Les visages des minorités visibles moins bien identifiés par la reconnaissance faciale


Je peux comprendre lors d’un attentat ou au crime qu’on puisse utiliser la reconnaissance faciale pour trouver les criminelles, mais si cette technologie identifie, à tort des personnes de couleurs, il y a des risques de harcèlements et d’accusations infondées.
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Les visages des minorités visibles moins bien identifiés par la reconnaissance faciale

Une foule de personnes identifiées par reconnaissance faciale en Chine.

L’étude paraît au moment où de plus en plus de gens critiquent l’arrivée de cette technologie aux États-Unis, qui pourrait selon eux mener à des cas d’arrestation ou de harcèlement injustifiés.

PHOTO : REUTERS / CHINA DAILY CDIC

Reuters

Plusieurs systèmes de reconnaissance faciale identifient mal les visages des personnes de couleur plus souvent que ceux des personnes blanches, d’après une étude rendue publique par le gouvernement américain jeudi. 

L’étude du National Institute of Standards and Technology (NIST) a trouvé que les algorithmes de reconnaissance faciale faisant des comparaisons un à un, qui servent habituellement à confirmer l’identité d’une personne, ont mal identifié les personnes noires et asiatiques de 10 à 100 fois plus souvent que pour les personnes caucasiennes.

L’étude a également trouvé que les femmes noires ont plus de chances d’être mal identifiées par des algorithmes de reconnaissance faciale faisant des comparaisons un à plusieurs, dont se servent souvent les autorités pour identifier des personnes d’intérêt lors d’enquêtes criminelles.

Le fondateur de la Ligue de la Justice Algorithmique, Joy Buolamwini, a qualifié l’étude de réfutation exhaustive des arguments des gens qui estiment que le biais algorithmique n’est pas (ou plus) un enjeu.

L’étude paraît au moment où de plus en plus de gens critiquent l’arrivée de cette technologie aux États-Unis, qui pourrait selon eux mener à des cas d’arrestation ou de harcèlement injustifiés.

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L’IA retrouve 3 000 enfants à Delhi


Impressionnant ! En 4 jours, l’intelligence artificielle grâce à un logiciel de reconnaissance faciale a ou retrouvé près de 3 000 enfants porter disparus en Inde C’est un autre moyen très efficace d’utiliser cette technologie pour une bonne cause.
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L’IA retrouve 3 000 enfants à Delhi

 

heso59

Une IA de reconnaissance faciale a permis de retrouver la trace de 3 000 enfants disparus à Delhi.

(CCM) La police de Delhi a testé avec succès un logiciel de reconnaissance faciale de dernière génération. Son but : retrouver la trace d’enfants disparus, un fléau dans cette mégalopole indienne. En quelques jours, l’IA a permis d’identifier plus de 3 000 enfants.

Dans ce pays de 1,3 milliard d’habitants, 50 000 disparitions d’enfants sont reportées chaque année. Pour combattre ce fléau, le ministère de l’Intérieur indien a conçu TrackChild, une base de données qui traite les photos des enfants disparus. A l’origine du projet, l’organisation de l’enfance Bachpan Bachao Andolan a lancé le développement du logiciel. Elle a également décidé de lancer un premier essai grandeur nature avec la police de Delhi. Sur une période de 4 jours en avril, le logiciel a identifié 2 930 enfants, la plupart étant hébergés dans des orphelinats de la ville.

Après un tel succès, la Commission nationale pour la protection des droits de l’enfant souhaite élargir ce dispositif de recherche d’enfants disparus à base d’intelligence artificielle et de reconnaissance faciale. La Bachpan Bachao Andolan a également pris l’initiative d’ouvrir aux citoyens indiens la consultation de la base de données TrackChild. Ce test mené à Delhi n’est pas sans rappeler celui de la police de Zhengzhou, qui avait équipé ses agents de lunettes connectées.

Photo : © Shanti Hesse – Shutterstock.comhttps://www.commentcamarche.net/

Ce médecin est la risée de ses collègues, car il écrit son nom sur son front


Il y a des idées quelques fois qui sont tellement simple qu’on se demande pourquoi on n’a pas pensé avant. Des idées qui paraissent bizarres, voir drôles et pourtant très efficaces.
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Ce médecin est la risée de ses collègues, car il écrit son nom sur son front

 

Image Source: Twitter/Rob Hackett

Dr Rob Hackett travaille dans divers hôpitaux à Sydney, en Australie.

Comme il n’a pas qu’un seul lieu de travail, le Dr Rob éprouve du mal à retenir les noms de tout le monde – et comme ses collègues portent souvent des masques chirurgicaux, cela complique davantage les choses.

C’est ce qui a permis au Dr Rob d’avoir cette idée ingénieuse. Il a inscrit son nom sur son front pour que tout le monde sache facilement qui il était.

Mais au départ, personne ne lui a emboité le pas. Au contraire, ils l’embêtaient et se moquaient de lui en demandant s’il avait aussi du mal à se souvenir de son propre nom. Mais Rob n’a pas abandonné pour autant. Car il savait que son idée toute simple serait en mesure de sauver des vies.

Après tout, les médecins travaillent dans des conditions très stressantes, ou chaque petite seconde peut faire la différence entre la vie et la mort.

« Vendredi dernier, lorsque je suis intervenu pour un arrêt cardiaque au bloc opératoire, il y avait environ 20 personnes dans la salle. J’ai eu du mal à demander à avoir des gants, car la personne vers qui je pointais pensait que je pointais vers quelqu’un derrière lui, » confie Rob au Sydney Morning Herald.

Image Source: Twitter/Rob Hackett

La force de sauver des vies

Afficher des noms sur les fronts dans les salles d’opération est un moyen tout simple d’économiser de précieuses secondes. Au lieu de désigner une personne et demander un instrument en particulier, il est tellement plus simple de s’adresser à eux directement par leurs prénoms.

Même si cela devait être amusant pour ses collègues de l’embêter ainsi, certains médecins ont aussi essayé cette approche et ont fini par donner raison à Rob. Et cela a permis de gagner du temps quand les médecins tentaient de sauver des vies.

Image Source: Twitter/Rob Hackett

Rob a lancé une campagne sur Twitter pour encourager davantage d’employés d’hôpitaux à reproduire son initiative. Il a insisté sur deux points :

• Faites-le et ainsi, vous appliquerez une solution toute simple pour améliorer le traitement d’un patient et ainsi que les résultats.

• Ne le faites pas et vous démontrerez à quel point le système de santé, les institutions, la structure et la culture sont réfractaires aux changements et aux améliorations

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Image Source: Twitter/Rob Hackett

Depuis que le Dr Rob a commencé sa campagne, des infirmières et d’autres médecins à travers le monde ont également commencé à écrire leurs noms sur leurs fronts.

Les gens comme le Dr Rob ont contribué à améliorer les services de soins médicaux – et ont, en particulier, augmenté les chances de sauver des vies. Les unes après les autres.

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Le Saviez-Vous ► Pourquoi les empreintes digitales sont-elles uniques ?


Nos empreintes digitales sont unique et se forme entre la 16 ème et 25 ème semaines de gestation, leur développement dépends de plus facteurs lors de la grossesse d’un bébé et les empreintes resteront les même pendant toute la vie. Comme tout le monde le sait, les empreintes digitales sont très pratique pour la police pour la reconnaissance et les points de concordances d’une empreinte relier a une personne dépends des pays, certains il en faut plus, alors que d’autres moins
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Pourquoi les empreintes digitales sont-elles uniques ?

 

document assassin jaures/pref police

La fiche anthropométrique (recto) de Raoul Villain, l’assassin de Jean Jaurès.

© PRÉFECTURE DE POLICE DE PARIS

Cette semaine, un lecteur a voulu savoir pourquoi crêtes et sillons dessinés sur nos doigts ne seront jamais similaires à ceux d’un autre humain.

 Décryptage.

Les empreintes ou dermatoglyphes sont uniques et caractéristiques de chaque individu et même les vrais jumeaux présentent des dessins digitaux uniques. Pour comprendre l’origine de cette unicité, il faut remonter à la vie fœtale.

A la 25ème semaine les empreintes sont formées

C’est entre la 16ème et la 25ème semaine de grossesse que les crêtes et les sillons « papillaires » (sur la surface de l’extrémité des doigts) se forment. Leur développement dépend de plusieurs facteurs génétiques comme la forme des os des doigts, la qualité du derme et la morphologie des coussinets, c’est à dire les structures qui occupent la face palmaire des doigts et des paumes de la main lors du stade de développement antérieur. Chaque humain étant doté d’un ensemble de gènes uniques (à l’exception des vrais jumeaux) il est donc logique que les empreintes digitales soit propre à chacun. Mais d’autres éléments extérieurs modulent également la forme des crêtes et sillons papillaires : ils sont liés à l’environnement utérin et notamment aux pressions intra-utérines qui s’exercent sur le corps du fœtus. Ces pressions diffèrent légèrement selon l’emplacement du futur bébé dans le ventre de sa mère et les jumeaux qui grandissent dans le même utérus n’ont en fait pas tout à fait les mêmes conditions de développement selon leur position. C’est pour cela que même les vrais jumeaux n’auront pas d’empreintes identiques même si le dessin global peut afficher des ressemblances. Au delà de la 25ème semaine de grossesse, les sillons et crêtes papillaires sont définitivement formés et seront conservés jusqu’à la mort.

Empreintes et biométrie

Vu leur caractère unique, les empreintes digitales sont utilisées pour l’identification et la reconnaissance des personnes. D’abord par la police et la justice mais aujourd’hui les capteurs d’empreintes sont aussi présents sur les téléphones portables, certaines serrures et sur d’autres dispositifs de sécurité comme les passeports biométriques. Pour ce qui concerne le domaine légal, l’identification d’un individu à partir d’une empreinte repose sur l’examen de zones caractéristiques, appelées minuties, et la comparaison avec d’autres empreintes. En France, il faut relever 12 minuties communes pour conclure à l’identité d’un individu. Dans d’autres pays ce nombre peut varier ainsi les juridictions des différents Etats américains ne retiennent pas le même nombre de points de similitude pour tirer leurs conclusions. Pour certaines, trois points suffisent à confondre l’accusé. Quelques tribunaux se contentent même d’une « simple impression générale de ressemblance ».

L’identification par empreinte est aussi liée à la qualité des prélèvements effectués, sur une zone de crime par exemple. Le procédé employé pour relever les empreintes digitales n’a pratiquement pas varié depuis son invention : il consiste à faire apparaître les crêtes papillaires en projetant une poudre colorée qui se fixe sur les reliefs graisseux laissé par le contact d’un doigt sur un support. Une méthode en définitive assez peu efficace puisque seulement 10 % des traces digitales relevées sur les scènes de crime sont d’une qualité suffisante pour être utilisées devant un tribunal. Et même après, le juge peut invalider l’identification : dernièrement, un juge américain a refusé d’admettre la culpabilité d’un accusé sur la seule identification de ses empreintes digitales. Une remise en question inédite depuis que, le 16 octobre 1902, en France, le prévenu Henri-Léon Scheffer a été, pour la première fois, identifié et condamné par comparaison de ses empreintes avec celles laissées sur les lieux du crime. Les scientifiques pourraient bien jouer un rôle dans ce domaine judiciaire puisque de nouvelles techniques de relevés sont à l’étude et une méthode mise au point par le CNRS a d’ailleurs reçu l’aval de la police et de la gendarmerie françaises mais aussi de plusieurs forces de police à l’international comme Scotland Yard et le FBI.

https://www.sciencesetavenir.fr

Une équipe tente d’identifier les restes de soldats des guerres mondiales


Comme on le sait beaucoup de soldats sont morts lors des guerres mondiales dans le vieux continent. Je n’ose penser comment les familles qui n’ont jamais su ce qui est arrivé à leur proche. En France, il se fait un travail énorme pour identifier ces soldats morts sur le champ de bataille pour remettre les dépouilles aux familles à l’autre bout du monde pour qu’ils ne puissent être le Soldat inconnu
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Une équipe tente d’identifier les restes de soldats des guerres mondiales

 

UNKNOWN SOLDIER CANADA

Des ouvriers travaillant à l’agrandissement d’un hôpital ont été les premiers à découvrir des restes d’un soldat canadien inconnu près de la petite ville française de Vendin-le-Vieil en 2010.

Au cours des six années qui ont suivi, les restes de 18 autres Canadiens disparus ont été retrouvés dans la même région, parfois séparément, parfois regroupés.

Située dans la communauté d’agglomérations de Lens-Liévin, à environ 200 km au nord-est de Paris, Vendin-le-Vieil a été le théâtre d’une des principales batailles entre le corps expéditionnaire canadien et les forces allemandes en août 1917, au cours de ce qui fut baptisé par la suite la bataille de la Côte 70.

Bien moins connue que la conquête de la crête de Vimy, la côte 70 est un de ces moments qui ont défini le Canada, selon des historiens. Pour la première fois de l’histoire de la Première Guerre mondiale, les Canadiens étaient commandés par un des leurs, Arthur Currie, plutôt que par un général britannique.

Ces 19 soldats inconnus font partie des quelque 2200 Canadiens tués au cours de cette bataille qui s’est étendue pendant 10 jours. Des centaines d’entre eux ont été avalés par le champ de bataille boueux ou ont été enterrés si rapidement là où ils sont morts qu’ils n’avaient pas, pour ainsi dire, une tombe véritable.

Tous les ans, les restes de certains des quelque 28 000 Canadiens portés disparus au cours des deux guerres mondiales sont retrouvés sur les anciens champs de bataille européens.

Et quand une de ces dépouilles est découverte, la mission de l’identifier incombe à une petite équipe du ministère de la Défense nationale. Pour y parvenir, celle-ci a recours à une combinaison d’histoire et de science. Depuis sa création, il y a une dizaine d’années, elle est parvenue à identifier 22 soldats canadiens et 18 soldats britanniques.

« Ces hommes ont fait le sacrifice ultime pour leur pays, dit la coordinatrice de l’identification des pertes militaires du ministère, Sarah Lockyer. Le moins que l’on puisse faire, c’est d’essayer, du mieux que l’on peut, de trouver leur identité afin qu’ils puissent recevoir une sépulture à leur nom et que nous n’oublions pas leur sacrifice. Nous continuons de raconter leur histoire. »

En 2016, sept Canadiens ont été retrouvés, dont deux près de Vendin-le-Vieil, mentionne Mme Lockyer.

« Dès que nous avons reçu l’avis de la Commission des cimetières militaires du Commonwealth, nous tentons de comprendre qui était là et quand », explique Carl Kletke, un historien oeuvrant au sein de la direction de l’Histoire et du Patrimoine au ministère de la Défense.

L’équipe tente de retrouver ce qui permet d’identifier l’unité au sein de laquelle combattait l’inconnu: uniforme, insigne de casquette. Elle cherche aussi des effets personnels comme des bagues ou des bracelets.

Plusieurs des soldats inconnus dont les restes reposaient sur la côte 70 faisaient sans doute partie du 16e Bataillon (des Canadiens écossais) de Victoria, en Colombie-Britannique, mentionne M. Kletke.

Deux de ces 19 hommes portaient une pièce d’identité indiquant le nom du soldat, son grade et son unité. Toutefois, ils pouvaient porter la pièce d’identité d’un de leurs camarades tombés à leurs côtés.

 « On ne peut rien présumer », souligne l’historien.

Si M. Kletke analyse les données historiques afin d’identifier ces soldats perdus, Mme Lockyer a recours à la science.

La Commission des cimetières militaires du Commonwealth ne permet pas le rapatriement des dépouilles des soldats tués au cours des deux guerres mondiales. Le travail médico-légal doit se faire en Europe.

Mme Lockyer, une anthropologue légiste, se rend sur le Vieux Continent quelques fois par année. Son objectif est de déterminer la taille et l’âge d’un soldat inconnu en examinant ses os.

Les données sont ensuite vérifiées avec la liste des soldats disparus résultant de l’analyse historique dans l’espoir de parvenir à une identification, ou du moins, de réduire le nombre des possibilités.

Elle ne peut pas dire combien de dépouilles ont été retrouvées au cours des 10 dernières années, mais se souvient fort bien de sa plus récente réussite.

En septembre, le soldat Kenneth Donald Duncanson a été inhumé en Belgique avec tous les honneurs militaires, exactement 72 ans après qu’il eut été tué près du canal Leopold pendant la Deuxième Guerre mondiale.

Judith Thomas, qui a représenté la famille au cours de la cérémonie, a décrit la nouvelle de l’identification des restes de son cousin au deuxième degré comme un « véritable cadeau ». La famille demeurait incertaine de son sort.

« Cela nous donne un sentiment d’apaisement, a dit Mme Thomas au cours d’une récente entrevue. C’est un travail remarquable et (cette équipe) doit continuer de le faire. »

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Japon: un code-barres collé à l’ongle pour personnes âgées perdues


C’est peut-être une bonne idée, mais ce qui me rend mal à l’aise, c’est de considérer les gens comme un numéro par ces codes-barres. Bon, c’est probablement mieux que de porter ce genre d’identification sur des vêtements
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Japon: un code-barres collé à l’ongle pour personnes âgées perdues

 

Une ville japonaise a trouvé un moyen de retrouver le domicile et l’identité de personnes âgées atteintes de démence et perdues: un code-barres collé à un ongle de la main ou d’un doigt de pied.

Une société d’Iruma, au nord de Tokyo, a créé de petits autocollants comportant chacun un numéro d’identité différent afin d’aider les familles à retrouver leurs proches égarés, a expliqué le service d’assistance sociale de la ville.

Cette étiquette, qui fait partie d’un service gratuit lancé ce mois-ci pour la première fois au Japon, ne mesure qu’un centimètre de côté.

« Pouvoir fixer ce code sur un ongle est un grand avantage », a déclaré un responsable municipal à l’AFP. « Il existe déjà des étiquettes d’identité fixées sur certains vêtements et chaussures mais les gens ne les portent pas toujours ».

Si une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer ou d’une autre affection se trouve désorientée, la police trouvera la mairie dont dépend le malade, son numéro de téléphone et l’identité du porteur grâce au code-barres.

Ces pastilles restent fixées en moyenne deux semaines même si elles sont mouillées, a indiqué le responsable en se fondant sur de récents essais.

Le Japon fait face à un net vieillissement de sa population: Les séniors (plus de 65 ans) devraient représenter 40% de la population vers 2060.

Si une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer ou d'une autre affection se trouve désorientée, la police trouvera la mairie dont dépend le malade, son numéro de téléphone et l'identité du porteur grâce au code-barres © Toshifumi KITAMURA AFP

Si une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer ou d’une autre affection se trouve désorientée, la police trouvera la mairie dont dépend le malade, son numéro de téléphone et l’identité du porteur grâce au code-barres © Toshifumi KITAMURA AFP

Les accidents de voiture mortels impliquant des conducteurs âgés sont aussi un problème croissant dans un pays où 4,8 millions de personnes de 75 ans ou plus ont toujours en poche le permis de conduire.

La police japonaise imagine divers moyens pour leur faire rendre définitivement ce document, le dernier en date étant une ristourne de 15%, soit 90 yens (75 centimes d’euro), sur les bols de nouilles dans des restaurants.

Cette initiative, a été lancée le 25 novembre par les forces de l’ordre de la préfecture centrale d’Aichi, en association avec une chaîne de restaurants de « ramen », des nouilles japonaises accommodées avec des soupes de différentes façons.

http://www.lepoint.fr/

Le Saviez-Vous ► Que veulent dire les chiffres sur les étiquettes des fruits et légumes?


Si vous voulez éviter d’acheter des fruits génétiquement modifié, que vous préférer manger bio, il serait avantageux d’apprendre les codes qui sont mis sur ces produits
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Que veulent dire les chiffres sur les étiquettes des fruits et légumes?

 

 

Il s’agit du numéro d’identification de chaque fruit et légume. Il s’agit d’un code international appelé PLU (Price Look Up), qui est utilisé pour faciliter le contrôle de l’inventaire et des prix à la caisse des magasins.

Dans la plupart des cas, c’est un code à quatre chiffres, qui commence par un « 3 » ou un « 4« , ce qui veut dire que le fruit ou légume en question a été cultivé de façon conventionnelle (avec engrais et pesticides, etc).

Si le numéro contient 5 chiffres et commence par un « 9« , il s’agit d’un produit biologique.

Si le numéro contient 5 chiffres et commence par un « 8« , alors il s’agit un produit qui a été modifié génétiquement (OGM). Remarquez que cet étiquetage n’est pas obligatoire en Amérique du Nord. Cela reste à la discrétion du manufacturier/distributeur.

À titre d’exemple, une banane conventionnelle a comme étiquette le numéro 4011, une banane biologique 94011 et une banane OGM aurait 84011. Intéréssant n’est-ce-pas?

Donc je vous invite à porter plus d’attention la prochaine fois à l’épicerie et aussi à vous renseigner sur la présence des OGM dans nos assiettes auprès du groupe Vigilance OGM et de Greenpeace

http://www.soscuisine.com/

Quand l’odorat permet d’identifier un criminel


Je me demande si en Justice cela serait acceptable d’identifier un criminel par son odeur corporelle. Surtout que le témoin ne pourrait pas identifier avec assez précision, plus de 3 odeurs
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Quand l’odorat permet d’identifier un criminel

 

Lors d’une enquête, la police fait souvent appel aux témoins oculaires pour démêler les faits et arrêter le coupable.   D’après les chercheurs, l’odorat permettrait également d’identifier les coupables.

Photo : MEHDI FEDOUACH / AFP

AVOIR DU FLAIRD’après une récente étude, une personne serait capable d’identifier un malfaiteur sans le voir… juste à l’odeur.

Lors d’une enquête, la police fait souvent appel aux témoins oculaires pour démêler les faits et arrêter le coupable. Et si la vue n’était pas le seul sens capable de démasquer les criminels. C’est en tout cas ce que suggère une étude suédoise. D’après les chercheurs, l’odorat permettrait également d’identifier les coupables. Les résultats de cette recherche ont été publiés dans le journal médical Frontiers in Psychology et relayée par Science Daily.

► Méthodologie : 73 volontaires et différentes expériences

Pour cette étude, des expériences ont été menées avec la participation de 73 volontaires âgés de 18 à 30 ans. Ils ont regardé des vidéos truquées représentant différentes scènes de crime. Pour chaque clip visionné, les participants ont senti une odeur corporelle présentée comme appartenant au coupable. La sueur de ces derniers avait été prélevée en amont grâce à des serviettes placées sous les aisselles. Les volontaires ont ensuite aussi des films neutres. Ils ont ensuite été soumis à des tests olfactifs.

Comme le décrit Top Santé, les participants devaient « reconnaître un criminel de la première vidéo par son odeur corporelle parmi cinq odeurs différentes ».

Il a également été donné aux volontaires le choix entre trois ou huit échantillons. Grâce à d’autres expériences, les chercheurs ont voulu évaluer si la force de l’odorat persistait dans le temps pour un délai allant de 15 minutes à une semaine.

► Ce que l’étude a démontré : de 96 % à 46 % de réussite

Quand le choix était réduit à trois échantillons, le taux de bonnes réponses concernant l’identification du criminel grimpait à 96 %, il atteignait 56 % pour une gamme de cinq. Quan 46 % pour les huit échantillons. Pour ceux qui ont attendu le plus de temps, la capacité d’identification des participants diminue.

 « Notre travail montre que nous pouvons distinguer avec certitude l’odeur corporelle d’un coupable », souligne le Pr Mats Olsson. « Cela pourrait être utile dans les affaires pénales où la victime était en contact étroit avec son agresseur mais sans l’avoir vu. »

http://www.metronews.fr/

Vers une carte d’identité du cerveau


Quand on dit que nous sommes uniques ! Maintenant, on peut identifier des gens par l’empreinte du cerveau comme l’empreinte digitale,  mais il reste a savoir après un passage en IRM, s’il est possible d’identifier plusieurs jours après les images de l’examen. A quoi cela pourrait servir ? À des fins de thérapies semble-t-il
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Vers une carte d’identité du cerveau

 

coupes irm de cerveau

Les fichiers policiers contiendront-ils un jour des photographies de nos cerveaux ? La création d’une « empreinte cérébrale » semble ouvrir la voie à cette possibilité.

Sébastien Bohler

 

Chaque cerveau posséderait une signature semblable à une empreinte digitale, qui permettrait de le reconnaître entre mille.

Peut-on identifier chaque individu d’après son cerveau ? C’est ce que viennent de montrer des neuroscientifiques de l’université Yale, dans le Connecticut. Ces chercheurs ont observé les connexions internes du cerveau de 126 personnes en imagerie par résonnance magnétique (IRM), et repéré les régions cérébrales qui s’activent de façon conjointe, ce qui indique qu’elles sont interconnectées par des fibres neuronales. Cette analyse leur a permis d’identifier dans chaque cerveau 268 &laquo noeuds « les carrefours de ces connexions.

« L’empreinte cérébrale », après les empreintes digitales

Chaque cerveau se distingue en fait par la force de ses noeuds. Les règles de la combinatoire montrent que l’on peut construire un nombre quasi infini de cerveaux différents, rien qu’en faisant varier la force de ces noeuds. De sorte qu’avec les outils pourtant largement perfectibles de l’IRM fonctionnelle, les scientifiques sont parvenus à identifier avec une confiance de 98 % à 99 % un individu d’après la force de ses noeuds cérébraux. Ainsi, après avoir photographié son profil de connectivité un jour donné, il est possible de le repérer un jour plus tard parmi 125 autres personnes également passées à l’IRM !

Les neuroscientifiques se demandent si cette identification serait toujours possible, non plus 24 heures après la première photo, mais plusieurs jours, semaines ou mois plus tard. C’est tout à fait plausible, car la structure connectique d’un individu a pu être identifiée lors de ces expériences indépendamment des tâches mentales réalisées par le sujet, signe que son organisation cérébrale est stable dans le temps.

Vers une neuro-identification ?

Forts de ces résultats, les chercheurs pensent avoir identifié une empreinte cérébrale qui pourrait constituer un moyen ultime d’identification d’un individu parmi des milliards d’autres. Et ils voient dans cette méthode de visualisation un outil prometteur pour relier les traits de personnalité de chaque personne à la structure intime de son cerveau. A des fins de thérapie, bien sûr…

http://www.pourlascience.fr/

Le «microbiome», nouvelle ouverture pour la médecine légale


Lors d’un acte criminel, ce ne sont pas juste nos empreintes où l’ADN qui peuvent nous trahir, mais tout notre corps peuvent devenir des indices en médecine légale
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Le «microbiome», nouvelle ouverture pour la médecine légale

 

Les bactéries et colonies de microbes vivant dans... (Photo: archives La Presse)

Les bactéries et colonies de microbes vivant dans le corps des être humains et sur leur peau, appelées «microbiome», pourraient servir d’identifiant unique.

PHOTO: ARCHIVES LA PRESSE

Agence France-Presse
Miami

Les bactéries et colonies de microbes vivant dans le corps des être humains et sur leur peau, appelées «microbiome», pourraient servir d’identifiant unique, un peu comme les empreintes digitales, selon des chercheurs lundi.

Leur étude menée sous la houlette de l’Université de Harvard est la première à examiner à quel point des personnes peuvent être identifiées sur la base des bactéries qu’abritent leur corps, qui peuvent varier en raison de l’âge d’une personne, de son régime alimentaire, de son origine géographique et de son état de santé général.

«Classer des ADN humains dans une base de données d’ADN est la base pour les sciences médico-légales, c’est fait depuis des années», explique le principal auteur de ces nouveaux travaux, Eric Franzosa, du département de biostatistiques à Harvard.

«Mais nous avons montré que le même type de classement est possible en utilisant des séquences ADN des microbes qui habitent le corps humain. Pour cela aucun ADN humain n’est nécessaire», ajoute-t-il.

Les scientifiques ont ainsi observé que des échantillons de selles étaient particulièrement fiables: ainsi, jusqu’à 86% des personnes ont pu être identifiées en étudiant les bactéries contenues dans leurs intestins un an après de premiers prélèvements.

Pour les bactéries sur la peau, les chiffres sont moins bons: un tiers des personnes seulement ont pu être identifiées, note l’étude publiée dans le journal Proceedings of the National Academy of Sciences.

Mais même lorsque l’identification d’une personne n’était pas possible, il n’y a eu que très peu de faux résultats positifs: soit la personne était identifiée, soit elle ne l’était pas, mais il a été très rare qu’une mauvaise personne soit identifiée à partir de ces échantillons.

L’étude a été basée sur un groupe de 120 personnes, parmi 242 qui avaient donné des échantillons de selles, de salive, ou de peau au Projet Microbiome Humain, qui conserve une base de données publique pour ses recherches.

Un algorithme a été utilisé pour établir des codes individuels basés sur les microbiomes des donneurs. Ceux-ci ont été comparés à des échantillons provenant des mêmes personnes collectés durant une visite ultérieure à peu près un an plus tard, et à ceux d’autres personnes.

L’étude a ainsi montré qu’il est possible de relier des échantillons de microbiomes à une base de données.

Les auteurs mettent cependant en garde contre d’éventuels problèmes éthiques, certaines informations personnelles pouvant être exposées, comme la présence d’une infection sexuellement transmissible qui pourrait être détectée à partir du microbiome d’une personne sans son consentement.

http://www.lapresse.ca/