27 Belges reçoivent encore une pension "pour loyauté à Hitler"


Difficile à croire que des gens retirent des pensions du régime nazi ! Cela fait 70 ans que ces versements existent.
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27 Belges reçoivent encore une pension « pour loyauté à Hitler »

 

Adolf Hitler, en 1939 © photo news.

Jeanne Poma.

75 ans après la Seconde Guerre mondiale, 27 Belges reçoivent toujours une pension complémentaire de l’Allemagne pour « loyauté et obéissance » au régime nazi. Ce revenu leur a été promis par Hitler lui-même, en 1941.

Les membres d’une commission de la Chambre consacrée aux affaires étrangères se penchent aujourd’hui sur la question, suite à la requête d’Olivier Maingain et de deux élus du Parti Socialiste. Ces derniers demandent au gouvernement « de régler ce problème de manière urgente par la diplomatie ».

Les personnes concernées

« Depuis plus de 70 ans, l’Allemagne verse des pensions complémentaires », explique Alvin De Coninck, un chercheur du groupe Remembrance, une association de survivants des camps de concentration nazis.

« Les privilégiés étaient des résidents des Cantons de l’Est et de l’Alsace, qui avaient reçu la nationalité allemande après l’invasion nazie, mais aussi des Belges qui avaient rejoint les Waffen SS pendant la guerre ».

Une récompense pour des années de prison

D’après ce chercheur, la fidélité à l’Allemagne nazie a toujours été récompensée. Il poursuit:

« On estime que le montant des pensions varie entre 425 à 1.275 euros par mois. Les années passées dans une cellule belge à la suite d’une pénalité de collaboration sont considérées comme des heures de travail. Plus les années d’emprisonnement ont été nombreuses, plus le montant de l’indemnisation est élevé. À côté de cela, les Belges qui ont dû se soumettre au travail forcé en Allemagne n’ont reçu qu’une indemnité de 50 euros, un mois après la guerre ».

Comment Hitler continue d’influencer l’éducation des enfants aujourd’hui


Peut-on transmettre le non-attachement à ses enfants envers eux ? On a relaté des femmes allemande étant incapable d’aimer leurs enfants. Il semble que l’enseignement du temps qu’Adolf Hitler, on préconisait de laisser les bébés seuls saufs pour les nourrir et les laver. C’est une femme médecin pneumologue du temps qui avait donner ces conseils. Malheureusement, des parents et enfants d’aujourd’hui, peuvent être en manque émotionnel à cause de cette éducation.
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Comment Hitler continue d’influencer l’éducation des enfants aujourd’hui

 

Les directives nazies sévères sur la parentalité peuvent toujours affecter les enfants allemands d'aujourd'hui

Une famille allemande pose pour un portrait, 1937. Crédit: Getty Images

par Brice Louvet, rédacteur scientifique

Les enseignements de Johanna Haarer – dont les livres ont été écrits pendant la période nazie dans le but d’élever des enfants pour servir Hitler – semblent encore avoir des répercussions aujourd’hui. Mais ce détachement envers ses enfants peut-il réellement se transmettre à travers les générations ?

Il y a quelques jours, Scientific American relatait l’histoire de Renate Flens, une mère allemande d’une soixantaine d’années qui, encore aujourd’hui, peine à aimer ses enfants. Elle voudrait, mais n’y arrive pas. Comment l’expliquer ? Après de multiples rendez-vous chez plusieurs thérapeutes, il est ressorti que Renate Flens, même si elle est née après la Seconde Guerre mondiale, pouvait en réalité être victime – encore aujourd’hui – de la politique éducative menée à l’époque par Adolf Hitler.

La mère allemande et son premier enfant

En 1934, la médecin Johanna Haarer publia en effet pour son compte La mère allemande et son premier enfant, un recueil illustré visant à guider l’éducation des enfants allemands, que le Troisième Reich voulait durs et sans empathie. Des millions de ménages – dont les parents de Renate Flens – possédaient à l’époque ce livre, également présent sur les étagères des bibliothèques et dans les garderies. Ces “conseils”, contre-intuitifs, semblaient attirer particulièrement les parents qui s’identifiaient fortement au régime nazi, et les jeunes femmes qui venaient elles-mêmes de familles émotionnellement affectées.

L’histoire de cette mère “sans attaches” pour ses enfants n’est pas la première. En Allemagne, de nombreux experts en santé mentale s’intéressent d’ailleurs de près au sujet, se posant la question suivante : les idées de Haarer peuvent-elles encore nuire aujourd’hui à la santé émotionnelle des enfants allemands ? Une génération élevée pour éviter de créer des liens peut-elle transmettre cet “enseignement” aux générations suivantes ?

enfants Allemagne guerre

Enfants jouant dans les ruines de Berlin (1948). Crédits : Wikipédia

« Ne le bercez pas, ne le caressez pas »

Haarer n’avait à l’époque aucune formation en pédiatrie (elle était pneumologue), mais restait présentée comme une experte en éducation des enfants par les nazis. Si nous savons aujourd’hui que les nourrissons ont besoin de contacts physiques et émotionnels avec leur mère, le recueil de Johanna Haarer recommandait dans les années 30 complètement l’inverse. Les bébés étaient ici considérés comme des nuisances dont il ne fallait satisfaire que les besoins les plus primaires.

« L’enfant doit être nourri, lavé et séché ; à part ça, il faut le laisser complètement seul », pouvait-on notamment lire.

Les mères, autre exemple, étaient vivement encouragées à parler à leur enfant dans un allemand raisonnable, plutôt que d’employer un « langage enfantin déformé et insipide ».

Quant aux pleurs des enfants, il était demandé de les ignorer.

« Ne retirez pas l’enfant de son lit (…), ne le bercez pas, ne le caressez pas, ne le retenez pas sur vos genoux et ne le soignez même pas. Sinon l’enfant comprendra vite qu’il ne lui reste plus qu’à pleurer afin d’attirer une âme sympathique et devenir un objet de sollicitude. Dans peu de temps, pouvait-on encore lire, il demandera ce service comme un droit, ne vous laissera pas tranquille jusqu’à ce qu’il soit transporté, bercé ou caressé ».

Traumatisme transmissible ?

Si ce livre n’est évidemment plus présent dans les librairies, certains chercheurs pensent aujourd’hui que l’influence de Haarer continue de se faire ressentir, affectant encore aujourd’hui la santé émotionnelle, ou encore le taux de natalité (faible) enregistré en Allemagne. De nombreuses autres raisons pourraient également expliquer ces constats, mais la piste de la transmission de ce “non-attachement” reste encore à considérer.

La façon exacte dont ces expériences éducatives se transmettent reste donc encore un sujet à débat. La véritable question sera de savoir si oui ou non des processus biologiques pourraient être impliqués. Quant à Johanna Haarer, elle fut emprisonnée après 1945, et n’eut plus jamais le droit de pratiquer la médecine. Selon deux de ses filles (elle en a eu cinq), elle conserva néanmoins ses convictions nazies tout au long de sa vie. Elle est morte en 1988.

Source

https://sciencepost.fr/

Le Saviez-Vous ► 6 anecdotes historiques sur le XXe siècle


Des anecdotes qui ne changera pas grand chose à l’humanité, mais celle d’Armstrong quand on y pense …
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6 anecdotes historiques sur le XXe siècle

 

 

par Louison

Il s’est passé beaucoup de choses entre le 1er janvier 1901 et le 31 décembre 2000. Venez (re) découvrir certaines anecdotes historiques sur le XXe siècle.

En 1901, Paris organisait un concours pour éliminer les rats

Dans un article des archives du Figaro, on a retrouvé la mention d’un concours pour tuer les rats. Il y est notamment écrit que la ville s’inquiète de l’envahissement des souterrains par ces « rongeurs à longue queue et à dents acérées ».

En effet, « le rat de Paris est un animal très particulier, pas bête du tout, qui n’a rien de commun avec le grossier rat des campagnes ou le rat naïf de province ».

Neil Armstrong s’est trompé…

Le 20 juillet 1969, la mission Apollo 11 alunit. En sortant de la cabine et en posant un pied sur la Lune, Neil Armstrong devient l’astronaute le plus célèbre de l’histoire, et le premier à marcher sur notre satellite. Il a eu ces mots :

« C’est un petit pas pour l’Homme, et un grand pas pour l’humanité ».

Cette phrase était préparée, mais l’astronaute devait en réalité dire :

« C’est un petit pas pour un homme, un grand pas pour l’humanité ».

Source : CNET-France

neil armstrong lune apollo 11

Crédits : Pixabay

Féminiser Hitler pour mettre fin à la guerre

Le gouvernement anglais avait un plan, qui a été très sérieusement envisagé. Il s’agissait de féminiser Hitler à l’aide d’hormones pour adoucir ses mœurs agressives.

Utiliser les excréments pour mieux connaître ses potentiels alliés

L’idée parait saugrenue, mais c’est en tout cas ce qu’avait rapporté la BBC il y a quelques années au sujet de Staline. Celui-ci avait fondé un laboratoire dont le but était d’étudier les excréments de ses visiteurs afin d’en apprendre davantage à leur sujet. Ce serait suite à un rapport de ce laboratoire qu’il aurait refusé des accords avec la Chine.

Les tueurs pour la République

Comme dans un film d’action, la France a elle aussi son petit groupe commando pour effectuer des missions sensibles. La cellule Alpha serait un commando qui opère depuis les années 80, et qui effectue des missions clandestines partout dans le monde.

Un décès par flèche lors de la Seconde Guerre mondiale

Bien sûr, il ne s’agit là que des rapports officiels. Mais un soldat allemand a été identifié pour avoir été tué par une flèche en mai 1940 dans le Pas-de-Calais. Le responsable serait un soldat de l’armée britannique connu pour toujours avoir un arc et une épée en plus de l’équipement habituel.

https://lesavaistu.fr/

Photos Qui Vous Feront Regarder L’Histoire Avec Des Yeux Différents


Des photos du passé qui sont figées pour toujours. Qu’aurait été notre présent, si Adolf Hitler aurait fait une carrière comme artiste ? On peut se considérer chanceux que la denturologie ai pu progresser. Celle que je trouve vraiment spécial, c’est la vision de l’an 2000 en 1924
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Photos Qui Vous Feront Regarder L’Histoire Avec Des Yeux Différents

Saviez-vous qu’Hitler était un amateur d’art et qu’il peignait même? Voici quelques-unes de ses oeuvres.

image: © wikipedia

image: © wikipedia

image: © wikipedia

Les membres du groupe du Titanic ont joué pendant que le bateau coulait pour tranquilliser les passagers. Voici leurs visages.

image: © flickr

Des Iraniennes photographiées avant la révolution islamique.

image: © themuslimissue

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image: © themuslimissue

image: © themuslimissue

L’ombre d’une victime d’Hiroshima après l’explosion nucléaire.

image: © nowiknow

Voici comment les années 2000 étaient vues par les illustrateurs français en 1924.

image: © amazon

La technologie est bien présente dans le dessin!

Le témoignage des anciens contacts entre les Vikings et les Arabes: un anneau viking du IXe siècle avec l’inscription « Pour Allah »gravée.

image: © sciencenews

Une scène du premier film érotique de l’histoire, tourné à Paris: c’était en 1896.

image: © wikipedia

Au début des années 1900, l’héroïne était prescrite comme médicament pour le traitement de nombreuses maladies, y compris la toux.

image: © inosmi

Voici comment les Romains construisaient les routes: maintenant on comprend pourquoi elles sont restées intactes des siècles plus tard!

image: © imgur

Une ingéniosité qui ne se dément pas aujourd’hui!

Les prothèses dentaires à Rome étaient ainsi fabriquées…

image: © bedminsterdental

Les uniformes pour le gouvernement nazi furent fabriqués, entre autres, dans les usines du styliste Hugo Boss: il était un grand admirateur du Führer et un fervent national-socialiste.

image: © index

En 1864, le coup de poing américain faisait partie de l’équipement d’un policier new-yorkais.

image: © pinterest

L’intérieur d’un sous-marin utilisé pendant la Seconde Guerre mondiale.

image: © flickr

L’Argentavis est le plus grand oiseau jamais existé sur Terre.

image: © genesispark

Avant de finir entre les mains d’Hitler, la croix gammée a été utilisée pendant 3000 ans comme symbole de bon présage.

image: © commons.wikimedia

Des pêcheurs russes montrent leurs butins, 1924.

image: © interesplanet

La structure du lit destinée aux domestiques, Angleterre 1843.

image: © countingyourblessings

Photo colorée d’une ville allemande prête pour une parade nazie dans les années 30.

image: © flickr

http://www.regardecettevideo.fr

Le Saviez-Vous ► La torche olympique est une invention nazie


La flamme Olympique comme telle a son origine en Grèce, mais le relais que fait la flamme vient du régime Nazi, mais le symbole était bien différent de ce qu’il est maintenant
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La torche olympique est une invention nazie

 

La flamme en route pour Berlin en 1936 via Wikimedia License by

La flamme en route pour Berlin en 1936 via Wikimedia License by

Et non grecque comme on pourrait le penser.

On l’a présenté comme un héritage de la Grèce antique, pourtant le rituel de la flamme olympique tel qu’on le connaît aujourd’hui nous vient tout droit d’Hitler et des nazis, rapporte le site internet The Atlantic.

Certes, comme le rappelait en 2008 RFI, la flamme est effectivement née en Grèce, au sanctuaire d’Olympie, où elle brûlait sans discontinuer sur l’autel de la déesse Hestia.

L’idée de faire parcourir différents pays à la torche, elle, a en cependant germé dans la tête de Carl Diem, secrétaire général du comité d’organisation des Jeux de Berlin, en 1936. Hitler et Goebbels ont tout de suite adhéré à l’idée. Comme l’explique The Atlantic:

«Commencer le relais en Grèce et le terminer environ 2.400 kilomètres plus loin, à Berlin, renforçait l’idée d’un héritage aryen entre l’ancien et le nouveau pouvoir. Cela faisait également allusion à la conception d’Hitler d’une progression naturelle et civilisationnelle entre l’empire grec, romain et allemand.»

Bien sûr, la cérémonie actuelle n’a plus du tout la même signification, remarque The Atlantic, mais elle porte dans sa forme le fondement propagandiste du régime nazi, des costumes au code à respecter scrupuleusement.

http://www.slate.fr/

Quand le New York Times demande à ses lecteurs s’ils tueraient Hitler bébé


Tu parles d’une question ! Le monde aurait probablement était autrement, mais on ne sait pas si cela avait été mieux ou pire. On ne sait pas non plus, si Hitler aurait vécu autrement, si cela aurait changer l’histoire. En octobre 1908, il avait été refusé aux beaux-arts, aurait-il pu être un grand peintre au lieu d’un dictateur ?
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Quand le New York Times demande à ses lecteurs s’ils tueraient Hitler bébé

 

La «Lambeth Walk - Nazi Style», 1940.

La «Lambeth Walk – Nazi Style», 1940.

Repéré par Claire Levenson

Le vendredi 23 octobre à 14 heures, le compte twitter du New York Times Magazine a publié les résultats d’un étrange sondage: «Cher lecteur, est-ce que tu tuerais Hitler bébé?»

Nous avons demandé aux lecteurs du @nytmag: Si vous pouviez voyager dans le temps et tuer Hitler bébé, est-ce que vous le feriez?

Pour 42% des lecteurs du quotidien new-yorkais, la réponse est oui, 30% y sont opposés, et il y a 28% d’indécis.

Ce genre de sondage est apparemment une nouvelle habitude du magazine, qui en septembre avait posé cette autre question: «Etes-vous déjà monté sur ces animaux?». On apprenait que 22% des lecteurs du New York Times avaient été sur un éléphant et 5% sur un dauphin.

Mais c’est surtout la question sur Hitler bébé qui a déchaîné la twittosphère, avec plusieurs réponses possibles à cet épineux problème.

En premier lieu, il y a eu l’approche éducative pleine de bonnes intentions: et si on élevait bébé Hitler dans l’amour et la tolérance, peut-être ne deviendrait-il pas un horrible didacteur?

Si on élevait bébé Hitler dans un environnement plein d’amour et qu’on lui apprenait la compassion, et que s’il était un bébé cruel, on lui apprenait à se calmer?

D’autres bonnes âmes ont voulu sauver bébé Hitler en l’aidant à devenir un artiste accompli.

Non, il ne faut pas tuer bébé Hitler. Juste faire en sorte qu’il soit accepté dans une école d’art avant qu’il ne devienne triste et énervé.

Certains se sont carrément lancés dans une analyse marxiste de la situation:

La question n’est pas de savoir si il faut tuer Hitler bébé. Le fascisme ne naît pas des caprices d’un individu fou. Il vient des crises du Capital.

Ou encore dans une réflexion sur l’impact du Traité de Versailles:

Et si au lieu de tuer Hitler bébé, vous utilisiez cette machine à remonter le temps pour réécrire le Traité de Versailles. Juste une suggestion.

Il y a aussi ceux qui en ont profité pour faire une référence à la déclaration récente de Benjamin Netanyahu qui a dit que c’est le grand mufti de Jérusalem qui avait suggéré l’extermination des juifs à Hitler.

Et si on tuait plutôt le mufti bébé?

Enfin, d’autres n’avaient absolument aucun problème avec l’idée de tuer Hitler bébé:

Meilleure question pour le sondage: COMMENT est-ce que vous tueriez Hitler bébé?

Quelques heures après ce déchaînement sur Twitter, le compte du magazine du New York Times a fait une simple réponse de trois lettres: lol

http://www.slate.fr/

Un chat torturé parce qu’il ressemble à Hitler


Le voisinage disait que ce chat ressemblait à Hitler, mais est-ce que vraiment, cette ressemblance a été la cause de sa torture ?. Si vraiment des gens sont assez imbécile pour torturer des animaux et en plus, pour leur physionomie, alors c’est le comble de la cruauté
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Un chat torturé parce qu’il ressemble à Hitler

Baz, un chat de sept ans, a été laissé pour mort dans une poubelle et a perdu un œil après avoir été violemment agressé à Tredworth (Angleterre). Un acharnement motivé par son étrange ressemblance avec Adolf Hitler, selon sa propriétaire.

Un chat attaqué et laissé pour mort à cause de sa ressemblance avec Hitler

Il s’appelle Baz mais était surnommé « Kitler ». Le pelage original de ce chat lui vaut les sarcasmes du voisinage à Tredworth (Angleterre), les taches noires de son museau rappelant la moustache d’Adolf Hitler. Mais la cruauté d’inconnus est allée au-delà des mots : ce chat de 7 ans a en effet été sauvagement agressé. Pour sa propriétaire, Kirsty Sparrow, la chose est claire : il a payé sa ressemblance avec l’ancien leader nazi.

C’est le week-end dernier que la Britannique de 26 ans s’est inquiétée de ne pas voir rentrer Baz, raconte notamment le Daily Mail. Elle a lancé un appel sur Facebook pour savoir si quelqu’un l’avait vu. Baz a finalement été retrouvé laissé pour mort dans une poubelle, sérieusement blessé. Son œil gauche, très touché, a dû être retiré.

« Il est si mignon »

Baz avant d’être attaqué

« Les vétérinaires ont dit que, vu ses blessures, il n’avait pas été heurté par une voiture. Il a été battu. »

Baz aurait été victime de son physique hors normes.

« Beaucoup de gens disent qu’il ressemble à Hitler, mais il est timide et doux. Il est si mignon. Sa moustache fait ce qu’il est. C’est vrai qu’il ressemble à Hitler ».

Une particularité pas si rare, puisque le site « cats that look like Hitler » (« Les chats qui ressemblent à Hitler ») en répertorie des milliers.

La jeune femme est encore sous le choc.

« Penser que des gens peuvent attaquer un chat innocent juste pour son apparence est tout simplement horrible ».

Depuis, Kirsty n’ose plus laisser sortir Baz.

« J’ai peur que cela arrive à nouveau ».

http://wamiz.com

Hitler mis en scène pour vendre du shampoing


On dit parlez en bien, parlez en mal, mais parlez-en devient une vrai stupidité en matière de publicité .. Aucun dictateur ne devrait être utiliser pour vendre un produit, pour faire de l’argent. Cela n’a aucun bon sens et qu’importe l,époque qu’un dictateur vivait il ne devrait jamais revivre dans les mémoires pour la publicité ..
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Hitler mis en scène pour vendre du shampoing

 

Hitler en 1943

PHOTO PC

Agence France-Presse

Une publicité pour un shampoing dans laquelle figure Adolf Hitler a suscité la colère des communautés juives en Turquie et à l’étranger, provoquant des réactions acerbes à l’encontre de son créateur.

«C’est totalement inacceptable d’utiliser dans une publicité Hitler, l’exemple le plus frappant de cruauté et de sauvagerie (…) pour se différencier ou susciter l’intérêt», a déclaré samedi la communauté juive de Turquie samedi, critiquant sévèrement ce spot diffusé depuis la semaine dernière.

Le film de 12 secondes, doublé en turc avec des sous-titres en allemand, montre Hitler délivrant un discours enthousiaste et appelant les clients masculins à acheter un produit qui est «un shampoing 100% masculin».

«Si vous ne portez pas une robe de femme, vous ne devriez pas non plus utiliser son shampoing», dit un Hitler doublé en turc, ses lèvres presque synchronisées avec la voix-off.

Les juifs de Turquie ont indiqué qu’ils avaient contacté l’agence de publicité pour qu’elle retire le spot, ce qui selon eux n’a pas encore été fait, et qu’ils attendaient des excuses publiques.

En dehors de la Turquie, la Ligue Anti-diffamation (ADL), basée aux États-Unis, a déclaré qu’elle était «révoltée» par l’utilisation d’Hitler dans une publicité.

L’utilisation d’Hitler, «qui est responsable du crime de masse de six millions de juifs et de millions d’autres dans l’Holocauste pour vendre du shampoing est un stratagème marketing dégoûtant et déplorable», a déclaré vendredi Abraham H. Foxman, directeur national d’ADL et survivant de l’Holocauste.

M. Foxman a ajouté qu’il était particulièrement troublant que cette publicité ait été créée en Turquie, un pays «si fier, à juste titre, de son passé de refuge pour les juifs».

Le créateur du spot controversé, Hulusi Derici, l’a défendu dans une interview au magazine Marketing Turkiye.

«Si les gens parlent de la publicité pour un produit, cela fait exister le produit», a-t-il affirmé. «S’ils ne comprennent pas la blague, c’est leur problème.»

La publicité a également suscité la colère des utilisateurs des réseaux sociaux, la plupart l’ayant dénoncé sur Twitter pour un langage «inapproprié à de très nombreux niveaux».

La publicité:

 

http://www.cyberpresse.ca

Le fils français caché d’Adolf Hitler


Je ne sais pas si dans le livre, il parle de comparaisons avec l’ADN, mais sûrement que cela prouverait une fois pour toute son ascendance … mais dans l’article il parle de témoignages et certaines comparaisons scientifiques enfin … Apprendre qu’on est le fils d’Adolf Hitler, doit surement surprendre surtout si la manière de pensée est complètement différente .. cela a du être un secret insupportable pour la mère quand elle a vue qu’elle sorte d’homme était le père.
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Le fils français caché d’Adolf Hitler

EXCLUSIF LE POINT.FR. Le fils français caché d'Adolf Hitler

 

Hitler aurait eu un fils avec une Française ! Celui-ci a voulu faire reconnaître sa terrible ascendance. Avant d’y renoncer sur les conseils de son avocat et de ses enfants… Récit, photos et documents d’époque.

 

Par Jérôme Béglé

« Maître, je suis le fils d’Hitler ! Dites-moi ce que je dois faire. »

François Gibault, avocat parisien, n’en croit pas ses oreilles. L’homme qu’il a devant lui est plutôt grand, parle un français parfait sans accent, et n’a rien d’un hurluberlu. Son histoire édifiante n’en est pas moins vraie.

Engagé en 1914 dans l’armée allemande, le caporal Adolf Hitler combat contre les troupes françaises près de Seboncourt en Picardie. De temps à autre, les soldats sont envoyés à l’arrière pour récupérer, reprendre des forces et parfois… s’amuser. À Fournes-en-Weppe, petite ville située à l’ouest de Lille, Hitler fait la connaissance de Charlotte Lobjoie, une jeune femme d’à peine 16 ans.

« Un jour, je faisais les foins, avec d’autres femmes, lorsqu’on vit un soldat allemand, installé de l’autre côté de la rue, révèle celle-ci à son fils bien des années plus tard. Il avait une sorte de carton et semblait dessiner. Toutes les femmes trouvèrent intéressant ce soldat et se montrèrent curieuses de savoir ce qu’il dessinait. Je suis désignée pour essayer de l’approcher. »

L’inconnu se montre attentif, puis chaleureux, et même amical avec la jeune paysanne. Commence alors une relation qui durera plusieurs semaines.

« Lorsque ton père était là – très rarement -, il aimait m’emmener dans des promenades à la campagne. Mais ces promenades se terminaient en général plutôt mal. En effet, ton père, inspiré par la nature, entreprenait un discours auquel je ne comprenais pas grand-chose. Ne pouvant s’exprimer en français, il déclamait en allemand, s’adressant à un auditoire absent. Si je parlais l’allemand, je ne pouvais le suivre, d’autant plus que l’histoire de la Prusse, de l’Autriche ou de la Bavière ne m’était pas familière, loin de là. Ma réaction mettait ton père en colère en me voyant rester de marbre à ses effets oratoires ! » Sous le petit caporal perçait déjà le tribun illuminé…

Un soir de juin 1917, revenant un peu éméché d’une soirée avec un ami, il se fait très entreprenant auprès de Charlotte. En mars de l’année suivante naît un fils. Aux yeux des enfants du village, le petit Jean-Marie est un « fils de Boche ». Souvent, il fait le coup de poing avec ses camarades pour laver cette infamie. Les années passent, et Charlotte refuse de s’exprimer sur les mystérieuses circonstances de la naissance de son fils. Pire, miséreuse et vaguement honteuse, elle délaisse son fils et le confie à la garde d’un couple plus aisé chez qui l’une de ses soeurs est employée. Cette « nouvelle famille » finira par adopter l’enfant en 1934.

Son « vrai père » de son côté ne le reconnaît pas, refuse de le voir, mais continue de loin en loin à prendre des nouvelles de sa mère. Chose extraordinaire, au début des années vingt, sa famille d’adoption se retrouve propriétaire d’un immeuble à Francfort qu’elle ne paye pas…

Quelques semaines avant de mourir, au début des années cinquante, Charlotte avoue à son fils la véritable identité de son père. Le choc est terrible.

« Afin de ne pas tomber dans l’anxiété, je travaillais sans relâche, ne prenant jamais de vacances, jamais de distraction : 20 ans sans rentrer dans une salle de cinéma », raconta Jean-Marie Loret dans un livre (*) qu’il publia dans l’indifférence générale en 1981 aux éditions de l’Université et de l’Enseignement moderne.

Car au milieu des années soixante-dix, devenu adulte et père de famille, Loret souhaite faire officialiser sa triste ascendance. Il s’adjoint les services d’un historien, retourne sur les lieux de son enfance, interroge quelques rares témoins et diligente une série d’enquêtes : une expertise en méthode d’identification par la physionomie comparative, une autre de l’Institut d’anthropologie et de génétique de l’université de Heidelberg, qui montre notamment que père et fils ont le même groupe sanguin, une étude comparative psychographologique entre Adolf Hitler et Jean-Marie Loret ainsi qu’une comparaison graphologique des écritures des deux hommes. Toutes aboutissent à la même conclusion. Jean-Marie Loret est sans doute le fils d’Adolf Hitler. Des photos plaident également pour cette thèse, tant il y a un « air de famille » entre les deux hommes…

Cette thèse a toujours fait l’objet d’une grande dispute entre historiens. En Allemagne et au Japon elle semble désormais acquise, tandis qu’en France, elle n’a jamais été sérieusement discutée. Pourtant d’autres éléments troublants émergent : il est établi que, pendant l’Occupation, des officiers de la Wehrmacht apportaient des enveloppes d’argent liquide à Charlotte. À la mort de sa mère, Jean-Marie Loret découvrira dans le grenier de la maison des toiles signées « Adolf Hitler » tandis qu’en Allemagne on mettra la main sur un portrait qui ressemblait trait pour trait à celui de sa mère…

« Lorsqu’il vient me voir en 1979, se souvient maître Gibault, j’ai devant moi un homme un peu paumé qui ne sait pas s’il doit se faire reconnaître comme le fils d’Adolf Hitler ou s’il doit effacer tout cela d’un trait de plume. Il éprouve ce que ressentent beaucoup d’enfants naturels : l’envie de retrouver un passé aussi lourd soit-il, mais la peur de retourner de vieilles boues. J’ai énormément parlé avec lui, jouant plus le rôle d’un psychologue que d’un avocat. Certes, il pouvait revendiquer une part des droits d’auteur de Mein Kampf et, pourquoi pas, des comptes en banque que le Führer avait peut-être ouverts en Suisse, mais à 60 ans passés était-ce raisonnable ? Après avoir conversé avec moi et avec ses enfants, il a de lui-même décidé de ne pas révéler son sulfureux état civil. »

Quelques mois plus tard, Jean-Marie Loret publie un livre qui passera inaperçu. Dans la France d’alors, Maurice Papon est ministre du Budget (de 1978 à 1981) tandis que François Mitterrand élu en mai 1981 reçoit René Bousquet à sa table. Au Japon, la télévision publique recevra dans ses studios ce curieux personnage qu’elle présentera comme le fils du dictateur nazi.

Ironie du sort, Jean-Marie Loret s’enrôle dès 1939 dans les corps francs qui se battirent en avant de la ligne Maginot. L’année suivante, son unité mène une bataille violente contre les troupes allemandes dans les Ardennes en 1940. Pendant l’Occupation, il est même contacté par le réseau de la Résistance OCM (Organisation civile et militaire) au sein duquel il porta le nom de « Clément ». Ignorant alors ses origines, il devient naturellement un résistant aux armées hitlériennes. Bon sang saurait mentir…

(*) Ton Père s’appelait Hitler de J.-M. Loret et R. Mathot. Les Dossiers de l’Histoire, éditions de l’Université et de l’Enseignement moderne Click here to find out more!

Par Jérôme Béglé

http://www.lepoint.fr

 

De drôles de souvenirs vendus à prix d’or


Je trouve sadique ce commerce sur les horreurs de l’histoire, Je ne vois pas l’intérêt pour un particulier d’acheter ce genre de chose sauf si c’est pour approuver les manières de faire de ces sombres personnages .. Les seuls endroits ou on devrait garder ces choses seraient dans des musées ou des université pour apprendre de l’histoire et y retenir les lecons .. mais a part cela c’est vraiment vicieux de vendre et d’acheter au près du public
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De drôles de souvenirs vendus à prix d’or

Le bulletin scolaire de Goebbels, les brouillons du “boucher d’Auschwitz”, les gobelets des SS, une quantité d’objets ayant appartenu aux nazis s’arrachent lors de ventes aux enchères aux Etats-Unis, relate Der Spiegel.

Le national-socialisme a encore une valeur à Stamford, dans le Connecticut. Les deux feuillets de texte écrits par Albert Speer, ancien ministre de l’Armement du Reich, lors de son procès à Nuremberg, en 1945, y sont proposés à 10 000 dollars. Un prix somme toute modeste : les brouillons griffonnés par Josef Mengele, le médecin des camps de concentration [le “boucher d’Auschwitz”], pendant son exil en Amérique latine, ont été arrachés par un collectionneur privé pour 300 000 dollars. En vente également, la correspondance entre Joseph Goebbels, alors jeune chef de la propagande d’Hitler, avec son Führer, des bulletins scolaires et même des poèmes et des tragédies signées Goebbels.

Chez Alexander Autographs, la maison d’enchères de Stamford, une bourgade située au nord-est de New York, le marché des reliques nazies est florissant. Le IIIe Reich renaît sur tout un étage du bâtiment en fond de cour : gobelets à l’effigie des SS, assiettes décorées du portrait du Führer, documents jaunis. La plupart des objets proviennent d’Allemagne. Les acheteurs, eux, sont curieusement, ces temps-ci, des Russes fortunés.

“Les gens veulent des souvenirs”, explique Bill Panagopoulos, le propriétaire des lieux.

 Cet ancien pompier de 53 ans pétri de bon sens exerce depuis vingt-cinq ans ce commerce de symboles militaires et d’objets historiques.

Sur le thème de l’époque nazie, son catalogue propose aussi une écritoire en laiton avec ses encriers et son set à buvards, qui aurait servi à Hitler en 1938 pour signer les accords de Munich [qui ont ouvert la voie à Hitler pour annexer la Tchécoslovaquie], un meuble ancien qui proviendrait de Berghof, à Berchtesgaden [résidence secondaire d’Hitler dans les Alpes bavaroises], ou encore une tablette en bois figurant deux oies en plein vol au-dessus de la berge encombrée de roseaux d’un lac. Selon les indications portées sur l’objet, il s’agirait du premier prix décerné à l’issue d’une partie de chasse à la volaille sauvage organisée par le commandement du camp de concentration de Dachau [en Bavière].

M. Panagopoulos affirme ne guère apprécier tous ces objets, qui distillent “un mauvais karma”. Sans doute est-il sincère : sa famille est d’origine grecque, et le village natal de ses parents a été brûlé par les troupes allemandes pendant la guerre.

Mais M. Panagopoulos est un commerçant né sur le sol américain, donc très attaché à la liberté d’opinion et à l’économie libérale. Le thème de la Seconde Guerre mondiale serait devenu très populaire aux Etats-Unis. Pour nombre d’historiens, ce business est assez obscène, et pourtant, rétorque notre homme, “les acheteurs ne sont pas des néonazis”.

Certains objets, tel le journal du “docteur” Mengele écrit à Auschwitz sont plutôt achetés par des familles juives aisées, relate le commissaire-priseur. Nombre de ces pièces ont été envoyées d’Europe par les héritiers des nazis. Et la marchandise ne manque pas, précise M. Panagopoulos.

Même si les universités et les musées sont invités à acheter certaines pièces, les institutions publiques s’exécutent rarement faute de budget. C’est ainsi qu’échapperont sans doute aux chercheurs des legs importants tels que les déclarations manuscrites d’Adolf Eichmann, l’organisateur de l’Holocauste, lors de son procès en Israël, ou encore un document que Klaus Barbie, le sulfureux chef de la Gestapo à Lyon, aurait écrit lors de son arrestation, en 1983.

Qui a souhaité vendre ce blabla propagandiste ? La maison Alexander Autographs n’en dit mot, excepté que ces documents proviennent d’Europe. Mais il y a fort à parier qu’ils appartenaient à François Genoud, le banquier suisse du nazisme, décédé en 1996. C’est cet admirateur du IIIe Reich qui a lancé le commerce des souvenirs liés à ses idoles nazies, autant pour préserver ces reliques que pour gagner de l’argent.

Le commissaire-priseur propose aussi un livre de comptabilité qui a enregistré de substantielles rémunérations. Il atteste de sommes versées aux médecins personnels d’Adolf Hitler, Theodor Morell et Karl Brandt, ou encore au maréchal Wilhelm Keitel [commandant des forces armées allemandes].

Le dernier enregistrement comptable date de la mi-avril 1945. L’ouvrage pourrait provenir de la chancellerie du Reich [détruite en 1945 par l’Armée rouge] mais peut aussi être une copie ou un faux. Les historiens se pencheraient volontiers sur la question. Mais il n’est pas certain qu’ils aient l’occasion de voir ce cahier

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