Flatulence d’hippopotame


Est-ce que cet hippopotame est heureux dans ce zoo? Avec tout ces gens, ces cris, loin de ses congénères et de la savane ? En tout cas, une chose de certain, si un tel animal émet des gaz, mieux vaut s’écarter.. C’est peut-être une réponse sur ses conditions de vie.
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Flatulence d’hippopotame

Comment la bouse d’hippopotame tue les poissons du Masai Mara


La bouse des hippopotames joue un grand rôle dans l’écosystème à l’est de l’Afrique. La quantité qu’ils défèquent lors de la saison de sécheresse tue un bon nombre de poissons par suffocation, ils nourrissent les animaux charognards. La saison des pluies viens porter les nutriments grâce à la bouse dans l’environnement de la rivière. Pas très ragoutant, mais bon !
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Comment la bouse d’hippopotame tue les poissons du Masai Mara

 

Hippopotamus amphibius de Tanzanie

Les bouses des hippopotames de la rivière Mara sont mortelles pour les poissons

WIKIMEDIA COMMONS – USER : NEVIT DILMEN – CC BY-SA 3.0

Par Guillet Emmanuel

Régulièrement à la saison sèche, les eaux de la rivière Mara gonflent et abandonnent des tombereaux de poissons mort à pourrir sur ses rives. Un mécanisme fondamental de l’écosystème de la rivière qui repose sur des prémices inattendues.

La rivière Mara est un cours d’eau africain. Elle coule paisiblement au Kenya dans la réserve nationale du Masai Mara et en Tanzanie au parc national du Serengeti. Dans ses eaux vivent de nombreux crocodiles et hippopotames. Ces derniers sont la cause d’un phénomène jusqu’à présent attribué aux pesticides utilisés par les agriculteurs…

Trop de bouses tue les poissons

Lors de la saisons sèche, de fortes pluies peuvent venir gonfler la rivière Mara. Au retrait des eaux, après de tels événements, il arrive fréquemment que la rivière abandonne quantité de poissons morts sur ses rives. Une équipe de scientifique américain, dans un article publié le 16 mai 2018 dans la revue Nature communications, livre le mécanisme à l’origine de ce phénomène.

Le coupable, on l’a dit, est l’hippopotame. Ces énormes animaux paissent la nuit non loin des berges de la rivière, engloutissant jusqu’à 40 kilogrammes de matières végétales par virée nocturne ! Ils retournent dans l’eau pendant le jour pour se maintenir au frais et se protéger du soleil. Les hippopotames pataugent en bande toute la journée et, au cours de leurs occupations quotidienne, défèquent et urinent abondamment dans le cours d’eau. Tous les jours ils relâchent ainsi, pour un tronçon de 100 kilomètre de rivière, 8500 kg de matière organique dans l’écosystème aquatique. La vase au fond d’un bassin d’hippopotame est donc profondément mêlée de bouse d’hippopotame constamment piétinée. À la saison sèche, le niveau de l’eau baisse et les animaux se concentrent dans des bassins de plus en plus peuplés et réduits. En conséquence, la décomposition des excréments recouvrant le fond constamment brassé par les animaux entraîne une hypoxie sévère des eaux de fond du bassin. Les bactéries décomposant les bouses consomment tout l’oxygène disponible dans un bouillon d’ammonium, de sulfure d’hydrogène, de méthane et de dioxyde de carbone, transformant ces eaux en piège mortel pour les poissons.

Un piège mortel qui régénère la rivière

Le piège se referme lorsque de fortes pluies très localisée viennent jouer le rôle de chasse d’eau pour ces bassins d’hippopotame. Le brusque débit provoqué par les pluies, entraîne les eaux de fond anoxiques vers l’aval. A l’aide de différentes expériences, les chercheurs ont confirmé que ce sont ces  » flux de rinçage «  qui réduisent considérablement les niveaux d’oxygène de la rivière, l’oxygène dissous dans les eaux en aval ne parvenant pas à compenser l’hypoxie des eaux de fond des bassins d’hippopotames. L’entraînement des ces eaux transporte également les sous-produits toxiques de l’activité microbienne – l’ammonium, le sulfure d’hydrogène et le méthane – dans les tronçons en aval. Ainsi, lors de ces événements, les poissons de la rivière Mara meurent par suffocation. En masse.

Mais ces événements impressionnants sont avant tout naturels. Ils font partie depuis des temps immémoriaux de l’écosystème de la rivière Mara. Et s’ils tuent une grande quantité de poissons, leurs carcasses abandonnées par le reflux des eaux nourrissent vautours, crocodiles, hyènes et autres charognards terrestres ou aquatiques. Les épisodes d’écoulement permettent de rincer les bassins d’hippopotames de la rivière Mara, restaurer leur valeur d’habitat pour le milieu aquatique, exporter la matière organique et les nutriments vers les eaux en aval et augmenter la productivité aquatique. En d’autres termes, la beauté de l’écosystème des grands parcs naturels de l’est africain repose aussi sur la bouse d’hippopotame et ses monceaux de poissons morts.

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Le Saviez-Vous ► Pourquoi certains animaux mangent-ils leurs crottes ?


Pas très appétissant comme menu du jour, mais certains animaux le fond pour prendre toutes les protéines et minéraux. Chez d’autres, les bébés, cela permet de parfaire dans l’intestin une communauté bactérienne saine … Cependant, chez les chiens adultes, cela est un signe d’un problème
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Pourquoi certains animaux mangent-ils leurs crottes ?

 

 

Nathalie Mayer

Journaliste

 

Manger ses crottes. L’idée même nous semble absolument répugnante. Pourtant, l’habitude est courante dans le règne animal. Et les raisons en sont assez diverses.

Parmi les animaux, la coprophagie — c’est ainsi que l’on nomme le fait de manger ses propres crottes ou celles d’autres animaux — est relativement répandue. Pour les lapins, les souris, les hamsters, les chiens, les bébés éléphants ou encore les primates — non humains, il va sans dire —, entre autres, elle est plutôt occasionnelle. Mais les bousiers — une sorte de scarabée —, par exemple, raffolent des excréments dans lesquels ils vivent et dont ils se nourrissent presque exclusivement.

 

Pour transporter leur nourriture, les bousiers peuvent rouler des morceaux d’excréments en boule. © Topi_Pigula, Pixabay, CC0 Public Domain

Pour transporter leur nourriture, les bousiers peuvent rouler des morceaux d’excréments en boule. © Topi_Pigula, Pixabay, CC0 Public Domain

Plusieurs raisons de manger des crottes

Chez diverses espèces, la coprophagie est surtout répandue chez les petits. Au moment du sevrage, plus exactement. Les bébés éléphants ou encore hippopotames mangent alors les crottes de leurs mères — ou d’autres congénères — dans le but d’ingérer les microbes qui décomposent les plantes constituant leur nouveau régime alimentaire. Une façon originale d’installer dans son intestin une communauté bactérienne saine.

Les herbivores, quant à eux, adoptent parfois des habitudes coprophages, notamment lorsque les réserves de nourriture sont restreintes. Pour eux, manger ses crottes permet de tirer le maximum des aliments disponibles en les repassant une deuxième fois dans le système digestif. De quoi assimiler plus de nutriments et de minéraux.

Un comportement essentiel chez le lapin

Les lapins, quant à eux, consomment certaines de leurs crottes — à proprement parler, il ne s’agit donc pas ici de coprophagie —, celles que l’on nomme les cæcotrophes. Celles-ci sont humides et donc plus molles que les autres. En effet, la fermentation qui dégrade la nourriture ingérée par les lapins a lieu à l’extrémité de leur système digestif. Le temps leur manque alors pour assimiler les nutriments et ils se voient contraints de rejeter des crottes bourrées de protéines, de vitamines et de minéraux. Des crottes qu’ils mangent quasi immédiatement.

 

Chez le chien, la coprophagie peut avoir des causes médicales ou comportementales. © cynoclub, Fotolia

Chez le chien, la coprophagie peut avoir des causes médicales ou comportementales. © cynoclub, Fotolia

Un comportement plus alarmant chez le chien

Si chez les lapins, manger ses crottes est normal, il n’en est pas de même chez les chiens. Certes, les chiennes ont pris l’habitude d’éliminer ainsi les excréments de leurs tout petits. Et les chiots ont parfois tendance à imiter ce comportement.

Mais s’il persiste à l’âge adulte, il est conseillé d’en chercher les causes. Il peut s’agir de causes pathologiques (carence en vitamines, présence de parasites dans le système digestif, irritation stomacale, difficulté à assimiler les aliments, etc.) ou de causes comportementales (stress, ennui, mauvais apprentissage de la propreté, etc.).

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Deux hippopotames sauvent un gnou de la mâchoire d’un crocodile


C’est impressionnant de voir qu’un gnou puisse échapper d’une mort certaine des crocs du crocodile. Les hippopotames ont-ils vraiment voulu sauver le gnou, sachant que ce n’est vraiment naturel chez eux, ou plutôt et probablement, voulu protéger leur territoire contre les deux intrus ? Quoiqu’il en soit, le gnou n’a pas servi de dîner au crocodile, mais sa survie n’est pas assuré avec cette patte mal en point
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Deux hippopotames sauvent un gnou de la mâchoire d’un crocodile

 

 

Promis à une mort certaine, un gnou a pu compter sur l’arrivée providentielle de deux hippopotames.

C’est ce qui s’appelle arriver au bon moment. En visite au Parc national Kruger, la plus grande réserve animalière d’Afrique du Sud, un couple de pensionnés a été témoin d’une scène pour le moins étonnante.

Mervyn et Tokkie Van Wyk observaient les zèbres, gnous et autres impalas se prélasser de l’autre côté de la rive lorsque l’un des gnous, qui s’était approché un peu trop près de l’eau, s’est fait happer par un crocodile qui n’en demandait pas tant.

Au bon endroit au bon moment

Luttant durant de longues minutes pour sa survie, le mammifère, blessé et probablement éreinté, était sur le point d’être emmené sous l’eau lorsque deux hippopotames sont arrivés. Après quelques secondes d’observation, les deux mastodontes se sont précipités vers le crocodile, l’obligeant à lâcher sa proie.

Altruistes les hippos? Pas vraiment

Les deux touristes ont-ils pour autant assisté à un acte héroïque des deux hippopotames? Probablement pas, estime Douglas McCauley, professeur à la University of California Santa Barbara. Comme il l’explique à National Geographic, les deux hippos, pas vraiment altruistes de nature, ont simplement défendu leur territoire. A la fois contre le crocodile qui s’est manifestement trop approché, mais aussi le gnou. En effet, les hippoptames n’apprécient que très moyennement qu’un autre animal s’invite dans l’eau, rappelle le scientifique.

L’histoire ne dit pas ce qu’il est advenu du gnou miraculé. Malheureusement, le pauvre animal n’a que peu de chances de survivre avec une patte broyée

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Les hippopotames à travers l’histoire : leur évolution dévoilée par leurs dents


Cela fait des millions d’années que les hippopotames existent, la sous-famille de nos hippo que l’ont connaît aujourd’hui seraient apparus vers les 7 millions d’années. Sauf qu’il y a un trou qu’on ne sait pas ce qui s’est passée entre -9,5 millions à -7,5 millions d’années. Des débuts de réponses ont été trouvés dans les dents de fossiles
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Les hippopotames à travers l’histoire : leur évolution dévoilée par leurs dents

 

Hippopotame

Il existe actuellement deux espèces d’hippopotames : l’hippopotame amphibie et l’hippopotame nain.

JORGE GUERRERO / AFP

Marine Van Der Kluft

 

Les hippopotames se sont soudainement développés il y a 7 millions d’années, en Afrique. Avant cela, nulle trace des pachydermes. Mais des dents fossilisées retrouvées en Ethiopie permettent d’en savoir un peu plus sur l’évolution de l’espèce.

Les hippopotames sont vieux, très vieux. Si l’homme actuel est né il y a 300.000 ans, la sous famille des Hippopotamidae, à laquelle appartient l’hippopotame tel qu’on le connaît, est apparue il y a 7 millions d’années en Afrique. Un  » boum «  dont on a retrouvé les déflagrations dans de nombreux fossiles. Avant cette explosion du nombre d’hippopotames, on trouvait surtout leurs ancêtres, les Anthracothères et les Kenyapotaminae, qui étaient alors bien moins nombreux et assez différents des hippopotames actuels. Seulement, il existe un  » trou «  dans l’intervalle allant de -9,5 millions à -7,5 millions d’années.

Il faut dire que les fossiles datant de cette période sont très peu nombreux. Sans eux, impossible de comprendre les événements évolutifs qui ont eu lieu, et notamment les raisons de l’émergence des hippopotames. Que s’est-il passé pendant cette période ? Grâce à des dents fossilisées, retrouvées par une équipe éthio-japonaise à Chorora, un site d’exploration paléontologique en Ethiopie, quelques éclaircissements sont apportées.

Une espèce de transition 

 

Ces dents d’hippopotamidae ont été datées précisément dans cet intervalle mystérieux, révèle une étude publiée le 9 juin 2017 dans le Journal of Vertebrate Paleontology. Dans le lot, on y retrouve plusieurs espèces, dont une inconnue.

Baptisée Chororatherium roobii, il s’agirait en fait du tout premier hippopotame moderne.

« Cette nouvelle espèce d’hippopotame est tellement nouvelle que nous l’avons attribuée à un nouveau genre », détaille Jean-Renaud Boisserie, auteur principal de l’étude, directeur de recherche en paléontologie au CNRS et paléontologue au Centre français des études éthiopiennes.

Grâce aux dents retrouvées, cette nouvelle espèce serait en fait la transition « entre les hippopotames primitifs, aux dents compliquées, et les hippopotames plus dérivés, dont les molaires sont plus simples » et dont font partie les hippopotames actuels.

En effet, ses dents présentent un mélange de caractères primitifs compliqués et de ceux caractéristiques de nos hippopotames.

De taille petite à moyenne, « il était déjà semi-aquatique, comme les hippopotames actuels », explique Jean-Renaud Boisserie, qui étudie les hippopotames depuis 20 ans. « Cette écologie particulière est une clef du succès de ces animaux, qui aujourd’hui ont un fort impact sur les lacs et rivières d’Afrique, dont ils modifient l’étendue, la composition chimique et par répercussion impactent la flore et le reste de la faune ».

A partir de -8 millions d’années, les hippopotames deviennent plus gros et se diversifient.

 Ils envahissent les milieux humides d’une grande partie de l’Afrique en moins d’un million d’années, « une expansion très soudaine à l’échelle des temps géologiques », rappelle Jean-Renaud Boisserie à Sciences et Avenir.

Alors pourquoi une expansion aussi rapide ?

« Nous ne sommes pas sûrs du régime alimentaire de C. roobii », mais « cette expansion coïncide avec celle des graminées tropicales en Afrique ».

Il y aurait eu coévolution entre ces herbes et les hippopotames, qui auraient bénéficié l’un de l’autre pour devenir l’animal que l’on connaît, cousin des baleines et carnivore. 

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Le Saviez-Vous ► 20 anecdotes


Des anecdotes qui ne changeront probablement rien à votre vie, mais seulement pour le plaisir d’augmenter notre savoir
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20 anecdotes à savoir

 

1. Le nom complet de Barbie est Barbara Millicent Roberts.

2. Si vous étiez capable de creuser un trou jusqu’au centre de la Terre et que vous jetiez un objet à l’intérieur, il mettrait environ 42 minutes à y parvenir.

3. La ville de New York est située plus au sud… que Rome.

4. Sur Saturne et sur Jupiter, il pleut des diamants.

5. Si l’histoire de la Terre était compressée en une année, les humains arriveraient seulement le 31 décembre à 23h58.

6. Un humain pourrait nager dans les artères d’une baleine.

7. Il y a assez d’eau dans le Lac Supérieur (Nord des Etats-Unis, dans la zone des grands lacs) pour mettre la totalité des Etats-Unis sous 30 cm de profondeur.

8. Il s’est écoulé seulement 66 ans entre le vol du premier avion et le premier pas de l’Homme sur la lune.

9. La Corée du Nord et la Finlande ont pour frontière le même pays : la Russie.

10. Les hippopotames font du lait rose.

 

11. L’animal national de l’Ecosse est la licorne.

12. La plupart des fermetures éclair sont estampillées YKK (« Yoshida Kogyo Kabushikigaisha »), le leader mondial dans la fabrication de ces pièces en métal.

13. La marque américaine de bijoux Tiffany’s & Co a été fondée en 1837, bien avant que l’Italie ne devienne officiellement un pays (1861).

14. Les pyramides de Gizeh en Egypte ont été construites à l’époque des mammouths.

15. L’université d’Harvard a été fondée en 1636, avant qu’Isaac Newton découvre une force « sans support physique », la gravitation (1667).

16. Deux des petits fils de John Tyler, le 10ème président des Etats-Unis ayant été au pouvoir entre 1841 et 1845, sont encore vivants.

17. Les Canadiens mangent environ 72 845 m² (près d’un stade de hockey) de pizza par jour.

18. Il existe des faux magasins Apple en Chine, où les employés eux-mêmes pensent qu’ils travaillent réellement chez Apple.

19. Les Pays-Bas sont en train de fermer 8 de leurs prisons en raison de l’absence de crime.

20. Le mot le plus recherché sur Yahoo et Bing est « Google ».

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Un hippopotame s’échappe d’un cirque en pleine ville


Les animaux sauvages ne devraient pas se retrouver dans des espaces confinés tels que des cirques et des zoos. Cet hippopotame ne pourra probablement jamais savoir ce qu’est la liberté des grands espaces
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Un hippopotame s’échappe d’un cirque en pleine ville

 

Un hippopotame s'échappe d'un cirque en pleine ville

L’hippopotame en fugue.Photo Gentside

Visiblement en manque de liberté, cet hippopotame s’est échappé de son cirque mercredi, le temps d’une petite balade sur un boulevard de Palos de la Frontera, au sud-ouest de l’Espagne. Bien évidemment, l’escapade n’est pas passée inaperçue, provocant la stupéfaction de nombreux passants et automobilistes.

Plusieurs vidéos et photographies partagées sur les réseaux sociaux relatent cet événement. Elles ont été capturées pendant que l’animal errait au milieu de la foule et des véhicules en stationnement. À travers les images, on peut le voir déambuler sur la route principale, s’arrêtant de temps à autre pour brouter un peu d’herbe.

UN INCIDENT SANS CONSÉQUENCE

Bien que l’hippopotame présente une envergure impressionnante, avec un poids de plus d’une tonne, celui-ci n’a causé aucun dégât matériel ou humain. Particulièrement pacifiste, il s’est contenté de tracer tranquillement son chemin, évitant les piétons.

Malheureusement pour lui et pour les témoins amusés, l’excursion n’a pas duré longtemps. Les autorités et responsables du cirque l’ont retrouvé immédiatement. Après quelques réprimandes, l’hippopotame a été ramené dans son enclos.

Pour le moment, l’identité de l’animal et les circonstances de son évasion n’ont pas été révélées. Le cirque ayant préféré rester discret au sujet de cet incident. Pour les défenseurs des animaux, cette fugue est toutefois révélatrice du désir de grands espaces de ces spécimens.

DES CONDITIONS D’EXPLOITATION INCOMPATIBLES

Comme beaucoup de spécimens sauvages, cet hippopotame possède des besoins naturels dont il est privé en raison de son mode de vie dans le milieu du cirque. L’animal ne connaitra surement jamais les bienfaits du soleil d’Afrique pour se réchauffer ou encore celui des vastes entendues d’eau dans lesquelles se rouler.

Parce que les cirques ne peuvent offrir à  leurs pensionnaires une telle qualité de vie, l’exploitation d’animaux sauvages est de plus en plus contestée. Certains pays comme la Grèce, l’Autriche ou encore le Pérou ou la Colombie ont même interdit cette pratique au niveau national.

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La seiche flamboyante a des airs de pachyderme


Après avoir vue le lapin de mer voici une sèche qui a une belle allure. Ressemblant à des animaux terrestres Mignonne oui, mais aussi toxique
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La seiche flamboyante a des airs de pachyderme

 

CURIOSITÉ. De par sa couleur violacée, ses grands yeux noirs sous des arcades saillantes, ainsi que sa façon de se déplacer lentement sur le sol, la seiche flamboyante (Metasepia pfefferi) ressemble à un petit hippopotame…

En plus mignon. Il faut dire que le céphalopode est aussi doté de petits « bras », dont deux qu’elle tient en l’air et recourbés, comme un éléphanteau qui joue avec sa trompe. Mais attention, sous ses airs adorables se cache un animal toxique. Ses couleurs vives et mobiles, ainsi que sa façon originale de se déplacer sur le fond de l’eau, en « marchant » sur la pointe de deux bras tout en agitant rapidement le bord de son manteau (la sorte de petit voile transparent qui dépasse de son corps), seraient en réalité un moyen de prévenir ses éventuels prédateurs du danger.

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Mort de l’hippopotame qui "pleurait" après son accident


Quelle triste fin pour un hippopotame de mourir sur une route asphaltée en voulant sauté d’un camion en marche. Il est clair qu’en plus de l’imbécilité d’avoir des animaux sauvages pour épater la galerie, ils n’avaient pas les moyens de le transporter avec efficacité
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Mort de l’hippopotame qui « pleurait » après son accident

Lors du premier accident, des images à la télévision avaient montré l’hippopotame couché par terre, où il est resté plusieurs heures. Photo : AFP

Les images de cet hippopotame avaient fait le tour du monde après un accident qui l’avait laissé blessé sur une route de Taïwan vendredi dernier. A Ho est finalement mort ce lundi, après avoir subi un second accident.

Selon les premiers résultats de l’autopsie pratiquée au zoo de Taipei, A Ho serait mort des conséquences de sa première chute. Photo : AFP

Son sort a ému tout un pays. Un hippopotame est mort ce lundi à Taïwan, victime de deux accidents successifs. A Ho, c’est son nom, a tout d’abord sauté d’un camion en marche puis a de nouveau chuté, quand le conteneur le transportant s’est renversé.

A l’annonce du décès de l’animal, le ministre de l’Agriculture taïwanais en personne a critiqué le propriétaire du ranch où vivait l’animal pour sa négligence. Le parquet envisageait même des poursuites à son encontre. A Ho était l’une des principales attractions de son ranch, et était même apparu il y a quelques années dans une populaire série télévisée.

Son conteneur s’est écrasé au sol

Selon les premiers résultats de l’autopsie pratiquée au zoo de Taipei, A Ho serait mort des conséquences de sa première chute. Pris de panique, il avait sauté vendredi hors du camion qui le transportait, se cassant une patte. Ensuite, le sort s’est acharné sur l’hippopotame : alors qu’il était ramené à son ranch pour être soigné, son conteneur s’était écrasé au sol d’une hauteur de deux mètres, après la rupture du câble d’un treuil.

Lors du premier accident, des images à la télévision avaient montré l’énorme animal, couché par terre, où il est resté plusieurs heures, un liquide blanc coulant de ses yeux. Suscitant l’émotion des Taïwanais et même à travers le monde, le liquide donnant l’impression que l’animal pleurait.

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