Cette famille vivait dans une cave depuis 9 ans en atten­dant la fin des temps


Comment peut-on faire vivre des enfants dans l’ignorance la plus totale pendant des années ? Il a du s’en passer des choses pendant 9 ans dans cette cave. Les enfants, maintenant adulte doivent être vraiment déconnecté du monde actuel. Comment peut-on se relever de ce genre de maltraitance.

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Cette famille vivait dans une cave depuis 9 ans en atten­dant la fin des temps

par  Adrien Gingold

La police hollan­daise a indiqué mardi avoir trouvé six personnes, vrai­sem­bla­ble­ment un homme et ses cinq enfants, dans une pièce secrète aména­gée dans la cave d’une ferme du nord du pays. Ils y vivaient depuis neuf ans en « atten­dant la fin des temps » d’après des médiaux locaux cités par la BBC.

La ferme perdue au milieu des champs se trouve à Ruiner­world, entre Zwolle et Heere­ven­veen.

« Je n’ai jamais rien vu de tel aupa­ra­vant », a déclaré le maire du village, Roger de Groot, stupé­fait.

C’est l’un des fils qui a tout déclen­ché en se rendant dans un bar du village : sale, mal coiffé, vêtu de haillons, inco­hé­rent et déso­rienté, le jeune homme de 25 ans a demandé de l’aide au patron de l’éta­blis­se­ment, Chris Wester­beek :

« Il nous a dit qu’il n’était pas sorti de chez lui depuis neuf ans et qu’il n’était jamais allé à l’école. Très confus, il parlait d’ailleurs d’une manière enfan­tine. »

Wester­beek a appelé la police, qui s’est rendue sur les lieux. Elle a décou­vert un esca­lier caché derrière un placard du salon, menant à une salle secrète. Un homme de 58 ans a été arrêté pour avoir « refusé de coopé­rer à l’enquête ». Selon la presse, il s’ap­pelle Josef B. et vient d’Au­triche.

Les personnes décou­vertes dans la propriété vivaient selon « un mode de vie autar­cique » depuis neuf ans, et plusieurs des enfants, désor­mais adultes, « n’ont pas été inscrits dans le registre des nais­sances », a indiqué le maire.

Comme la police l’a tweeté ce mardi, « les six adultes sont actuel­le­ment pris en charge. Tous les scéna­rios sont encore ouverts. Une enquête est en cours. »

 La radio locale RTV Drenthe indique que la famille vivait « dans l’at­tente de la fin des temps ».

Certaines des personnes décou­vertes ne savaient même pas qu’il exis­tait d’autres indi­vi­dus qu’eux dans le monde.

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Le Saviez-Vous ► Les Hollandais à la conquête des mers au XVIIe siècle


Aujourd’hui, aller en mer vers aux 4 coins du monde demande des connaissances multiples dont la géographie. Ces cartes ne sont pas faites par avions ou GPS, mais par des explorateurs qui sont partis à la conquête du nouveau-monde. Au XVIIe siècle, c’est les Hollandais qui sont passé maître en cartographie. Ils ont surpasser tous les atlas du temps et en plus, ils ont traduit le tout en plusieurs langues. Ils ont aussi profité pour conquérir divers domaines comme le commerce …
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Les Hollandais à la conquête des mers au XVIIe siècle



Isabelle Bernier
Historienne

Au XVIIe siècle, les Hollandais règnent sur la quasi-totalité des mers. La vocation maritime et commerciale des Provinces-Unies résulte en grande partie de sa lutte contre l’Espagne. Les navigateurs hollandais commencent par visiter les mers froides délaissées par les Espagnols, puis la fermeture du port de Lisbonne à leurs navires en 1580 les incitent à se lancer vers l’océan Indien sur la route des épices. C’est la naissance d’un vaste empire commercial hollandais au détriment des Portugais, avec l’aide involontaire des Anglais qui ont anéanti l’Invincible Armada espagnole en 1588.

Le Spitzberg (en mer de Barents) est découvert en 1596 par le Hollandais Willem Barents, qui cherche le passage du nord-est atlantique et arctique vers la Chine et les Indes, découverte pour laquelle les Provinces-Unies ont promis une forte prime. Il tente de passer par le nord de la Nouvelle-Zemble, mais la navigation dans les glaces est désastreuse pour des marins mal équipés. Obligé d’hiverner à 76° de latitude nord, Barents veut rejoindre le continent mais périt avec la majorité de son équipage. Vers 1875, un navire norvégien découvre sur la côte orientale de la Nouvelle-Zemble, un abri et des objets utilisés par Barents et ses marins.

Tableau décrivant la mort de Willem Barents le 20 juin 1597 en Nouvelle-Zemble, par Christiaan Portman en 1836. National Maritime Museum, Greenwich, Londres. © Wikimedia Commons, domaine public

Tableau décrivant la mort de Willem Barents le 20 juin 1597 en Nouvelle-Zemble, par Christiaan Portman en 1836. National Maritime Museum, Greenwich, Londres. © Wikimedia Commons, domaine public

Une cartographie abondante et de plus en plus complète

La maîtrise des mers par les navigateurs hollandais, va de pair avec le développement de leur superbe cartographie nautique. Contrairement à l’Angleterre et la France, cette cartographie n’est pas monopolisée par les commanditaires, en l’occurrence les Compagnie des Indes. Les cartographes mettent librement en vente une grande quantité de guides, cartes marines et atlas qui décrivent progressivement toutes les mers du globe. Présentes sur les murs de tous les intérieurs aisés tels que les dépeignent les tableaux de Vermeer, les cartes marines animent la vie quotidienne des Hollandais.

Tableau L'art de la peinture par Johannes Vermeer en 1666-1667. Musée des Beaux-Arts, Vienne, Autriche. © Wikimedia Commons, domaine public

Tableau L’art de la peinture par Johannes Vermeer en 1666-1667. Musée des Beaux-Arts, Vienne, Autriche. © Wikimedia Commons, domaine public

L’édition hollandaise étend son hégémonie à l’Europe entière : les grands éditeurs d’Amsterdam au XVIIe siècle, sont les Blaeu père et fils : ils possèdent la plus importante imprimerie d’Europe et apportent des améliorations notables aux techniques d’impression. Ils sont les cartographes attitrés de la Compagnie hollandaise des Indes orientales (la VOC) et malgré leur devoir de réserve vis-à-vis de la Compagnie, ils inondent le marché international de cartes et d’atlas traduits notamment en anglais et en français. L’Atlas Major de Jan Blaeu (600 cartes et plus de 3.000 pages), est l’ouvrage le plus cher de la deuxième moitié du XVIIe siècle. Il est disponible en édition latine, néerlandaise, française, anglaise et espagnole ; la bibliothèque de l’Université d’Amsterdam abrite actuellement l’exemplaire ayant appartenu à Colbert.

Page de titre de l'Atlas Novus (qui donnera l'Atlas Major en 1665) par Willem et Johannes Blaeu, imprimé à Amsterdam en 1645. Bibliothèque de l'Université de Californie (UCLA), Los Angeles, USA. © Wikimedia Commons, domaine public.

Page de titre de l’Atlas Novus (qui donnera l’Atlas Major en 1665) par Willem et Johannes Blaeu, imprimé à Amsterdam en 1645. Bibliothèque de l’Université de Californie (UCLA), Los Angeles, USA. © Wikimedia Commons, domaine public.

Les marins hollandais sont les plus aguerris d’Europe

Dès 1600, Amsterdam a supplanté Anvers comme premier port d’Europe : les entrepôts de la Compagnie des Indes orientales y regorgent de tissus exotiques (soie et coton), de porcelaines, d’épices, de thé, de café et de tabac, et les chantiers navals occupent des milliers d’artisans.

Que ce soit pour la pêche, la navigation lointaine ou la guerre navale, la marine hollandaise est sans équivalent : avec 6.000 navires et plusieurs dizaines de milliers d’hommes d’équipage, elle équivaut à l’ensemble des autres flottes européennes. Dès la fin du XVIe siècle, les chantiers navals hollandais conçoivent un navire de commerce performant et économique, la flûte, capable de manœuvrer avec de plus faibles effectifs que les bâtiments de même tonnage.

Les Néerlandais sont réputés pour être des marins aguerris : ils sont accoutumés aux mers difficiles car leur apprentissage se fait en mer du Nord. Mais la population hollandaise ne suffit pas à équiper les navires, surtout ceux de la Compagnie des Indes Orientales : environ la moitié des matelots arrive d’Allemagne et des pays scandinaves.

Navire marchand hollandais ou flûte, par Wenceslaus Hollar, XVIIe siècle. Fonds Thomas Fisher, livres rares, bibliothèque de l'Université de Toronto, Canada. © Wikimedia Commons, domaine public

Navire marchand hollandais ou flûte, par Wenceslaus Hollar, XVIIe siècle. Fonds Thomas Fisher, livres rares, bibliothèque de l’Université de Toronto, Canada. © Wikimedia Commons, domaine public

De nouvelles routes maritimes

La route maritime suivie par les navires hollandais dans l’océan Indien, améliore l’itinéraire inauguré par les Portugais en raccourcissant le voyage de six mois. Dans l’Atlantique, ils gagnent la zone des alizés de nord-est, s’approchent des côtes brésiliennes, puis changent de cap et retraversent l’océan vers le sud-est, en direction du Cap de Bonne-Espérance. Autour de la zone du Cap, les navires sont souvent secoués par de violentes tempêtes venues du nord-est. C’est ainsi que l’explorateur néerlandais Hendrik Brouwer découvre en 1610, une nouvelle route qui évite le long trajet de l’île Maurice à l’Inde, en cinglant droit vers l’est à la hauteur du Cap. Bien au large de l’actuelle Australie, il met le cap vers le nord et rejoint l’île de Java.

Le retour s’effectue par le nord de l’océan Indien, sans escale en Inde. Les navires se ravitaillent au Cap qui sert d’escale à de nombreuses flottes. Au milieu du XVIIe siècle, des colons hollandais s’y installent, rejoints après 1685, par des huguenots français chassés par la Révocation de l’Édit de Nantes. Au XVIIIe siècle, le Cap et ses 15.000 habitants est la plus grosse colonie européenne du continent africain.

Navire de la Compagnie néerlandaise des Indes Orientales croisant au large du Cap de Bonne-Espérance, anonyme, 1762. William Fehr Collection, château de Bonne-Espérance, Le Cap, Afrique du Sud. © Wikimedia Commons, domaine public.

Navire de la Compagnie néerlandaise des Indes Orientales croisant au large du Cap de Bonne-Espérance, anonyme, 1762. William Fehr Collection, château de Bonne-Espérance, Le Cap, Afrique du Sud. © Wikimedia Commons, domaine public.

La naissance de l’empire commercial des Indes néerlandaises

Les Hollandais se taillent aux Indes Orientales (Sumatra, Java, Bornéo, Timor, Macassar et Moluques) un puissant empire maritime fondé sur le monopole du commerce des épices. Pour cela, ils ont évincé les Portugais qui les avaient précédés au XVIe siècle, dans les océans Indien et Pacifique. En 1602 est créée la Compagnie néerlandaise des Indes Orientales ou Vereenigde Oostindische Compagnie, plus connue sous le sigle VOC. Le navigateur hollandais Linschoten publie un traité contenant des instructions nautiques sur le voyage en Orient : traduit en français, en allemand et en anglais, le Routier de Linschoten acquiert une notoriété immense auprès des marins d’Europe du Nord et devient la bible des capitaines de navires marchands pendant tout le XVIIe siècle.

Page de titre du Grand Routier de Mer de Jan Huyghen Van Linschoten, imprimé en français à Amsterdam en 1638. Bibliothèque nationale de France. © Gallica, BNF

Page de titre du Grand Routier de Mer de Jan Huyghen Van Linschoten, imprimé en français à Amsterdam en 1638. Bibliothèque nationale de France. © Gallica, BNF

La VOC va entretenir une flotte de 200 navires et plus de 10.000 agents aux Indes Orientales : elle détient le monopole de tout le commerce à l’est du cap de Bonne-Espérance et à l’ouest du détroit de Magellan, avec le droit de faire la guerre, de fonder des comptoirs, de traiter avec les souverains locaux, de rendre la justice et de battre monnaie — ce sont des droits régaliens.

Sa maîtrise de la cartographie est totale : elle possède son bureau hydrographique dirigé par un cartographe attitré, lié par le secret. Ses dessinateurs reproduisent des cartes réservées à l’usage exclusif des navigateurs de la VOC. Pour les régions trop peu connues, les capitaines reçoivent à leur départ des cartes vierges sur lesquelles figurent seulement les lignes de rhumbs (mesures d’angles délimitées par deux directions du vent). Ainsi, les archives royales de La Haye conservent des séries de cartes sur lesquelles les côtes d’Australie apparaissent au fur et à mesure de leur découverte au XVIIe siècle.

Carte de L'Archipel oriental ou asiatique, par Johannes Blaeu en 1659. Catalogue Sotheby's 2017. © Wikimedia Commons, domaine public

Carte de L’Archipel oriental ou asiatique, par Johannes Blaeu en 1659. Catalogue Sotheby’s 2017. © Wikimedia Commons, domaine public

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Euthanasiée après un viol? La clinique hollandaise où elle a fait les démarches rétablit la vérité


J’ai lu l’article  »Euthanasiée à 17 ans en raison de graves souffrances psychologiques sur le journal de Montréal et d’autres médias ont annoncé la même chose un peu partout dans le monde. J’avoue que je suis contre l’euthanasie, alors a 17 ans ??? Je peux comprendre la souffrance de cette jeune femme, cela a dû être insupportable, mais de là que des médecins jugent qu’elle pourrait bénéficier d’une aide à mourir, cela m’asticotait. Enfin, du compte, c’était une fausse nouvelle. Aurait-il eu un manque pour avoir de l’aide psychologique pour qu’elle décide de se suicider ? La route de la guérison aurait été longue, mais aurait-il été possible qu’elle puisse quand même s’en sortir avec les années ?
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Euthanasiée après un viol? La clinique hollandaise où elle a fait les démarches rétablit la vérité


Noa Pothoven

Noa Pothoven © DR

On vous en parlait ici: l’adolescente hollandaise de 17 ans Noa Pothoven avait décidé de mourir après avoir été violée.

Elle avait annoncé que la décision de “la laisser partir avait été prise”. Elle est décédée il y a quelques jours. Ses posts sur les réseaux sociaux laissaient croire à une euthanasie. Elle avait d’ailleurs dit avoir fait les démarches en ce sens. C’est également le mot qui a été utilisé par la presse internationale pour parler de son décès. 

Mais la clinique aux Pays-Bas où elle avait fait les démarches pour se faire euthanasier a démenti l’information. Noa a bien sollicité la clinique en 2018 mais les médecins ont refusé d’accéder à sa demande. Que s’est-il passé?

« Noa Pothoven n’a pas été euthanasiée. Pour mettre fin à ses souffrances, elle a cessé de manger et de boire », a déclaré l’établissement Levenseindekliniek de La Haye dans un communiqué.

Ses parents ont accepté de ne pas la nourrir de force

Selon Politico, Noa ne s’alimentait plus depuis le mois de juin. Ses parents et les médecins ont accepté de ne pas la nourrir de force. La décision de passer aux soins palliatifs et de ne pas forcer l’alimentation à la demande du patient ne constitue pas une euthanasie au sens propre du terme.

Avec la Belgique, les Pays-Bas ont été en 2002 le premier pays au monde à légaliser l’euthanasie des personnes malades dont la souffrance est « insupportable et sans perspective d’amélioration ». L’euthanasie n’est autorisée par la loi néerlandaise que sous de strictes conditions. Au moins deux médecins doivent certifier qu’il n’y a pas d’autre solution raisonnable pour le patient.

La « Levenseindekliniek pratique exclusivement l’euthanasie et le fait explicitement dans le cadre juridique néerlandais », a déclaré la clinique.

Noa Pothoven avait subi une agression sexuelle à l’âge de 11 ans. Trois ans plus tard, elle avait été victime d’un viol dans sa ville d’origine Arnhem.

Elle avait annoncé son intention de mourir dans un message publié sur son compte Instagram, qui a depuis été supprimé.

« Dans les 10 prochains jours, je vais mourir », écrivait-elle.

« Cela fait un moment que je cesse de manger et de boire et après de nombreuses discussions … Il a été décidé de me laisser partir parce que ma vie est insupportable », avait-elle ajouté.

Noa Pothoven a publié en 2018 un ouvrage intitulé « Gagner ou apprendre », dans lequel elle raconte son combat contre ses angoisses et son mal-être.

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20 Photos Historiques


Des photos racontent un moment particulier, certaines ont rapport avec l’histoire de notre monde, des moments difficiles et des moments joyeux. Les photos sont des preuves du passé
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20 Photos Historiques

 

Dorothy Counts a été la première fille à fréquenter une école ouverte aux blancs. Ses nouveaux compagnons se moquent d’elle. Charlotte, 1957.

image: Don Sturkey

Nikola Telsa travaille dans son laboratoire et avec son émetteur d’amplification.

Un enfant autrichien reçoit une nouvelle paire de chaussures. Nous sommes dans la période de la Seconde Guerre mondiale.

image: LIFE Magazine

La tombe d’une femme catholique et de son mari protestant en Hollande, 1888.

Femmes et enfants juifs libérés d’un train qui se dirigeait vers un camp de concentration, 1945.

Un homme refuse de faire le salut nazi lors d’un défilé militaire en Allemagne en 1936.

image: wikimedia

Les organisateurs et les participants au marathon de Boston de 1967 tentent d’empêcher Kathrine Switzer de participer à cet événement sportif.

Switzer a résisté aux pressions et aux insultes, terminant la course en 4 heures et 20 minutes.

Un enfant nommé Harold Whittles écoute des sons pour la première fois. C’était en 1974.

image: Jack Bradley

En quête de travail dans les années 1930.

image: Source

Je sais faire trois métiers, je parle trois langues, j’ai fait la guerre pendant trois ans, j’ai trois enfants et je suis sans travail depuis trois mois: tout ce que je veux, c’est un travail.

Le jour où la Suède est passée de la conduite à gauche à la conduite à droite: 1967.

image: Jan Collsiöö

La réaction de certains soldats allemands devant les images de ce qui se passait dans les camps de concentration que le régime nazi avait construit au fil des ans.

image: Source

Certains résidents de Berlin-Ouest montrent leurs enfants à leur famille restée dans l’est de Berlin – 1961.

image: Source

La construction de la Statue de la Liberté: 1884.

Une danseuse tente de prouver son innocence au juge après avoir été accusée de porter des sous-vêtements trop succincts.

Un couple de lesbiennes au Monocle à Paris – 1932.

image: Georges Brassai

Bolaji Badego, un étudiant nigérian en design, en costume d’Alien. Il est devenu célèbre pour cette unique apparition cinématographique – 1978.

Les restes du cosmonaute russe Vladimir Komarov, le premier homme à être décédé lors d’une mission aérospatiale mal terminée (24 avril 1967).

image: RIA Novosti/Photo Researchers Inc.

Après de nombreuses années d’emprisonnement en Sibérie, ce soldat allemand rencontre sa fille pour la première fois. La fille a déjà 12 ans (1956).

image: Source

Un soldat écossais joue de la cornemuse sur les restes d’un champ de bataille – Première Guerre mondiale.

L’arrivée de la Joconde au Musée du Louvre, où elle est conservée depuis 1914.

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Cette version du cultissime Fahrenheit 451 de Ray Bradbury ne se lit que lorsqu’elle brûle


Ils ont bien choisi le sujet du livre qui ne peut se lire que par une source de chaleur comme le feu. Si ce livre vient sur le marché, il sera probablement un best-seller. Mieux vaut par contre, ne pas le lire devant les enfants, sinon ils pourraient devenir les pompiers du livre qui incendient tous les bouquins sous un gouvernement totalitaire
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Cette version du cultissime Fahrenheit 451 de Ray Bradbury ne se lit que lorsqu’elle brûle

Crédits : My Modern Net

Un laboratoire hollandais et un collectif de designers ont créé une édition expérimentale unique de Fahrenheit 451 : le chef d’oeuvre de Ray Bradbury ne peut se lire qu’avec le feu ! 

UN LIVRE QUI NE VIT QUE PAR LE FEU

Le laboratoire hollandais Charles Nypels, rattaché à l’Académie Jan van Eyck – un institut spécialisé dans l’art créatif et le design – a créé une édition de Fahrenheit 451 sensible à la chaleur. Développées en collaboration avec Super Terrain, un collectif de designers graphiques, les pages sont recouvertes d’une épaisse suie noire, une couche sérigraphiée. Les mots ne se détachent du fond noir que lorsqu’une source de haute température est appliquée à même les pages !

UN CLASSIQUE DE LA DYSTOPIE

Publié en 1953, le chef-d’œuvre dystopique de Ray Bradbury se déroule dans une Amérique totalitaire où les livres représentent une telle menace que le gouvernement les a tout bonnement interdit. Une Amérique où les pompiers ne sont plus des fire-fighters, des combattants du feu, mais des fire-raisers, des incendiaires. C’est à eux que les autorités ont confié la lourde tâche d’exterminer par le feu les derniers ouvrages qu’ils trouveraient.

LA SCIENCE AU SERVICE DE L’ART

Au-delà du lien évident qui lie cette démarche artistique à l’intrigue, l’inspiration derrière cette nouvelle édition expérimentale peut être explicitée dans l’accroche du livre : 

« Fahrenheit 451 – la température à laquelle le papier prend feu, et brûle. » 

Les créateurs ont partagé une vidéo sur Instagram qui montre comment fonctionne cet ouvrage à l’épreuve du feu. Les designers ont par ailleurs ajouté qu’ils espéraient démarrer prochainement la production à grande échelle : best-seller en approche !

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Le Saviez-Vous ► Le top des catastrophes naturelles


La nature est de toute beauté, mais parfois, elle met son énergie à la destruction. Ce sont des phénomènes naturels qui de temps à autre mettent la population en danger
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Le top des catastrophes naturelles

Crues soudaines, pluies torrentielles, ouragans, tornades, les catastrophes naturelles entraînent des pertes de vies et des dégâts matériels importants. Mais, de toutes les catastrophes survenues dans l’histoire, les tremblements de terre et les inondations comptent parmi les plus meurtrières.

Fleuve Yangtsé en crue

1. Crues dévastatrices

En Chine, le fleuve Yangtsé sort régulièrement de son lit. Si les habitants ont parfois le temps de fuir la zone inondable, ce ne fut pas toujours le cas. En 5 crues (1887, 1911, 1931, 1935 et 1938), pas moins de 2 157 000 personnes ont perdu la vie en raison de la montée des eaux.

Les inondations les plus meurtrières ont entraîné la mort de 900 000 (1887) et 870 000 (1938) Chinois.

Photo : Fleuve Yangtsé en crue

Plateau de Loess dans la provionce de Shaanxi

2. Séisme meurtrier

Il n’existe que très peu de détails sur le tremblement de terre le plus meurtrier de l’histoire. Mais, au début de l’année 1556,  un puissant séisme (de magnitude inconnue) a secoué les provinces de Shaanxi, de Gansu et de Shanxi en Chine.

Le séisme aurait fait, selon les estimations, quelque 830 000 morts.

Photo : Les habitants de la région habitaient dans des maisons creusées à même la pierre du Plateau de Loess (sur la photo). Ces habitations se sont effondrées pendant le séisme, ce qui explique le nombre élevé de victimes.

Tremblement de terre en Chine

3. Rayée de la carte

Le 28 juillet 1976, la région de Tangshan (Chine) est dévastée par un tremblement de terre d’une magnitude de 7,8 sur l’échelle de Richter. La région, qui comptait un peu plus d’un million d’habitants, a été pratiquement rayée de la carte.

Le bilan officiel fait état de 242 419 morts, mais certaines sources parlent de près de 800 000 victimes.

Photo : Tremblement de terre 1976

Typhon au Bangladesh

4. La tempête fait rage

Plus d’un demi-million de victimes, voilà le bilan du typhon le plus meurtrier de l’histoire. Le phénomène météorologique dévastateur a frappé le Bangladesh les 12 et 13 novembre 1970 avec des vents de plus de 200 km/h et une onde de tempête d’une rare puissance.

On parle de 150 000 morts et de 100 000 disparus qui n’ont jamais été retrouvés. Mais le bilan pourrait être deux fois plus lourd.

Photo : Thyphon Île de Bhola

Inondations en Hollande

5. La Hollande sous les eaux

Le samedi 5 novembre 1530, plusieurs villages de la Hollande ont été envahis par les eaux lors d’un important raz-de-marée. Une large partie de la région des Flandres et de la Zélande s’est retrouvée sous les eaux. Une partie du territoire touché n’a pas été récupérée à ce jour.

Bilan : 400 000 morts.

Photo : Digue en Hollande

Tsunami en Indonésie

6. Vague meurtrière

Les tsunamis sont provoqués soit par des tremblements de terre sous la plaque océanique, soit par des glissements de terrain majeurs. Celui qui a frappé l’Indonésie est encore très frais dans la mémoire collective.

Ce matin du 26 décembre 2004, un tremblement de terre d’une magnitude de 9,1 se produit dans l’océan Indien. Le séisme a provoqué un tsunami qui a déferlé sur les côtes de l’Indonésie. La province de Banda Aceh a été particulièrement touchée.

Le phénomène naturel, qui a modifié l’axe de la Terre, a tué quelque 246 000 personnes.

Photo : Après le tsunami

7. Haïti tremble

16 h 53, le 12 janvier 2010, les Haïtiens sentent la terre qui tremble sous leurs pieds. Le séisme, 7,3 sur l’échelle de Richter, se produit dans une zone densément peuplée et où les normes de construction étaient plutôt lâches.

De nombreux bâtiments, dont une partie du Palais présidentiel, s’écroulent, entraînant dans la mort plus de 230 000 habitants de l’île. Quatre ans plus tard, la situation était toujours chaotique dans le pays.

Photo : Le palais présidentiel

Typhon Nargis

8. Nargis dévaste le Myanmar

Le 2 mai 2008, le Myanmar est touché par le typhon Nargis. De puissantes vagues et des pluies diluviennes ravagent le pays, faisant 146 000 victimes.

Toutefois, le gouvernement du pays serait en partie responsable de ce lourd bilan. Il a attendu plusieurs jours avant d’accepter l’aide internationale, alors que des centaines de personnes blessées, privées d’eau, de nourriture et de moyens de communication, perdaient la vie, faute de secours.

Photo : Après le passage de Nargis.

Catastrophe au Japon

9. Des forces combinées

Une des zones urbaines les plus densément peuplées au monde a été le théâtre d’une catastrophe dévastatrice. Le 1er septembre 1923, à 11 h 58, la région de Tokyo-Yokohama a été secouée par un séisme estimé à 7,9 (échelle de Richter), entraînant dans la mort des milliers de personnes.

Mais les Japonais n’étaient pas au bout de leurs peines. Le tremblement de terre fut accompagné d’un tsunami et de 88 incendies alimentés par des vents forts provenant d’un typhon.

Le rapport officiel fait état de 141 720 morts et de 580 397 bâtiments détruits. Des habitants d’origine coréenne, soupçonnés d’avoir allumé des incendies, ont également été tués par des milices populaires.

Photo : Séisme 1923

Tremblement de terre en Italie

10. La Botte secouée

L’Italie, un pays en forme de botte, n’a pas été épargnée par les catastrophes naturelles. On n’a qu’à penser à l’éruption du Vésuve qui a fait des milliers de morts le 24 août 1979.

Mais ce pays a été le théâtre du plus puissant tremblement de terre enregistré sur le continent européen. Messine et Reggio, deux villes du sud du pays, ont été totalement dévastées le 28 décembre 1908.

Entre 70 000 et 100 000 personnes y ont laissé leur vie.

Photo de Messine

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Mais quelle est cette étrange forme dans le ciel?


Il est vrai que la forme est étrange, mais de là à dire que c’est E.T., me semble un peu vite à affirmer, je crois aussi comme l’auteur de cette photo, que c’est plus un phénomène naturel ou une illusion d’optique que les extraterrestres
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Mais quelle est cette étrange forme dans le ciel?

 

Mais

S’agit-il d’un facteur de flare? Capture d’écran Gentside

C’était un après-midi comme les autres pour le photographe néerlandais Harry Perton. Ce dernier était parti en balade à Groningen en Hollande, armé de son appareil, pour immortaliser le ciel et la nature balayés par un orage. Alors qu’ils enchainaient les clichés, il a soudainement assisté à un étonnant phénomène.

«Je prenais des photos et soudain quelque chose a produit un flash. Au début, j’ai pensé que cela devait venir de ma caméra mais le flash n’était pas enclenché et il n’y avait pas de goutte sur ma lentille», raconte-t-il sur son blogue. «J’ai décidé que cela devait être un éclair – mais en rentrant chez moi, j’ai vu quelque chose d’étrange sur une des photos que j’ai prises – quelque chose qui ressemblait à un OVNI».

Effectivement, sur l’un des clichés, on peut apercevoir une forme colorée, montrant des lueurs vertes et ressemblant un peu à une méduse: avec une base circulaire et un jet de lumière en jaillissant. Étonné, le photographe a publié la photo sur son blogue et elle n’a pas mis longtemps avant de retenir l’attention des internautes.

UNE ABERRATION OPTIQUE?

 

Sans surprise, certaines internautes n’ont ainsi pas hésité à évoquer une origine extraterrestre ou la présence d’un objet non déclaré dans le ciel. Toutefois, d’autres ont suggéré qu’il s’agissait simplement d’un facteur de flare, une aberration optique due à une diffusion parasite de la lumière à l’intérieur d’un objectif.

Ceci se produit quand la lumière est intense ou trop directe par rapport à l’objectif. Mais l’aspect double de la forme ainsi que sa couleur ont suscité un vif débat. D’autres internautes eux, ont témoigné avoir déjà observé une forme semblable dans le ciel, renforçant encore davantage le mystère. S’il sera difficile d’arriver à une conclusion définitive, Harry Perton lui en est sûr, il y a forcément une explication naturelle.

«D’un point de vue personnel, je ne crois pas aux OVNI. Je pense que c’était probablement quelque chose de météorologique. Peut-être un rayon du Soleil a traversé le nuage orageux et créé cet effet», a-t-il conclu.

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