Plus de 125 chiens saisis en Chaudière-Appalaches


Une autre saisie dans une usine à chien. Si on pourrait éliminer toutes ces usines sur le territoire québécois, les chiens s’en porterais beaucoup mieux.  Espérant quand même que ces chiens vont trouver des nouveaux foyer
Nuage

 

Plus de 125 chiens saisis en Chaudière-Appalaches

 

Lors de leur visite des installations, les inspecteurs d’ANIMA-Québec, mandatés par le MAPAQ, ont jugé que les chiens n’étaient pas gardés dans un endroit considéré salubre et convenable.

PHOTO: FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE

La Presse Canadienne
Québec

Plus de 125 chiens ont été saisis vendredi dans un centre d’élevage commercial de la région Chaudière-Appalaches, en raison des mauvaises conditions de détention des animaux.

L’établissement visé, que refuse d’identifier pour le moment le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ), a échoué une inspection de la Humane Society International (HSI). Cette organisation a constaté de nombreuses infractions liées à la sécurité et au bien-être des nombreux chiens qui se trouvaient sur place.

Lors de leur visite des installations, les inspecteurs d’ANIMA-Québec, mandatés par le MAPAQ, ont jugé que les chiens n’étaient pas gardés dans un endroit considéré salubre et convenable. Ils ont alors recommandé de procéder à une saisie, en vertu de la Loi sur la protection sanitaire des animaux.

Les bêtes secourues, la plupart étant de petites races de chiens, ont été transportées vers un refuge d’urgence. Dans les prochains jours, ils seront confiés aux soins de vétérinaires.

Il faudra attendre la décision d’un juge avant de déterminer si les animaux doivent être rendus à leur propriétaire ou orientés vers des sociétés de protection des animaux en vue de leur adoption.

Aucune arrestation n’a encore été effectuée dans le dossier.

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Usines à chiots Les saisies se multiplient


Comment cela se fait-il après l’indignation des traitements des chiens fait dans les usines a chiens que le gouvernement piétine encore alors qu’en Ontario, c’est rendu plus sévère ?  Encore une chance que certaines animaleries ont arrêter de vendre des chiens et des chats justement pour aider la cause .. Acheter un chien dans un chenil, ca vaut la peine de visiter les lieux et de voir comment sont entretenus les animaux Car il existe des chenils qui sont  reconnus pour leur qualité de leur travail. Et ne pas oublier les refuges, il y a tant d’animaux qui ne demande qu’un foyer pour enfin vivre tranquillement
Nuage

 

Usines à chiots : Les saisies se multiplient

 

Usines à chiots - Les saisies se multiplient

La SPA avait reçu une plainte concernant des activités d’élevage douteuses. Mais elle était loin de se douter de l’horreur cachée entre ces murs.

© Capture d’écran / Agence QMI

La prolifération des usines à chiots illégales inquiète au Québec.

Il y a des centaines de milliers de chiens élevés dans des conditions inimaginables de malpropreté, des chiens qui sont malades et qui ne sont là que pour reproduire et pour rapporter beaucoup d’argent à leur propriétaire.

Ils sont plusieurs centaines à opérer ce type de commerce qui donne froid dans le dos.

Le 8 mars dernier, l’escouade de la Société Protectrice des Animaux des Cantons a investi une résidence unifamiliale de la rue Duchaîneau à Roxton Falls. La SPA avait reçu une plainte concernant des activités d’élevage douteuses. Mais elle était loin de se douter de l’horreur cachée entre ces murs.

À l’intérieur d’un petit cabanon, ils ont retrouvé des chiennes entassées sur le point d’avoir leurs rejetons, des cages souillées par les excréments et l’urine, des bols de nourriture et d’eau contaminés.

« Faites attention, ils sont nerveux. Il y en a des non-voyants là-dedans. Ils n’ont pas vu la lumière. Ils risquent de capoter. Donc, on y va tranquillement », a précisé l’un des employés de la SPA lors de la frappe.

Dans le garage, les agents de la SPA ont été confrontés à la même vision d’horreur.

 « Dans chacune des cages, on retrouve un mâle et une femelle. Ces chiens sont là juste pour procréer, sans égards, à leur état de santé qui est soit dit en passant pitoyable », a martelé le directeur de la SPA des Cantons, Carl Girard.

43 chiens mal-en-point

Un à un, les chiens ont été retirés des deux bâtiments extérieurs. L’opération aura duré une bonne heure, permettant aux employés et aux bénévoles de se relayer en raison des odeurs nauséabondes qui se dégageaient des espaces clos.

«Plusieurs des chiens sont malades. Certains sont aveugles, ont des glaucomes, des parasites, des problèmes respiratoires, des maladies de la peau, et d’autres maux», a précisé avec tristesse M. Girard.

Une semaine avant la frappe, une équipe de l’émission J.E. avait été mis sur la piste. À l’aide d’une caméra cachée, un journaliste s’est fait passer pour des acheteurs de chiens. Sans se méfier, la propriétaire des lieux lui a offert un chihuahua pour 250 $.

« Moi, je ne les vends pas cher parce que je ne veux pas rester pris avec. Regarde, ces deux autres qui vont avoir des bébés. Peut-être qu’un petit peu plus tard, je vais avoir des Boston Terrier. »

Au Québec, on peut compter sur les doigts le nombre d’inspecteurs. En 2010-2011 Anima Québec, chargée de faire respecter la loi, ne disposait que de trois inspecteurs.

L’Ontario a compris qu’il fallait serrer la vis aux contrevenants. Environ 250 inspecteurs sur le terrain ont été embauchés.

Actuellement, le Québec fait piètre figure, avec une réglementation déficiente, la P42. Le gouvernement a déposé le projet de loi 51. Il sera débattu en commission parlementaire au cours de l’année.

La loi prévoit des modifications à la protection sanitaire des animaux, concernant principalement la sécurité et le bien-être des chiens.

 

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Dépanneurs Exaspérés, des proprios affichent la photo d’une inspectrice


Je peux comprendre qu’on engage des ados pour vérifier que les dépanneurs ne vendent pas de cigarettes au mineur, mais quand ils paraissent plus vieux de quelques années, c’est à se demander s’ils ne cherchent pas volontairement des infractions C’est exagéré !!! Se fier au vêtements ben voyons donc !!!!
C’est aberrant, La seule chose que je déplore des dépanneurs c’est de profiter des rabais dans les épiceries pour en faire de grande provisions pour les vendre plein prix dans leur dépanneurs ..

P. S pour nos amis européens, un dépanneur est un commerce qui est souvent généralement de petits commerces vendant un peu de tout (journaux, denrées, cigarettes, boissons, objets divers) pour dépanner Ils sont ouvert plus tôt et ferme plus tard que les épiceries et autres commercent
Sur internet le meilleur équivalent que j’ai pu voir était  »épicerie-bar-tabac » ou  »L’arabe du coin » Chez nous dans les grandes villes  je crois que de plus en plus d’asiatiques en sont propriétaire
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Dépanneurs  Exaspérés, des proprios affichent la photo d’une inspectrice

Exaspérés, des proprios affichent la photo d’une inspectrice

Crédit photo : Journal de Montréal

Gang Li, propriétaire d’un dépanneur à Terrebonne, fait tout ce qu’il peut pour éviter de vendre des cigarettes aux mineurs

Par Jean-Marc Gilbert | Journal de Montréal

Tannés d’être piégés par une inspectrice du ministère de la Santé, des propriétaires de dépanneurs chinois ont décidé d’afficher son portrait. Une propriétaire est même allée jusqu’à diffuser sa photo sur Internet.

Selon les propriétaires, la mineure qui se fait passer pour une cliente a l’air beaucoup plus vieille que son âge. En ayant marre de cette situation qui nuit à son commerce, une propriétaire a mis en ligne des photos de l’inspectrice sur un site web.

Gang Li, propriétaire d’un dépanneur à Terrebonne, fait tout ce qu’il peut pour éviter de vendre des cigarettes aux mineurs.

Ce site est dédié aux propriétaires de dépanneurs chinois qui veulent se familiariser avec les lois qui régissent cette industrie, au Québec.

«Malhonnête»

La photo, qui a été retirée du site dernièrement, a tout de même attiré l’attention de Jenny, propriétaire d’un dépanneur à Longueuil, qui se plaint aussi de la situation.

«C’est une injustice. Ce sont des mineurs, mais ils ont l’air d’avoir plus de 25 ans. C’est malhonnête de la part du gouvernement», déplore-t-elle.

Elle a imprimé une copie de la photo et l’a mise bien en vue à l’intention de ses employés, tout en les avertissant d’être très vigilants s’ils voient cette dame.

«Nous avons besoin de garder nos emplois pour survivre et nous faisons réellement de notre mieux pour demander une pièce d’identité à tous ceux qui paraissent mineurs», promet-elle.

Pas un cas isolé

Même si on ne note pas d’augmentation de plaintes à ce sujet, Zude Le, conseiller à l’association québécoise des dépanneurs alimentaires a eu écho de quelques histoires du genre.

«Ce ne sont pas des façons de faire que nous trouvons très honnêtes. La grande majorité des dépanneurs respectent les lois. Quelques fautes peuvent être commises, mais ce n’est pas du tout volontaire», explique-t-il.

Selon Gang Li, président du regroupement des dépanneurs chinois et propriétaire d’un établissement à Terrebonne, il est très difficile de juger de l’âge d’un client.

«Parfois, une cliente peut avoir l’air d’avoir de 28 ou 29 ans, mais on apprend par la suite qu’elle n’avait que 16 ou 17 ans» , témoigne- t- il.

«Parfois, on dirait que le seul but du gouvernement est de punir les propriétaires si une petite erreur est commise. C’est valable pour tous les propriétaires, pas seulement ceux d’origine chinoise», ajoute M. Li.

Seulement 15 ou 16 ans

Du côté de Québec, on affirme que l es quelques aides- inspecteurs embauchés sont tous mineurs.

«Il y en a présentement quatre, parfois plus durant la saison estivale. Ils sont tous âgés de 15 ou 16 ans et visitent environ 1 000 établissements par année» , affirme Noémie Vanheuverzwijn, porte- parole du ministère de la Santé et des Services sociaux. Les postes sont affichés et les jeunes retenus sont convoqués en entrevue.

Est-ce qu’on privilégie un jeune qui a l’air plus vieux qu’il l’est en réalité? «Au contraire. Ils ont l’air jeune tant physiquement que par les vêtements qu’ils portent», assure la porte-parole.

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