L’aromathérapie : ce que dit la science


L’aromathérapie utilise les huiles essentielles, malheureusement, il semble que ces huiles ne soient pas si efficaces.. Cependant, il faut aussi comprendre que ces huiles peuvent être aussi toxiques, elles peuvent causer des empoisonnements, allergies, irritations des voies respiratoires, et plus encore ..
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L’aromathérapie : ce que dit la science


Julien Hernandez
Rédacteur scientifique

Plébiscitée par les naturopathes et autres phytothérapeutes, l’aromathérapie, qui consiste à se soigner à l’aide d’huiles essentielles, revient à la mode grâce à l’apparence du soin naturel. Pourtant, l’aromathérapie n’a rien de naturel. De plus, ce n’est pas très efficace. Enfin, cela peut s’avérer dangereux.

Sous-discipline de la phytothérapie, l’aromathérapie consiste à utiliser des huiles essentielles, des extraits de plantes ou de végétaux obtenus à l’aide de techniques chimiques (vapeur d’eau, solvant, extraction au CO2, etc.). Si les huiles essentielles se composent de molécules qui possèdent des actions chimiques bien réelles à l’inverse de l’homéopathie par exemple, son efficacité clinique n’est actuellement pas reconnue par la communauté scientifique

Cependant, elles possèdent pléthore d’actions propres : anti-inflammatoire, antibactérienne, etc. qui sont propres à chaque huile. Pour lutter contre les poux, par exemple, certaines formules contenant des huiles essentielles peuvent se montrer utiles.

Néanmoins, les données disponibles concernant leurs applications cliniques sont, à ce jour, nulles. Elles n’auraient pas plus d’effet qu’un placebo pour ce qui est de la relaxation, des troubles du sommeil, de la gestion de la douleur, la dépression, la démence, la nausée post-opérative, le soulagement des symptômes chez les personnes atteintes de cancer selon plusieurs revues Cochrane.

L'extraction et la fabrication d'huile essentielle n'a rien de « naturel ». © Adrian_ilie825, Fotolia

L’extraction et la fabrication d’huile essentielle n’a rien de « naturel ». © Adrian_ilie825, Fotolia

    Les huiles essentielles possèdent-elles un potentiel thérapeutique ?

    Elles sont en vogue grâce à leur aspect naturel mais pourtant, elles n’ont d’authentique que l’aspect justement. L’extraction de ce qui la compose se fait via tout un ensemble de procédés « chimiques ». Voici la définition que l’agence du médicament en donne :

    « Produit odorant, généralement de composition complexe, obtenu à partir d’une matière première végétale botaniquement définie, soit par entraînement par la vapeur d’eau, soit par distillation sèche, ou par un procédé mécanique approprié sans chauffage. L’huile essentielle est le plus souvent séparée de la phase aqueuse par un procédé physique n’entraînant pas de changement significatif de sa composition. »

    Ces produits peuvent avoir des lourds effets secondaires

    Cette question pose problème parce que ces produits, issus de produits botaniques, ne sont pas brevetables. Il existe donc très peu d’études de bonne qualité pour apprécier leur potentiel thérapeutique. Néanmoins, le peu d’études sérieuses que nous possédons conduit à penser que leur effet est aussi efficace qu’un placebo. C’est ce que conclut une revue systématique de 2013 dirigée par Edzard Hernzrt, un chercheur renommé pour son expertise et la qualité de ses travaux concernant les thérapies alternatives.

    Les huiles essentielles sont-elles dangereuses ?

    En effet, elles peuvent l’être. Mal utilisés, surdosés ou administrés sur une trop longue période, ces produits peuvent avoir des lourds effets secondaires : empoisonnement, allergies, irritations des voies respiratoires, etc. Certaines huiles essentielles ne sont même disponibles qu’en pharmacie car leurs propriétés sont neurotoxiques, phototoxiques et cancérigènes. C’est pourquoi il est conseillé de ne les utiliser qu’en présence d’une personne ayant une formation médicale et scientifique suffisante.

    Un aromathérapeute exerce une profession non réglementée, c’est un titre non encadré par la loi, qui ne fait état d’aucune formation scientifique. En l’absence de données supplémentaires, l’aromathérapie doit être considérée, à juste titre, comme une indication thérapeutique inefficace.

    CE QU’IL FAUT RETENIR

  • L’aromathérapie consiste à utiliser les huiles essentielles pour se soigner. 

  • À ce jour, aucune étude n’a mis en évidence un bénéfice ou une indication thérapeutique précise des seules huiles essentielles.

  • L’aromathérapie peut donc être considérée, à juste titre pour l’instant, comme une médecine alternative ou une « pseudo-médecine ».

https://www.futura-sciences.com/

Huiles essentielles : une médecine alternative "naturelle" qui n’est pas sans risque


Les huiles essentielles sont utilisées à divers usages. Ces huiles sont faites de concentrés. Même s’ils sont dits naturels, il est important de comprendre que malgré tout, il peut avoir des effets secondaires pour les enfants de bas âge, les femmes enceintes et les jeunes garçons, car il peut être un perturbateur endocrinien
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Huiles essentielles : une médecine alternative « naturelle » qui n’est pas sans risque

 

Aromathérapie

Aromathérapie

GARO / PHANIE

Par Camille Gaubert

    Souvent d’usage banalisé par l’appellation « produit naturel », les huiles essentielles (ou aromathérapie) illustrent le fait qu’il n’y a pas de bénéfices sans risques. 

    Les huiles essentielles de lavande et d’arbre à thé pourraient entrainer une croissance de la poitrine chez les jeunes garçons (gynécomastie prépubertaire), a récemment suggéré une étude communiquée à l’occasion du congrès de la Société américaine d’Endocrinologie. La dénomination de « produits naturels » entraine en effet une banalisation de l’usage des huiles essentielles, qui sont pourtant des concentrés actifs de plantes et ne doivent pas être prises sans précautions.

    Huiles essentielles : une efficacité reconnue

    Selon la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), l’huile essentielle est « une substance odorante volatile extraite principalement par distillation à la vapeur d’eau, à partir de plantes » pour laquelle il n’existe pas de définition réglementaire.

    On la trouve ainsi en en vente libre en pharmacie, grande surface, magasins spécialisés, internet ou directement chez les producteurs. Il existe plus de 500 huiles essentielles ayant chacune leurs propriétés et leurs usages.

    « En vente libre, elles sont proposées pour traiter divers maux tels que rhume (huile d’eucalyptus), stress (huile de lavande), eczéma (huile de camomille) et utilisées en diffuseur, ajoutées à l’eau d’un bain, appliquées sur la peau ou en inhalation », énumère le Centre Anti-poison belge.

    L’aromathérapie bénéficie d’un recul d’utilisation et de « nombreuses publications scientifiques » que l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) estime « sécurisant ».

    Cependant, la plupart de ces travaux ont été réalisés sur les substances pures composant le produit et non sur un « profil chimique complexe (…) préalablement déterminé avec précision ».

    Pas d’efficacité sans effets indésirables

    Cependant, le Centre Anti-poison belge alerte : « l’origine naturelle et végétale des huiles essentielles les font souvent considérer, à tort, comme inoffensives », mais ces préparations très concentrées « peuvent provoquer des symptômes d’intoxication en cas de surdosage ».

    Car si comme le disait Paracelse, « c’est la dose qui fait le poison« , c’est aussi le cas des médicaments : trop peu et ils sont sans effet, trop et ils sont délétères.

    Or, « les huiles essentielles sont très concentrées en éléments chimiques actifs et peuvent présenter certains dangers », alerte la DGCCRF, rappelant que « l’Union européenne classe d’ailleurs certaines d’entre elles comme substances dangereuses ».

    « Certaines (huiles essentielles) peuvent révéler une toxicité qui peut être redoutable en raison de leur passage par voie transdermique et de leur impact sur certaines cibles de l’organisme », notamment pour les enfants et les femmes enceintes, rappelle l’ANSM.

    Ainsi, plusieurs huiles essentielles à base de terpènes (eucalyptus, menthol, camphre) ont été retirées du marché après qu’elle ont entrainé des effets indésirables de type neurologiques (convulsions) chez des enfants. Ainsi, ces huiles essentielles sont déconseillées pour les enfants de moins de 3 ans (sauf dans les produits d’hygiène bucco-dentaire), et leur usage doit être limité entre 3 at 6 ans. Il faut donc rester prudent et n’utiliser l’aromathérapie qu’à bon escient, selon les recommandations d’un professionnel de santé. Les huiles essentielles peuvent en effet avoir plusieurs fonctions : thérapeutique, alimentaire, biocide ou cosmétique, et le responsable de leur mise sur le marché a l’obligation de leur attribuer un usage précis.

    REGLEMENTATION. Si les huiles essentielles à visée thérapeutique exclusivement à base de plantes n’ont pas besoin d’une autorisation de mise sur le marché (AMM), contrairement aux médicaments, elles doivent malgré tout être enregistrées auprès de l’ANSM. Selon leur utilisation et leur revendication, les huiles essentielles sont soumises à la réglementation des produits cosmétiques, des biocides (sprays assainissants), ou des médicaments à base de plantes, d’après l’ANSM. (En France)

    L’huile essentielle de lavande et d’arbre à thé : de potentiels perturbateurs endocriniens

    La gynécomastie masculine survenant avant la puberté est relativement rare, mais une quantité croissante de cas coïncide avec une exposition cutanée aux huiles essentielles de lavande et d’arbre à thé, expliquent des chercheurs américains. Ils se sont donc penchés sur l’effet de 8 produits chimiques dont 4 apparaissent dans les deux huiles, et 4 autres sont présents dans l’une des deux. Ces produits chimiques ont ainsi été appliqués in vitro à des cellules humaines pour observer l’activité des récepteurs aux œstrogènes et aux androgènes (hormones).

    Résultat : les huit produits chimiques ont présenté des propriétés œstrogéniques et/ou anti-androgéniques (inhibiteurs de la testostérone) variables, de nulle à élevée, qui correspondent aux conditions hormonales qui stimulent la gynécomastie chez les garçons prépubères.

    « Notre société considère les huiles essentielles comme sûres », a déclaré le chercheur principal de l’étude, J. Tyler Ramsey, chercheur aux Instituts américains de la santé (NIH), dans un communiqué. « Cependant, ils possèdent une grande variété de produits chimiques et doivent être utilisés avec précaution car certains de ces produits chimiques sont des perturbateurs endocriniens potentiels », c’est à dire un produit de l’environnement qui interfère avec les hormones et leurs actions dans le corps.

    Si les chercheurs précisent que la maladie disparaît après que les garçons ont cessé d’utiliser les produits incriminés, ils s’inquiètent malgré tout que certains soient présents dans au moins 65 autres huiles essentielles.

    BON USAGE. Pour rappel, voici les recommandations officielles d’usage des huiles essentielles de la DGCCRF et de l’ANSM :

  • L’usage des huiles essentielles est déconseillé chez l’enfant, la femme enceinte ou allaitante, les personnes âgées ou souffrant de pathologies chroniques

  • Ne pas injecter d’huiles essentielles par voie intraveineuse ou intramusculaire

  • Ne pas les ingérer

  • Ne jamais appliquer d’huiles essentielles directement sur les muqueuses, le nez, les yeux, le conduit auditif, etc.

  • Pour les personnes à tendance allergique, effectuer systématiquement un test d’allergie avant toute utilisation

  • Après un massage ou une application cutanée, bien se laver les mains

  • Veiller à la qualité des huiles essentielles, à leur provenance ainsi qu’au mode de culture dont elles sont issues

  • Ne jamais chauffer une huile essentielle pour la diffuser

  • Les huiles essentielles ne doivent pas être utilisées de façon prolongée (au-delà de quelques jours) sans avis médical. 

https://www.sciencesetavenir.fr/

Le Saviez-Vous ► 9 dangers qui menacent vos animaux pendant la période estivale


L’été, une saison que maîtres et animaux passent plus de temps à l’extérieur. Cependant, c’est aussi une saison que nos animaux pourraient avoir à faire face aux dangers de la saison
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9 dangers qui menacent vos animaux pendant la période estivale

 

Il fait doux, le ciel est bleu et dans quelques jours (pour certains) ce sont les vacances. Un moment de détente que vous avez d’ailleurs prévu de partager avec votre chien et/ou votre chat. Mais attention : le danger n’est jamais bien loin…

A chaque saison son lot de dangers pour nos amis à quatre pattes. Aussi, il vous faudra donc être très prévoyant afin de protéger comme il se doit votre fidèle compagnon des périls malencontreux qui le menacent lorsque l’été s’installe.

1. La chaleur

Les coups de chaleur sont très dangereux pour la santé du chien et du chat ! Pour les en préserver vous devez donc ne jamais les laisser seuls dans une voiture en plein soleil et absolument veiller à ce qu’ils restent bien hydratés. Mettez toujours à leur disposition une gamelle d’eau fraîche que vous renouvellerez dans la journée.

Si les chats pensent d’instinct à se protéger du soleil en se mettant à l’abri à l’ombre, les chiens sont plus dépendants de vous, notamment pour les promenades. Entre 11 heures et 16 heures, hors de question donc de les faire sortir : pour les balades, préférez en effet les débuts de matinées ou fins de journées.

Par ailleurs, si vous comptez emmener votre petit compagnon à la plage, pensez à vous munir d’un parasol et de crème solaire adaptée à lui pour protéger son museau et ses coussinets.

2. Les lieux de baignades

Moins évident pour les chats mais flagrant pour les chiens : l’amour fou de l’eau pour s’amuser. La moindre flaque d’eau est en effet pour eux une invitation au jeu. Imaginez donc lorsque ces derniers se retrouvent face à la mer, un lac, une rivière ou encore, une piscine ! Ils n’ont pas conscience de se mettre en danger, à vous donc de rester attentif face au risque de noyade. Car oui, si les chiens savent nager, ils se fatiguent, peuvent se laisser emporter par le courant… et le pire peut arriver. Vous devez donc toujours surveiller ces moments et vous assurer qu’ils ne s’éloignent pas trop.

Par ailleurs, si votre petit compagnon se baigne, vous devez également le rincer à l’eau douce et claire juste après afin d’ôter tous éventuels parasites et préserver son épiderme : le sel et le sable sont très irritants pour sa peau.

3. Les barbecues

Chats et chiens ont beaucoup à risquer à rester aux abords d’un barbecue ! Il suffit qu’un morceau de charbon incandescent s’échappe de l’engin, que votre animal y voit une invitation au jeu et… se brûle une patte ou gueule malgré lui. Et c’est pire encore si l’un d’eux l’avalent.

Par ailleurs, sachez que les restes de viandes cuites au barbecue ne sont pas bons pour vos boules de poils : les parties grasses et brûlées, voire carbonisées, sont en effet assez mauvaises pour leur santé en plus de ne pas être nécessairement nutritives…

4. Les plantes

épillet

La plante la plus dangereuse pour les animaux lorsque l’été arrive ? L’épillet. Aussi appelée folle avoine, elle pousse de mai à septembre, essentiellement dans les pelouses et les hautes herbes, aussi bien à la campagne qu’en ville. Et malgré son apparence inoffensive, elle s’accroche dans les poils de vos poilus et peut s’incruster dans tous leurs orifices. Un épillet bien installé peut causer de vives douleurs à l’animal ainsi qu’une sinusite purulente s’il pénètre dans les cavités nasales.

Par ailleurs, azalées, bégonias et buis sont très présents l’été. Faites attention à ce que chiens et chats en restent loin car il s’agit là de plantes qui sont extrêmement toxiques pour eux s’ils venaient à les ingérer.

5. Les insecticides/huiles essentielles

On le sait, qui dit été dit pléthore d’insectes. Si vous avez choisi de lutter contre eux en usant d’huiles essentielles ou d’insecticides veillez tout de même à ne pas empoisonner vos animaux avec car ces produits restent très toxiques ! Avant d’en mettre, consultez donc bien la notice d’utilisation afin de vous assurer que ce dernier ne nuira en aucun cas à vos petits compagnons.

6. Les moustiques

Comme pour vous, les piqûres de moustiques sont désagréables pour les animaux. En plus, ces petits insectes peuvent être porteurs de la leishmaniose, une maladie mortelle pour les poilus. Vous devez donc vous assurer que votre petit compagnon soit bien vacciné contre ce mal et lui administrer des répulsifs – adaptés à lui – afin de limiter les éventuelles piqûres.

7. Les chenilles processionnaires

Autre danger de l’été pour nos amis chiens et chats : les chenilles processionnaires. Se déplaçant en groupe les unes derrière les autres, elles rendent curieux les animaux qui n’hésitent alors pas à venir les renifler et parfois même, à les manger. Une grave erreur puisque dotées de poils urticants reliés à une glande de venin, elles peuvent causer de graves ennuis de santé tels que des vomissements, des difficultés respiratoires ou encore, des graves infections.

La seule chose à faire en cas de contact avec l’un de ces spécimens : emmener votre chien ou votre chat en urgence chez le vétérinaire.

8. Les abeilles et les guêpes

De la mer à la montagne et de la ville jusque dans les campagnes, elles sont partout et peuvent être très dangereuses surtout si elles attaquent votre boule de poils et que cette dernière y est allergique ! En cas de piqûre, vous devez immédiatement chercher à retirer l’aiguillon et surtout, bien désinfecter la plaie. Si l’œdème est trop important, n’hésitez pas à vous rendre chez le vétérinaire le plus proche afin qu’un médicament adapté soit administré à votre animal !

9. Les puces et les tiques

Avant de partir en vacances, traitez de manière préventive votre animal contre les puces et les tiques à l’aide de l’antiparasitaire (collier, pipette, poudre…) de votre choix. Et pour cause, si les puces peuvent être embêtantes dans la commune mesure où elles vont pousser votre compagnon à se gratter, les tiques peuvent – eux – le rendre malade !

Par Deborah Koslowski

Crédits photo : Shutterstock

http://wamiz.com/

Les chats et les huiles essentielles : un mariage malheureux !


Si vous avez des chats, oubliez les huiles essentielles, car ces boules de poils n’ont pas l’enzyme qui peuvent éliminer ces huiles et peuvent occasionner de graves troubles pouvant aller jusqu’à la mort.
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Les chats et les huiles essentielles : un mariage malheureux !

 

Il est courant de nos jours de diffuser des huiles essentielles pour avoir une atmosphère chaleureuse. Nous recourons à l’aromathérapie dans bien des cas, et là encore les huiles essentielles sont utilisées. Même les nettoyeurs vapeurs sont plus efficaces avec quelques gouttes de ces précieuses huiles aux vertus incontestables…pour les humains ! Cependant, on ignore souvent les méfaits que peuvent avoir de telles pratiques sur les chats…

Une enzyme que le corps du chat ne produit pas

Qu’on les respire ou qu’on les ingère les huiles essentielles se retrouvent dans notre corps. C’est une enzyme, la glucuronyl transferase, qui va faire en sorte qu’on élimine les résidus des huiles essentielles dans notre organisme. Oui mais voilà, le chat est l’une des rares espèces à ne pas sécréter cette enzyme. De ce fait, au lieu d’être transformés par l’enzyme puis éliminés par les voies naturelles, les résidus d’huiles essentielles se retrouvent stockés dans le foie. Et en quelques jours à peine, le leur commence à saturer de ces résidus, pouvant alors créer de graves lésions, des défaillances hépatiques et finalement, un décès. Bien souvent le vétérinaire lui-même ne sait pas la toxicité qu’elles peuvent provoquer sur le chat, il peut même prescrire des inhalations en cas de coryza, ou des colliers apaisants, anti-puces, etc. contenant une quantité importante de différentes huiles essentielles. De ce fait, quand le foie commence à mal fonctionner, il ne cherche pas par là, et en de rares cas, le décès est assimilé à la prise d’huiles essentielles. Seuls les cas où l’on recherche par le biais d’une autopsie, précisément au niveau du foie, ce qui a provoqué le décès peut indiquer la présence en grande quantité de ces résidus. La plupart du temps, en absence d’autopsie, le décès sera justifié par une défaillance hépatique sans autre raison, j’ai vu un cas où on évoquait même un problème congénital…

2 gouttes par an soi 0.005 goutte par jour

En faisant mes recherches sur cette toxicité, je suis tombée sur la dose maximale qu’un chat peut ingérer par an : 2 gouttes sont le maximum que son foie peut accepter en une année pour ne pas être mis en danger ! C’est-à-dire, l’équivalent de 0.005 goutte par jour. A ce dosage là, les huiles essentielles ne sont donc pas assez puissantes pour que leurs vertus soient utiles pour nous, humains. Par ailleurs, une fois, on m’a rétorqué que les huiles essentielles étaient des produits naturels donc inoffensifs. La ciguë aussi est un produit naturel, comme les annamites phalloïdes… si vous décidez d’en boire un verre accompagné de la bonne omelette les contenant, libre à vous, mais ce sera sans moi !

Alors, pensez-vous vraiment que le jeu en vaille la chandelle ? Pensez vous qu’un bienfait temporaire entraînant de graves lésions permanentes est un moindre mal ? Pensez-vous que la douce odeur qui se dégage de votre brûle parfum soit plus importante que le foie de Minet ? C’est à vous, et vous seul, d’en juger mais à présent vous en connaissez les conséquences possibles, conséquences qu’on ne vous donne jamais en vous les recommandant.

Marie-Hélène Bonnet
Comportementaliste du chat
www.comportement-chat.com

Truc Express ► Stop aux allergies : la solution naturelle pour faire fuir les acariens


Si un produit d’entretien que nous devrions tous avoir dans la maison est le bicarbonate de sodium (ou de soude, c’est la même chose). C’est un passe-partout. Une des utilisations intéressantes, c’est que le bicarbonate permet de diminuer les acariens sur les matelas et donc, diminuer les allergies
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Stop aux allergies : la solution naturelle pour faire fuir les acariens

 

Les acariens se nourrissent de nos peaux mortes. 

Les acariens se nourrissent de nos peaux mortes.

LAURENCE VALDÉS

ALLERGIES – Pour vous débarrasser des acariens (et par la même occasion de vos allergies), utilisez du bicarbonate de sodium. Voici comment vous y prendre.

Ils sont là par milliers voire par millions dans notre literie, sur nos fauteuils notre moquette. Les acariens s’y nourrissent allègrement de nos squames (comprenez nos cellules mortes de peau et de cuir chevelu).

Problème, certains d’entre nous sont allergiques à ces bestioles, où plutôt aux minuscules particules qu’ils produisent (leurs excréments ou leur corps en décomposition). Cela se manifeste par des éternuements à répétition, une sensation d’étouffement ou une respiration sifflante.

► La recette pour les faire fuir ?

Il vous faut du bicarbonate, un aspirateur et quelques heures d’attente. Voici une méthode préconisée par 60 Millions de consommateurs dans son numéro hors série consacré aux alternatives naturelles aux produits toxiques :

⇒ Saupoudrez votre matelas

⇒ Brossez pour faire pénétrer dans les fibres

⇒ Laissez reposer 4 heures

⇒ Passez l’aspirateur

A noter ⇒ Cette recette diminue le nombre d’acariens et donc les allergies qui vont avec mais ne les éradique pas totalement.

► Pourquoi ça fonctionne ?

Deux hypothèses sont avancées par Nicolas Palangié, auteur d’un ouvrage entier consacré à cette poudre minérale. D’une part le bicarbonate perturberait les équilibres métaboliques de l’acarien en endommageant la cuticule externe de l’animal (sa carapace en quelque sorte). D’autre part, notre produit miracle élimine certaines moisissures dont les acariens ont besoin pour digérer certaines protéines et donc pour vivre.

► Booster l’efficacité du bicarbonate avec des huiles essentielles

Les huiles essentielles de d’arbre à thé, de citronnelle, de palmarosa, d’eucalyptus globulus, de cannelle et de clou de girofle repoussent les acariens. Mélangez six cuillerées à soupe de bicarbonate de soude et 80 gouttes d’huiles essentielles. Appliquez et aspirez après avoir laissé agir plusieurs heures. 

http://www.metronews.fr/

Pourquoi le grand air nous fait-il du bien ?


Oui, sortons de nos murs de maisons, des rues de bétons et cherchons ce qui est naturel. Ce que j’aime ou j’habite, je suis assez près de la rivière, d’un grand parc fourni d’arbres, d’oiseaux, il y a beaucoup d’espace vert dans la ville .. Donc, il n’y a aucune raison pour ne pas faire une bonne balade
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Pourquoi le grand air nous fait-il du bien ?

Bactéries, huiles essentielles, ions négatifs : la nature sait nous gâter !

Photo :  SUPERSTOCK/SIPA

NATURE – On a souvent tendance à penser qu’une balade au grand air nous sera bénéfique et c’est vrai. Pendant longtemps on croyait que la nature avait une fonction apaisante mais il semblerait que cette explication soit à compléter par un phénomène tout ce qu’il y a de plus scientifique.

C’est dimanche et vous prévoyez une grande promenade dans la nature. En famille, entre amis vous ne pourriez sacrifier pour rien au monde ce rituel. Figurez vous que vous avez raison car ce moment de détente est aussi un geste santé incontournable.

Selon deux chercheurs australiens la nature nous veut du bien et nous aurions tort de nous priver de son pouvoir énergisant. C’est ce qu’ils ont démontré dans un long article rédigé à l’attention de nos confrères du site The Conversation.

Dépaysant et vivifiant

Comme l’avancent les auteurs, cela fait longtemps que nous savons que la proximité d’une forêt ou du bord de mer a tendance à nous remettre d’aplomb. Sans pouvoir bien expliquer le mécanisme d’une telle amélioration sur notre santé, la communauté scientifique était tentée de croire, à juste titre, que la nature avait des pouvoirs apaisants sur nos esprits de citadins stressés. Dépaysant et vivifiant le grand air fait des miracles sur les organismes fatigués.

Mais des chercheurs japonais ont voulu en savoir plus et sont allés mener des expériences sur le terrain, où le fait de profiter de la biodiversité porte même un nom : shinrin-yoku (littéralement le bain de nature). Ces derniers se sont rendus sur l’île nippone de Yakushima sur laquelle la nature est particulièrement luxuriante.

Respirer des bactéries bénéfiques

Selon eux tout résiderait dans la qualité de l’air que nous inspirons en pleine nature. Jusque-là, vous vous dites, rien de plus logique. Mais encore ? Au regard de leurs recherches, trois éléments rendraient l’air de la forêt et du bord de mer aussi intéressant sur le plan sanitaire :

Les bonnes bactéries ⇒ Loin des atmosphères polluées des centres-villes, au grand air, les bonnes bactéries prolifèrent et entretiennent celles que notre organisme abrite. Que ce soit sur notre peau ou dans notre système digestif, par exemple, nous avons besoin d’elles de notre naissance jusqu’à notre mort.

Les huiles essentielles ⇒ Produites par les plantes et les bactéries présentes sur ces dernières, elles viennent à bout de micro-organismes nocifs pour notre organisme. 

Les ions négatifs ⇒ C’est la charge électrique de l’air et traditionnellement près des côtes et dans les milieux sauvages l’air est plus chargé en ions négatifs, or ces derniers participent à l’oxygénation des cellules et donc de l’organisme.

Mais si l’on vit en ville, nous direz vous ? Pas de panique, selon les chercheurs quelques gestes simples peuvent faire la différence. Ainsi, pensez au parc pour aller faire votre jogging ou effectuer une balade. Sortez de votre bureau à l’heure du déjeuner pour faire une pause sous un arbre. Enfin prévoyez de petites escapades au bord de l’eau. Si vous pouvez vous rendre à la mer, c’est tant mieux, mais pour les autres essayez de marcher le long d’une rivière vous y ferez également le plein de toutes ces bonnes choses !

http://www.metronews.fr/

Les personnes contre-indiquées à l’usage des huiles essentielles


Les huiles essentielles sont utilisées pour parfumer, pour la détente et même pour soignés, mais il faut quand même faire attention à leur utilisation, car ils peuvent occasionner de graves problèmes de santé.
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Les personnes contre-indiquées à l’usage des huiles essentielles

 

 

Article co-rédigé par Stéphanie Monnatte-Lassus Aromatologue, Reflexologue plantaire et Relaxologue et Joëlle le Guehennec, présidente de l’EAI, Ecole française d’Aromathérapie Intégrative.

 

    Les femmes enceintes (de moins de 3 à 5 mois) ou allaitantes et enfants (de moins de 6 ans) doivent par principe, prendre la précaution de s’adresser à un professionnel. Certaines huiles essentielles sont abortives, utéro-toniques ou toxiques pour les bébés.

    Les personnes souffrant de certaines pathologies doivent être très vigilantes quant à l’utilisation d’une huile essentielle et demander conseil à un professionnel :

  • Allergies respiratoires et asthme

  • Allergie au : camphre, à la cortisone, à l’aspirine

  • Cancer hormono-dépendant

  • Epilepsie ou terrain épileptique

  • Hyper-oestrogénie

  • Hypertension ou hypotension

  • Hyperthyroïdie ou hypothyroïdie

  • Insuffisance hépatique

  • Insuffisance rénale

  • Mastose (= affection du sein)

  • Phlébite

  • Préciser lorsqu’un traitement anticoagulant ou hormonal est en cours

    En outre, certaines huiles essentielles doivent solliciter la vigilance par leur éventuelle toxicité. En effet, les effets indésirables potentiels sont nombreux :

  • Abortif

  • Hépatotoxique

  • Irritant

  • Néphrotoxique (= toxicité des reins)

  • Neurotoxique

  • Peau et muqueuses : dermotoxicité, allergies, hypersensibilité, irritations, photosensibilisation…

  • Stupéfiant à hautes doses

  • Tachycardie

  • Vomissements, etc..

La toxicité d’une huile essentielle peut se révéler quelques minutes après son usage (toxicité aigue), après quelques mois d’utilisation, et parfois au bout d’une ou plusieurs années (par effets cumulatifs).

http://www.passeportsante.net

Huiles essentielles, restez prudentes !


Les huiles essentielles sont utilisées pour divers usages. Mais, il faut quand même faire attention, car certaines huiles pourraient être dangereuses si elles sont mal employées
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Huiles essentielles, restez prudentes !

 

Le soir, veillez à ne pas en vaporiser les sprays favorisant l’endormissement pendant plus de 15 minutes avant de vous coucher afin d’éviter les maux de tête. ©Phovoir.

Le soir, veillez à ne pas en vaporiser les sprays favorisant l’endormissement pendant plus de 15 minutes avant de vous coucher afin d’éviter les maux de tête. ©Phovoir.

    Détente, douceur, stimulation : du soin apaisant au geste beauté, les huiles essentielles sont couramment utilisées en aromathérapie et en phytothérapie. Mais attention, à chaque produit sa propriété ! Voici mesdames quelques astuces pour en faire bon usage. Et profiter des bienfaits des huiles essentielles.

    De la relaxation de la peau à la purification de l’air ambiant en passant par l’apaisement du stress, tout est permis avec les huiles essentielles. Tout, ou presque… En effet, ces produits obtenus par distillation de substances végétales ne sont pas dénués de risque. A haute dose ou en contact direct avec les muqueuses fines (comme les paupières), les huiles essentielles peuvent déclencher une réaction cutanée.

    Principes trop actifs ?

    Certains principes actifs riches en phénols – comme le thym, l’origan ou la sarriette – sont en effet connus pour leurs propriétés irritantes à haute concentration. D’autres substances comme la sauge ou le thuya, enrichies en cétone, peuvent favoriser des convulsions de type« épileptogène ».

    • Avant chaque utilisation, agitez le flacon ou le spray afin de bien homogénéiser le produit. Puis diluez une dose d’huile essentielle à dix doses d’huile végétale (amande douce, germe de blé ou avocat) pour réduire ces effets dermocaustiques.

    • Evitez toute utilisation près des yeux ou des zones sensibles de votre peau. Les huiles essentielles doivent également être éloignées des femmes enceintes ou allaitantes. Par leur fort pouvoir pénétrant, les substances actives peuvent franchir les parois du placenta et/ou se retrouver dans le lait maternel.

    • Autres points, pour une action optimale, mieux vaut utiliser des produits issus de l’agriculture biologique purs (non coupés ou mélangés à des molécules de synthèse). Par ailleurs, si vous suivez un traitement homéopathique, attendez une heure après la prise de vos granules avant d’utiliser une huile essentielle, sous peine d’annuler totalement l’efficacité

      Synergie beauté  Grâce à leur solubilité dans les corps gras, les huiles essentielles peuvent aussi faire un très bon liant dans votre crème de jour. Ajoutez-y quelques gouttes et l’action hydratante (ou émolliente pour les masques) n’en sera que renforcer ! Sachez que les extraits à base de rose, de baobab, d’Aloe vera ou d’Ylang-Ylang nourriront en profondeur les peaux sèches. Pour les natures grasses, préférez les huiles à base de jojoba, de bourrache ou de romarin. Enfin, le noyau d’abricot permettra de nourrir les dermes mixtes.

      Petit rappel, les huiles extraites du citron et du genévrier réagissent mal la lumière naturelle du fait de leurs propriétés photo-sensibilisantes. Conséquence, les risques de brûlures ou d’éruptions cutanées augmentent. Evitez donc ces produits en cas d’exposition au soleil

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      • Source : Mes huiles essentielles pour les nuls, Elske Miles. First Editions.
      • Ecrit par : Laura Bourgault – Edité par : Emmanuel Ducreuzet

       

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      5 façons d’en finir avec les puces!


      Quand un chien ou un chat a des puces, c’est tout une histoire de les éradiquer. Quelques petits trucs pourraient aider à tenir ces petites bêtes indésirables très loin de nos animaux
      Nuage

       

      5 façons d’en finir avec les puces!

      Si les colliers antipuces sont inefficaces sur votre chat ou votre chien, utilisez de l’huile essentielle de lavande. Au moment de brosser votre animal, déposez quelques gouttes de lavande sur son pelage. L’odeur devrait dissuader les puces de venir s’y installer. 

      Pour éliminer les puces de la niche de votre chien, mélangez 30 gouttes d’huile essentielle de menthe pouillot, 2 cuillerées à café d’alcool à brûler et 2 verres d’eau dans un vaporisateur et, à l’extérieur, aspergez-le en la couche, la couverture et les coussins de votre animal.

      Vous pouvez aussi placez des aiguilles de pin sous le tapis de votre chien ou de votre chat. C’est un bon remède pour les protéger des puces.

      Les gousses d’ail, placées dans leur coussin, panier ou litière, tiennent aussi les puces à distance.

      Autre astuce surprenante: les vitamines B ont une odeur que l’homme ne sent pas mais que les puces détestent. Donnez à votre chat 1 cuillerée à café de levure de bière dans sa pâtée quotidienne. 

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      10 recettes pour fabriquer vos produits ménagers


      Avec tous les produits en vente sur le marché, beaucoup d’entre eux sont nocifs pour l’environnement. Pour ceux qui ont le souci des produits écologiques, voici quelques recettes écolo qui feront tout aussi l’affaire pour des nettoyages divers et en plus, cela sera moins nuisible au portefeuille
      Nuage

       

      10 recettes pour fabriquer vos produits ménagers

      Écologiques et économiques, les produits d’entretien faits maison sont également faciles à réaliser, à condition de connaître quelques recettes de base.

      Un nettoyant multi-usages

      le savon de marseille peut rentrer dans la composition d'un produit nettoyant

      Le savon de Marseille peut rentrer dans la composition d’un produit nettoyant multi-usages.©  Michaklootwijk – Fotolia.com

      Charlotte utilise le savon de Marseille pour réaliser un produit nettoyant multi-usages. Voici sa recette :

      « Râper un petit savon de Marseille puis le mettre dans un petit peu d’eau chaude pour le faire fondre. Une fois ce mélange refroidi, ajoutez-y le jus d’un citron, un verre de vinaigre de cidre, un flacon d’huile essentielle d’Eucalyptus. Enfin, ajouter 4 litres d’eau et mélanger le tout. Il ne reste plus qu’à répartir cette solution dans des vaporisateurs et autres flacons de produits ménagers ». 

      « Ce produit me sert aussi bien pour nettoyer le plan de travail de ma cuisine que le lavabo de ma salle de bains ou mes sols. Je conseille de secouer le mélange avant utilisation ».

      Une lessive liquide à base de savon de Marseille

      la savon de marseille est parfait pour préparer une lessive maison.

      La savon de Marseille est parfait pour préparer une lessive maison. © Itestro – Fotolia.com

      Pour laver le linge, le savon de Marseille est également plébiscité.

      C’est l’ingrédient de base de la recette de Géraldine :

      150 g de savon de Marseille en paillettes, une poignée de cristaux de soude, unehuile essentielle (lavande ou arbre à thé) et 3 litres d’eau. Elle fait bouillir l’eau, met les paillettes et les cristaux. Puis elle verse le tout dans en pot ouvert (par exemple un seau) avant que cela devienne trop épais. Enfin, elle laisse un peu refroidir et ajoute l’huile essentielle avant que le mélange ne durcisse. Pour chaque lessive, elle verse « environ un verre à moutarde dans le tambour de la machine à laver ». 

      Blandine a quasiment la même recette, si ce n’est qu’elle utilise 50 g savon de Marseille Bio qu’elle râpe avant de le dissoudre dans un litre d’eau chaude. Puis elle ajoute 7 gouttes d’huile essentielle.

      Un liquide vaisselle à base de citron

      un liquide vaisselle à base de citron frais.

      Un liquide vaisselle à base de citron frais.© ChantalS – Fotolia.com

      Dominique n’achète plus de liquide vaisselle, elle le fabrique elle-même. Voici sa recette :

      « Couper trois citrons (avec l’écorce) en morceaux. Les mixer avec 200 g de gros sel, un verre de vinaigre blanc et 4 verres d’eau. Faire chauffer la préparation durant 15 minutes puis laisser refroidir. Filtrer ensuite ce produit, notamment pour enlever les pépins, et le verser dans un flacon vide de liquide vaisselle ». 

      Une crème à récurer à base de sel et de bicarbonate de soude

      rien de tel que le bicarbonate de soude pour récurer.

      Rien de tel que le bicarbonate de soude pour récurer. ©  Africa Studio – Fotolia.com

      Rien de tel que le bicarbonate de soude pour récurer la maison.

      Stéphanie mélange

      deux cuillères à soupe de bicarbonate de soude et deux cuillères à soupe de sel fin. Elle rajoute un peu d’eau du robinet pour mélanger le tout. Elle utilise ce produit avec une éponge pour nettoyer sa salle de bains.

       

      Des lingettes imprégnées faites maison

      ces lingettes lavables sont beaucoup moins polluantes que les modèles jetables

      Ces lingettes lavables sont beaucoup moins polluantes que les modèles jetables que l’on trouve dans le commerce. © Unclesam – Fotolia.com

      Martine fait elle même ses lingettes imprégnées pour nettoyer la salle de bains ou les toilettes. Voici sa recette :  »

      Mélanger 1 tasse de vinaigre blanc, 5 gouttes d’huile essentielle de citron, 5 gouttes d’huile essentielle d’arbre à thé, 1 cuillère à soupe de liquide vaisselle et 1 tasse d’eau. Découper des carrés de 15 cm de côté dans une vieille serviette éponge et les placer dans une ancienne boîte de lingettes du commerce. Il ne reste plus qu’à les imprégner du mélange obtenu précédemment ».

      Ces lingettes lavables sont beaucoup moins polluantes que les modèles jetables que l’on trouve dans le commerce.

      Nettoyant pour le sol

      le vinaigre blanc fait briller les sols.

      Le vinaigre blanc fait briller les sols. © Africa Studio – Fotolia.com

      Le vinaigre blanc peut servir de base pour un produit ménager destiné à laver les sols. Dans sa recette,Patricia utilise

      240 ml de vinaigre blanc, 60 gouttes d’huile essentielle de citron, 40 gouttes d’huile essentielle de thym et 20 gouttes d’huile essentielle d’eucalyptus.

      Elle fait son « mélange dans un pulvérisateur et le vaporise directement, tout en passant la serpillière. Sol propres, désinfectés et parfumés ».

      Attention : si ce type de produit est destiné au carrelage en général, il ne convient pas pour les dalles de pierres naturelles ou le marbre. Pour ce dernier, Françoise recommande de dissoudre une cuillère à soupe de savon noir dans 5 L d’eau.

      Un nettoyant pour les vitres

      le vinaigre blanc peut aussi servir à nettoyer les vitres.

      Le vinaigre blanc peut aussi servir à nettoyer les vitres. © Brian Jackson – Fotolia.com

      Pour nettoyer ses vitres François a une recette toute simple.

      Il mélange « 40 cl de vinaigre blanc,10 cl d’eau, 5 gouttes d’huiles essentielles d’arbre à thé dans un vaporisateur ». 

      Il utilise ce produit pour « nettoyer les vitres des fenêtres, les miroirs ou encore les parois de douche.

      Martine utilise aussi du vinaigre blanc qu’elle mélange avec du savon liquide et de l’eau tiède.

      Dans un demi seau d’eau, Nadia verse un verre de vinaigre blanc et quelques gouttes de liquide vaisselle. Le produit obtenu lui permet d’avoir « des vitres impeccables ».

      De l’huile pour entretenir les meubles cirés

      de l'huile pour nettoyer les meubles cirés.

      De l’huile pour nettoyer les meubles cirés. © Kelly Marken – Fotolia.com

      Leba a une recette astucieuse pour nettoyer ces meubles cirés :

      « Mélanger 1 dose de vinaigre blanc, 3 doses d’huile d’olive, 2 doses d’une autr ehuile végétale et 1 dose de jus de citron. Mixer le tout ». 

      Elle donne même des conseils d’utilisation :

      « Étendre sur le meuble avec du coton cardé ou au pinceau dur, lustrer avec un linge blanc ou à la brosse à meubles ».

      Un détartrant pour les WC

      mariesacha - fotolia.com

      Mariesacha – Fotolia.com ©  Mariesacha – Fotolia.com

      Pour détartrer la cuvette des toilettes, Carole fait

      chauffer 1 litre de vinaigre blanc jusqu’à ébullition et le verse aussitôt après dans les WC. Puis, elle le « laisse agir une ou deux heures (plus si elles sont très entartrées) et le tartre part ensuite comme par enchantement, sans frotter et les toilettes brillent. C’est écolo et bon marché ».

       

       

      Un nettoyant pour le réfrigérateur

      l'eau de javel n'est pas forcément nécessaire pour nettoyer son frigo.

      L’eau de Javel n’est pas forcément nécessaire pour nettoyer son frigo. ©  Janis Smits – Fotolia.com

      Michèle utilise des produits écologiques pour nettoyer son réfrigérateur, plutôt que l’eau de Javel. Dans sa recette maison,

      elle mélange 2 cuillères à soupe de bicarbonate de soude dans un bol à moitié rempli d’eau tiède, avant de remuer. Puis elle ajoute le jus d’un demi citron et les 5 gouttes d’huile essentielle de citron. 

      Le produit est prêt l’emploi.

      http://www.linternaute.com