Trump: «sans moi, Hong Kong aurait été anéanti en 14 minutes»


Mieux vaut en rire qu’en pleurer avec de tels propos ! Voir si Donald Trump a autant d’influence en Chine. Je doute que la Chine prenne ses décisions pour faire plaisir au président américain et pour sauver un accord commercial qui est difficile à conclure. La Chine semble plutôt tenir tête à Donald Trump. C’est la deuxième fois qu’il pense qu’il est le sauveur de la situation en octobre dernier (Syrie).
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Trump: «sans moi, Hong Kong aurait été anéanti en 14 minutes»


Trump: «sans moi, Hong Kong aurait été anéanti en 14 minutes»Photo: Mark Wilson/Getty ImagesDonald Trump

Donald Trump a assuré vendredi que l’armée chinoise n’était pas intervenue pour réprimer les manifestations pro-démocratie dans le territoire semi-autonome de Hong Kong uniquement parce qu’il l’avait demandé à son homologue chinois.

«Sans moi, Hong Kong aurait été anéanti en 14 minutes. Il (Xi Jinping) a un million de soldats en position à l’extérieur de Hong Kong, ils n’y vont pas uniquement parce que je le lui ai demandé», a déclaré le président américain sur la chaîne Fox News.

Le locataire de la Maison Blanche a assuré avoir mis dans la balance l’accord entre Pékin et Washington, toujours en négociation pour mettre fin à la guerre commerciale enclenchée par M. Trump.

«Vous feriez une grave erreur. Cela aura un effet terriblement négatif sur l’accord commercial», a poursuivi le dirigeant républicain, citant une conversation qu’il dit avoir eue avec le président chinois.

Trump soutient «aussi le président Xi»

Hong Kong, ex-colonie britannique rétrocédée à la Chine en 1997, est une région semi-autonome dirigée sous le principe «Un pays, deux systèmes», et jouit à ce titre de libertés inconnues dans le reste de la Chine, et ce jusqu’en 2047.

Le territoire connaît depuis le mois de juin le plus long mouvement de protestation depuis sa rétrocession. Les manifestations y sont quasi quotidiennes pour dénoncer l’emprise de plus en plus pesante de Pékin sur les affaires de Hong Kong.

Ces déclarations du président américain interviennent au surlendemain de l’adoption par le Congrès américain d’une résolution soutenant les «droits humains et la démocratie» à Hong Kong face à Pékin et menaçant de suspendre le statut économique spécial accordé par Washington à l’ancienne colonie britannique.

Cette résolution, qui a suscité l’ire de Pékin, doit encore être signée par Donald Trump pour être promulguée.

Le président Trump va-t-il mettre son veto à ce texte soutenant les manifestants de Hong Kong?

«Nous devons soutenir Hong Kong mais je soutiens aussi le président Xi», a répondu Donald Trump au journaliste de Fox News, résumant la complexité de l’équation dans laquelle il se trouve.

«Nous sommes en train d’essayer de trouver le plus grand accord commercial de l’histoire. Si nous pouvions le faire, ce serait formidable. La Chine le souhaite»,  a-t-il assuré.

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Hong Kong: la police menace d’utiliser des balles réelles


Quand une population perds sa liberté, il faut s’attendre à des manifestations. À Hong Kong, la violence est devenue à l’ordre du jour pour accéder un à la démocratie. Des étudiants s’efforcent de faire tomber l’économie et prennent tous les moyens possibles pour manifester. Plus le temps passe, plus les actions, la violence augmentent.
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Hong Kong: la police menace d’utiliser des balles réelles

Hong Kong: la police menace d’utiliser des balles réellesPhoto: Anthony Kwan/Getty ImagesManifestation à Hong Kong le 17 novembre 2019

La police de Hong Kong a prévenu dans la nuit de dimanche à lundi qu’elle envisageait l’utilisation de «balles réelles» face aux «armes létales» utilisées contre elle durant les affrontements autour d’un campus devenu ces dernières heures la principale base arrière de la contestation pro-démocratie.

Après qu’un policier a été blessé dimanche par une flèche tirée par un manifestant autour de ce campus cerné par des barricades en flammes, la police a lancé dans la nuit son avertissement sur l’utilisation de «balles réelles», le premier de ce type depuis le début des protestations.

Depuis juin, l’ex-colonie britannique de 7,5 millions d’habitants est secouée par la pire crise politique depuis sa rétrocession à la Chine en 1997, nourrie par la mainmise grandissante de Pékin et le recul des libertés, une contestation qui a atteint cette semaine de nouveaux sommets de violence.

Les médias officiels ont plusieurs fois averti que l’armée chinoise, stationnée dans la région semi-autonome, pourrait intervenir pour mettre au pas la contestation.

Le président Xi Jinping a adressé cette semaine sa mise en garde la plus claire à ce jour, affirmant que la contestation menaçait le principe «Un pays, deux systèmes» qui a présidé à la rétrocession.

«Besoin d’une base»

Dimanche soir, des centaines d’activistes étaient retranchés dans l’Université polytechnique de Hong Kong (PolyU), à Kowloon, où ils ont allumé de grands feux pour empêcher la police de la reprendre et maintenir le blocage du Cross Harbour Tunnel, tunnel routier desservant l’île de Hong Kong fermé depuis mardi.

Dans la matinée, des partisans du gouvernement pro-Pékin s’étaient rassemblés pour déblayer les barricades bloquant l’entrée du tunnel, mais des manifestants sont intervenus pour les en empêcher, entraînant de premiers heurts avec la police.

Au crépuscule, la police tentant de reprendre le contrôle d’un pont piétonnier qui enjambe le tunnel a été accueillie par un déluge de cocktails Molotov qui ont causé des incendies, brûlant le pont et un véhicule blindé.

A Kowloon, des militants se cachant derrière des parapluies ont lancé jusque dans la nuit des cocktails Molotov vers la police, qui lançait des gaz lacrymogènes.

Auparavant des militants avaient repoussé la police qui tentait de pénétrer sur le campus en tirant des pierres avec une catapulte depuis le toit de PolyU.

Un journaliste de l’AFP a vu sur un toit faisant face à la police un détachement d’archers masqués armés d’arcs de compétition et flanqués de guetteurs utilisant des jumelles. Des archers masqués patrouillaient le campus, selon lui.

La police, dénonçant l’utilisation d’«armes létales», a diffusé des photos montrant une flèche plantée dans le mollet d’un de ses agents, qui a été hospitalisé.

«Me battre jusqu’au bout»

Les manifestants cherchent à garder le campus comme base pour lancer de nouvelles actions lundi

Nous avons besoin «d’une base pour entreposer notre matériel et nous reposer la nuit, avant la bataille du lendemain matin», a expliqué Kason, un étudiant.

«J’ai peur. Il n’y a pas de sortie, tout ce que je peux faire c’est me battre jusqu’au bout», a confié un autre militant.

Ils ont promis de poursuivre lundi les blocages pour «étrangler l’économie» d’un des principaux hubs financiers de la planète, désormais en récession.

Un tract posté sur un forum préconisait pour lundi «une action à l’aube»: «Levez-vous tôt, visez directement le régime, étranglez l’économie pour accroître la pression».

La contestation était montée d’un cran lundi dernier avec une nouvelle stratégie baptisée «Eclore partout» («Blossom Everywhere»), qui consiste à multiplier les actions – blocages, affrontements, vandalisme – pour éprouver au maximum les capacités de la police.

Conséquence: un blocage général des transports en commun, qui a considérablement compliqué la vie des employés allant au travail. Les autorités ont dû fermer des écoles et de nombreux centres commerciaux.

Le gouvernement a annoncé que les écoles demeureraient fermées lundi.

Le mouvement avait débuté en juin par le rejet d’un projet de loi autorisant les extraditions vers la Chine. Le texte a été suspendu en septembre, mais la mobilisation avait entretemps considérablement élargi ses revendications pour demander le suffrage universel, plus de démocratie et une enquête sur les violences policières.

Soldats chinois dans la rue à Hong Kong

La détermination des manifestants s’est heurtée à l’intransigeance des autorités, faisant basculer la région dans une spirale de violence.

Deux personnes ont été tuées depuis le début du mois.

Samedi, des soldats de la garnison de l’Armée populaire de libération (APL) sont brièvement sortis de leur caserne à Hong Kong pour participer au nettoyage des rues. Une apparition rarissime – l’armée chinoise fait normalement profil bas à Hong Kong – et fortement symbolique: la dénonciation des ingérences chinoises dans les affaires hongkongaises est au coeur des revendications des manifestants.

Le gouvernement local a indiqué n’avoir «pas sollicité» l’aide des soldats chinois, qui ont «pris cette initiative eux-mêmes».

Après cette initiative, l’activiste pro-démocratie Joshua Wong a appelé dimanche le gouvernement allemand à cesser d’entraîner l’armée chinoise, dans un entretien au quotidien allemand Bild. Amnesty International, cité par Bild, a abondé dans son sens, estimant que « le gouvernement allemand devrait (…) cesser immédiatement toute coopération militaire » avec la Chine.

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Plus de 1500 tortues retrouvées dans des valises aux Philippines


La demande pour des tortues est grande dans certains pays. Ce qui incite malheureusement au commerce illégal. Cependant, je doute que la sentence soit assez sévère pour décourager les contrebandiers.
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Plus de 1500 tortues retrouvées dans des valises aux Philippines

 

Plus de 1500 tortues retrouvées dans des valises aux Philippines

Photo: The Associated PressPhoto: AP

La police philippine a découvert plus de 1500 tortues vivantes dans des bagages à l’aéroport de Manille, ont rapporté plusieurs médias internationaux.

Les différentes espèces de tortues ont été retrouvées dimanche dernier dans quatre valises laissées par un passager philippin qui arrivait depuis un vol en provenance de Hong Kong, ont annoncé des responsables des douanes dans un communiqué.

Certains des malheureux animaux étaient emballés avec du ruban adhésif afin de les empêcher de bouger.

Photo: AP

Les 1529 tortues ont été confiées au ministère de l’Environnement et des Ressources naturelles, est-il également indiqué dans le communiqué.

Les sentences pour commerce illégal d’espèces sauvages varient entre une peine de prison pouvant aller jusqu’à deux ans et une amende pouvant aller jusqu’à plus de 3000$.

En 2018, les autorités du pays ont transmis au ministère de l’Environnement un total de 560 espèces fauniques et menacées, dont 250 geckos et 254 coraux. 

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Ces sosies de Rodrigo Duterte et Kim Jong-un sèment la confu­sion à Hong Kong


Je ne sais pas vraiment si c’est bien sage de se pavaner en temps qu’un sosie de personne aussi connu qu’un président d’un pays .. En tout cas, faut dire que la ressemblance est assez frappante
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Ces sosies de Rodrigo Duterte et Kim Jong-un sèment la confu­sion à Hong Kong

 

Crédits : EPA

par  Ulyces 

Certains passants n’ont vu que du feu à leur dégui­se­ment et ont pris les deux hommes pour les véri­tables diri­geants.

Dimanche 3 février, Cresen­cio Extreme, le sosie du Président philip­pin Rodrigo Duterte, et Howard X, le double de Kim Jong-un, ont pris un bain de foule excep­tion­nel dans les rues de Hong Kong, rapporte la BBC.

Les deux acolytes ont semé la confu­sion, mimant les gestes du diri­geant nord-coréen et du Président, dont ils avaient repris les codes vesti­men­taires. Tous les deux ont fait une arri­vée fracas­sante dans un petit centre commer­cial, fausses armes à la main, saluant les employés et les gens venus faire leurs courses.

Les sosies des deux diri­geants se sont avant ça rendus dans l’église St Joseph, en grande partie fréquen­tée par la commu­nauté philip­pine, en pleine messe. Ils ont fini par s’at­ta­bler dans un fast-food, trinquant avec leurs sodas et se délec­tant de poulet fris. Les véri­tables Rodrigo Duterte et Kim Jong-un n’ont pas réagi à cette prise de pouvoir par les deux acteurs.

Sources : BBC

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De Hong Kong à Macao sur le plus long pont maritime au monde


Avec la montée des océans qui s’annonce, les ouragans, typhons qui sévissent souvent dans ce coin du monde, est-il sage d’avoir un pont de si grande envergure
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De Hong Kong à Macao sur le plus long pont maritime au monde

 

De Hong Kong à Macao sur le plus long pont maritime au monde

Le plus long pont maritime au monde ©AFP/Archives / Anthony WALLACE

De premiers voyageurs enthousiastes ont commencé mercredi, smartphone en main, à emprunter dans des navettes le plus long pont maritime au monde, colosse reliant Hong Kong, Macao et la Chine continentale par-delà l’estuaire de la Rivière des Perles.

Merveille d’ingénierie pour certains, projet pharaonique excessivement coûteux pour d’autres, l’ouvrage qui défie les superlatifs a été inauguré mardi par le président chinois Xi Jinping.

Il se compose sur 55 km d’un long pont autoroutier serpentant au-dessus des eaux grises de l’estuaire et d’un tunnel sous-marin. Il permet, au moyen notamment d’îles artificielles et d’échangeurs gigantesques de connecter, à l’est, l’île hongkongaise de Lantau avec, à l’ouest, l’ancien comptoir portugais de Macao et la ville de Zhuhai, dans la province du Guangdong.

Mercredi matin, des passagers et des groupes de touristes étaient rassemblés au terminal routier du côté hongkongais, où des compagnies d’autocars autorisés à emprunter le pont distribuaient gratuitement des pâtisseries chinoises.

« Je veux essayer le pont et voir s’il est pratique », explique Angie Cheng, 58 ans. « Je veux aussi admirer la vue. Après tout, c’est un projet d’ingénierie historique », ajoute-t-elle avant de grimper à bord du deuxième bus partant pour Macao.

« Trafic limité »

 

Le chantier pharaonique, qui avait débuté en 2009, a été marqué par de nombreux retards, des dépassements de coûts, des poursuites pour corruption, mais aussi le décès d’ouvriers.

Pour les autorités, ce pont-tunnel doit permettre de doper les échanges commerciaux en rapprochant de façon spectaculaire les deux rives du détroit.

Mais pour les adversaires hongkongais du projet, il s’apparente à un « éléphant blanc » (projet démesuré qui s’avère finalement plus onéreux qu’utile) et une tentative de plus de Pékin d’accroître sa mainmise sur l’ancienne colonie britannique, qui bénéficie sur le papier d’une très large autonomie en vertu du principe « Un pays, deux systèmes ».

Offrant d’impressionnantes vues sur l’océan, les montagnes et les écueils parsemant l’estuaire, le pont était partiellement noyé dans la brume matinale quand une équipe de l’AFP l’a emprunté à bord d’un car. Ce qui n’empêchait pas d’enthousiastes voyageurs de filmer sur leur smartphone l’intégralité du voyage vers l’ex-colonie portugaise.

Le trafic était extrêmement limité sur l’ouvrage, rappelant les critiques de certains Hongkongais au sujet des restrictions drastiques mises en place pour les automobilistes.

« Toutes les grandes infrastructures ont généralement un faible volume de passagers et un trafic limité après leur lancement », relativisait le secrétaire hongkongais aux Transports Frank Chan.

« Il faut du temps pour que cela se mette en place. »

une heure entre Hong Kong et Macao

 

Seuls 10.000 permis ont été accordés aux Hongkongais souhaitant conduire leur véhicule jusque Zhuhai, et ce en fonction de critères très restrictifs, parmi lesquels leurs éventuelles fonctions officielles en Chine continentale ou le fait d’avoir fait des dons à des organismes caritatifs en Chine.

Des lors, la plupart des trajets se font à bord de cars agréés.

M. Chan n’a pas donné d’estimation quant au nombre de Hongkongais qui pourraient prendre le pont mercredi, mais estimé que 30.000 habitants de Chine continentale pourraient faire la traversée dans la journée.

Le gouvernement avait auparavant tablé sur un trafic quotidien de 29.000 véhicules à l’horizon 2030.

Le pont réduit de façon spectaculaire le temps de trajet par la route. Il ne faut désormais que 45 minutes pour se rendre à Zhuhai, contre quatre heures auparavant du fait du long détour par le Nord.

Pour aller s’encanailler dans les casinos de Cotai, à Macao, il faut compter une heure par le pont depuis Hong Kong, soit à peu près autant qu’à bord des ferries assurant des rotations presque continues aux heures de pointe.

« Ca prend autant de temps que le ferry, mais c’est plus confortable, quand on est comme moi un peu malade en bateau », se félicitait Angie Cheng.

Cette colossale infrastructure s’inscrit dans le projet du gouvernement chinois de « Grande Baie » (Greater Bay Area) dans la zone.

Ce schéma prévoit l’intégration des deux « régions administratives spéciales » de Hong Kong et Macao dans une gigantesque conurbation de plus de 75 millions d’habitants incluant aussi neuf villes du Guangdong, la plus dynamique des provinces chinoises, parmi lesquelles Canton et Shenzhen.

Un des autres éléments phares de ce projet global est la nouvelle liaison ferroviaire à grande vitesse entre Canton et Hong Kong, qui a débuté en septembre.

         Hong Kong (AFP) –          © 2018 AFP

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Un premier cas humain d’hépatite E du rat


    L’hépatite E est généralement par l’eau contaminée, mais il semble que ce soit la première fois que l’hépatite E du rat soit transmise à l’homme. C’est ce qui est arrivé à un Chinois à Hong Kong. Il a dû subir une greffe de foie.
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Un premier cas humain d’hépatite E du rat

 

© afp.

Source: AFP

Un habitant de Hong Kong a été diagnostiqué avec l’hépatite E du rat, selon une étude de l’une des plus grandes universités de l’ex-colonie britannique, qui précise que c’est le premier cas connu d’infection humaine par cette variante de la maladie.

L’Université de Hong Kong explique avoir « prouvé pour la première fois au monde que le virus de l’hépatite du rat (HEV du rat) peut infecter les êtres humains et provoquer une infection clinique ».

Jusqu’alors, il n’existait aucune preuve que la maladie pouvait être transmise par le rat à l’homme, ajoutent les auteurs de l’étude dans un communiqué publié vendredi.

L’hépatite du rat est « une cousine très éloignée des variantes humaines de l’hépatite E », poursuit l’université, qui explique que sa découverte a « une signification majeure pour la santé publique ».

La maladie a été détectée chez un patient de 56 ans ayant subi une greffe du foie, dont les tests montraient un fonctionnement anormal de cet organe. D’après le journal South China Morning Post, les chercheurs estiment qu’il a pu être infecté par le biais d’aliments contaminés par des excréments de rats. L’homme vivait dans une cité et les abords de son domicile présentaient des signes d’infestation par les rats, ajoute le SCMP. Il est désormais en phase de convalescence.

Les variantes humaines de la maladie touchent 20 millions de personnes chaque année dans le monde, selon l’Organisation mondiale de la santé. L’hépatite E est généralement transmise par l’eau contaminée. Fièvre, jaunisse, vomissements, voire défaillances hépatiques, figurent parmi les symptômes.

Le problème posé par les rats dans l’ex-colonie britannique revenue en 1997 dans le giron de la Chine s’est aggravé ces derniers mois, en raison de la persistance d’un temps chaud et humide. Hong Kong a subi de graves épidémies par le passé. En 2013, le Syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) avait fait près de 300 morts. A la fin du XIXe siècle, la peste bubonique, transmise par les rats, avait fait des milliers de morts à Hong Kong et en Chine continentale

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Ce test ADN vous dira ce qu’il faut manger


Je sais qu’il existe des tests sanguins qui peuvent détecter les intolérances alimentaires. Ici on propose un test ADN pour chercher une meilleur nutrition pour éviter certaines prédispositions a quelques maladies
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Ce test ADN vous dira ce qu’il faut manger

 

ÁCIDO DESOXIRRIBONUCLEICO (ADN) | Gabriel Andrés Trujillo Escobed via Flickr CC License by

ÁCIDO DESOXIRRIBONUCLEICO (ADN) | Gabriel Andrés Trujillo Escobed via Flickr CC License by

Repéré par Aurélie Rodrigues

Repéré sur Bloomberg

À Hong-Kong, il est maintenant possible de faire un test ADN pour savoir quels aliments manger pour améliorer sa santé.

Pour David Leung ça sera poisson blanc trois fois par semaine et riz blanc vapeur. Ce cinquantenaire a fait tester son ADN par Prenetics une société de biotechnologie située à Hong-Kong. L’analyse des cellules prélevées sur l’intérieur de sa joue a révélé des risques potentiels de développer du diabète de type 2 et divers types de maladies cardiaques. Des maux qu’il pourrait éviter en consommant moins de glucides et plus d’aliments riches en oméga-3.

Les tests sur le génome devenus abordables –environ 500$ par patient– permettent aux consommateurs d’avoir une meilleure connaissance de leur propre corps et de leur santé. L’année passée, Prenetics a vendu plus de 100.000 kits de test générique, environ cinq fois plus qu’en 2016. Bloomberg relate les propos de Danny Yeung, directeur général de l’entreprise hongkongaise:

«On a reçu beaucoup de demandes de tests de la part de particuliers. On veut démocratiser les tests génétiques.»

Le test génétique: une tendance

Il y a une dizaine d’années, la société californienne 23andMe était la première à proposer des tests et analyses génétiques aux particuliers. Depuis, le marché s’est grandement développé grâce notamment aux avancées technologiques en la matière. Aujourd’hui, les tests génétiques se classent dans le top 10 des dernières tendances de consommation pour 2018 d’après Euromonitor. Plusieures entreprises comme FitnessGenes, DNAFit,Orig3n et Nutrigenomix proposent une analyse des variations génétiques qui touchent la masse musculaire, l’endurance, la capacité à brûler les graisses et le métabolisme.

Nina McCarthy, chercheuse à l’université d’Australie-Occidentale met cependant en garde contre les tests génétiques. La scientifique précise que des maladies «communes» comme les maladies cardiovasculaires ne sont pas déterminées par nos gènes.

Après avoir décidé de changer son alimentation en rapport avec ses résultats ADN, David Leung affirme qu’il se sent beaucoup plus «en forme».  Et si ça vous intéresse vous pourrez toujours vous faire livrer un repas par la start-up californienne Habit qui élaborera des repas personnalisés… selon votre ADN bien sûr. 

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Le charbon de bois, la nouvelle méthode pour se suicider en Asie


Alors qu’une femme se suicide avec la combustion de charbon de bois, les médias chinois s’emparent de la nouvelle et présenter cette forme de suicide glamour, indolore et une manière simple d’en finir avec la vie. Le pire, les médias vont même donner le mode d’emploi. Alors, le résultat : les suicides avec la combustion de charbon de bois, on augmenter surtout chez les hommes urbains et se propage en Chine, Corée du Sud et au Japon
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Le charbon de bois, la nouvelle méthode pour se suicider en Asie

 

Charbon de bois | Skitterphoto via Pixabay CC0 License by

Charbon de bois | Skitterphoto via Pixabay CC0 License by

Clément Guillet

Quasiment inconnue il y a vingt ans, la méthode de suicide par combustion de charbon de bois est de plus en plus plébiscitée par les Asiatiques. La couverture médiatique de décès de stars locales a largement contribué à propager l’épidémie.

Le 18 décembre, le chanteur coréen Kim Jong-Hyun, star internationale de K-pop de 27 ans, est retrouvé décédé à son domicile. À côté de lui, des braises de charbon dans une poêle à frire ayant servi à son suicide.

Cette mort a suscité une vague d’émotion mondiale et la presse internationale a massivement relayé la nouvelle. Dans le monde entier, des fans ont exprimé leur peine, comme devant cet autel improvisé devant l’ambassade de Corée au Chili.

Mais si cette mort est un symptôme de la dureté du milieu et de l’exploitation des jeunes stars de la K-pop, elle est aussi révélatrice d’une véritable pandémie qui submerge une partie de l’Asie: les suicides au charbon de bois.

Selon l’OMS, la Corée du Sud avait en 2015 le 10e taux de suicide le plus fort au monde. Parmi les méthodes de suicide les plus utilisées, l’intoxication au monoxyde de carbone par combustion de charbon de bois est en pleine expansion. Totalement inconnue il y a vingt ans, cette méthode s’est répandue comme une traînée de poudre, à partir de Hong Kong.

Une anonyme déclenche l’étincelle

En 1998, la mégalopole vient à peine d’être restituée aux Chinois. Au départ de l’épidémie, une femme de 35 ans retrouvée morte dans sa chambre, fermée hermétiquement, un petit feu de charbon de bois se consumant à ses côtés.

Les médias vont alors très largement couvrir ce suicide et le présenter comme «glamour»: indolore, non violente, l’intoxication au monoxyde de carbone serait «une manière apaisée d’en finir avec la vie».

Cette méthode jusque-là exceptionnelle va alors se propager très rapidement. En deux mois, le suicide par charbon de bois devient la 3e méthode de suicide à Hong Kong; il passe de 0% des suicides en 1996 à 10,1% en 1999. En 2001, il a dépassé la pendaison et est devenu la 2e manière de se suicider, derrière la défenestration –qui représente environ 25% des morts par suicide.

Hong Kong est alors en pleine récession économique, après la crise asiatique de 1997. Les victimes de suicides par charbon de bois, plutôt des jeunes hommes urbains, sont pour beaucoup en surendettement. En plus de présenter ce type de suicide comme «une manière élégante de sortir de ses ennuis financiers», les médias en donnent le mode d’emploi avec force détails. Des photos de la scène aux schémas du processus, tous les éléments nécessaires à la reproduction du geste fatal sont fournis. C’est d’ailleurs via le site d’un journal hongkongais que la méthode s’est répandue à Taïwan.

30% du total des suicides à Taïwan

Hong Kong et Taïwan sont très proches culturellement: les deux territoires partagent la même langue et les mêmes racines. C’est donc sur l’île voisine que la vague de suicides par charbon de bois a ensuite logiquement déferlé.

À Taïwan, entre 1998 et 2002, le suicide par charbon de bois est passé de 21 cas sur 1.252 (soit 2% du total) à 444 sur 1.802 (soit 25% du total). En 2010, il représentait 30% du total des suicides.

«L’augmentation des suicides au charbon de bois n’a pas entraîné une baisse des autres méthodes de suicide», explique Yip PS, auteur d’une étudesur le sujet. Entre 1997 et 2006, le taux de suicide a bondi de 23% à Hong Kong et de 39% dans les villes de Taïwan, une hausse très largement imputable au charbon de bois. Les épidémiologistes en concluent que «la disponibilité d’une nouvelle méthode de suicide, considérée comme acceptable et sans douleur, ayant une large couverture médiatique peut entraîner une forte augmentation du taux de suicide».

Des numéros verts sur les sacs de charbon

«Il y a deux facteurs qui déterminent le choix d’une méthode de suicide: la disponibilité et la désirabilité», explique Yip PS.

Pour limiter la première, les autorités ont tout essayé. À Hong Kong, le charbon de bois est retiré des rayons des supermarchés. À Taïwan, des numéros d’aide téléphonique ont été imprimés sur les sacs de charbon de bois, surmontés du slogan «Cherish life» («Chérissez la vie»). Des spécialistes proposent même de restreindre la vente de charbon de bois dans les zones urbaines.

Pour ce qui est de la désirabilité, certains scientifiques expliquent que cette épidémie dans l’est de l’Asie est favorisée par la croyance confucéenne en l’importance de conserver l’apparence physique du défunt après la mort. Mais ce sont surtout les médias qui sont pointés du doigt.

87% des suicides influencés par les médias

À Taïwan, une étude a recueilli les témoignages de personnes ayant survécu à leur tentative de suicide par charbon de bois: dans 87% des cas, elles se sont dit influencées par les médias dans le choix de la méthode, contre 8% seulement dans le cas des personnes ayant tenté de s’empoisonner.

À Hong Kong, une étude interrogeant vingt-cinq personnes allait dans le même sens: toutes expliquaient s’être inspirées de suicides relatés dans les médias.

Pour chaque publication d’articles sur le sujet, on constate une augmentation significative du taux de suicide par charbon de bois. Ce qui entraîne alors de nouveaux articles sur un sujet «vendeur» (+30% d’articles sur les suicides au charbon de bois, contre +4% pour une autre méthode), et donc de nouveaux suicides.

La mort de la superstar coréenne de la K-pop est donc symptomatique; le charbon de bois est ainsi devenu l’une des méthodes les plus communes de suicide en Asie, s’étendant plus récemment en Chine, au Japon et en Corée du Sud.

Une star à l’origine de l’épidémie coréenne

En 2008, Ahn Jae-hwan, un acteur sud-coréen de 36 ans se suicide au charbon de bois. Les médias couvrent ce décès de façon massive et plus qu’explicite: 76,5% des journaux télévisées vont jusqu’à filmer les briquettes de charbon trouvées sur le lieu du suicide.

Une «couverture médiatique sensationnelle et irréfléchie», selon l’un des commentateurs.

Sur l’une des populations qui se suicide le plus au monde, les conséquences ne se font pas attendre. À l’exposition médiatique répond une explosion des recherches internet sur le sujet et le début de l’épidémie. On passe de 17 cas de suicide par charbon de bois en Corée du Sud en 2007 (soit 0,3% du total) à 1.251 cas (soit 7,9% du total) en 2011.

Le phénomène témoigne typiquement d’un effet Werther, c’est-à-dire de l’imitation et de l’augmentation du taux de suicide suite à la mort d’une star largement relayée par les médias. Être dans le déni est une mauvaise option car le suicide ne doit pas être un tabou, mais en parler de la mauvaise façon est tout aussi dangereux.

Depuis, d’autres mort de stars ont possiblement alimenté l’épidémie, comme Ahn So Jin, une autre star de la K-pop qui s’est donnée la mort par combustion de charbon de bois en 2015. Le décès récent et ultra médiatisé de Kim Jong-Hyun, star coréenne connue internationalement, ne va certainement pas apaiser cette tendance.

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Une affiche de film crée la polémique à cause d’une énorme erreur…géographique


Des erreurs gigantesques sur des affiches de films  de science-fiction qui peuvent être fâchant pour certains pays.
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Une affiche de film crée la polémique à cause d’une énorme erreur…géographique

 

Un monolithe géant, ça nous rappelle vaguement un autre film culte...

Un monolithe géant, ça nous rappelle vaguement un autre film culte…

Photo : Sony Pictures

BOULETTE – Une entreprise tierce était chargée de réaliser l’affiche du film « Premier Contact ». Problème : en confondant Hong Kong et Shanghai, elle s’est attiré les foudres des internautes.

 

Non, Hong-Kong n’est pas la Chine. Et encore moins Shanghai. Les concepteurs de l’affiche du film de science-fiction Premier Contact (« Arrival » en VO) auraient dû s’informer avant d’imprimer et diffuser par milliers cette erreur de taille. Parmi les 12 posters disponibles (affichant 12 lieux différents), un monument de Shanghai, la Perle de l’Orient, s’invite au milieu de Hong-Kong, tandis qu’un monolithe noir surplombe le détroit Victoria Harbour. Comme une Tour Eiffel en plein Vieux-Port.

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PFK lance un vernis à ongles à saveur de poulet


Un autre produit ridicule qu’une compagnie en restauration rapide vient de mettre sur le marché. Heureusement, cela n’est pas disponible au Canada
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PFK lance un vernis à ongles à saveur de poulet

 

Les marques rivalisent d’inventivité pour vendre leurs produits, mais la chaîne de restauration rapide Poulet Frit Kentucky vient de pousser l’audace une coche plus loin avec un vernis à ongles à saveur de poulet.

Créés pour les magasins de la chaîne à Hong Kong, les vernis à ongles comestibles sont offerts en deux saveurs, « Original » et « Épicé ».

« Pour l’utiliser, les consommateurs n’ont qu’à l’appliquer et à le laisser sécher comme un vernis régulier, pour ensuite le lécher – encore et encore et encore », a indiqué la marque dans un communiqué rapporté par Adweek.

Si la campagne semble être plus rigolote qu’autre chose, elle est pourtant bien réelle. PFK a d’ailleurs lancé une vidéo pour accompagner son vernis « bon à s’en lécher les doigts ».

Le vernis à ongles ne sera pas disponible en Amérique du Nord, mais la marque invite les consommateurs hongkongais à voter pour leur saveur/couleur favorite afin de lancer une plus grande production du vainqueur.

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