nuit tombée, il passe du sage docteur Jekyll au terrible M. Hyde…

Doux, câlin, joueur, calme, gentil, toujours prêt à ronronner de bon cœur… pas de doute, votre chat est le plus adorable de tous. Néanmoins, quand vient la nuit et l’heure d’aller se coucher pour vous, quelque chose se passe dans la tête de votre tigre de salon le poussant à une étrange hyperactivité alors même que vous n’aspirez à rien d’autre qu’à trouver une place dans les bras de Morphée. D’ailleurs, à peine avez-vous fait votre entrée dans le sommeil profond que déjà, il part à l’aventure et n’hésite pas à se jeter sur le bout de votre nez avec la ferme intention de vous réveiller.

Le chat, un chasseur

Pourquoi tant de haine pour votre repos, vous demandez-vous ? Sachez tout d’abord que le chat est un animal polyphasique, rappelle Amandine Roulet, comportementaliste spécialiste du chat. C’est-à-dire que plusieurs phases s’alternent dans son rythme de vie. Aussi, si certains félins sont capables de s’adapter au point de suivre la même cadence que leurs maîtres – se lever, manger, jouer, manger, jouer, dormir – ; d’autres sont restés fidèles à leur instinct primaire.

Domestiqués depuis bien moins longtemps que les chiens, les chats ont en effet gardé leur amour pour la chasse. En plus, leur ancêtre n’était ni plus ni moins qu’un prédateur nocturne. Vous l’aurez compris, c’est donc un comportement qui est inscrit dans leurs gènes et la nuit est le moment que vos compagnons octroient donc à leurs passe-temps favoris. Ils privilégieront la journée pour dormir afin d’être en forme pour se nourrir et se défouler la nuit. Et puisque vous êtes leurs colocataires préférés étant donné que vous les chouchoutez, c’est naturellement qu’ils vous font profiter de leur horloge interne féline.

Ce que vous devez faire

Malheureusement, les folles nuits des chats sont totalement incompatibles avec vos journées à vous. Quelques solutions toutes simples s’imposent donc pour ne pas nuire à vos relations : déjà, ne le disputez pas car il agit de façon naturelle. Si possible, ne réagissez pas à ces sollicitations afin qu’il se lasse et aille voir ailleurs. Par ailleurs vous pouvez également faire en sorte de faire évoluer ses habitudes en le tenant éveillé la journée grâce à des jeux et surtout, mettez en place une routine qui leur permettra de bien identifier vos temps de repos.

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