Ce drone vous livre du café quand il sent que vous fatiguez


Il y a un brevet pour un drone qui apporte le café bon moment avec la dose de caféine dépendant de la fatigue. Ce n’est pas encore tout à fait au point. De toute manière, il faut qu’on encore connecté pour détecter la fatigue d’une personne, pour une meilleure productivité, ce que nombre d’entre nous n’est sûrement pas d’accord …
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Ce drone vous livre du café quand il sent que vous fatiguez

 

Coffee Bean Drop | Theo Crazzolara via Flickr CC License by

Coffee Bean Drop | Theo Crazzolara via Flickr CC License by

Repéré par Thomas Messias

Repéré sur The Independent

Et il peut même ajuster la recette s’il sent que l’épuisement vous guette.

C’est tout à fait sérieux: IBM vient de développer une gamme de drones conçus pour livrer du café frais (donc chaud) à ses utilisateurs et utilisatrices, ceci après avoir évalué par eux-mêmes quel était l’instant le plus opportun et la composition la plus judicieuse.

Comme le rapporte The Independent, dont la journaliste Olivia Petter s’est intéressée de près aux différents brevets, l’un des concepts développés a même pour objectif de moduler la composition du café livré en fonction de la courbe de sommeil de la clientèle. Tension, dilatation de la pupille, expressions du visage: le but serait d’examiner le sujet en détails afin de déterminer notamment son degré de fatigue, et d’ajuster la quantité de caféine en fonction.

Le café parfait à l’heure idéale? On n’y est pas encore, expliquent les spécialistes. L’une des raisons est extrêmement simple: pour des raisons de sécurité, livrer des boissons chaudes par voie aérienne semble être une tâche extrêmement risquée. Amazon est actuellement confronté aux mêmes interrogations concernant la livraison de colis par drone, souligne The Independent.

Expérience réussie

Le site Munchies, à l’origine de l’enquête, souligne qu’en 2014, une entreprise néerlandaise nommée Coffee Copter avait effectué une démonstration réussie de livraison de café dans le ciel de la ville suisse de Zurich.

Reste qu’accepter que son sommeil soit ainsi observé constitue une étape supplémentaire dans le flicage de nos existences. Reconnaissons également que souvent, le meilleur moment de la matinée est celui de la préparation du café, lorsque la cafetière fait son office et qu’un parfum prometteur commence à emplir la pièce. Et ça, le drone le plus perfectionné du monde ne pourra jamais le remplacer. 

http://www.slate.fr/

À 13 ans, ce petit génie est déjà consultant chez IBM


Ce jeune torontois, a grâce à son père appris l’abc de la programmation a 5 ans, a 9 ans, il a sa première application de calcul mental et fut même publier. Il s’est fait repérer par IBM en détectant un bug dans un logiciel A 13 ans, il est consultant pour cette même compagnie. S’il est heureux, il aura sûrement un bel avenir
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À 13 ans, ce petit génie est déjà consultant chez IBM

 

© Capture d’écran.

Tanmay Bakshi, 13 ans, a connu une ascension pour le moins précoce et dieu sait où elle s’arrêtera…

Son père, informaticien, lui a enseigné les rudiments de la programmation à l’âge de 5 ans. Aujourd’hui, Tanmay Bakshi partage ses connaissances avec ses 125.000 abonnés sur sa propre chaîne YouTube et donne des conférences dans le monde entier (voir ci-dessous, en anglais).

Ce jeune Canadien de Toronto a créé sa première application de calcul mental à 9 ans et est parvenu à la faire publier sur l’AppStore d’Apple. Depuis deux ans, il s’intéresse désormais à l’intelligence artificielle et, plus particulièrement, à Watson, le célèbre logiciel d’IBM qui a remporté un jeu de culture générale aux Etats-Unis, relate BFMTV

C’est par ce biais qu’il se fait d’ailleurs repérer par l’entreprise informatique en leur… signalant un bug oublié au coeur du logiciel. Depuis, il a rejoint l’équipe, collabore avec ses chercheurs et joue les ambassadeurs de poche à travers le monde, notamment lors des fameuses conférences TEDx Talks.

Fasciné par l’intelligence artificielle, Tanmay la considère comme « l’une des plus grandes révolutions de l’histoire de l’humanité »: « Une fois que les gens commenceront à s’adapter et à adopter cette technologie à bras ouverts, son impact n’en sera que plus grand. L’IA (« intelligence artificielle ») va amplifier les capacités humaines », prophétise-t-il. 

Tanmay Bakshi, un nom à retenir…

http://www.7sur7.be/

Le saviez-vous ► L’ordinateur «Mac» d’Apple fête ses 30 ans


Il y a 30 ans, il n’y avait pas beaucoup de familles qui avaient un ordinateur, IBM, Microsoft et Macintosh des concurrents qui ont voulu atteindre le grand public. Aujourd’hui, que soit Apple ou Microsoft, dans presque toutes les maisons, il y a au moins un ordinateur au pays
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L’ordinateur «Mac» d’Apple fête ses 30 ans

 

Le Machintosh original a été commercialisé le 24 janvier 1984. Photo Apple

 

NEW YORK – Il y a trente ans, bien avant l’invention de l’iPhone et de l’iPad, le groupe américain Apple révolutionnait déjà l’informatique en lançant l’ordinateur Macintosh, resté le symbole d’une rivalité légendaire avec Microsoft.

«Le Mac était un saut quantique vers l’avant», raconte Randy Wigginton, l’un des premiers salariés d’Apple. «Nous n’avons pas tout inventé, mais nous avons tout rendu accessible et facile. C’était le premier ordinateur avec lequel les gens pouvaient jouer et dire: c’est cool».

Avant la présentation du «Mac» le 24 janvier 1984, les ordinateurs sont de coûteuses machines pour le monde du travail, commandées par du texte rédigé dans un langage quasi incompréhensible pour qui n’est pas programmateur de logiciel.

Le nouvel appareil d’Apple change cela et ouvre la voie à une utilisation de l’ordinateur par le grand public, grâce à une interface graphique proposant de cliquer simplement sur des icônes avec une souris, un appareil inventé dans les années 1960 par un ingénieur de l’institut de recherche Stanford décédé l’an dernier, Doug Engelbart, et que le Mac va populariser.

Ces manoeuvres simples en apparence requièrent des capacités, en termes de mémoire et de processeur, énormes pour les ordinateurs de l’époque, mais Apple va malgré tout s’efforcer de conserver des prix accessibles pour les consommateurs.

Il n’est pas rare alors de payer 10 000 dollars ou plus pour un ordinateur, mais le premier Mac s’affichera à 2500 $ pour 128 kilooctets de mémoire dynamique RAM.

«BIG BROTHER»

Au-delà du produit lui-même, la publicité d’une minute annonçant la sortie du Mac, diffusée en plein Superbowl quand les secondes publicitaires à la télévision américaine sont les plus chères, est restée une référence.

Le spot dirigé par le réalisateur de Blade Runner et Alien, Ridley Scott, s’inspire de l’univers du roman 1984 de George Orwell, avec un écran représentant «big brother» fracassé par une sportive aux couleurs d’Apple.

Derrière la métaphore, c’était «un énorme coup» contre IBM, l’acteur majeur à l’époque sur le marché des ordinateurs, indique Daniel Kottke, un ingénieur qui faisait partie de l’équipe de développement du premier Mac.

Il se rappelle d’une «grande bataille» au sein du conseil d’administration sur l’opportunité de diffuser cette publicité jugée «non convenable», mais finalement «restée dans les mémoires de tous ceux qui l’ont vue».

Plus qu’avec IBM, la rivalité qui va entrer dans la légende sera toutefois avec Microsoft, qui sort en fin d’année suivante la première version de son système d’exploitation Windows, devenu inséparable du PC.

«Je pense que (le patron-fondateur d’Apple aujourd’hui décédé) Steve Jobs cultivait l’idée de l’opposition entre Windows et le Mac», note Daniel Kottke.

«Steve Jobs s’en prenait toujours à Microsoft, mais c’est vraiment devenu vif quand Microsoft a sorti Windows. Il disait qu’ils nous avaient copié», raconte-t-il. «L’interface utilisateur graphique du Mac a été reprise par Microsoft, qui l’a appelée Windows.»

SURVIE À L’HEURE DU MOBILE

Les prouesses du Mac dans la mise en page et l’édition de photo ont fait son succès dans le monde artistique et dans la presse.

Mais Microsoft a pris la tête du marché grand public, en se concentrant sur les logiciels installés sur les ordinateurs que ses partenaires, comme HP ou Dell, fabriquaient pour des prix bien inférieurs à ceux du Mac.

Au fil des années, le Mac original ressemblant à une grosse boîte grise avec son lecteur de disquettes a évolué vers une ligne d’ordinateurs réunissant des portables fins et très puissants ou un modèle de bureau cylindrique.

Quelque 16,5 millions d’exemplaires ont encore été vendus sur l’exercice achevé fin septembre, mais depuis la fin des années 2000, le Mac a cédé le rôle de vedette dans la galaxie Apple à d’autres appareils comme l’iPhone ou l’iPad. Avec l’essor du mobile, la rivalité s’est aussi déplacée de Microsoft vers Google, dont le système d’exploitation Android domine aujourd’hui le marché des smartphones et des tablettes.

http://fr.canoe.ca/

Des scientifiques créent «le plus petit film au monde»


Jouer avec les atomes pour réussir a faire le plus petit film au monde est une science très précise demandant des outils de haute technologie et une grande précision pour arriver a ce résultat
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Des scientifiques créent «le plus petit film au monde»

 

Une image tirée du film Un garçon et son... (Photo AFP)

Une image tirée du film Un garçon et son atome.

PHOTO AFP

Agence France-Presse
New York

Les scientifiques de la société IBM ont présenté mercredi le «film le plus petit du monde», une oeuvre révolutionnaire réalisée avec un microscope très puissant qui montre les mouvements d’atomes agrandis… 100 millions de fois.

Ce petit film, qui dure environ 1 minute et 30 secondes, est intitulé Un garçon et son atome. Il raconte l’histoire d’un petit personnage qui joue avec un atome et le suit dans ses mouvements en dansant et sautant, une manière d’expliquer la science de manière pédagogique.

«Filmer, positionner et façonner des atomes pour créer un film animé original est une science précise et entièrement nouvelle», a expliqué Andreas Heinrich, scientifique d’IBM Research.

«Chez IBM, nous ne faisons pas que lire des livres sur la science, nous la faisons. Ce film est une manière amusante de partager le monde à l’échelle atomique tout en permettant d’ouvrir le dialogue avec des étudiants ou autres sur les nouvelles frontières des mathématiques et de la science», a-t-il ajouté.

Pour réaliser ce film, les atomes ont été déplacés à l’aide d’un microscope mis au point il y a quelques années par IBM, une invention qui avait valu le Prix Nobel à ses concepteurs.

L’outil «est le premier qui permet aux scientifiques de voir le monde de l’infiniment petit, jusqu’aux atomes», a encore expliqué Christopher Lutz, un chercheur d’IBM.

L’appareil ne ressemble pas vraiment à un microscope traditionnel, puisqu’il pèse deux tonnes et fonctionne à une température de -268°C. Il permet d’agrandir les objets placés sur sa platine 100 millions de fois.

«La possibilité de contrôler la température, la pression et les vibrations à des niveaux très précis fait du laboratoire de recherche d’IBM un des rares endroits au monde où les atomes peuvent être déplacés avec une telle précision», a ajouté M. Lutz.

L’appareil utilise une aiguille extrêmement fine, sur une surface de cuivre, pour attirer ou repousser les atomes et les molécules jusqu’à un endroit précis.

Le film a été certifié par le Livre Guinness des records comme étant «le film d’animation le plus petit du monde», selon IBM.

http://www.lapresse.ca

Le Saviez-vous ► Le premier Smartphone


Les cellulaires ont bien évoluer mais ses débuts étaient quand même exceptionnel mais il ne devait pas avoir beaucoup d’adepte comme aujourd’hui
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Le premier Smartphone

 

Conçu par IBM en 1992, le tout premier Smartphone s’appelait « Simon ». Il possédait un écran tactile, et coté logiciel, une gestion du carnet d’adresses, un traitement de texte basique, un service de mail et des jeux.


 

 

http://www.savoir-inutile.com