Les chiens, une aide précieuse pour les personnes diabétiques ?


On connaît des chiens d’assistances dans divers domaines, mais une qui n’est pas connue est un chien qui a été dressé pour les diabètes du type 1. Il peut même être dressé en même temps pour les non-voyants étant donné que c’est souvent une conséquence de ce type de diabète. Ce chien peut prévenir jusqu’à 20 minutes avant que la personne en sente les effets et peut agir en conséquence
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Les chiens, une aide précieuse pour les personnes diabétiques ?

 

On le sait, les chiens ont le pouvoir d’apporter une aide considérable aux personnes bien portantes comme à celles en situation de handicap. Chiens d’assistance, chiens guides, chiens détecteurs de cancers et de crises d’épilepsie… mais aussi – et c’est moins connu – chiens d’assistance pour diabétiques.

De la même façon que les chiens ont la capacité de détecter des crises d’épilepsie, ils peuvent savoir quand vont apparaître des crises d’hypoglycémie et d’hyperglycémie bien avant nous. C’est la raison pour laquelle ils sont de plus en plus utilisés pour apporter leur aide aux personnes diabétiques, et en particulier celles souffrant de diabète de type I.

En les alertant qu’une crise se prépare (par exemple en jappant), jusqu’à 20 minutes avant que la personne en ressente les symptômes, ils leur permettent de s’injecter à temps une dose d’insuline ou de manger quelque chose de sucré. Ils peuvent aussi aller prévenir une tierce personne. La nuit, ils sont particulièrement utiles puisque des crises peuvent survenir dans le sommeil et plonger la personne dans le coma. Grâce aux chiens, ces accidents peuvent être évités.

Les chiens pour diabétiques : des formations d’avenir ?

formation chien pour diabetique

Formation d’un chien d’assistance pour personne diabétique – © Dogs 4 Diabetics

Même si les chiens peuvent se tromper, leur flair demeure d’une efficacité redoutable : sur 8 cas sur 10, l’alerte donnée par un chien dressé à sentir une glycémie trop faible était justifiée, d’après une étude menée par les chercheurs britanniques des Université de Bristol et de Dundee. Cette dernière a été conduite sur 17 patients diabétiques âgés de 5 à 66 ans.

Aux Etats-Unis, au Canada et en Suisse, des chiens sont formés à cette fonction en 6 à 18 mois. Leur futur maître doit également suivre un apprentissage puisque son chien et lui devront constituer une véritable équipe. Il existe même des bi-formations pour chiens guides d’aveugles puisque le diabète est une cause fréquente de cécité.

 

chien personne diabetique

Mais en France, ces formations n’existent pas encore. Pour bénéficier d’un chien d’assistance pour personne diabétique, il faut se rendre à l’étranger et débourser une somme importante (5 000 euros en Suisse). Aux Etats-Unis, le coût de formation d’un chien est estimé entre 20 000 et 50 000 dollars, mais l’association Dogs4Diabetics précise que les futurs maîtres ne paient que 150 dollars grâce à des dons privés qui la finance. Alors à quand la même chose en France ?

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Le Saviez-Vous ► 10 trucs au sujet des chiens qui vont vous épater !


Comme les chats, les chiens aussi ont des particularités intéressantes comme ceux capable de détecter des maladies ..
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10 trucs au sujet des chiens qui vont vous épater !

 

chien tire langue

Vous saviez par exemple que votre toutou était un bien meilleur docteur que vous ?

Comme nous, les chiens peuvent rêver, et ça a l’air plutôt chouette !

Pendant le sommeil REM, le chien peut rêver et produire des mouvements involontaires. Tous les chiens ne rêvent pas de la même façon et il semblerait que les chiens rêvent de trucs de chiens !

    Les chiens peuvent flairer certaines maladies

    Avec 220 millions de récepteurs olfactifs, les chiens ont un odorat très développé. Selon une récente étude, ils peuvent détecter pas moins de 6 maladies, dont les migraines, l’hypoglycémie, certains cancers…

    Le chien a une moins bonne vision que nous, mais voit mieux dans le noir

    Contrairement à ce qui est souvent dit, le chien ne voit pas en noir et blanc. Par contre, sa vision est bien meilleure que la nôtre dans le noir grâce à une structure de l’oeil différente.

    Le Labrador est la race la plus populaire aux Etats-Unis

    Et cela depuis 26 ans.

    L’empreinte de la truffe du chien est unique, comme celle de nos doigts

      truffe de chien

      Aucun chien n’a la même truffe contrairement à ce que l’on pourrait croire !

      Si le chien ADORE se rouler dans des saletés (ou pire), c’est que pour lui ça sent divinement bon

      Le chien a donc un odorat plus développé que nous, et qui fonctionne sans doute un peu différemment !

      Si le chien dort en boule, c’est à cause de son instinct

        chien en boule

        Cela leur permet de protéger leurs organes les plus fragiles en cas d’attaque. Et ça protège aussi du froid.

        La race Saluki serait la plus ancienne encore en vie

          race saluki chien

          Certains historiens identifient le Saluki comme existant en tant que race dès 329 avant notre ère en Egypte.

          Les chiens peuvent distinguer les émotions dans la voix

          Tout comme les Hommes, les chiens peuvent comprendre grâce aux variations d’intonation si l’on est content, en colère…

          Si vous avez plus de 30 ans, vous étiez vivant avant chaque chien actuellement sur terre

          Evident si l’on sait que le chien le plus vieux a vécu 29 ans.

        Par Elise Petter

        Crédits photo : Shutterstock

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        Le Saviez-vous ► Diabète, insuline et metformine


        Le diabète est une maladie qui existait à l’époque des pharaons. Cela a pris plusieurs millénaires pour comprendre cette maladie et trouver des remèdes pour diminuer le taux de sucre dans le sang
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        Diabète, insuline et metformine

         

         

        Jacques Beaulieu

        Chroniqueur et communicateur scientifique

          Le diabète est une maladie connue depuis la nuit des temps. Tel que décrit dans le Papyrus Ebers, le diabète fait partie de ce qu’on appelait alors: les anomalies des vases d’eau du corps. Amenhotep III, neuvième pharaon de la dix-huitième dynastie ayant vécu entre 1700 et 1600 ans avant Jésus-Christ, en souffrait. Le père de la médecine occidentale, Hippocrate, lui donna le nom de diabète, car les malades semblaient toujours assoiffés et urinaient rapidement après avoir bu comme si l’eau traversait les voies de leur corps (dia – baina en grec signifie : passer à travers). Le médecin romain Galène parlait de deux maladies : l’une pour décrire le besoin fréquent d’uriner qu’il appelait diarrhoea urinosa et l’autre pour la soif excessive qu’il nommait dipsakos.

          Diabètes et sucre

          L’association entre le diabète et le sucre fut aussi remarquée assez tôt dans l’histoire. Un des textes fondateurs de la médecine ayurvédique cite deux illustres médecins indiens du 5e et 6e siècle après J.-C., Sushruta et Chakura qui constatent que l’urine des patients souffrant de polyurie gouttait comme le miel, était collante au toucher et attirait les fourmis en grand nombre. Les médecins chinois firent le même constat, mais selon eux, ce sont les chiens qui étaient attirés par ces urines. Avicennes, un grand médecin perse décrivit deux complications courantes du diabète : la gangrène et la réduction des fonctions sexuelles. Une dizaine de siècles plus tard, le médecin suisse Von Hohenheim (1494-1541), mieux connu sous le nom de Paracelse, remarqua que l’évaporation de l’urine de diabétique laissait une poudre blanche anormale. Il croyait cependant qu’il s’agissait de sel ce qui, selon lui, expliquait aussi la grande soif des diabétiques. Finalement, ce fut le docteur Thomas Willis (1621-1675), éminent anatomiste et pathologiste britannique, qui ramena les concepts de sucre dans les urines après avoir observé le goût de sucre qui se dégageait des urines de diabétiques.

          De la connaissance de la maladie

          Thomas Willis

          Mis à part cette association, soif, urines fréquentes et sucre, peu était connu sur mécanismes menant à la maladie. Thomas Willis, avait avancé un début d’explication toujours en vogue. Il fut le premier à relier le diabète au mode de vie. Il affirmait que le diabète avait été une maladie rare durant l’Antiquité et le Moyen-âge. Il était devenu plus fréquent à son époque parce que les gens mangeaient avec grand faste et consommaient plus de vin. Thomas Sydenham croyait que la maladie provenait d’un chyle non entièrement digéré. Il avait cependant été le premier à considérer le diabète comme une maladie systémique et non une déficience rénale.

          Vers la fin du XVIIIe siècle, Mathew Dobson (1735-1784) admit un patient à son hôpital du nom de Peter Dickonson. L’homme de 33 ans affichait à l’extrême tous les symptômes du diabète, son volume d’urine quotidien dépassait les 15 litres (chiffre qui sembla quelque peu exagéré…). N’empêche que Peter permit à Dobson de se livrer à une foule d’expérimentation et d’analyse tant de son sang que de ses urines. En 1776, le médecin publia ses observations dans le Medical Observations and Inquiries.

          Certaines de ces observations mettent en lumière qu’il existerait deux formes de diabète, l’un a évolution très rapide (Dobson fait part d’un de ses patients décédés en moins de cinq semaines et un autre à évolution chronique. Il nota aussi que l’urine et le plasma sanguin contenaient un taux de sucre anormalement élevé révélant le concept d’hyperglycémie. Avec les résultats de ce médecin, diverses cures firent leur apparition tentant de modifier la diète et l’apport en eau quotidien.

          Puis, plus de 150 ans plus tard les médicaments

          Frederick Grant Banting

          Héros militaire de la Première Guerre mondiale, Frederick Grant Banting, jeune médecin, commence sa pratique médicale en orthopédie à London en Ontario. Durant la guerre, en France à la bataille de Cambrai, il s’était porté au secours de sa garnison au risque de sa vie et il avait été blessé. Il fut d’ailleurs honoré de la Croix militaire pour héroïsme. De retour au pays, la clientèle se faisant rare, il accepte un poste comme assistant de recherche du professeur Miller, à l’University of Western Ontario.

          En 1920, il est appelé à donner un cours sur le pancréas. C’est en préparant ses cours que l’idée lui traverse l’esprit que le pancréas possède en réalité deux fonctions : l’une exocrine par la sécrétion des sucs gastriques et l’autre, endocrine en produisant une hormone capable d’abaisser la glycémie sanguine. Banting n’a dès lors plus qu’une passion : consacrer toutes ses énergies à découvrir un remède contre le diabète. Il a besoin de locaux et d’animaux pour faire sa recherche. Son patron le présente donc au professeur Macleod de l’université de Toronto, qui décide en mai 1921 de lui fournir un laboratoire, dix chiens et un assistant de recherche, un de ses élèves les plus brillants du nom de Charles Best. En moins de six mois, Banting présente son rapport préliminaire de recherche au Physiological Journal Club of Toronto.

          De la découverte à la commercialisation

          Les premières insulines furent fabriquées artisanalement directement à partir des laboratoires de l’University of Toronto. Très tôt, les compagnies Eli Lilly aux États-Unis et Connaught en Ontario ont commencé la fabrication commerciale du produit. On utilisait alors des pancréas de porc ou de bœuf à partir desquels on extrayait et purifiait l’insuline. En 1976, les méthodes allaient changer radicalement. Une jeune compagnie américaine révolutionne la fabrication de l’insuline par la biotechnologie. En modifiant l’ADN de certains microorganismes et en y greffant les gènes codant pour la fabrication d’insuline chez l’homme, il devenait possible de synthétiser rapidement et efficacement une insuline humaine. Genentech qui, sous simple présentation de son idée, a vu ses parts grimper en bourse plus que toute autre entreprise inaugure une ère nouvelle en fabrication de médicaments.

          La metformine : De la plante à la pilule

          Le lilas français (Galega officinalis) est une plante qui fut utilisée en médecine populaire depuis plusieurs siècles en Europe tant pour ses vertus diurétiques qu’antiparasitaires.

          Dans les années 1920, on avait remarqué que l’ablation de la glande thyroïde provoquait une hypoglycémie. Et l’on attribuait cette conséquence à une production accrue de guanidine, ce qui s’est d’ailleurs révélé faux par la suite. Parallèlement, la galégine, un produit semblable, mais dérivé de la plante Galega officinalis avait été isolé et démontrait une certaine efficacité avec moins de toxicité que la guanidine pour abaisser les taux de sucre sanguin. Mais la galépine était d’une courte durée d’action et les réponses aux traitements pouvaient varier d’un individu à un autre.

          L’arrivée sur le marché de l’insuline allait diminuer de beaucoup l’intérêt pour les recherches sur la metformine qui fut alors considéré comme un petit produit sans grand intérêt.

          À partir d’un dérivé de la guanidine, la N’N’- dimethylguanidine, Emil Werner et James Bell ont été les premiers à parler de la metformine en 1922. Sept ans plus tard, Slotta et Tschesche confirmèrent que leurs expériences avec les lapins démontraient clairement que la metformide pouvait abaisser la glycémie, et ce avec plus d’efficacité que tous les autres dérivés de la guanidine. Mais l’arrivée sur le marché de l’insuline allait diminuer de beaucoup l’intérêt pour les recherches sur la metformine qui fut alors considéré comme un petit produit sans grand intérêt.

          Une mise au rencart de trente ans pour la metformine

          En 1950, un médecin philippin Eusebio Y Garcia testa la metformine chez les humains. Il lui trouva des vertus antibactériennes, antivirales, antipaludéennes, analgésiques et hypoglycémiantes. Toutes ces recommandations ne purent être confirmées par la suite, mais il avait tout de même pu démontrer la non-toxicité du produit chez l’humain et sa capacité de réduire la glycémie sanguine.

          Près d’une dizaine d’années plus tard, Jean Sterne du laboratoire français Aron en banlieue de Paris, démontra l’efficacité de la metformine dans les cas de diabètes peu sensibles à l’insuline et de diabètes instables. Le produit fut commercialisé pour la première fois donc en 1959 sous le nom de glycophage (qui mange le sucre). Aujourd’hui, il se vend pour plus de 3 milliards de dollars de metformine.

          Des recherches récentes tendent à démontrer que la metformine pourrait aussi avoir des effets préventifs sur certains cancers, dont celui du poumon et celui du pancréas. C’est à suivre…

          http://quebec.huffingtonpost.ca/


        Un chien renifleur de diabète, oui, ça existe


        Les chiens sont reconnu pour leur odorat, ils peuvent détecter en autre une baisse de sucre qui est capital pour la survie d’un diabétique
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        Un chien renifleur de diabète, oui, ça existe

         

        Museau d'un chien

        Lolly, le chien renifleur de diabète. Photo : Radio-Canada

        Le flair unique du chien est exploité depuis longtemps pour détecter de la contrebande ou retrouver des victimes après les catastrophes. Des chiens sont maintenant entraînés à détecter l’hypoglycémie chez des personnes diabétiques.

        Un texte de Gaëlle Lussiaà-Berdou de l’émission Découverte

        Au Canada, quelques personnes diabétiques possèdent déjà ce type de chien.

        Un peu comme les chiens d’assistance pour les personnes aveugles, le chien d’alerte au diabète suit son maître un peu partout dans ses activités quotidiennes.

        Il est entraîné pour sonner l’alarme, en donnant des coups de museau, par exemple, lorsqu’il détecte que la glycémie de son maître chute. Le chien est aussi formé à réagir en apportant une trousse de secours qui peut contenir un glucomètre et de la nourriture, et à aller chercher de l’aide.

        En mai 2015, Nancy Rodier, une habitante de Granby, a accueilli chez elle Lolly, une chienne d’alerte au diabète qui a été formée par la Fondation des lions du Canada, établie en Ontario. Depuis, elle assure qu’elle contrôle beaucoup mieux sa glycémie, grâce à la vigilance de l’animal.

        Portrait de Nancy Rodier et de sa chienne Lolly

        Nancy Rodier et sa chienne Lolly. Photo : Radio-Canada

        En vieillissant, les symptômes sont moins évidents pour moi à détecter et c’est là que Lolly rentre en ligne de compte pour m’aider à ressentir davantage mes baisses de sucre. C’est elle qui le fait quasiment pour moi. Nancy Rodler, qui bénéficie de l’aide d’un chien renifleur

        – Nancy Rodler, qui bénéficie de l’aide d’un chien renifleur

        La chienne lui a évité plusieurs fois de plonger dans un coma diabétique.

        Un odorat exceptionnel

        L’utilisation des chiens d’assistance pour diabétiques repose sur l’odorat particulièrement développé de ces animaux de compagnie. Voici quelques explications en images :

        Un mystère peu étudié

        Néanmoins, très peu d’études ont été menées jusqu’ici pour déterminer l’efficacité des chiens d’alerte au diabète. L’une des rares qui existent a été menée par l’endocrinologue pédiatrique Dana Hardin, à Indianapolis, aux États-Unis.

        « On manquait de données scientifiques sur ce phénomène qui a parfois été rapporté de manière anecdotique. Des patients diabétiques veulent avoir un chien d’assistance, mais leur endocrinologue ne sait même pas ce que c’est. Et s’il fait une recherche, il se rend compte qu’il n’y a quasiment rien là-dessus dans la littérature scientifique », explique-t-elle.

        Pour mener ses recherches, Dana Hardin s’est associée avec Jennifer Cattet, éthologue et spécialiste du comportement canin, qui entraîne des chiens d’alerte au diabète.

        Pour l’expérience, elles installent dans une pièce sept pots qui contiennent de petites boîtes d’échantillons de sueur et d’haleine recueillis sur des personnes diabétiques. Un seul parmi les sept pots contient un échantillon hypoglycémique. Les chiens entraînés au préalable à reconnaître l’hypoglycémie entrent seuls dans la pièce et sont surveillés par les expérimentateurs grâce à des caméras.

        http://ici.radio-canada.ca/

        Le faux-sucre, un poison pour les chiens


        Un édulcorant, le xylitol qui se retrouve dans divers produits sans sucre comme les gommes, les bonbons, les sirops, même dans des vitamines, etc. sont un vrai poison pour les chiens, ils peuvent même entraîner la mort de l’animal.
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        Le faux-sucre, un poison pour les chiens

         

        Un susucre pour Médor ? Oui, mais sans édulcorant. © Paul Brown/REX/Shutterstock.

        Un susucre pour Médor ? Oui, mais sans édulcorant. © Paul Brown/REX/Shutterstock.

        Par Valentine Delattre

        La FDA (Food and Drug Administration) alerte les propriétaires de chiens sur l’intoxication au xylitol, un édulcorant présent dans de nombreux produits du quotidien.

        XYLITOL. Ne laissez pas vos chewing-gum à la portée de Milou : leur ingestion pourrait lui être fatale. L’agence sanitaire américaine (FDA, Food and Drug Administration) vient de publier un avis mettant en garde contre un poison souvent peu connu des propriétaires de chien : le xylitol. La voix de la FDA rejoint celle de plusieurs autres organismes, tels que le service vétérinaire anti-poison britannique, SOS Vétérinaires belges ou encore la clinique vétérinaire québécoise Mont-Tremblant. Cet édulcorant – ou faux-sucre – est utilisé dans moult produits du quotidien : friandises sans sucre telles que des pastilles à la menthe, gomme à mâcher, sirop pour la toux, vitamines, bain de bouche et dentifrice. La substance est rapidement assimilée par l’organisme (plus vite que chez les humains). Naturellement, le canidé sécrète alors de l’insuline en grande quantité. Cette hormone produite par le pancréas a pour effet de faire baisser le taux de sucre dans le sang. Bilan : une hypoglycémie (trop peu de sucre dans le sang) qui survient 10 à 60 minutes après l’ingestion du xylitol et qui peut être mortelle pour l’animal. Plus de 3.700 chiens auraient été intoxiqués en 2014 suite à l’ingestion de cet édulcorant.

        Vomissements, faiblesse, démarche chancelante, convulsions

        Les symptômes d’une intoxication au xylitol incluent des vomissements suivis de signes d’une hypoglycémie : activité réduite, faiblesse, démarche chancelante, défaut de coordination, convulsions ou chute. L’ingestion de xylitol peut même se solder par la mort de l’animal. Si vous pensez que votre chien a ingéré du xylitol, consultez immédiatement un vétérinaire ou rendez-vous aux urgences d’une clinique vétérinaire. Certains effets peuvent se manifester 12 à 24 heures après ingestion : votre animal peut ainsi nécessiter un suivi.

        Pour se prémunir d’un tel danger, le maître mot est de consulter les étiquettes.

        « Si un produit contient effectivement du xylitol, mettez-le hors de portée de votre animal domestique », conseille la vétérinaire Martine Hartogensis dans le communiqué de la FDA.

        Elle recommande également de brosser les dents de votre chien avec un dentifrice adapté. Toutefois, que les propriétaires de chats soient rassurés : la toxicité du xylitol chez les félins n’a pas été prouvée à ce jour.

        http://www.sciencesetavenir.fr/

        8 chiens sont de véritables héros. Et pourtant, ce sont aussi des pit bulls..


        Il serait temps de comprendre qu’un chien agressif dépend de la façon dont il est éduqué. Malheureusement, les pitbulls ont fait trop souvent mauvaise presse Pourquoi ?? Est-ce que cela attire mieux les lecteurs ? Pourtant, ces chiens peuvent faire preuve de courage pour sauver leur maître et leur entourage. Ce qui est remarquable dans cette petite liste c’est que des chiens pour protéger leur maître d’agression n’ont fait aucun mal à l’assaillant.
        Nuage

         

        8 chiens sont de véritables héros. Et pourtant, ce sont aussi des pit bulls..

         

         

        A la base, tous les chiens aspirent à ce qu’on les aime et à ce qu’on les gratouille derrière l’oreille. Mais les pit bulls (ou même les autres chiens identifiés comme tels) ont très mauvaise réputation et reçoivent pour le coup beaucoup moins d’amour. Pour de nombreuses oreilles humaines, le mot« pit bull » va de pair avec un animal mauvais, agressif, qui aurait le désir inné d’attaquer tout ce qui bouge.

        Ce préjugé pourrait être en partie fondé sur de vieilles études scientifiques (qui ont été depuis largement démenties) « prouvant » que les pit bulls seraient beaucoup plus facilement amenés à mordre que d’autres races de chiens. C’est faux.

        Dans l’espoir de changer un peu ce cliché tenace, voici 8 exemples de pit bulls tant incroyables qu’exemplaires, qui ont mis leur nature loyale, intelligente et douce au service d’autrui :

        Lefty, a pris une balle dans l’épaule pour protéger son propriétaire

        Certains chiens prennent la balle au vol quand on la leur lance, mais la nature de la « balle » de cette histoire était un tantinet différente.

        Quand un agresseur a fait feu au fusil à pompe sur le propriétaire de Lefty, le courageux pit bull a sauté devant lui pour s’interposer, faisant bouclier avec son corps. Le chien a souffert de graves blessures au niveau de l’épaule et de la patte, et a dû être amputé. Cet acte héroïque lui a valu de faire le tour des réseaux sociaux, et une grande communauté s’est formée sur internet pour aider la famille de Lefty  à payer 100% des coûts de la chirurgie.

        À présent, il « trotte allègrement, comme s’il avait été un chien a trois pattes toute sa vie ».

        Baby, a sauvé une famille et les autres chiens de la maison d’un incendie

        « Il y avait des flammes dans le couloir » Rhonda Westenberger est l’une des rescapées d’un incendie terrible à son domicile, en 2013. « Si Baby n’avait pas tiré Evelyn de son sommeil, je pense que personne ne s’en serait tiré vivant. »

        Baby s’est mis à aboyer et à donner des coups de patte pour alerter Rhonda et sa sœur Evelyn de la fumée qui commençait à envahir leur maison. Après que les humains aient été sauvés par les pompiers, Baby est retourné dans la maison en flammes pour venir en aide aux 5 autres chiens piégés à l’intérieur. Selon l’un des membres de la famille, l’un des chiens, terrifié, s’était caché sous le lit. Baby l’a saisi par le cou avec sa gueule, et l’a traîné pour le mettre en sécurité dehors.

        Creature, a sauvé une femme de 89 ans souffrant d’Alzheimer.

        Creature et sa propriétaire, Cara Jones, étaient en train de faire leur promenade du soir quotidienne lorsque la chienne a fait quelque chose de totalement inhabituel : Elle a bondi des côtés de sa maîtresse pour courir vers Carmen Mitchell, une femme âgée souffrant d’Alzheimer. La femme en question s’était séparée de la personne qui prenait soin d’elle, et cela faisait plus de huit heures qu’elle tournait en rond, totalement perdue.

        Elle s’était beaucoup éloignée de sa maison, et n’avait pas de manteau ni de chaussures.

        La chienne a du ressentir sa détresse de loin, ou bien elle a été animée par une sorte de sixième sens. En tout cas, sans cette réaction incroyable, Carmen Mitchell aurait pu être perdue pendant très longtemps !

        TaterTot, a sauvé un petit garçon de 4 ans d’une crise d’hypoglycémie aigüe.

        Alors que cela ne faisait que 4 jours qu’il avait été adopté, le chiot a sauvé la vie du petit Peyton Smith. Il s’est mis à aboyer, à grogner et à geindre au beau milieu de la nuit tout en faisant des allers-retours entre la chambre des parents et celle de l’enfant. Quand le papa de l’enfant se lève pour aller voir ce qui se passe, il le trouve inconscient et respirant à peine. Amené immédiatement aux urgences, les docteurs ont trouvé que la quantité de sucre dans son sang avait chuté dangereusement d’un seul coup. La vétérinaire Isis Sanchez leur a alors expliqué que l’odorat hors normes du chien lui avait permis de ressentir un changement anormal dans la composition chimique du corps de Peyton.

        Jack a risqué sa vie pour sauver un chat attaqué par une bande de coyotes.

        Cette histoire brise à la fois le mythe que les pit bulls sont méchants, et celui que les chats et les chiens se détestent forcément. Même avant cet incident  les deux animaux étaient tout le temps fourrés ensemble, selon la propriétaire !

        Le chat de Sheree Lewis, prénommé Kitty, s’était fait attraper par deux coyotes qui le secouaient par le cou et par la queue.

        « Je ne savais pas que Jack pouvait courir si vite. En une fraction de seconde, il était sur eux ! »

        Le plus fort, c’est que l’imposant animal n’a pas causé une seule égratignure aux coyotes. Il aurait pu les déchiqueter en morceaux en un clin d’œil, mais il s’est contenté de les faire déguerpir…la queue entre les jambes !

        Chako a sauvé sa propriétaire des violences de son mari.

        En 2013, Chaco a été blessé de 12 coups de couteau lorsqu’il s’est interposé pour protéger sa propriétaire, qui se faisait agresser par son mari violent, en état d’ivresse. Encore un coup dur pour les préjugés : le « terrible molosse » s’est contenté de faire rempart avec son corps, et l’humain n’a souffert, lui, d’aucune blessure…

        Les 3,000$ nécessaires pour sauver la vie du chien héroïque, grièvement blessé, ont été versés par de généreux donateurs émus par son histoire.

        Elle, aide les gens à surmonter leurs peurs

        En 2013, ce pit bull de 5 ans, au regard empreint de douceur, prénommée Elle, travaille  en tant que chien de thérapie en Caroline du Nord. Elle aide les enfants à apprendre des choses sur la sécurité en présence de chiens, et elle aide les gens à transcender leur peur des chiens.

        Major, a composé le numéro de la police quand son propriétaire a eu une attaque cardiaque.

        Oui, cela paraît un peu difficile à croire, mais attendez la suite de l’histoire pour comprendre : Terry McGlade est un vétérinaire travaillant dans l’armée américaine, qui souffre de problèmes cardiaques fréquents après avoir été touché par l’explosion d’une mine antipersonnel en Afghanistan. Il a dressé son chien, Major, spécialement pour reconnaître les symptômes de ses problèmes et pour agir en conséquence. Et on peut dire que bien lui en a pris, car l’entraînement du chien lui a été fort utile. A peine était-il tombé au sol que le pit bull tirait le téléphone de sa poche et appuyait sur le bouton « urgence » avec sa patte. A l’autre bout du fil, les policiers n’ont rien entendu mais ils ont tout de même envoyé de l’aide en utilisant la géolocalisation du téléphone, au cas où.

        A l’arrivée des agents, Major les attendait devant la grille et les a amenés jusqu’à l’endroit où son maître gisait à terre, inconscient.

        Source : Huffington Post

        http://www.demotivateur.fr/

        Elle prend la situation en main Héroïne à 5 ans


        Une maman qui doit être très fière de sa fille et qui lui a sans doute sauver la vie. Elle a eu une grande maîtrise de soi pour ses 5 ans et prendre les choses en main après avoir appeler les urgences
        Nuage

         

        Elle prend la situation en main

        Héroïne à 5 ans

         

        Héroïne à 5 ans

        Crédit photo : Agence QMI

        TVA Nouvelles

        Une enfant de 5 ans de Saint-Jérôme a fait preuve d’un sang-froid incroyable.

        La jeune Mia Roy a contacté les policiers lorsqu’elle a vu sa mère inconsciente sur le sol. Celle-ci souffrait d’hypoglycémie.

        En plus de téléphoner au 9-1-1, l’enfant s’est occupée de sa petite soeur de 6 mois.

        À l’arrivée des policiers, Mia avait aussi contacté son père par Skype avec le téléphone cellulaire de sa mère. Les agents ont été impressionnés de voir que l’enfant de 5 ans avait pris la situation en main.

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