De nouvelles études démontrent les effets secondaires des boissons énergisantes


Plus on fait des études sur les conséquences de boires des boissons énergisantes sur les jeunes, plus il serait important qu’ils ne soient pas aussi accessibles. Il semble plus les jeunes boivent régulièrement ces boissons, il y a des risques de dépendance à l’alcool ou la drogue quelques années plus tard. De plus, il est démontré que des maladies cardiovasculaires avaient un lien avec les boissons énergisantes.
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De nouvelles études démontrent les effets secondaires des boissons énergisantes

 

Les jeunes boivent de plus en plus de boissons énergisantes comparativement aux précédentes générations, et ils sont plus sujets à l’alcoolisme et à la toxicomanie.

C’est ce qu’affirme une étude de l’Université du Maryland publiée un peu plus tôt ce mois-ci.

Nous sommes quasiment tous conscients des dangers et des risques pour la santé qu’entraine une consommation régulière de boissons énergisantes.

Le rapport de 2014 de l’Organisation mondiale de la Santé indique qu’« une consommation accrue de boisson énergisante peut nuire à la santé publique, particulièrement chez les jeunes.»

Un peu plus tôt cette année, un jeune américain de 16 ans est mort d’une overdose de boissons caféinées et énergisantes.

Il semblerait qu’en fin de compte, consommer ce produit n’est pas bénéfique pour vous.

Une nouvelle étude conduite par des chercheurs au Centre de recherche pour la santé et le développement des jeunes adultes de l’Université du Maryland expose maintenant des faits encore plus inquiétants concernant cette boisson si populaire chez les jeunes.

Les chercheurs affirment que la boisson n’est que pas néfaste pour votre santé, mais les jeunes qui en boivent régulièrement peuvent développer une forme de dépendance à l’alcool ou la drogue plus tard dans la vie.

L’étude a été publiée dans le journal médical Dépendance à la Drogue et l’Alcool.

© Flickr/AustinKirk

Pendant quatre ans, les chercheurs ont suivi 1,100 étudiants ainsi que leur consommation de boissons énergisantes tout ce temps-là.

51.4 pour cent des participants étaient des consommateurs réguliers de boisson énergisante en grande quantité, alors que 20.6 pour cent ne prenaient aucune forme de boissons énergisantes.

17.4 pour cent étaient des buveurs occasionnels, alors que 10.4 pour cent en consommaient très peu et ce nombre diminuait au fils des années lors de l’étude.

L’une des conclusions auxquelles sont parvenus les chercheurs c’est que les jeunes qui consommaient les boissons énergisantes en grande quantité avaient plus de risques de consommer des stimulants de façon abusive et seraient plus sujets à l’alcoolisme.

Cela pourrait démontrer qu’à l’ avenir, les boissons énergisantes devraient tomber dans la même catégorie que le tabac et l’alcool.

Selon le journal canadien de la Cardiologie, les études ont également démontré que les maladies cardiovasculaires étaient grandement associées aux boissons riches en caféine.

Qu’en pensez-vous ? Est-ce que les boissons énergisantes devraient être catégorisées au même titre que la cigarette ou l’alcool et être tenues loin de nos enfants ?

 

http://fr.newsner.com

Un livre pour vivre mieux en singeant le chat


Réapprendre à vivre grâce au chat ? Ceux amoureux des gens vont surement approuver. Moi si je fais comme mon chat, je passerai du temps à dormir
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Un livre pour vivre mieux en singeant le chat

 

Il est libre, calme, observateur, prudent, élégant, charismatique, indépendant, fier ? Et si on singeait le chat pour vivre mieux ? C’est ce que propose « Agir et penser comme un chat », le nouveau livre de Stéphane Garnier.

C’est son chat Ziggy, un tigré de 14 ans, qui a inspiré l’auteur pour réaliser ce guide pratique paru en mars.

Il se veut « un manuel de développement personnel pas comme les autres » où « le chat est notre meilleur coach ».

« Je vis depuis 14 ans avec mon chat Ziggy. J’ai toujours été fasciné par son sens du détachement, du lâcher prise », a-t-il confié mardi à l’AFP.

« Le moteur de vie du chat, c’est son bien-être. Il ne fait rien qui ne réponde à ça », affirme-t-il. « C’est le coeur de tout le livre: comment retrouver et cultiver son bien-être en copiant le chat ».

Cet amoureux des greffiers a observé Ziggy pour comprendre comment il agissait au quotidien.

« J’ai détaché une quarantaine de traits du caractère du chat que l’on peut copier pour vivre mieux », a-t-il dit.

« Au lieu de sauter de notre lit le matin, on peut comme le chat bailler longuement et s’étirer pour passer une bonne journée », cite-t-il en exemple.

On peut également « se faire confiance et suivre son instinct ». « S’il n’aime pas une personne, le chat n’ira pas vers elle. C’est aussi une chose que l’on peut reprendre à notre compte dans notre société où on a tendance à écouter les conseils d’autrui ».

Penser à soi avant tout, s’aimer sans complexe, être tenace… autant de traits du caractère de minou dont on peut s’inspirer dans notre vie personnelle comme professionnelle.

« Nous avons tout à apprendre de ce vieux sage, toujours prudent, qui sait s’amuser de tout qui, s’il n’est pas heureux, n’hésitera pas à partir ».

(« Agir et penser comme un chat » – Stéphane Garnier – Editions de l’Opportun – 160 pages ? 9,90 euros).

http://www.lepoint.fr

Le Saviez-Vous ► 5 choses surprenantes que vous ne saviez pas sur les chats !


Nous avons encore des choses à apprendre sur le comportement des chats
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5 choses surprenantes que vous ne saviez pas sur les chats !

 

Accusés des pires conspirations mais irrésistiblement mignons, les félins règnent en maître sur Internet et dans les cœurs de beaucoup. Un vétérinaire passionné s’est donc penché sur leur cas pour pouvoir livrer quelques secrets sur eux…

Auteur de How to Speak Cat et vétérinaire à San Diego depuis plus de 25 ans, Gary Weitzman s’est confié au National Geographic quant à ses découvertes sur le genre félin. Vous ne risquez pas d’être déçu !

1. Les chats sont plus sensibles aux voix féminines

C’est notamment lors de la rédaction de son livre que l’amoureux des animaux a appris quelque chose d’incroyable sur les matous : ils sont plus réceptifs aux sons provoqués par les cordes vocales des femmes. Pourquoi ? Tout simplement parce que ces dernières produisent des notes plus haut perchées que les hommes… et que les chats perçoivent mieux les notes de tête.

Si les tigres de salon sont plus réceptifs au genre féminin, la réciproque existe aussi : les femmes sont plus sensibles aux matous que les hommes. Pourquoi ? Tout simplement parce que les miaulements variables de ces derniers sont très similaires à des pleurs/gazouillis d’enfant, nous rappelle la comportementaliste du chat Marie-Hélène Bonnet. Ah, instinct maternel quand tu nous tiens…

2. Le chat voit six fois mieux dans le noir que l’Homme

Ce n’est un secret pour personne, le regard perçant du chat lui permet de distinguer bien des choses… quand elles sont loin de lui. Mais pas que : il faut savoir que ce dernier est un animal nyctalope (qui voit dans le noir).

 «Les chats peuvent voir dans l’obscurité six fois mieux que les humains», a-t-il en effet confié.

La raison ? Le nombre élevé de bâtonnets (cellules capables de réfléchir la lumière) présents au fond de son œil.

3. La couleur du pelage du chat et son comportement semblent liés

Selon le spécialiste, cette réalité est indéniable : le caractère d’un chat est en partie défini par la couleur de sa robe. Aussi, à ses yeux, les chats écailles de tortue ont tendance à être plus indépendant et à n’aimer réellement qu’un seul maître.

4. Le coup de folie du chat est dû à un trop-plein d’énergie

Pourquoi, alors qu’il était calme, le chat se transforme soudainement en fusée ravageant tout sur son passage ? D’après Gary Weitzman, la réponse peut venir de sa condition d’animal domestique :

«les chats d’intérieur ont beaucoup d’énergie refoulée qu’ils ne peuvent pas dépenser alors que les chats sauvages chassent, traquent et patientent pour s’occuper.»

La solution pour éviter tout dégât ? Jouer avec son compagnon ! Ainsi, vous lui permettrez de se défouler et de lui faire faire l’exercice dont il a besoin pour être bien dans ses adorables petites pattes.

5. Le comportement du chat domestique est similaire à celui de ses ancêtres sauvages

«Les chats sont domestiqués depuis moitié moins de temps que les chiens», rappelle par ailleurs le vétérinaire.

Par conséquent, leur comportement est quasi identique à celui de leurs aïeuls qui vivaient sans l’Homme : ils ont toujours besoin de chasser et d’être indépendants.

https://wamiz.com/

Les chats, ces incompris


Les animaux domestiques sont de plus en plus admis dans les réseaux de santé, dans les écoles, maisons de retraite, car ils installent un sentiment de bien-être à ceux qui les côtoient. Mais pourquoi ? La science peine a l’expliquer.
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Les chats, ces incompris

 

Geoffrey Da Costa et le chat Pumpkin, au... (PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE)

Geoffrey Da Costa et le chat Pumpkin, au café Chat L’Heureux, qui permet aux clients de côtoyer des chats, avenue Duluth à Montréal. «J’ai visité des cafés de chats à Paris, New York et Montréal, et je peux vous assurer qu’ici, les chats sont très bien traités», a dit le chercheur.

PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE

MARIE ALLARD
La Presse

«De plus en plus d’hôpitaux et de maisons de retraite introduisent des animaux entre leurs murs, ce qui permet d’alléger la médication des patients, dit Geoffrey Da Costa. Mais les scientifiques sont incapables d’expliquer ce que l’animal fait exactement de bien aux gens.»

L’hypothèse du doctorant en communication organisationnelle à l’Université de Montréal, qui a soutenu sa thèse il y a deux semaines? Ce qui fait du bien, c’est de communiquer avec l’animal.

«J’ai essayé de comprendre comment il se fait que même si on ne se comprend pas – les chats ne comprennent pas notre langage, on ne comprend pas les chats -, on continue nos relations», explique M. Da Costa.

Vraiment, on ne comprend pas les chats, domestiqués par l’homme depuis au moins 4000 ans?

«Le chat qui rapporte une proie en cadeau veut nous montrer à chasser, nous enseigner quoi prendre, illustre le chercheur. Généralement, l’humain qui reçoit cette proie la jette. Le chat se dit qu’il est vraiment stupide… Autre exemple: les chats communiquent entre eux grâce à l’émission de phéromones que nous ne sommes pas capables de décoder.» Eux ne peuvent, en retour, déchiffrer les langues humaines.

«J’ai développé un concept : la communication imaginaire, indique M. Da Costa. J’ai interrogé plusieurs propriétaires de chat. Ma conclusion, c’est que les gens fabriquent une partie de la communication avec leur chat. Comme humain, on va anthropomorphiser. Si notre chat ne vient pas nous voir, on se dit qu’il boude, qu’il est triste. Ce qu’on ne comprend pas, on le remplit. Ce qui cadre et alimente cette communication, ce sont les mythes autour du chat.»

Symbole d’indépendance

Ces mythes sont nombreux: le félin incarne l’individualisme, la liberté, l’indépendance, la sexualité, la violence, la rébellion…

«Grâce à internet, le chat est redevenu un symbole d’indépendance, un rebelle qui n’écoute pas. Les vidéos de chats sont incroyablement populaires sur YouTube.»

«Dans le top 100 des vidéos les plus regardées, il y en a environ 50 de chats, confirme le chargé de cours à l’Université de Montréal. C’est l’animal parfait pour notre vie moderne…»

Dans l’Antiquité, le chat a été domestiqué pour protéger les récoltes des rongeurs.

«Aujourd’hui, c’est le seul animal qui est autorisé à détruire les meubles, à mettre des poils partout, souligne M. Da Costa. Sa fonction, qui était d’empêcher le chaos, est maintenant d’en mettre dans nos vies plates. Les gens s’ennuient beaucoup.»

Besoin d’affection

Non seulement les gens s’ennuient, mais ils travaillent aussi énormément.

«Ils ont quand même besoin de rapports affectifs, dit le chercheur. Avec d’autres humains, c’est plus coûteux. Avec un animal, on croit que c’est simple, alors qu’en réalité, c’est complexe.»

Pour le bien-être des félins, M. Da Costa veut détruire certains mythes.

«Le chat n’est pas solitaire, rectifie-t-il. Mieux vaut adopter deux chats, sinon il peut y avoir des problèmes d’obésité, de stress qui surviennent. Il est aussi faux de croire qu’en regardant dans les yeux d’un chat, on voit son âme, comme on le fait pour les humains. Pour le chat, c’est un signe d’agression. Il peut attaquer.»

Mais nul besoin de s’inquiéter si on parle à son chat et qu’on lui attribue des capacités humaines.

«C’est normal, tranche le chercheur. On a tous besoin d’affection. Le chat qui vient nous voir n’est pas désintéressé: il veut de la nourriture, de l’attention ou de l’affection. Pour l’humain, c’est pareil: on a besoin d’avoir quelqu’un – dans ce cas, ce que les scientifiques appellent un non-humain vivant – avec qui interagir.»

http://www.lapresse.ca/

Pourquoi les jeunes Américains portent des shorts en hiver (même quand il neige)


Porter un petit manteau ou en soulier l’hiver, cela ça se voit souvent, surtout les souliers, et ce à tout âge, mais des culottes courtes, je ne suis pas certaine que ce soit une bonne chose à – 9 C. En tout cas, je ne crois pas qu’ils braveraient certaines journées d’hiver au Québec.
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Pourquoi les jeunes Américains portent des shorts en hiver (même quand il neige)

 

par Claire Levenson

Les préadolescents américains des classes moyennes se rebellent comme ils peuvent: ces temps-ci, beaucoup affichent leur «indépendance» et leur attitude cool en portant des shorts quand les températures sont glaciales.

Il ne s’agit pas de quelques cas isolés mais d’une tendance de fond, examinée, entre autres, par le Boston Globe. Les préadolescents interviewés disent en général qu’ils n’ont pas froid aux jambes et que les shorts leur permettent de se mouvoir plus librement que les jeans.

Pour tenter de comprendre leur approche, la journaliste du Boston Globe a interviewé le propriétaire d’une marque de shorts qui explique pourquoi le short en hiver n’est pas seulement un vêtement, mais aussi un véritable état d’esprit, voire une philosophie de la vie:

«C’est associé au week-end. Tu as ton short. Tu es en mode détente, c’est juste toi et le monde. Tu n’es obligé d’écouter personne –pas de profs, pas de patron, pas de parents.»

Le short en hiver est donc symbole d’autonomie et d’auto-affirmation masculine.Dans le Chicago Tribune, une mère confirmait cette intuition en expliquant à propos de son fils:

«Il est connu comme celui qui porte des shorts. Il croit que c’est sa petite spécificité qui lui permet de se démarquer.»

Sauf que de plus en plus de jeunes se démarquent de cette manière. Il s’agit en effet d’un mouvement national: de nombreuses mères blogueuses, dont une qui écrit pour le Washington Post, évoquent comment elles ont capitulé face au refus de leurs enfants de s’habiller chaudement en hiver (certaines ont cessé d’acheter des manteaux).

Des pédiatres et des psychologues sont intervenus: pour certains, il est acceptable pour un parent de céder sur ce point («La testostérone et les poils leur tiennent chaud»), pour d’autres, le port du short par -10 degrés peut être dangereux, notamment en termes d’engelures et d’hypothermie.

La tendance ne s’arrête pas avec l’adolescence. Sur les campus américains, il n’est pas rare de voir des étudiants portant des tongs en plein hiver, jugées plus «confortables» que les chaussures. 

Il faut préciser que ce phénomène touche plus particulièrement les garçons. Quant aux filles, le Boston Globe rappelle qu’elles ont tendance à faire l’inverse, notamment en choisissant de porter des bottes fourrées Ugg en plein été.

http://www.slate.fr/

La marionnette


Nous sommes peut-être toutes des marionnettes, car nous avons tous une dépendance a quelque chose. Une dépendance néfaste qui nous rend vulnérables à la procrastination à ne pas avancer de tenter le coup pour s’améliorer
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La marionnette

 

 

Quand le fil est coupé, la marionnette s’écroule. C’est son premier geste d’indépendance.

Valeriu Butulescu

Métaphore : Les goélands crédules


Il est facile de se laisser aller quand tout vient tout seul sans vraiment d’effort mais quand la source se tarit nous sommes désemparé et nous ne savons plus comment retrouver la quiétude d’antan … Il ne faut jamais prendre pour acquis que les choses vont durer .. mais prévoir dans la mesure du possible des contre coups qui peuvent arriver et ne pas s’attendre que ce sont toujours les autres qui règleront nos problèmes
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Métaphore : Les goélands crédules

« L’autonomie consiste à se donner à soi-même envers l’autre une loi, plutôt que de la recevoir de la nature ou d’une autorité extérieure. » Antoine Spire (dans la revue Le Monde de l’éducation – Juillet – Août 2001)

Cette histoire vraie a été publiée dans les années 50 et est une merveilleuse fable dont la leçon s’applique à nous tous.

Dans la jolie ville de St. Augustine, de grandes bandes de goélands meurent de faim dans l’abondance.

La pêche est toujours bonne, mais les goélands ne savent pas pêcher. Depuis des générations, ils comptent sur les pêcheurs de crevettes qui leur lancent les déchets des filets. Et puis, les bateaux sont partis …

Les crevettiers avaient créé un état de providence pour les… goélands. Les grands oiseaux n’ont jamais pris la peine de pêcher et n’ont jamais appris à leurs petits à pêcher. Ils les conduisaient jusqu’aux filets à crevettes.

Maintenant, les goélands, ces beaux oiseaux libres qui sont presque le symbole de la liberté, meurent de faim parce qu’ils se sont laissés prendre au leurre du secours sans effort en contrepartie ! Ils ont sacrifié leur indépendance à une aumône.

Beaucoup de gens sont comme cela. Ils ne voient rien de mal dans le fait de ramasser de délicieux morceaux venus des filets des impôts des « crevettiers » du gouvernement. Dans d’autres cas, nous mettons le sort de notre vie entre les mains d’éléments extérieurs. Combien d’entre-nous ne sont pas convaincus que leur misère est la faute de toutes sortes d’influences, que la chance est passé chez le voisin mais pas chez soi. La société est-elle réellement la cause de nos « dépendances » ? Si oui dans une infime mesure, nous sommes toujours responsables de nos réactions face aux événements.

Mais que se passera-t-il quand le gouvernement, la société, votre employeur ou vos amis ne pourront plus rien donner ?
Que se passera-t-il pour les enfants nos générations à venir ?
Que se passerait-il avec vous si vous décidiez dès aujourd’hui de ne pas faire dépendre votre bien-être et votre bonheur des autres ?

Ne soyons pas des goélands faciles à duper. Nous devons protéger notre bien être, nos ressources émotionnelles, physiques et financières et développer notre créativité et nos talents pour une vraie autonomie.

Nous sommes les maîtres de notre « univers émotionnel ». Choisissez vos priorités dans vos dépenses, dans vos émotions, dans votre vie professionnelle, dans vos choix.

Et si votre bonheur ne dépendait que de votre attitude face à la vie ?

 

Michel POULAERT.