Fatigue permanente, somnolence diurne excessive… C’est le cerveau qui souffre


Dormir le temps nécessaire est important autant pour le cerveau que pour le corps, car des zones du cerveau pourraient subir de graves conséquences, sans compter les maladies que peuvent découler le manque de sommeil
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Fatigue permanente, somnolence diurne excessive… C’est le cerveau qui souffre

 

Fatigue permanente, somnolence diurne excessive... C'est le cerveau qui souffre

© Thinkstock

Vous vous sentez fatigué en permanence ? Prudence : selon une nouvelle étude américaine, le manque de sommeil, la somnolence diurne et la fatigue permanente provoqueraient une atrophie de certaines zones du cerveau.

Vous vous sentez fatigué en permanence ? Vous souffrez de somnolence diurne excessive (« envie de dormir » pendant la journée), vous manquez de sommeil, vous ne vous sentez jamais complètement reposé ? Attention : selon une nouvelle étude menée par la Mayo Clinic in Rochester (aux États-Unis), la fatigue et la somnolence pourraient provoquer une atrophie de certaines parties du cerveau…

Ces travaux ont été menés en collaboration avec 1374 volontaires américains, des hommes et des femmes âgés de plus de 50 ans. Ceux-ci souffraient tous de fatigue récurrente et de somnolence diurne excessive, à des degrés de gravité divers. Après avoir répondu à des questionnaires concernant leurs habitudes de vie, les participants ont subi un examen IRM de leur cerveau et ont passé des tests cognitifs.

Le manque de sommeil, un poison pour l’organisme

 

Verdict : les volontaires qui présentaient les niveaux de fatigue et de somnolence diurne les plus élevés étaient aussi ceux qui obtenaient les plus mauvais scores aux tests cognitifs (repérage spatio-temporel, mémoire à court et à long terme…).

« Chez ces personnes, nous avons observé une atrophie de certaines zones cérébrales, ce qui correspond à un vieillissement prématuré du cerveau « , explique Diego Z. Carvalho, principal auteur de ces travaux publiés dans le journal scientifique Sleep . « Les participants qui souffraient de fatigue récurrente et de somnolence diurne excessive présentaient ainsi plus de risques que les autres de développer la maladie d’Alzheimer. En outre, le risque de décès prématuré était également plus élevé. »

En France, l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance (INSV) recommande de dormir au moins 7 heures par nuit. Or, 1 actif sur 3 ne dort pas suffisamment et connaît des épisodes de somnolence pendant la journée. Le manque de sommeil augmente de 30 % le risque d’obésité et de 48 % le risque d’infarctus, multiplie par 3 le risque d’hypertension et par 4 le risque de faire un AVC. Aller hop, au lit !

http://www.topsante.com/

Le rein aussi peut faire un infarctus


Quand on parle d’infarctus on pense immédiatement au coeur, pourtant d’autres organes peuvent subir un infarctus comme les reins. Une raison de plus pour prendre des bonnes habitudes de vie, et ce même si ce genre d’infarctus
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Le rein aussi peut faire un infarctus

 

Toute douleur en coup de poignard au niveau de l’abdomen ou du flanc nécessite une consultation médicale rapide. ©Phovoir

Toute douleur en coup de poignard au niveau de l’abdomen ou du flanc nécessite une consultation médicale rapide. ©Phovoir

Rare et méconnu, l’infarctus rénal peut conduire à la mort du rein s’il n’est pas pris en charge à temps. Il est donc essentiel de connaître ses symptômes.

L’infarctus correspond à la destruction partielle ou totale d’un organe suite à l’obstruction d’une artère qui l’alimente en sang et donc en oxygène. Le cœur, le cerveau, les poumons, l’intestin grêle et les reins peuvent être concernés par cette pathologie. En cause ? L’obstruction de l’artère par un caillot, un traumatisme, un anévrisme

Dans le cas du rein, les symptômes de l’infarctus peuvent être très variés. Le plus caractéristique reste une douleur brutale, semblable à un coup de poignard, au niveau du flanc ou de l’abdomen. Cette douleur peut d’ailleurs faire penser à une colique néphrétique. Elle est parfois associée à de la fièvre, des nausées, des vomissements et une hypertension artérielle. Chez des patients présentant des risques thromboemboliques, ces signes nécessitent de consulter en urgence.

Un scanner abdomino-pelvien injecté permet généralement de confirmer le diagnostic. Il peut être complété par une artériographie rénale ou un angioscanner. En cas d’atteinte d’un rein, le traitement  repose sur la prise d’antiagrégants plaquettaires. En cas d’atteinte des deux reins, la priorité est généralement donnée à la chirurgie.

A noter : à l’instar des maladies cardiovasculaires, la prévention de l’infarctus rénal passe par la limitation de facteurs de risque connus tels que le tabagisme, l’excès de poids, la sédentarité…

  • Source : Site de l’Association française d’urologie et de la Revue médicale suisse, consultés le 9 janvier 2015

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À L’ÂGE DE 54 ANS L’acteur Michael Clarke Duncan décède


Jamais bien cet acteur qui dans le film la Ligne verte, avait été découvert par plusieurs d’entre nous .. Il avait eu un malaise et avait du être hospitalisé il y a quelques semaines .. mais cela n’a pas été suffisant pour qu’il se remette sur pied
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À L’ÂGE DE 54 ANS

L’acteur Michael Clarke Duncan décède

 

À l'âge de 54 ans - L'acteur Michael Clarke Duncan décède

Photo Reuters / Archives

 

L’acteur Michael Clarke Duncan, célèbre pour son interprétation d’un détenu condamné à mort dans «La ligne verte», est mort lundi à l’âge de 54 ans, moins de huit semaines après avoir été victime d’un infarctus, a annoncé son agent.

Duncan est mort à Los Angeles, a précisé sa fiancée Omarosa Manigault dans un communiqué publié par l’agent du comédien, Joy Fehily.

Aucun détail sur la mort de l’acteur n’a été dévoilé. Il avait été victime d’un infarctus le 13 juillet «et ne s’en est jamais totalement remis», a précisé Fehily.

Né à Chicago, Michael Clarke Duncan avait été nominé pour l’oscar du meilleur second rôle en 2000 pour le film «La Ligne verte» de Frank Darabont sorti l’année précédente. (Alex Dobuzinskis, Marine Pennetier pour le service français)

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Dormir trop ou pas assez est mauvais pour le coeur


Dormir !!! Quel beau mot ! Mais bon, heureux ceux qui peuvent dormir entre 6 et 8 heures de sommeil, la santé est pour eux ! Pas une heure de moins, ni une heure de plus ! Car le corps en a besoin pour mieux fonctionner
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Dormir trop ou pas assez est mauvais pour le coeur

 

Ceux dormant moins de six heures par nuit voient ainsi le risque d’accident vasculaire cérébral et d’infarctus doubler. La probabilité de défaillance cardiaque est aussi multipliée par 1,6.

PHOTO RELAXNEWS

Agence France-Presse
Chicago, Illinois

Dormir plus de huit heures ou moins de six heures paraît accroître nettement dans les deux cas le risque cardiovasculaire, selon une étude menée sur l’ensemble des États-Unis dont les résultats ont été présentés ce week-end à un important forum de cardiologie.

Ceux dormant moins de six heures par nuit voient ainsi le risque d’accident vasculaire cérébral et d’infarctus doubler. La probabilité de défaillance cardiaque est aussi multipliée par 1,6.

Pour les personnes indiquant dormir plus de huit heures par nuit, elles voient leur risque de souffrir d’angine de poitrine doubler et celui d’avoir une maladie coronarienne augmenter 1,1 fois.

Les chercheurs ont étudié rétrospectivement environ 3019 personnes âgées de plus de 45 ans qui ont participé à l’enquête nationale sur la nutrition (National Health and Nutrition Examination Survey) ou NHANES, menée auprès des ménages américains pour évaluer un éventail étendu de problème de santé dans le pays.

Ces travaux ont fait l’objet d’une présentation à la 61e conférence annuelle de l’American College of Cardiology réunie à Chicago ce week-end.

«Nous avons désormais une indication que le sommeil peut avoir un impact sur la santé cardiaque», a dit le Dr Rohit Arora, professeur à la faculté de médecine de Chicago et le principal auteur de ces travaux.

Bien que les résultats de cette recherche confirment ceux d’études plus petites faites précédemment, soulignent ces chercheurs, il s’agit du premier échantillon national représentatif de la population américaine a établir un lien entre la durée du sommeil et la santé cardiovasculaire.

C’est également la première étude à se pencher sur cinq différentes durées de sommeil en même temps.

«Basé sur ces résultats, il semblerait que dormir de six à huit heures par nuit confère probablement le moindre risque de maladies cardiovasculaires sur le long terme», a jugé le Dr Arora.

«Il a été établi précédemment que le manque de sommeil est lié à une hyper-activation du système nerveux sympathique, à l’intolérance de l’organisme au glucose, au diabète, à un accroissement des niveaux de cortisone dans le sang, à la tension artérielle, au rythme cardiaque au repos et à des bio-marqueurs d’inflammation», a-t-il ajouté, des facteurs jouant un rôle dans les maladies cardiovasculaires.

Mais la médecine s’interroge encore sur les raisons pour lesquelles le fait de dormir plus de huit heures pourrait avoir un lien avec des problèmes cardiaques.

Selon le Dr Arora, il est possible que les personnes dormant plus longtemps aient retenu davantage l’attention des médecins en faisant part plus souvent de douleur dans la poitrine que ceux avec moins de six heures de sommeil qui le plus souvent n’ont pas ce symptôme.

C’est peut-être également pourquoi ce dernier groupe connaît un taux beaucoup plus élevé d’attaques cérébrales et d’infarctus.

Toutefois, ces résultats doivent être vérifiés avec des études cliniques portant sur une longue durée, a souligné le Dr Arora.

De plus, il y a peut-être des facteurs inconnus restant à élucider ainsi que le rôle d’autres maladies dans le sommeil et l’impact sur le système cardio-vasculaire comme le diabète, l’obésité ou l’hypertension.

Mais ce qui est d’ores et déjà certain, c’est la nécessité que les médecins et leurs patients parlent de la durée du sommeil de ces derniers.

http://www.cyberpresse.ca

Comment repérer les symptômes de l’infarctus ?


Savoir reconnaître les signes avant-coureurs d’un infarctus peut sauver une vie, malheureusement certains signes sont trompeurs qu’on associent cela a une mauvaise digestion .. Mieux vaut vérifier en cas de doute et encore plus chez la femme
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Comment repérer les symptômes de l’infarctus ?

Une grande enquête vient de le montrer : moins de la moitié d’entre nous connaissons les signes d’alerte d’un infarctus…

Étapes de réalisation

1 Qu’ils surviennent au repos ou à l’effort, ces différentes troubles, parfois trompeurs, doivent vous faire réagir sans attendre.

2 Le plus souvent, vous ressentez une douleur dans la poitrine qui donne l’impression de serrer, d’écraser ou de brûler. Elle peut irradier vers les mâchoires, les bras, surtout le gauche, ou le creux de l’estomac.

3 Parfois, la douleur se localise dans le bras, dans le poignet ou la mâchoire. Vous pouvez avoir eu auparavant de petites douleurs thoraciques fugaces, notamment lors d’efforts, ce qui cache des artères encrassées.

4 Chez nous, les femmes, un embarras digestif, des maux d’estomac accompagnés de fatigue importante, de nausées ou de vomissements sont aussi un signe annonciateur d’infarctus

http://www.commentfaiton.com/