Le Saviez-Vous ► Les pensionnats autochtones, le génocide culturel amérindien


Un résumé d’une assimilation des Amérindiens (qu’on nomme à tort indien) avec un témoignage d’une amérindienne en vidéo. Quand les européens sont venu en Nouvelle-France, c’est fut le début des ennuis pour les Premières Nations. Quand les colons se sont bien installés, des pensionnats ont été créer pour provoquer un génocide culturel chez les amérindiens. C’est le coté obscur de l’histoire Canadienne qu’il ne faut ne faut pas oublier .. Des enfants ont été séparé de leurs familles, violentés, abusé sexuellement par des missionnaires pour soit disant les civilisés à la culture blanche.
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Les pensionnats autochtones, le génocide culturel amérindien

RACONTÉ  PAR MARINE GASC

Au XIXe siècle, les Canadiens ont créer des pensionnats pour les enfants autochtones (pour les Amérindiens) afin de les civiliser. De fait, pendant plus d’un siècle (le dernier pensionnat a été fermé en1996), les enfants étaient battus, exploités, humiliés… Découvrez les pensionnats pour autochtones ou le génocide culturel au Canada.

« Acquérir les pratiques des Blancs » dans les pensionnats

Les pensionnats avaient une mission très simple, retirer les enfants natifs américains à leurs parents afin de limiter l’influence de la culture autochtone, de leur apprendre les pratiques et les coutumes et ainsi en faire de parfaits petits Blancs. Ça fait flipper un peu et pourtant je n’invente rien, ce sont les mots du Premier ministre John A. Macdonald en 1883 :

«  Les enfants indiens devraient être retirés le plus possible de l’influence de leurs parents, et la seule manière d’y arriver est de les placer dans des écoles industrielles où ils vont acquérir les habitudes et les pratiques des Blancs »

A l’époque on veut permettre aux enfants amérindiens d’avoir les mêmes chances de réussir leur vie que les Blancs. C’est plutôt cool, mais le faire en voulant gommer les différences culturelles, c’est moche. D’autant que les moyens mis en place ne permettent pas d’offrir des chances de réussite aux enfants, au mieux ils apprennent à lire et écrire, au pire ils sont humiliés du fait de leurs langues, de leurs coutumes ou de leur couleur de peau.

Entre 1880 et 1996, plus de 150 000 enfants ont été placés dans les pensionnats.

Qu’est-ce qu’un pensionnat ?

La politique d’assimilation des Amérindiens par le Canada a été mise officiellement en place en 1880, or, entre 1830 et 1880, il existe déjà des établissements pour éduquer et convertir les natifs américains afin de les intégrer à la société.

Des missionnaires catholiques en sont à l’origine « aime ton prochain, mais seulement s’il te ressemble! » En Nouvelle-France, ça ne convainc pas vraiment les parents amérindiens qui préfèrent garder leurs enfants auprès d’eux et il n’existe aucune loi et donc aucune institution pouvant les contraindre à mettre les gamins dans ces pensionnats. C’est ce qui va changer en 1876 avec la loi sur les Indiens :

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« Notre législation indienne repose sur le principe que les autochtones doivent rester dans un statut de tutelle et être traités comme des pupilles ou enfants de l’État […] L’intérêt des autochtones comme celui de l’État requiert que tous les efforts soient faits pour aider l’homme rouge à sortir de sa condition de tutelle et de dépendance et il est clairement de notre savoir et de notre devoir de le préparer, par l’éducation et tout autre moyen, à un plus haut degré de civilisation en l’encourageant à assumer les privilèges et les responsabilités d’une citoyenneté entière. »

Le gouvernement fédéral décide qu’il faut des dispositions liées à l’éducation des Amérindiens (entre autres…). Et là, ça marque mal car les peuples autochtones sont obligés de laisser les enfants (à partir de 6 ans) dans les pensionnats (non mixtes). Dans un premier temps, les chefs amérindiens ne sont pas contre, ils espèrent donner aux gamins la chance de s’adapter à la nouvelle société mais aussi d’avoir l’opportunité de ne pas se laisser dominer par les étrangers en connaissant leurs codes, leurs coutumes, leurs langues. D’un autre côté, le gouvernement espère rendre les peuples autochtones plus indépendants financièrement en les intégrant dans la société et le commerce car le gouvernement verse des fonds publics aux peuples autochtones, il s’agit d’une protection financière en échange de l’occupation des terres (et j’aime autant vous dire qu’ils ne sont pas gagnants les natifs Américains).

En 1883, trois pensionnats autochtones (encore appelés écoles industrielles) sont en marche, ils sont gérés par le gouvernement fédéral et l’Église (catholique, anglicane et presbytérienne). Au cours des cinquante années qui suivent, un véritable réseau de pensionnats se met en place (jusqu’à 80 établissements en 1930). Seules deux provinces refusent de mettre en place les pensionnats : le Nouveau-Brunswick et l’Ile-du-Prince-Edouard. En 1945, le gouvernement décide de couper certaines aides financières aux familles autochtones qui refusent de mettre leurs enfants dans les pensionnats… Et les familles sont nombreuses car les conditions de vie y sont terribles.

La vie dans un pensionnat

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Plus de 150 000 enfants âgés de plus de 6 ans ont intégré les pensionnats autochtones, plusieurs milliers en sont morts. Environ 3200. Du fait des conditions sanitaires indécentes, les épidémies font des ravages, notamment la tuberculose et la grippe, mais aussi la violence. De fait, le taux de mortalité est cinq fois plus élevé dans les écoles industrielles que dans tout le pays.

Dès leur arrivée, les enfants sont humiliés. On les déshabille et on les lave devant tout le monde. Déso du point Godwin mais ça se passe pareil dans l’entrée des camps de concentration. Dans certains pensionnats, des enfants sont même frottés au détergeant afin d’éclaircir leur peau. Sauf qu’en fait ça ne marche pas, ils ne sont pas sales, ils sont Amérindiens.

« Dès que nous sommes entrées dans le pensionnat, les abus ont commencé. Nous avons été déshabillées, amenées dans un dortoir. Nos cheveux ont été vaporisés. […] On nous a dit que nous étions des petites sauvages stupides, et qu’on devait nous éduquer. » – Élaine Durocher

Les journées sont toutes rythmées de la même façon. Le matin les élèves sont en classe, l’après-midi ils travaillent. Chaque jour, ils sont réveillés par une cloche, doivent se lever seuls et partir au réfectoire pour un déjeuner frugal ensuite les enfants enchaînent trois heures de classe. Les cours sont donnés en français et en anglais. Après le déjeuner ils partent travailler, à aucun moment de la journée les enfants n’ont le droit de parler leur langue sous peine d’être battus.

« Ils m’ont volé ma langue. Ils l’ont sortie droit de ma bouche. Je ne l’ai plus jamais parlée. Ma mère me demandait : « Pourquoi, pourquoi? Tu peux m’écouter. » Elle disait : « Je pourrais te l’apprendre. » J’ai refusé. Et quand elle m’a demandé pourquoi, j’ai répondu : « J’en ai assez d’avoir des claques sur la bouche. Je suis tannée. Je suis tannée, c’est tout. » » – Rose Dorothy Charlie

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Le gouvernement justifie le travail (relativement intense) par l’apprentissage pour une meilleure intégration dans le milieu du travail. Ben oui, les petits sauvages doivent apprendre à rester assis pour le travail. En réalité, le boulot des gamins sert à payer les frais liés à l’organisation des pensionnats. Vu que le gouvernement ne veut pas mettre de fric dans les écoles industrielles, il donne du boulot aux missionnaires de l’Église et réduit au maximum le budget alimentaire et matériel. Durant les week-ends et vacances scolaires, les enfants autochtones doivent rester aux pensionnats pour ne pas perdre les bonnes manières. Il n’y a pas de classe mais des activités religieuses Il faut attendre 1960 pour que les enfants puissent rentrer voir leur famille durant les vacances. La séparation avec les parents est très difficile, en plus de ça, les enfants sont victimes de nombreuses violences.

Des enfants brutalisés et abusés dans les pensionnats

Un rapport publié en 2015 fait un triste constat (après plus de 7 ans de travail) à propos du traitement réservé aux enfants. Malnutrition, abus sexuels, violences physiques et psychologiques… Les témoignages sont assez horribles. Outre la qualité médiocre des enseignements apportés par des personnes incompétentes (les missionnaires), la qualité de vie est mauvaise, les enfants n’ont pas de vêtements adaptés aux saisons, ils sont malnutris et sont soumis à de nombreuses maladies sans que des soins particuliers leurs soient accordés.

« J’ai toujours blâmé le pensionnat pour avoir tué mon frère. Il s’appelait Dalton. […] Ils m’ont autorisé à aller le voir une fois avant sa mort, et il ne m’a même pas reconnu. Il n’était qu’un petit garçon allongé dans un lit à l’infirmerie, en train de mourir. » – Ray Silver

La culture autochtone est complètement humiliée, leur langue maternelle est interdite même lorsqu’ils écrivent à leurs parents… De nombreux enfants ont été battus, parfois à mort. Il existe aussi des cas de violences sexuelles par le personnel des pensionnats autochtones…

« Puisque je ne pleurais pas après avoir été battue, elles devenaient furieuses, vous savez, les deux religieuses. Elles commençaient tout simplement à nous battre et elles perdaient le contrôle. Elles nous jetaient contre le mur, nous jetaient sur le plancher, nous frappaient à coups de pied, à coups de poing. » – Géraldine Bob

« J’ai vu la religieuse pousser cette fille en bas de l’escalier. Elle ne s’est jamais relevée, et on nous a éloignés de là, on nous a envoyés en bas. Je ne sais pas ce qui est arrivé, mais elle n’est pas revenue avant des mois. Et, quand elle est revenue, elle était un peu paralysée. » – Margaret Plamondon

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« Ils me couraient après, m’attrapaient et m’amenaient à ce pédophile pour qu’il puisse m’agresser, profiter de moi comme il le voulait. Et on vivait dans la peur permanente. » – Richard Hall

« On me sortait chaque soir. Et ça a continué jusqu’à ce que j’aie environ 12 ans. Il y avait plusieurs superviseurs, des hommes et une femme. Et c’était dans le dortoir, c’était dans leur chambre; c’était dans l’abri d’auto; c’était dans son auto à lui; c’était dans le gymnase; à l’arrière du véhicule… » – Frances

Le rapport pose un constat assez négatif… Depuis 2008, le Canada a présenté plusieurs fois des excuses aux autochtones, reconnaissant sa responsabilité dans le génocide culturel. Aujourd’hui encore, le premier ministre et le gouvernement tentent de réparer autant que possible les erreurs du passé…

Entrez la légende de la vidéo ici

http://www.racontemoilhistoire.com

Les Européens ont fait disparaître les Indiens brutalement, mais pas tout de suite


Les Amérindiens ont vu leur population baissée drastiquement 100 ans plus tard après la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb. Bien sûr que les épidémies venant de l’Europe n’ont pas aidé, mais avec le temps, la forte majorité d’Amérindiens sont devenus une minorité
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Les Européens ont fait disparaître les Indiens brutalement, mais pas tout de suite

 

Un chef Sioux en 1899 | Boston Public Library via Flickr CC License by Creative Commons

Un chef Sioux en 1899 | Boston Public Library via Flickr CC License by Creative Commons

Repéré par Fatma-Pia Hotait

Une nouvelle étude s’intéresse au processus d’extinction des indiens au nord du Nouveau Mexique.

En 1492, Christophe Colomb découvre l’Amérique. Les Européens partent à la conquête du Nouveau Monde et leur arrivée s’accompagne de plusieurs vagues d’épidémies. Ces maladies, mêlées aux mauvais traitements infligés aux tribus et aux famines, entraînent la quasi-disparition des populations autochtones. Une nouvelle étude publiée dans le Proceedings of the National Academy of Sciences vient toutefois apporter un nouvel éclairage sur la durée et la mise en place de cette extinction, rapporte Phys.org.

Sur ce sujet, deux hypothèses s’opposent. Certains chercheurs soutiennent que la disparition des Amérindiens s’est faite dès les premiers contacts avec les Européens. D’autres défendent l’idée d’une extinction progressive sur plusieurs années. Pour en savoir plus, une équipe de chercheurs a donc étudié dix-huit villages situés dans ce qui serait aujourd’hui le nord de l’État du Nouveau Mexique. Leurs conclusions révèlent deux facteurs importants. Sur le territoire étudié, le nombre d’Amérindiens a chuté brutalement, mais cette disparition s’est produite dans les années 1620: après près d’un siècle de présence européenne en Amérique. La date coïncide avec le début des missions catholiques, et notamment la création de la Congrégation de la Propaganda Fide par lePape Grégoire XV.

Conséquences environnementales et sociales

Selon l’étude, 87% de la population amérindienne de la région meurt alors en soixante ans. Dans ces dix-huit villages, les Indiens Pueblos passent de 6.500 personnes à moins de 900. Ce changement brutal bouleverse l’environnement. Avec la disparition des populations, la forêt reprend ses droits. On assiste alors à de nombreux incendies et à une augmentation du taux de CO2. Ce phénomène a eu un tel impact que certains chercheurs considèrent cette période comme le début d’une nouvelle ère où l’homme commence à avoir un impact notable sur l’environnement: l’Anthropocène.

Les dégâts sociaux, eux aussi, continuent de frapper l’Amérique. La condition des Indiens y est déplorable, dénonce le journaliste Stéphane Trano dans Marianne.

 2.1 millions d’Amérindiens, «soit l’écrasante majorité», vivent largement sous le seuil de la pauvreté. Alcoolisme, chômage et maladies sont très fréquents dans des campements qui tiennent«purement du bidonville». Bien que les indiens aient obtenu la citoyenneté américaine en 1924; l’accès au système de santé est rare et le taux de suicides «crève le plafond des statistiques».

http://www.slate.fr/

Des Indiens «isolés» entrent en contact avec le monde extérieur au Brésil


Ces indigènes qui vivent depuis toujours isolés du monde d’aujourd’hui, se trouvent en péril, C’est important de préserver leur mode de vie, mais avec les conflits, l’abattage des arbres souvent illégal dans la forêt Amazonienne et des trafiquants de drogue, cela sera sans doute plus difficile
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Des Indiens «isolés» entrent en contact avec le monde extérieur au Brésil

 

Selon l'anthropologue Terri Aquino de la Funai, l'approche... (PHOTO AFP /FUNAI)

Selon l’anthropologue Terri Aquino de la Funai, l’approche a été faite probablement pour acquérir des haches, des coutelas et des casseroles.

PHOTO AFP /FUNAI

Claire DE OLIVEIRA NETO
Agence France-Presse
RIO DE JANEIRO

Nus et armés d’arcs et de flèches, des Indiens «isolés», à l’écart du monde extérieur, ont émergé de la forêt amazonienne pour entrer en contact avec des Indiens Ashaninkas du nord du Brésil, fuyant probablement des attaques au Pérou.

Le Département des Affaires indigènes du Brésil (Funai) a diffusé une vidéo montrant le moment du contact sur les berges du fleuve Envira, dans l’État brésilien de l’Acre, frontalier avec le Pérou.

Une scène montre le moment où un Ashaninka en short remet un régime de bananes à deux Indiens identifiés comme le peuple du Rio Xinane qui appartient au groupe linguistique «pano».

«La vidéo est une des scènes enregistrées au moment où les Indiens isolés entrent en contact avec l’équipe de la Funai et les Ashaninkas. C’était au second jour du contact direct, le 30 juin», explique Carlos Travassos directeur du département des Indiens isolés de la Funai cité par le site G1 de Globo.

Le service de presse de la Funai a indiqué mercredi à l’AFP que M. Travassos «était maintenant sur le terrain dans l’Acre et injoignable».

Bruits d’animaux 

C’est le 26 juin qu’a eu lieu la première approche des Indiens isolés. Ils sont apparus en train de traverser la rivière Envira. Le village Simpatia (des indiens ashaninkas) se trouve sur les berges de cette rivière.

«Ils sifflaient et faisaient des bruits d’animaux», souligne M. Travassos.

Cet expert en Indiens isolés a expliqué que les approches étaient assez rapides et que les indiens retournaient dans la forêt.

Cela a recommencé les jours suivants, jusqu’au contact direct et pacifique qui a été facilité par deux interprètes indigènes qui parlent la langue pano et ont établi une relation de confiance avec eux.

Des experts brésiliens estiment que ces Indiens isolés ont traversé la frontière du Pérou en raison des pressions exercées par les bûcherons clandestins et les trafiquants de drogue sur leurs terres.

Selon l’anthropologue Terri Aquino de la Funai, l’approche a été faite probablement pour acquérir des haches, des coutelas et des casseroles.

«Ce peuple est en quête de technologie. C’est important pour leur vie parce qu’il y a une ‘guerre’ interne entre eux et en raison du contact avec des groupes non indigènes», a-t-il dit à G1.

Selon José Correia Jaminawa, 70 ans, l’un des Indiens qui leur ont parlé, ils sont venus en quête d’armes et d’alliés.

Grippe et diphtérie 

«Ils ont raconté avoir été attaqués par des non indigènes et beaucoup sont morts après avoir attrapé la grippe et la diphtérie», a-t-il souligné, cité par G1.

La Funai a indiqué que quand le groupe d’Indiens isolés était revenu il y a trois semaines dans le village Simpatia, ils avaient la grippe. Une équipe médicale du gouvernement a été envoyée et a traité sept Indiens malades pour éviter la contamination de la tribu qui compterait une cinquantaine de personnes.

Cette information a été qualifiée «d’extrêmement préoccupante» par Survival International, le mouvement mondial pour les droits des peuples indigènes, car des épidémies de grippe ont déjà anéanti des tribus entières par le passé.

L’Amazonie brésilienne abrite le plus grand nombre de tribus isolées au monde. La Funai estime leur nombre à 77, des groupes allant de cinq à une centaine d’individus.

Leur volonté de ne pas établir de contact avec les autres tribus ou avec le monde extérieur résulte très certainement de rapports antérieurs désastreux, de l’invasion continue de leurs territoires et de la destruction de leur environnement forestier, selon Survival.

Survival a lancé une action urgente à l’attention des gouvernements brésilien et péruvien afin qu’ils protègent le territoire des Indiens isolés et a appelé les autorités à honorer leurs engagements de coopération transfrontalière.

http://www.lapresse.ca

Le Saviez-vous ►Expression : En (à la) file indienne »


L’expression est clair .. cependant ce fut une erreur d’appeler les amérindiens des indiens … Si cette erreur persiste c’est que les Espagnols ont pensé qu’ils étaient en Indes … mais en réalité ils étaient en Amérique ,.. Alors pour ceux qui font encore cette erreur .. souvenez vous que les premières nations en Amérique sont des amérindiens
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En (à la) file indienne  »

 

L’un derrière l’autre.
En se suivant un à un.

Parfaitement synonyme de « à la queue leu leu » cette expression date du XIXe siècle.

Elle viendrait de l’engouement qui existait à cette époque pour les récits d’Indiens d’Amérique du Nord (comme « le dernier des Mohicans » de Fenimore Cooper, par exemple), dans lequel ils étaient décrits comme se déplaçant, dans certaines circonstances, les uns derrière les autres, en file indienne.

http://www.expressio.fr

Le saviez-vous ► Pourquoi a-t-on sept ans de malchance quand on casse un miroir


Il y a t’il des gens qui croient encore aux 7 ans de malheurs quand un miroir se brise ?
Cette superstition date de très très longtemps, que de gens devaient être malheureux de voir que les 7 prochaines années seraient malheurs par dessus malheur !!!  Aujourd’hui, nous savons que le miroir n’a aucun pouvoir qu’il soit bénéfique ou maléfique
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Pourquoi a-t-on sept ans de malchance quand on casse un miroir

 

Il s’agit d’une vieille superstition datant de plus de deux millénaires : au moment de l’invention du miroir.

À l’époque, les Romains, les Grecs, les Chinois, les Africains et les Indiens croyaient tous qu’un miroir avait le pouvoir de capturer l’âme de celui ou de celle qui l’utilisaient. Si l’image réfléchie devenait le moindrement déformée. cela signifiait que l’âme de la personne était troublée. Pire, le miroir devait être brisé alors que l’image du maladroit était à l’intérieur, son âme pouvait ainsi être fracturée.

Comme les Romains croyaient que le corps d’une personne se renouvelait au complet tout les 7 ans, cela correspondait alors à la période nécessaire au rétablissement de son âme cassée en même temps que le miroir

La Semaine/Paul Therren/ Réponse à tout/  Mars 2012