En Sicile, Ikea ouvre ses portes aux chiens errants pour les protéger du froid


C’est un très beau coup publicitaire qu’Ikéa fait en Sicile. Les chiens peuvent profiter, la chaleur dans le magasin a travers les différents décors. Je trouve cela génial, en espérant que des itinérants soient aussi au chaud dans un décor tout aussi accueillant.
Nuage

 

En Sicile, Ikea ouvre ses portes aux chiens errants pour les protéger du froid

 

© Instagram @spot_the_trash.

Un magasin Ikea à Catane, en Sicile, laisse ses portes ouvertes aux chiens errants afin que ceux-ci puissent se protéger du froid. L’initiative du géant de l’ameublement a été largement saluée par ses clients et les internautes sur les réseaux sociaux.

Si vous avez déjà eu la chance de vous rendre en Sicile, vous aurez remarqué que les chiens errants y sont légion. À l’approche de l’hiver, les employés du magasin Ikea à Catane laissent ces chiens abandonnés se reposer bien au chaud dans ses allées et dans ses salons fictifs. Une initiative qui date déjà d’il y a quelques années.

Et ces visiteurs à quatre pattes ne semblent pas importuner les clients de l’enseigne, au contraire. Ceux-ci ont vivement salué ce geste et n’hésitent d’ailleurs pas à prendre ces chiens bien installés sur les tapis molletonnés en photo pour les partager ensuite sur les réseaux sociaux.

« C’est vraiment, vraiment adorable de fournir un abri aux chiens errants » s’est exclamé une internaute sur Instagram « C’est juste génial! Je n’en espérais pas tant! » a-t-elle ajouté en commentaire d’une photo montrant un adorable toutou couché au beau milieu d’un salon décoré pour Noël.

https://www.7sur7.be

Un enfant trouve une arme sur un canapé Ikea et tire dans le magasin


Ce n’est vraiment pas sécuritaire si une arme peut glisser dans un meuble à l’insu du propriétaire. Si un adulte se croit assez mature pour porter une arme, il doit aussi s’assurer qu’elle ne puisse pas sortir sans qu’il s’en aperçoive. Même un voleur à la tire pourrait lui prendre facilement. Au moins, il n’a pas eu de blessé. Gageons que l’enfant a eu une bonne frousse avec tout ce qui a suivi après.
Nuage

 

Un enfant trouve une arme sur un canapé Ikea et tire dans le magasin

© afp.

ETATS-UNIS Frayeur lundi dans un magasin Ikea de Fishers, près d’Indianapolis, aux Etats-Unis. Un enfant s’est saisi d’une arme chargée « oubliée » sur un canapé. Il a tiré au moins un coup de feu sans faire de blessé.

Un client du magasin Ikea de Fisher a involontairement abandonné son pistolet chargé sur un canapé d’exposition. L’arme a ensuite été récupérée par un enfant qui s’est servi de l’arme au moins à une reprise. Aucune victime n’est à déplorer, mais le magasin a dû fermer pour que les policiers puissent mener l’enquête. Selon les premiers éléments, le propriétaire du pistolet s’est assis sur le canapé et l’arme s’est faufilée entre deux coussins. Un petit garçon l’a ensuite retrouvée et l’a utilisée pour « jouer ». 

Ikea a réagi officiellement via un communiqué relayé par la chaîne CBS et a présenté ses excuses à l’enfant.

« La sécurité des clients et des collaborateurs est la première priorité pour Ikea (…) Dès que nous nous sommes rendu compte de la situation, les employés ont oeuvré pour la sécurité des clients. Nous collaborons avec la police qui enquête sur cet incident. »Source: CBS, 20 minutes.fr

https://www.7sur7.be/7s7/fr/

Les lourdes conséquences du harcèlement illustrées par des plantes


Je trouve que c’est une belle expérience pour les enfants sur les conséquences de le harcèlement, l’intimidation à l’école envers les victimes. Si les plantes réagissent aux paroles blessantes, intimidations, alors que penser d’une personne
Nuage

 

Les lourdes conséquences du harcèlement illustrées par des plantes

 

 

Ikea a utilisé deux plantes pour montrer aux enfants de plusieurs écoles des Émirats arabes unis les effets du harcèlement scolaire.

À l’occasion de la journée contre le harcèlement qui se tenait le 4 mai au Moyen-Orient, Ikea a tenu à montrer aux enfants les effets dévastateurs que peut avoir le harcèlement sur le bien-être d’une personne. Pour cette expérience, deux plantes ont été disposées dans différentes écoles des Émirats arabes unis. Elles ont chacune reçu les mêmes soins à la différence près que l’une d’entre elle était complimentée tous les jours par les enfants tandis que l’autre était critiquée et insultée. 

Les étudiants ont en effet été invités à enregistrer des mots gentils et encourageants pour une plante, et des phrases blessantes pour l’autre. Un mois plus tard, les résultats parlent d’eux-mêmes. La plante qui a reçu des messages positif de la part des élèves est restée en bonne santé. Quant à l’autre, elle a vu son état se détériorer en peu de temps.

Malgré une quantité identique d’eau, d’engrais et de soleil, ce sont finalement les paroles qui ont eu une importance cruciale dans le développement de ces plantes. Si on savait déjà que les mots doux et la musique pouvaient avoir un effet positif sur les plantes, cette campagne prouve surtout la force que peuvent avoir certains mots sur le bien-être d’un individu.

http://www.7sur7.be/

Un 8e enfant décède écrasé par une commode Ikea


La mort d’un enfant est terrible, mourir à cause d’un meuble est aberrant. Un bambin de seulement 2 ans a été capable de renverser un meuble plus grand que lui.
Nuage

 

Un 8e enfant décède écrasé par une commode Ikea

 

 

Une vidéo diffusée l’année passée révélait le risque des commodes MALM pour les enfants.

Par: Deborah Laurent

Jozef Dudek, 2 ans, est décédé en mai dernier écrasé par une commode trois tiroirs de la gamme MALM chez Ikea. Il est le 8e enfant à être tué de la sorte, par la chute du même meuble.

 

Le meuble qui a tué Josef. © Ikea.

Jozef était seul dans sa chambre: il faisait la sieste.

« Quand le père est entré dans la pièce, il l’a retrouvé sous la commode », a confié Alan M. Feldman, l’avocat de la famille, au New York Daily News.

Ikea a rappelé plusieurs modèles de commodes à trois tiroirs en juin 2016, expliquant qu’il y avait un risque qu’elles se renversent. La marque d’ameublement à bas prix a exhorté les clients à les attacher aux murs s’ils souhaitaient les garder ou à les renvoyer.

L’avocat de la famille Dudek confie que 29 millions de commodes Ikea ont été vendues à travers le monde « et le rappel a été inefficace« . Il insiste sur le fait que les meubles vendus devraient être parfaitement stables et ne devraient pas nécessiter d’ancrage supplémentaire. »

Alan M. Feldman a déjà représenté trois familles dont les enfants sont morts écrasés par un meuble Ikea. Elles ont été dédommagées à hauteur de 50 millions de dollars à se répartir entre elles.

 

http://www.7sur7.be

Des annonces trop alléchantes pour être vraies dans les réseaux sociaux


Virus, piratage, avec les fausses annonces À tous ceux qui cliquent sur des liens et partager sans vérifier si cela est vrai, dans les annonces bidons de billets d’avion, de pizza gratuits, d’un coupon avec un montant d’argent d’Ikea par exemple, sachez que souvent, ce sont souvent des annonces bidons et pire cela peut laisser une porte d’entrer à virus, un ver, un piratage de votre ordinateur … Est-ce que cela vaut la peine de risquer d’entre infecté pour au cas que ce soit vrai ? Allez voir le vrai site d’une compagnie s’ils parlent de ces beaux cadeaux …
Nuage

 

Des annonces trop alléchantes pour être vraies dans les réseaux sociaux

 

Les fausses offres dans les médias sociaux peuvent avoir pour but de propager des virus ou des vers informatiques.

Les fausses offres dans les médias sociaux peuvent avoir pour but de propager des virus ou des vers informatiques. Photo : Associated Press/Paul Sakuma

Si vous utilisez Facebook fréquemment, vous avez sûrement remarqué des annonces qui vous promettent des articles, des voyages ou des repas gratuits si vous les aimez ou les partagez. Sachez que la plupart de ces propositions sont fausses.

Radio-Canada avec CBC

Ces offres, partagées un nombre incalculable de fois dans les médias sociaux, utilisent illégalement le nom et le logo d’entreprises bien connues.

Une résidente de Calgary, Arthene Riggs, a remarqué dans son fil Facebook une offre de billets gratuits d’Air Canada.

« Ma sœur avait partagé cette publication et je me disais que je n’avais rien à perdre. J’ai essayé, mais ensuite, ça s’est transformé en cauchemar », dit-elle.

Facebook a suspendu son compte, lui disant qu’elle avait propagé du pollupostage dans les réseaux sociaux. Après de nombreuses et longues démarches, elle a pu faire rétablir son compte.

Dangers potentiels

 

Des annonces du genre sont monnaie courante. De nombreux internautes ont transmis récemment un coupon de 100 $ de la chaîne Ikea, une autre escroquerie. La publication est particulièrement populaire dans les Maritimes, à quelques semaines de l’ouverture du magasin Ikea de Dartmouth.

« Soyez informés qu’il ne s’agit pas d’un site web d’Ikea, que l’entreprise n’est pas associée à ce site et qu’elle n’a jamais autorisé cette offre », affirme une porte-parole de la société.

Au-delà de la suspension de son compte Facebook, les dangers d’aimer une publication, de la diffuser et de répondre à des sondages sont réels.

Un expert en marketing au Collège communautaire de la Nouvelle-Écosse, Ed McHugh, précise que certaines de ces fausses offres ont comme objectif d’infecter votre ordinateur ou votre appareil en y introduisant un virus ou un ver. Dans d’autres cas, des pirates informatiques veulent simplement s’amuser aux dépens d’internautes crédules.

« Vous ne savez pas à quel genre de parasite vous vous exposez. Ça pourrait détruire votre appareil et même potentiellement ceux de vos amis » , dit Ed McHugh.

Air Canada et Pizza Hut

 

La fausse offre d’une paire de billets d’Air Canada circule dans les médias sociaux depuis près de deux ans.

Une fausse offre de billets gratuits d'Air Canada

Une fausse offre de billets gratuits d’Air Canada   Photo : Facebook

Le 23 septembre 2015, la société aérienne a publié un avertissement dans sa page Facebook et en a publié un autre récemment sur son site web. Une porte-parole, Isabelle Arthur, précise d’ailleurs qu’Air Canada a contacté Facebook et a demandé au fournisseur de services de fermer le site web à la source de ces fausses offres.

La chaîne de restauration rapide Pizza Hut a aussi été victime de telles annonces. L’an dernier, elle a publié un avertissement dans sa page Facebook, précisant qu’un faux coupon circulait dans les médias sociaux, promettant une pizza gratuite de Pizza Hut. L’entreprise qualifie cette offre d’escroquerie.

Facebook explique à ses membres qu’en aimant ou faisant circuler du pollupostage, ils peuvent sans le vouloir installer des programmes malveillants sur leur appareil ou donner accès à des comptes aux pirates, qui peuvent ensuite envoyer encore plus de pourriels. La société enjoint d’ailleurs à ses clients de lui rapporter tous les cas de fausses publications.

Comment distinguer le vrai du faux?

  • Réfléchissez avant de cliquer sur un lien. Est-il raisonnable qu’Air Canada offre deux billets gratuits à tous?
  • Vérifiez les sources en appelant l’entreprise à l’origine de l’offre.
  • L’entreprise a-t-elle un site web? Sinon, posez-vous des questions.
  • Si la page Facebook associée à l’annonce ne fournit aucune information sur l’entreprise derrière l’offre, ayez des doutes sur sa validité.
  • Et si c’est trop beau pour être vrai, c’est probablement faux.

http://ici.radio-canada.ca/

Le Saviez-Vous ► 75 % du catalogue IKEA est en images de synthèse


L’infographie est le domaine de la création d’images numériques assistée par ordinateur, j’imagine que cela sauve du temps et de l’argent de faire un catalogue qui ressemble vraiment à des photos d’une pièce entièrement meublée et décorée
Nuage

 

75 % du catalogue IKEA est en images de synthèse

 

 

 

Guillaume Champeau

Saviez-vous que les trois-quarts des produits présentés par IKEA n’ont pas été photographiés, mais rendus en images de synthèse ? C’est même le cas pour plus d’un tiers des pièces de maison entièrement reconstituées.

Avez-vous déjà feuilleté un catalogue IKEA en vous demandant comment faisait le géant suédois pour avoir autant de décors différents dans lesquels mettre en valeur ses produits ? S’il a pendant longtemps reconstitué des intérieurs de maisons et d’appartements dans ses studios photos, le fabricant de meubles en kit a entamé une véritable révolution interne à partir du milieu des années 2000, en jetant son dévolu sur les reconstitutions photo-réalistes en images de synthèse.

Le site spécialisé CGSociety a ainsi interrogé Martin Enthed, le directeur technologique de la filiale IKEA Communications AB, basée en Suède. Il raconte que c’est en 2004 que la firme a décidé de passer progressivement de la photo traditionnelle au rendu 3D, et que la première image de synthèse à faire son apparition dans un catalogue IKEA fut la chaise « Bertil », en 2006. L’idée de base était de faciliter les prises de vue sur fonds blanc pour le site web : 

Huit ans plus tard, environ 75 % des produits présentés dans le catalogue IKEA ne sont plus des photographies, mais des représentations en 75 % du catalogue IKEA est en images de synthèse. La firme a réalisé un gros travail de reconversion en interne, en obligeant ses photographes à suivre des formations de conception et de rendu 3D, et réciproquement.

Les équipes de communication du groupe disposent d’une base de 25 000 modèles, qui sont tous modélisés avec un niveau de précision très important. Chaque produit doit pouvoir être rendu sans que l’artifice se voit dans une résolution de 4000 x 4000 pixels (16 Mpix).

« Nous devons pouvoir faire ce qu’on veut avec les rendus. Les imprimer sur de grands murs dans les magasins si nous avons besoin. Même si la plupart ne sont jamais utilisés que sur le site web, ils ont tous la capacité d’être imprimé à très haute résolution », explique Enthed.

C’est en 2010 que IKEA a franchi un pas supplémentaire en intégrant à son catalogue toute une pièce rendue en images de synthèse. L’année suivante, ce fut quatre ou cinq pièces de plus. Et aujourd’hui, 35 % des images scénarisées sont rendues avec V-Ray, le moteur de rendu utilisé en lien avec 3DS Max, le logiciel de modélisation.

Pour calculer le rendu des images, très exigeant en ressources systèmes, IKEA a développé son propre système maison. Tous les ordinateurs de la firme sont mis à contribution, même celui du comptable ou du commercial. Dès qu’un ordinateur n’est pas utilisé, pendant une pause, une réunion, ou la nuit, sa capacité de calcul est mise au service des rendus 3D.

« Le système fonctionne bien, la fil d’attente des rendus est vidée quasiment chaque jour. Ce sont des images d’images », conclut Martin Enthed.

http://www.numerama.com

Le Saviez-Vous ► Plusieurs animaux se sont retrouvés au centre des débats en 2016


Des animaux ont eu la vie dure au Canada, certains sont dû aux manques de vigilance de leur propriétaire, des combats de chien, des cruautés envers les animaux ….
Nuage

 

Plusieurs animaux se sont retrouvés au centre des débats en 2016

 

Les animaux semblent se faufiler dans l’actualité chaque année. Mais en 2016, plusieurs d’entre eux se sont retrouvés au centre des débats juridiques et politiques au Canada.

Voici un aperçu des bêtes qui ont pris le plus de place dans l’actualité de cette année:

Les pitbulls de Montréal

Le décès de la Montréalaise Christiane Vadnais, qui a été attaquée par un chien dans sa propre cour a provoqué un débat politique enflammé dans la métropole québécoise qui a abouti devant les tribunaux. Dans la foulée du drame, le maire de Montréal, Denis Coderre, a décidé d’adopter un règlement pour interdire les nouveaux chiens de type pitbull sur le territoire. Les Montréalais qui avaient déjà des chiens de ce type devront également se soumettre à des règles strictes lorsque leur animal sera à l’extérieur.

Le règlement a rapidement été contesté par la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) en cour, qui avait suspendu temporairement l’ordonnance, avant que la Cour d’appel ne renverse cette suspension en partie. La SPCA de Montréal plaidait que le règlement était discriminatoire, déraisonnable et non applicable. À la fin du mois de novembre, le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) a annoncé qu’il ne portera aucune accusation contre le propriétaire du chien qui avait attaqué Mme Vadnais, ce qui démontrait la nécessité, selon le maire Coderre, d’implanter son règlement.

Les capybaras de Toronto

Les gros rongeurs se sont évadés du zoo de Toronto, situé au centre-ville de Toronto, en mai et sont restés au large pendant des semaines dans l’immense zoo de High Park. Les employés de l’établissement sont finalement parvenus à attraper les animaux, âgés de seulement six mois, qui ont ironiquement été baptisés Bonnie et Clyde.

La recherche des deux bêtes a inspiré le mot-clic « CapybaraWatch » en ligne et a mené à la création de parodies de comptes Twitter qui mettaient des messages en ligne de la perspective des deux rongeurs, faisant du mâle et de la femelle de petites célébrités. Les employés du zoo, ont, depuis placé des pièges situés près des cours d’eau, puisque les capybaras aiment se cacher dans l’eau. L’un d’entre eux a finalement été retrouvé le 12 juin, tandis que l’autre a poursuivi sa cavale jusqu’au 28 juin. La fuite de Bonnie et Clyde aurait coûté à la ville 15 000 $.

Le python du Nouveau-Brunswick

Au terme d’un procès très émotif en novembre, un jury du Nouveau-Brunswick a déclaré Jean-Claude Savoie non coupable de négligence criminelle ayant causé la mort de deux bambins, il y a trois ans. Le python de Séba de M. Savoie s’était enfui de son enclos et avait parcouru une conduite de ventilation pour atterrir dans le salon où dormaient Noah Barthe, âgé de quatre ans, et Connor Barthe, âgé de six ans. Un médecin légiste qui a pratiqué l’autopsie a indiqué que les garçons étaient morts d’asphyxie et que leurs corps étaient couverts de morsures de serpent.

Les enfants, qui étaient les meilleurs amis de l’enfant de M. Savoie, avaient passé la journée à s’occuper d’animaux et à jouer dans la ferme du père de M. Savoie. Ils avaient finalement dormi dans l’appartement de l’accusé, qui était au-dessus du magasin d’animaux duquel il était propriétaire à l’époque. Un ancien responsable des reptiles au Jardin zoologique de Toronto a témoigné lors du procès que les serpents devenaient plus agressifs lorsqu’ils détectent la présence de nourriture _ une attaque aurait été peu probable si les enfants n’avaient pas eu l’odeur d’animaux sur eux.

Le singe du Ikea

En août l’ancienne propriétaire du célèbre macaque japonais Darwin, Yasmin Nakhuda, a organisé une soirée chez elle pour ses sympathisants, où elle a rencontré ses deux nouveaux singes, Caesar et Diva. Les invités ont convergé vers la propriété luxueuse de Mme Nakhuda, où ils ont pu prendre des photos avec ses autres animaux – deux ânes miniatures, un kangourou appelé Wall-E, quelques alpagas, deux ouistitis, deux furets, ainsi qu’un renard noir et blanc.

Mme Nakhuda a déménagé là-bas après avoir perdu son « fils », Darwin, un macaque japonais qui s’était échappé de sa voiture pour se promener dans un magasin Ikea. Les images du petit singe portant une veste en mouton beige ont fait le tour des médias sociaux et ont mené à une bataille judiciaire, qui a mené à la perte de la garde de Darwin, qui vit maintenant dans un sanctuaire pour primates.

De présumés chiens de combat en Ontario

En janvier dernier, un organisme de protection des animaux a entamé des procédures judiciaires pour tuer 21 chiens saisis lors d’une descente policière dans une maison où il y aurait eu des combats entre chiens. La Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux de l’Ontario (SPCA) et la police de Chatham-Kent ont saisi 31 chiens en octobre 2015 d’une résidence de Tillbuty en Ontario. Cinq personnes font face à plus de 300 chefs d’accusation liés à la cruauté envers les animaux et à la possession d’armes. Trois des chiens ont été euthanasiés pour des raisons médicales, mais la SPCA ontarienne demande à la cour la permission de tuer 21 autres chiens pour des raisons comportementales.

La Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux des États-Unis a évalué les chiens et a jugé qu’ils étaient parmi les chiens les plus agressifs qu’elle a eu à examiner. Les bêtes sont gardées dans un lieu secret depuis plus d’un an, maintenant, alors que l’affaire se prépare à être traitée par les tribunaux. Le commentateur sportif Don Cherry s’est même invité dans le débat, demandant aux citoyens de contribuer à un fonds pour sauver les chiens.

Des bélugas décédés

Deux bélugas, une mère et sa fille, sont morts mystérieusement à neuf jours d’intervalle à l’aquarium de Vancouver en novembre. Des représentants de l’établissement ont affirmé que la mère, Aurora âgée de 28 ans, et Qila âgée de 21 ans, avaient démontré des symptômes semblables avant leur décès, mais les experts n’ont pas réussi à identifier le problème de santé dont elles souffraient. Il s’agissait des deux derniers bélugas de l’aquarium, bien qu’il soit propriétaire de cinq autres qui sont actuellement hébergés aux États-Unis. Aucun d’entre eux ne sera envoyé à Vancouver pour l’instant et l’établissement prévoit suspendre l’expansion de sa section sur les bélugas.

Les ours, les pintades et le paon de Marineland

À la fin du mois de novembre, la Société de protection contre la cruauté envers les animaux de l’Ontario a déposé cinq accusations de cruauté contre Marineland à la suite d’une inspection. Les accusations impliquent des ours, des pintades et un paon. Le parc d’attractions a rejeté ces accusations et a promis de « se défendre vigoureusement » en cour. Il a aussi dit que les accusations faisaient suite à une plainte déposée par « un ancien employé qui a été congédié pour ses piètres résultats et un comportement inapproprié ».

Les pingouins noyés

Sept pingouins se sont noyés au zoo de Calgary au début de décembre. Selon des organismes de protection des animaux en captivité, ces étranges noyades prouvent la nécessité d’installer des caméras de surveillance dans tous les enclos. Les responsables du zoo ont précisé que la colonie de 22 pingouins allait bien lorsqu’un gardien a quitté le bassin en après-midi, mais sept d’entre eux ont cependant été retrouvés morts lorsque le personnel est arrivé, le lendemain matin. Le directeur du zoo, Jamie Dorgan, a déclaré que des employés avaient réalisé des tests concernant la température, l’aération et l’eau des bassins mais rien d’anormal n’a été découvert.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Ikea, briseur de couples?


À mon avis, si un couple se brise à cause des meubles d’Ikea, il se briserait un moment ou un autre sans Ikea. C’est probablement l’excuse qui se présente
Nuage


 

 

Ikea, briseur de couples?

 

Par Laurent Deschamp

Corvée pour certains, plaisir pour d’autres, aller acheter des meubles chez Ikea fait partie des nombreuses options de sortie du week-end pour des milliers de couples. Hélas, ceux-ci n’en sortent pas toujours indemnes…

C’est en tout cas ce qu’affirme une étude, très sérieuse, publiée mardi dans le Wall Street Journal, qui affirme en substance qu’aller acheter des meubles chez Ikea est régulièrement source de conflit pour les couples… Et peut même les pousser au « clash » ultime.

Dans le détail, l’étude, réalisée par la thérapeute américaine Ramani Durvasula, explique que, confronté au choix offert dans le magasin, un couple risque de s’enfoncer dans une lutte sans fin pour savoir qui va l’emporter. Attitude qui finit par faire remonter rapidement à la surface certaines rancoeurs jusqu’alors cachées, explique encore l’experte.

La thérapie du montage de meuble

Et ce n’est pas fini. Car, il y a bien un deuxième effet Ikea… à la maison.

Lorsque le couple déjà échaudé par sa visite dans la grande surface, se voit confronté au problème de l’assemblage de ses achats. Ce qui peut facilement dégénérer et même mener à l’explosion.

L’épreuve du « montage de meubles » est tellement délicate que Ramani Durvasula s’en sert comme d’un exercice pour les couples qui la consultent. A charge pour eux de ne pas s’écharper sur une notice incompréhensible…

L’enseigne suédoise semblerait d’ailleurs assez consciente du problème puisque certains de ses produits sont surnommés, non sans un certain humour noir, des « tueurs de maris », explique le journal américain. D’ailleurs, pour limiter la « casse » Ikea propose désormais l’assemblage de ses meubles à domicile. Moyennant une substantielle commission. Et la marque jaune et bleue ne s’arrête pas là: interrogée par le Huffington Post américain, une responsable d’Ikea affirme qu’une nouvelle gamme de meubles « faciles à monter » est à disposition de sa clientèle…

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Les Chinois viennent chez Ikea pour faire la sieste


C’est vraiment une mentalité complètement différente de bien des pays Enfin bref, la Chine semble être vraiment unique dans le comportement en société, tellement qu’il y a un guide de chose a ne pas faire quand ils visitent les autres pays
Nuage

 

Les Chinois viennent chez Ikea pour faire la sieste

 

Des clients du magasin Ikea de Pékin font la sieste.
Crédits photo : China Stringer Network /Reuters/REUTERS

Dans ses magasins chinois, le géant suédois voit débarquer chaque jour des milliers de visiteurs qui dorment sur les matelas et font des pique-niques au rayon meuble. Soucieuse de ne pas froisser ces potentiels clients, la direction ferme les yeux

S’adapter aux habitudes de la clientèle chinoise est un défi permanent pour les sociétés qui s’installent en Chine. Le géant suédois Ikea en fait l’expérience tous les jours dans ses magasins où la clientèle adopte un comportement qui – d’un point de vue occidental – peut paraître très surprenant.

Une cliente fatiguée fait la sieste sur un canapé d’exposition
Crédits photo : MARK RALSTON/AFP

Au rayon des meubles et cuisine notamment, il n’est pas rare de voir des pique-niqueurs, assis sur les tables d’exposition avec leur thermos de thé et leurs sandwichs. Parfois, des jeunes couples se font des câlins et se prennent en photo sur les canapés des espaces salons. Mais c’est au rayon des chambres à coucher que les visiteurs se sentent le plus comme chez eux: jeunes et moins jeunes n’hésitent pas à se déchausser, puis se glisser sous les draps des lits d’exposition pour piquer un somme. Des familles entières s’allongent parfois sur les matelas pour faire une sieste avant de reprendre leur promenade.

Une grand-mère aide son petit-fils à uriner, au rayon literie (crédits photo: Kim Wall pour le South China Morning Post)

Une grand-mère aide son petit-fils à uriner, au rayon literie (crédits photo : Kim Wal pour le South China Morning Post)
Crédits photo : Kim Wall/SCMP

Dans un article publié le mois dernier, un journaliste du South China Morning Post , décrit, photos à l’appui, cette scène incroyable qui s’est déroulée un samedi de forte affluence dans un magasin de Pékin:

«dans un lit king-size, un petit garçon se réveille d’une sieste aux côtés de sa grand-mère (elle aussi endormie). Quand la vieille dame aide l’enfant à uriner dans une bouteille d’eau, inondant copieusement le matelas, personne n’a l’air d’y faire attention»…

Visiblement très confortable, ce rayon est le plus populaire et le plus visité des établissements Ikea en Chine. Au grand dam des employés de l’enseigne suédoise, forcés de réveiller les personnes assoupies sur les lits pour permettre à ceux qui veulent acheter de faire leur choix. Les draps doivent aussi être changés presque tous les jours, obligeant les employés à faire des heures supplémentaires.

«Je pense juste que les habitudes de shopping sont très différentes en Chine», ironise l’un d’entre eux au South China Morning Post.

Le comble pour Ikea, c’est que ces clients ressortent généralement les mains vides. Les circuits tracés pour traverser le magasin sont bondés, mais pas d’embouteillage en caisse. Face à cette situation, la direction d’Ikea se montre pourtant très patiente:

«Nous accueillons toutes les personnes qui veulent venir dans nos magasins. Les visiteurs d’aujourd’hui pourront très bien devenir les clients de demain», souligne Linda Xu, chargé des relations publiques du groupe suédois en Chine.

Sur le long terme, la stratégie semble payante. Depuis son installation il y a quinze ans, Ikea a fait de la Chine l’un de ses plus importants marchés. Près de 15 millions de visiteurs ont fréquenté ses onze magasins l’an dernier, permettant au groupe de réaliser un chiffre d’affaires dépassant les 6 milliards de yuans (plus de 700 millions d’euros). Loin d’être découragée par l’attitude de ses visiteurs, l’enseigne envisage d’ouvrir d’autres points de vente à Shanghaï, Pékin, Chongqing, ou encore Ningbo.

 

http://www.lefigaro.fr/

Surveillance électronique : Quand les patrons ont leurs employés à l’oeil


Aux USA le scandale des futurs employeurs de demander les mots de passe des comptes (courriel, réseaux sociaux) a des candidats potentiels en a choqué plus d’un, mais voila qu’en France on dénonce la surveillance exagérée de certaines compagnies Alors il ne faut se leurrer que ce soit en Europe ou ici en Amérique … la surveillance des employés est une réalité de plus en plus présente .. Reste a savoir ou se limite la légalité et l’abus
Nuage

Surveillance électronique : Quand les patrons ont leurs employés à l’oeil

 

Surveillance électronique - Quand les patrons ont leurs employés à l'oeil

Le responsable de la Cnil précise que la mise en oeuvre de tels dispositifs sur les lieux de travail n’est pas par principe illégale.

© Shutterstock

Agence France-Presse
Charlotte HILL

PARIS – Vidéosurveillance, géolocalisation, fichage… les moyens à la disposition des entreprises pour garder un oeil sur leurs salariés sont nombreux, certaines en profitant en toute légalité, tandis que d’autres sont soupçonnées d’en abuser, comme Ikea récemment.

Avec les nouvelles technologies, «les moyens de surveillance deviennent très accessibles, donc la surveillance se développe», explique à l’AFP Yann Padova, secrétaire général de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil).

Récemment, la Commission a ainsi mis en demeure publiquement une société toulousaine qui avait installé huit caméras… pour huit salariés.

Le responsable de la Cnil précise que la mise en oeuvre de tels dispositifs sur les lieux de travail n’est pas par principe illégale.

«C’est une question d’équilibre», dit-il.

L’employeur doit justifier un intérêt légitime à la mise en place de la surveillance, consulter les représentants du personnel et avertir ses salariés et la Cnil.

Ces règles valent pour la vidéosurveillance, la géolocalisation, les badges, les fichiers ou encore la cybersurveillance (enregistrements des conversations, filtrage des sites, logiciels «mouchards»…).

Des employeurs qui «se défoulent»

Les dérives observées prennent différentes formes. Dans l’affaire la plus récente, Ikea est soupçonné d’avoir utilisé la bonne vieille méthode de la «tricoche», c’est-à-dire le recours à des enquêteurs privés pour obtenir des renseignements sur certains salariés et clients.

D’autres affaires de fichiers de salariés, avec des commentaires du type «individualiste», «sournois», «cas social»… ont aussi touché des entreprises comme Décathlon, la Macif, ou encore une filiale de Capgemini.

Les documents étaient le plus souvent découverts par hasard ou… envoyés par erreur aux personnes concernées à la suite d’une manipulation informatique erronée.

«Les employeurs ignorent souvent que les salariés ont le droit de demander l’accès aux informations les concernant», y compris les commentaires, explique M. Padova.

«Souvent, par méconnaissance des règles, les gens se défoulent», mais les salariés «commencent à connaître ce droit», dit le responsable.

En cas de plainte, la Cnil peut effectuer des contrôles et imposer des sanctions financières. Mais, ajoute M. Padova, son «arme principale est la publicité».

En 2010, l’entreprise de soutien scolaire Acadomia en a fait les frais en recevant un avertissement public pour un fichier particulièrement édifiant portant sur enseignants, parents et enfants («gros con», «saloperie de gamin», «parisien frustré»).

Pour Olivia Luzi, avocate au cabinet Feral-Schuhl/Sainte-Marie, spécialisé dans le droit des nouvelles technologies, les entreprises sont tout de même «de plus en plus vigilantes» sur la législation qui est «très bien encadrée».

Son cabinet est souvent sollicité par des groupes qui veulent se «mettre en conformité», dit-elle, admettant avoir constaté quelques «usages qu’il a fallu changer».

Thierry Venin, chercheur au CNRS, souligne de son côté un phénomène «beaucoup plus insidieux», affirmant qu’avec les téléphones intelligents notamment, «les gens sont de plus en plus sous laisse électronique».

Ces outils appréciés des salariés, qui organisent parfois eux-mêmes leur propre surveillance via les réseaux sociaux, peuvent aussi permettre aux employeurs de suivre leurs déplacements.

Si M. Padova reconnaît que «la géolocalisation explose», il souligne que la Cnil a établi une règle reprise par la Cour de cassation en novembre, «à savoir qu’on ne peut pas géolocaliser des salariés qui ont une liberté d’organisation dans leur travail».

La Commission dispose aujourd’hui de 182 agents, contre 95 en 2006. Sa montée en puissance semble peiner à suivre le rythme de la technologie.

http://fr.canoe.ca