Comment arrêter de se punir pour ses erreurs ?


    Nous avons tous vécu des échecs, des ruptures douloureuses et notre manie de tout mettre sur notre faute et de laisser ces émotions négatives des années sont nocives pour nous. Changer notre de mode pensée de reformuler nos points négatifs en positifs et se convaincre qu’il y a quelque chose à apprendre permet mieux d’avancer
    Nuage

     

    Comment arrêter de se punir pour ses erreurs ?

     

    Comment arrêter de se punir pour ses erreurs ?

    Comment arrêter de se punir pour ses erreurs ?

    Accepter ses imperfections et prendre de la distance sur une situation qui nous bloque permet de reprendre confiance en soi.

    Parfois, repérer nos propres commentaires qui détruisent notre confiance en nous est une affaire facile :

    « J’ai oublié d’allumer l’alarme, je suis vraiment trop bête, je n’arrive à rien », ou encore « Je suis un·e incapable, je n’arriverai jamais à terminer mon travail correctement ».

    D’autre fois, notre tendance à nous fustiger pour des erreurs est tellement bien ancrée qu’elle fait partie de notre inconscient.

    Les psychologues du site américain Psychology Today appellent ce réflexe de définition de soi-même par une action, une situation ou un résultat, la « catastrophisation ». Ruminer, penser au pire scénario, l’amplifier, et finir par se replier dans un sentiment d’impuissance a des effets graves sur l’estime de soi et sur le bonheur général. Pourtant, nous ne sommes pas de mauvais amis parce que nous avons eu une dispute avec un proche, nous ne sommes pas de mauvaises personnes à cause d’une erreur, et nous n’allons pas passer notre vie tout seul à cause d’une rupture. Voici deux techniques conseillées par les experts de Psychology Today pour lutter contre cette mauvaise habitude mentale.

    S’accepter

    Se punir pour une erreur signifie dans la plupart des cas que nous aurions pu mieux gérer une situation donnée. Il est inutile de faire semblant de rien et d’essayer de se convaincre que nous n’avons pas tort. Mais accepter notre vulnérabilité et apprendre à aimer nos faiblesses sont beaucoup plus efficaces. Une méthode très utile consiste à écouter son monologue intérieur : la prochaine fois que vous vous entendez formuler une critique envers vous-même, notez-la, et essayez de la modifier d’une façon bienveillante. Posez-vous la question :

    « Est-ce que je dirais la même chose à une personne que j’aime et que je respecte ? »

    Prendre de la distance

    Un autre outil consiste à prendre de la distance. Lorsque nous sommes concentrés sur un échec, élargir notre point de vue en nous projetant des semaines, des mois ou des années plus tard peut aider à retrouver la confiance perdue et à apprécier nos accomplissements. Nous sommes humains, imparfaits, et il n’y a aucun mal à l’affirmer, à en prendre conscience et à vivre avec.

    http://www.santemagazine.fr/

    Être heureux


    C’est toujours une question d’attitude face à notre vie. Bien sûr, nous vivons des choses difficiles, nous aimerions que les choses se passent autrement, mais si nous ne pouvons rien y changer, nous pouvons voir les choses autrement, car il y a d’autres routes
    Nuage

     

    Être heureux

     

     

    Être heureux ne signifie pas que tout est parfait. Cela signifie que vous avez décidé de regarder au-delà des imperfections

    Aristote

    La tolérance de l’imperfection


    Si nous cherchons la perfection, nous risquons d’être bien déçus !! De toute manière, comme rien n’est parfait dans ce monde, raison de travailler notre tolérance pour un mieux-vivre
    Nuage

    La tolérance de l’imperfection

     

    Le bonheur n’est pas dans la recherche de la perfection,  mais dans la tolérance de l’imperfection

    Yacine Bellik

    L’imperfection des parents


    En vieillissant, on s’aperçoit qu’être parent n’est pas aussi simple …Il n’y a pas de mode d’emploi, ni d’application pour gérer nos émotions, notre fatigue et impatience, et que nos parents ont fait de leur mieux avec les moyens du temps. Et qu’enfin du compte, aucun parent n’est parfait, peu importe l’époque
    Nuage

     

    L’imperfection des parents

     

    J’ai souvent pensé qu’on ne devient réellement adulte qu’au moment où l’on pardonne à ses parents d’être aussi imparfaits que le reste des humains et où l’on reconnaît que, avec leurs limites, ils ont fait de leur mieux pour vous.

    Douglas Kennedy

    Le narcissisme et la superficialité obsessive démystifiés?


    Difficile de côtoyer un narcissisme, mais il est peut-être intéressant de savoir que ces gens ont un dérèglement au niveau du cerveau Cette découverte, va peut-être aider ces gens à une meilleure estime de soi
    Nuage

     

    Le narcissisme et la superficialité obsessive démystifiés?

     

    Le narcissisme et la superficialité obsessive démystifiés?

    Photo Fotolia

    Les gens obsédés par leur image et leurs défauts pourraient être victimes d’un malfonctionnement cérébral, selon certains experts.

    Le narcissisme et la superficialité, ou encore le fait de constamment penser à son apparence, sont des comportements mis en lumière dans une nouvelle étude sur le sujet, qui révèle des faits étonnants.

    D’abord, on apprend que les gens obsédés par leur apparence ne le sont pas toujours parce qu’ils s’adorent, au contraire, mais aussi parce qu’ils ne sont souvent pas satisfaits de ce qu’ils voient.

    Selon cette récente étude en provenance de l’Université de Californie, rapportée par The National Library of Medicine, certains de ces phénomènes pourraient s’expliquer par des connexions déficientes ou « mal branchées » au cerveau, qui pousseraient ces gens à ne voir que leurs défauts et leurs imperfections.

    Difficile de penser à autre chose quand votre tête ne vous renvoie que des images négatives de vous, et ce, de façon incessante!

    « Nous avons trouvé une forte corrélation entre des connexions déficientes autour du cerveau et la sévérité des symptômes de ce désordre », résume Jamie Feusner, auteur de l’étude.

    On ne parle pas des possibilités de traitement, mais comme pour tous les désordres de ce type, ce genre de découverte est souvent un premier grand pas vers des solutions efficaces. Un dossier à suivre.

     

    http://fr.canoe.ca

    Le charme de l’imperfection


    Aujourd’hui, la perfection est visé, mais il est difficile d’obtenir cette perfection dans tous les domaines de la vie … sans que certains en souffrent. Apprendre a dire non, a déléguer .. et puis la perfection n’est pas de ce monde alors pourquoi insister.
    Nuage

     

    Le charme de l’imperfection

     

    Le stress et le surmenage sont les maux de notre époque. Outre les pressions qu’un responsable peut faire subir, souvent nous l’imposons nous-mêmes.

    Ils proviennent d’un sentiment de tout vouloir contrôler et d’un travail parfait. Acceptez de laisser certaines choses pour ce qu’elles sont, ayez conscience qu’il est impossible de tout maitriser et que l’imperfection fait tout le charme de notre monde !

    Accepte aussi de déléguer ou laisser agir les autres

    Michel Poulaert
    Source d’optimisme

    Éloge de l’imperfection


    Partout on nous montre la perfection, maquillage, cuisine, tenue vestimentaire, éducation, et tout le tralala … Certaines personnes prennent tout a lettre et se retrouve déboussolée, épuisées et vraiment déçue … En fait chercher la perfection est une chose mais vouloir être parfaite non c’est de s’entrainer a bien des maux de tête
    Nuage

    Éloge de l’imperfection

    Éloge de l'imperfection

    Photomontage: La Presse

    Isabelle Ducas, collaboration spéciale
    La Presse

    La perfection n’est pas de ce monde. Pourtant, nous sommes bombardés de messages qui nous incitent à cuisiner des repas à la fois nutritifs et savoureux, avoir un intérieur digne de Martha Stewart, en faire plus pour stimuler nos enfants, réussir notre vie professionnelle, être mince et en forme… Ouf! Pas reposant! Heureusement, des voix s’élèvent pour nous inciter à accepter l’imperfection.

    Sans surprise, les femmes semblent être plus sensibles aux messages de recherche de la perfection véhiculés dans la société, selon la sociologue Diane Pacom, de l’Université d’Ottawa.

    «C’est troublant de voir la pression que se mettent certaines jeunes femmes pour tout réussir. Elles veulent être présentes pour leurs enfants, jolies, avoir des responsabilités professionnelles, bien nourrir leur famille, et faire du yoga en plus pour être calmes, lance-t-elle. C’est du perfectionnisme poussé à l’extrême!»

    La sociologue croit que cette situation est une sorte d’effet secondaire du féminisme. Les premières femmes de carrières, de la génération du baby-boom, ont été accusées d’être responsables de l’augmentation des divorces, du décrochage scolaire, de la malbouffe et d’autres maux de la société.

    «En réaction à ça, leurs filles disent: nous, on est capables de tout faire, dit Diane Pacom. Elles accumulent des responsabilités invraisemblables. Et vivent beaucoup de culpabilité, puisqu’elles ne peuvent évidemment pas tout faire à la perfection.»

    C’est en accouchant de triplés, il y a huit ans, que Nancy Coulombe a définitivement dit non à la perfection.

    «En lisant des livres sur la maternité, j’ai réalisé que les conseils des spécialistes étaient complètement déconnectés de la réalité. Y a-t-il vraiment des mères qui ont le temps de découper les légumes en formes amusantes pour que les enfants les mangent?», lance-t-elle.

    Avec une copine, Nadine Descheneaux, mère de deux enfants, elle a lancé en 2008 le blogue des (Z) imparfaites.

    On y propose de mettre fin à «l’obsession de la mère parfaite et ses diktats étouffants et culpabilisants! Place au joyeux désordre, à l’improvisation organisée et au véritable plaisir d’être soi-même», promettent les blogueuses.

    Leurs chroniques rigolotes et impertinentes attirent 20 000 visiteurs par mois, et un livre publié en 2009 reprend leurs textes les plus marquants.

    Les auteurs mettent de l’avant leurs «imperfections», sans crainte du qu’en-dira-t-on: elles donnent des beignes à leurs enfants, les installent devant la télé quand elles ont besoin de calme, détestent jouer à la poupée et faire des casse-tête, ne plient pas leurs serviettes de façon impeccable et n’inscrivent pas leur progéniture à toute une panoplie de cours. Et surtout, elles ont mis au recyclage les livres écrits par des spécialistes.

    «À force d’être surinformées, on a l’impression que les femmes ont perdu leur instinct maternel et qu’elles n’ont plus de plaisir à être avec leurs enfants, dit Nancy Coulombe. Nous, on a rejeté le mythe de la superwoman et décidé de lâcher prise avant de se rendre au burn-out.»

    Les blogueuses reçoivent régulièrement des commentaires de lectrices qui se déculpabilisent en les lisant: elles apprennent à accepter leurs imperfections.

    Imparfaite, et alors? , un autre blogue, animé par Anik Routhier et Julie Beaupré, deux mères de trois enfants chacune, vise le même but.

    «La liste des choses à faire pour être une meilleure mère est tellement longue, c’est impossible de tout faire. Il faut savoir se fixer des priorités et tourner les coins rond sans que ça paraisse, explique Anik Routhier. Mais ça prend du courage pour être imparfaite et ne pas se préoccuper de l’opinion des autres.»

    Pour réduire la pression, la jeune femme ne regarde plus la télé, ne lit plus les journaux et fréquente les magasins le moins possible.

    «J’ai coupé tout ce qui créait des besoins et de la pression. On est confrontés à tellement de choix que c’est épuisant», note-t-elle.

    En effet, pour certaines personnes, le perfectionnisme peut devenir une maladie. Geneviève Goulet, psychologue au Centre d’études sur les troubles obsessifs compulsifs et les tics du Centre de recherche Fernand-Séguin, reçoit en thérapie des perfectionnistes qui n’en peuvent plus.

    «Le perfectionnisme peut être bénéfique dans certaines situations, mais quand on n’est jamais satisfait de ce qu’on accomplit, quand on peaufine à l’extrême des tâches peu importantes, quand on se fixe des objectifs irréalistes, c’est exténuant et ça cause beaucoup d’anxiété», explique-t-elle.

    Pour les perfectionnistes, les informations sur l’éducation des enfants, la cuisine, la décoration ou la forme physique sont reçues comme une incitation à «mettre la barre encore plus haut». «Ils se fixent des attentes trop élevées, et s’obligent à y répondre», souligne Geneviève Goulet. Certaines personnes, confrontées à des sentiments d’échec répétés, peuvent même en faire une dépression.»

    Avant d’en venir là, dit Diane Pacom, «mieux vaut accepter l’imperfection, sans culpabilité!»

    L’imperfection dans

    … la mode

    Selon le New York Times, la dernière tendance en matière de coiffure et de maquillage est l’imperfection: cheveux en bataille ou ramenés en chignon négligé, rouge à lèvres étalé avec les doigts, sourcils au naturel, absence de fond de teint, etc. Exit les peignes, les pinceaux et les looks léchés!

    … la photographie

    La même tendance gagne le monde de la photographie, révèle Le Monde: rejetant les appareils numériques hyper-performants, de jeunes photographes ne jurent que par les Lomo, des appareils argentiques bas de gamme nés en Union soviétique dans les années 60, qui donnent des clichés rétro, pleins de défauts techniques.

    … la dentition

    Au Japon, la mode est au sourire imparfait. Les cliniques dentaires reçoivent des jeunes femmes qui veulent faire «désaligner» leurs dents trop parfaites. Il semble que les hommes japonais craquent pour les dents de «vampire», des canines pointues, qui peuvent être obtenues au moyen d’implants.

    http://www.cyberpresse.ca