Ils se font enterrer vivant à Notre-Dame-du-Mont-Carmel


Payer pour avoir peur ! Être poursuivi, enlever, enterrer vivant et tout le tralala des films d’horreur tout cela selon le forfait choisit .. Faut vraiment  pas savoir quoi faire de sa peau pour s’amuser à ce genre d’activité
Nuage

 

Ils se font enterrer vivant à Notre-Dame-du-Mont-Carmel

 

Ils

Vivre l’expérience d’une nuit d’horreur.Photo Fotolia

Charey Traversy

 

Une centaine d’amateurs de sensations fortes ont accepté de vivre un véritable cauchemar, une «nuit d’horreur», à Notre-Dame-du-Mont-Carmel.

Un scénario digne des films d’horreur a été mis en scène pour 150 personnes le temps de 12 heures d’épouvante, isolées sur une montagne surnommée Notre-Dame-des-Six Martyres.

Les participants sont poursuivis, abandonnés dans les bois et kidnappés. Tout est fait pour que leur nuit aille de surprises en frayeurs.

«L’horreur, c’est ce qui frappe l’imaginaire. Le soir du 1er octobre nous serons complets. Il y a des participants qui vont faire cinq heures de route pour être présents. C’est une expérience qui se démarque. Il y a trois différents forfaits. Tout le monde peut se faire poursuivre. Les codes jaunes peuvent se faire attacher. Les codes rouges: enterrer», explique Éric Paul Parent des Productions Hérôle.

Effectivement, on peut notamment lire cette description pour les «gilets rouges» sur le site web d’Une nuit d’horreur :

«Ce niveau est le plus intense et n’est pas recommandé aux poules mouillées. En plus de tout ce que nous pourrons faire aux gilets verts et jaunes, nous pourrons vous enfermer dans des espaces restreints, vous enterrer ou vous forcer à manger des choses dégoûtantes.»

Après six ans d’existence et à la tête de plusieurs projets comme le «Parcours de la peur» à Trois-Rivières, les Productions Hérôle poussent l’expérience du jeu immersif encore plus loin.

«Si les gens trouvent ça trop intense, on a une phrase clé qu’ils peuvent prononcer: «Je veux mon nounours». Et on les retire du jeu», raconte Éric Paul Parent.

Les participants doivent avoir 18 ans et plus. Une quarantaine de comédiens animeront la soirée. Par mesure de sécurité, une intervenante et des ambulanciers seront aussi sur place.

Il en coûte entre 150 et 200 $ selon la formule choisie.

http://fr.canoe.ca/

Elle tremble de peur en jouant à un jeu d’horreur de réalité virtuelle


En voyant la vidéo d’une fille qui joue en réalité virtuelle, je me demande si cela n’affectait pas des personnes ayant des problèmes psychologiques tellement que le joueur sent devant une réalité qui fait horreur
Nuage

 

Elle tremble de peur en jouant à un jeu d’horreur de réalité virtuelle

 

LAURENT LASALLE

Cette vidéo virale démontre à quel point The Brookhaven Experiment peut être une expérience immersive ayant le potentiel d’inquiéter tous vos voisins.

Si l’idée de plonger dans de nouveaux mondes grâce à la réalité virtuelle vous a toujours attirée, il peut en être autrement en ce qui concerne les jeux de type survival horror. Ce n’est pas comme si vous pouviez vous réfugier derrière un coussin où simplement regarder ailleurs – l’écran est fixé sous vos yeux, les écouteurs alimentent vos oreilles du bruit qui vous entoure, et la crise cardiaque est à portée de main.

 

 

C’est ce que l’on constate en regardant cette vidéo du développeur norvégien Karl Jørgen Overå qui s’est amusé à filmer sa conjointe Renate vivre sa première partie deThe Brookhaven Experiment, une expérience d’horreur développée exclusivement pour le HTC Vive.

Le but de ce court jeu? Survivre à la horde de monstres humanoïdes qui se dirige vers vous sur 360 degrés, armé d’un pistolet et d’une lampe de poche, dans le noir le plus complet d’un sinistre terrain vague. Livré à vous-même, il vous est impossible de vous déplacer pour vous mettre à l’abri, vous ne pouvez que pivoter sur place.

Avant même de commencer la partie, les mains de Renate tremblent déjà à imaginer le sort qui lui sera réservé. Un tremblement qui perdure tout au long de sa partie, adéquatement détecté par les capteurs du HTC Vive, et qui se reflète par un tremblement de son pistolet. Terrifiée, elle manifeste également son angoisse en poussant des cris sans trop en être consciente. Une fois le premier niveau complété après seulement deux minutes, la joueuse peine à croire qu’elle a survécu.

«Je pense qu’on va avoir des plaintes des voisins», lance Karl à Renate. «Ça sonnait comme si quelqu’un était en train de se faire tuer ici. Si les voisins ne viennent pas cogner à la porte, je serai très surpris.»

Sans surprise, la joueuse refuse d’affronter le deuxième niveau. Elle ne semble toutefois pas traumatisée par l’expérience, affichant un sourire en retirant le casque. À moins que ce ne soit la satisfaction d’une personne qui vient de décider que c’était la dernière fois qu’elle accepterait à se livrer à une telle expérience?

http://branchez-vous.com/

Oedèmes


Partout dans le monde, des drames surviennent arrachant a la vie des êtres aimés dans les milieux nantis, comme parmi les plus pauvres. La douleur indescriptible est réelle car c’est tout le corps qui en souffre
Nuage

 

Oedèmes

 

 

 

Sur les hauteurs d’un long cri
D’un très jeune enfant meurtri
Ses os broyés par des chars
Un jour en plein cauchemar

Sa mère cri sa douleur
Par un chagrin étrangleur
Devant la scène effroyable
De cet acte abominable

L’épreuve devant ces faits
A rempli ses seins de lait
Sont sur le point d’éclater
Face au bébé étêté

Elle devrait nourrir ce mort
Mais le mal choisi son sort
De la décapitation
D’une injuste exécution

La pluie du sang dans les rues
S’infiltre aux places incongrues
Sur les plaintes d’une mère
Donnant froideur à la terre

Le vent qui transmet l’odeur
Du mort, jusqu’au profondeur
Que les mouches attirées
Festoient sur le corps marbré

Ailleurs, tout près du désert
Des grands vautours en concert
Guettent leur proie affaiblie
Dans la pause de l’oublie

Un gamin nu jusqu’aux pieds
Scrute la terre en pitié
Avec regard qui se brise
Vers le ciel en pleine crise

Quel sentiment l’enfièvre
Si rien n’allège sa fièvre
Il ne connaît pas noël
Ni les contes d’arc-en-ciel

Puis, il inspecte l’azur
Mais, il sent son cœur obscur
De sa vie qui s’atténue
Puis pleure sans retenue

Es-il voué à la faim
Puis dans le bec des vilains
Nourrir tous ces gros oiseaux
Qui espèrent leur cadeau

Cloué sans mot tel un pieu
Seul ses yeux supplient Dieu
Malgré sa peine et sa crainte
Accepte toutes contraintes

Dans un taudis, les murs hantent
Les souvenirs hors des fentes
Les images se chevauchent
Des vieux temps qui se débauchent

L’enfant meurtri, femme battue
Et cris qui se perpétuent
Pendant les longues années
D’un vieil homme infortuné

Sans réponses des pourquoi
Il n’a connu que l’effroi
Nulle défense et sans armes
Mais que d’éternelles larmes

Ses yeux usés de chagrin
Que la terreur des faquins
Ont tué ses héritiers
En se pensant justiciers

Tel des perles d’un beau collier
Qu’un fou brise du soulier
Et que l’espoir se disperse
Et que la haine se déverse

Tout cela pour l’emblème
A rendre la vie un dilemme
Oh plume, souligne mon ire
Sur page blanche mon délire

Tisse les longs fils des contes
De tout le mal que j’affronte
Expose à ma descendance
Où la fin a prit naissance

Shahrazade opte silence
En voyant notre insolence
Elle quitte les trouble-fêtes
Loin du monde qui s’entête

Alors que faire de plus
À la venue de Jésus
Dans cette jungle des bêtes
L’atrocité devient fête

Que nous soyons d’orient
Puis traversons l’occident
Le résultat est le même
Marquant par des œdèmes

L’histoire sans fin du monde
Se répète à la seconde
Des échecs et des erreurs
Nous présentons que l’horreur

Rachel Hubert (Nuage)  Saïd
7 mai 2004

Le gouffre


Un poème écrit en 2004, guerre, trahison, liberté, espoir de paix ,… les années passent et quelque part dans le monde la guerre existe toujours. Nous apprenons rien de l’histoire du passé …
Nuage

 

Le gouffre

 

 

Je erre dans le noir silence
Le gouffre de la vie s’ensuit
Malgré le savoir et la science
Les heures trottinent sans bruit

C’est l’histoire qui se répète
La plume du poète pleure
Les souvenirs d’amour s’émiettent
L’étincelle toujours se meure

Les vestiges d’antan trahissent
Les murs ont vu et entendu
Les décors laissent cicatrices
Des traîtrises et sous-entendus

Les bévues qu’ont voulait celer
Renaissent de leurs cendres obscures 
Les morts qu’ont voulait camoufler
Viennent hanter sous les couvertures

À quoi sert de revoir l’horreur
De toutes ces guerres du temps
Des tragédies de nos erreurs
Si le meurtre reste excitant

Sans cesse, sans avoir appris
Reviens l’illusion de la paix
Dans les cœurs des hommes en fouillis
Pour rayer la haine à jamais

Pourtant, le cauchemar perdure
Le vent charrie les hurlements
Des bannis du monde en rupture
À quand la fin du règlement

Oui, pleurons devant la misère
Et oublions cette souffrance
Dénonçons toutes les chimères
Puis, retournons dans notre aisance

La guerre pour la liberté
L’attaque pour la protection
Les fables pour la vérité                                               
Le mal pour la bénédiction
  
                                                     

Rachel Hubert (Nuage) Saïd
7 Avril 2004

Menace


Témoin de rumeurs qui ont détruit des vies, des couples, des amis. Des rumeurs fondées ou non mais qui ont fait du mal à des gens
Nuage

Menace


Un jour de beau temps
L’azur du ciel s’est assombri
Pour détruire des êtres incompris
Par des nuages d’horreurs menaçants

Le mal intérieur s’est donc installé
Et s’est trouvé à l’aise
Se nourrissant de vengeance sans cesse
Tout près des coeurs faibles et blessés

Peut être plus tard, dans leur malheur
Les incompris seront morts
D’avoir aimé, d’avoir eu confiance à tort
Apportant des parcelles de souvenirs de bonheur

Rachel Hubert  (Nuage)
7 janvier 1997