Les dangers d’un sac à main trop lourd


Il est vrai que bien des femmes ont tout dans leur sac à main et bien souvent des choses inutiles. Personnellement, je préfère les sacs avec bandoulières, que porter sur les épaules
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Les dangers d’un sac à main trop lourd

 

Les dangers d'un sac à main trop lourd

Les dangers d’un sac à main trop lourd

Un sac lourd peut provoquer des douleurs au dos, au cou, aux épaules, aux articulations, et aggraver les problèmes de dos.

Si vous portez un sac à main, il est probable que la moitié de votre vie tienne dedans. Portefeuille, téléphone, clés, trousse de maquillage, bloc-notes, stylos, livre à lire dans les transports, écouteurs, dossiers du bureau… la liste des objets que nous arrivons à y glisser est longue. Résultat : notre sac à main frôle les 3 kg. Ce fourre-tout surchargé n’est pas seulement gênant, il peut devenir dangereux pour notre santé.

D’après le docteur Sabrina Stickland, chirurgien orthopédiste à l’hôpital de chirurgie de New York, interrogée par le Time, « lorsque vous portez un sac lourd sur l’épaule, vous devez en quelque sorte soulever l’épaule en question, ou vous pencher sur le côté pour éviter qu’il tombe. Donc, aussi longtemps que vous tenez ce sac, votre colonne vertébrale est courbée ».

Selon la spécialiste, ce désalignement peut entraîner des douleurs dans le dos, le cou, les épaules et les muscles, des douleurs articulaires, et l’aggravation d’hernie discale. Chez les enfants, il peut provoquer une scoliose.

Les solutions pour protéger son dos

Une étude de 2013 publiée par le Journal of Physical Therapy Science a également révélé que le fait de porter toujours son sac d’un même côté peut affecter la façon dont nous marchons. Afin de limiter les dégâts, vous pouvez suivre ces quelques conseils.

  •  Répartissez le poids uniformément sur les deux épaules, avec un sac à dos, ou un sac à main et un tote bag pour les dossiers et les livres. De cette façon, on évite l’asymétrie.
  • Diminuez la charge que vous transportez. Avez-vous réellement besoin de chaque objet qui se trouve dans votre sac ? D’après les spécialistes du Time, un sac à main ne devrait jamais dépasser 10% du poids corporel. Pour vous en assurer, pesez-vous sur votre balance, puis tenez votre sac et faites le calcul. Cette technique vous permet de vous assurer que tout le sac est pesé correctement, et de vous ajuster en conséquence.
  • Pensez au sac en bandoulière. Le sac à dos reste le meilleur choix, le plus ergonomique. Mais si vous optez pour un sac en bandoulière et que vous changez de côté régulièrement pour égaliser la charge sur les épaules, votre corps sera déjà soulagé.
  • Renforcez-vous ! Quel que soit le poids de votre sac à main, renforcer le centre du corps permet de se tenir droit et d’éviter tout problème d’alignement. Vous pouvez donc ajouter quelques exercices comme la planche, les renforcements des obliques, et les renforcements du dos à votre routine d’entraînement. Vous améliorerez ainsi votre posture, et limiterez les éventuels dommages causés par le sac. 

 

Auteur: Elena Bizzotto

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Chine: l’acupuncture, c’est aussi pour les chiens


Avant j’étais septique pour l’acupuncture, mais quand j’ai vue ce que cela avait fait pour une personne de mon entourage, je n’ai plus de doute. Offrir à un animal de compagnie aux prises avec des blessures sérieuses, une hernie discale ou une paralysie, parait le soumettre à des tortures, mais il semble que cela fonctionne
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Chine: l’acupuncture, c’est aussi pour les chiens

 

Solidement attaché, le petit bouledogue brun de 8 mois gémit avec inquiétude... (PHOTO THINKSTOCK)

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Agence France-Presse
Shanghai

Solidement attaché, le petit bouledogue brun de 8 mois gémit avec inquiétude lors d’une séance d’acupuncture dans une clinique de Shanghai, un soin vétérinaire en développement en Chine pour les chiens victimes de paralysie.

Le petit Danjiao («Ravioli d’oeuf») serait probablement plus à l’aise en train de mâchouiller tranquillement un os: harnaché sur une structure rappelant celle d’un instrument médiéval de torture, il assiste impuissant à l’insertion dans ses chairs de longues aiguilles alimentées par du courant électrique.

Mais l’acupuncture peut constituer une alternative à l’euthanasie, le sort qui attend bien souvent les animaux atteints de graves blessures de la moelle épinière ou du système nerveux, assure Jin Rishan, docteur à la Clinique de médecine traditionnelle chinoise de Shanghai.

«Nous avons de plus en plus de clients», explique M. Jin, 53 ans, dont le Centre de neurologie et d’acupuncture vétérinaire accueille 20 patients à pattes en moyenne chaque jour.

Le service tourne à plein régime et envisage de s’agrandir.

De nombreux chiens souffrent de blessures du dos ou de lésions de la moelle épinière qui peuvent les rendre inaptes à la marche. Plusieurs races comme les bouledogues, les bergers allemands, les collets ou les bassets sont particulièrement exposés.

«Soixante-dix pour cent des animaux ici souffrent de hernie discale, une maladie qui peut mener à la paralysie des membres postérieurs voire de l’ensemble des quatre pattes», explique le docteur Jin, pour qui l’acupuncture est «plus efficace» que les techniques modernes.

«La médecine occidentale ne peut pas faire grand-chose dans ces cas-là», déclare-t-il.

La méthode semble en tout cas fonctionner pour «Ravioli d’oeuf». Le pauvre canidé était complètement paralysé après avoir une lourde chute sur le dos.

«Après trois jours d’acupuncture, il a petit à petit été capable de ramper sur ses pattes avant. Et au septième jour, il a pu boitiller sur ses quatre jambes», explique son maître Michael Xu.

Aujourd’hui, les chiens – mais aussi quelques chats – défilent dans la clinique shanghaïenne, des grands labradors noirs aux minuscules caniches nains, portés par leurs maîtres ou transportés dans des poussettes.

«Dans le passé, les Chinois avaient une idée assez vague de la notion d’animal de compagnie», explique le docteur Jin Rishan.

«Mais aujourd’hui, beaucoup les adorent. Ils les considèrent comme un compagnon ou un membre de la famille.»

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Le syndrome de la queue de cheval, une urgence peu connue


Voici un autre syndrome qui n’est pas banal et qui demande des traitements médicaux
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Le syndrome de la queue de cheval, une urgence peu connue

 

 

Le syndrome de la queue de chevalaffecte les vertères lombaires L1 à L5 et le sacrum decade3d-anataomy online /shutterstock.com

Le syndrome de la queue de chevalaffecte les vertères lombaires L1 à L5 et le sacrum decade3d-anataomy online /shutterstock.com

Le syndrome de la queue de cheval se caractérise par une douleur irradiant les racines nerveuses dans le bas du dos, dans les membres inférieurs et le périnée. Les facteurs de risque (tumeur, hernie discale, lombalgie) sont multiples. L’approche thérapeutique en revanche est unique : seule la chirurgie permet de lever cette compression des nerfs.

Le syndrome de la queue de cheval se caractérise par une compression des nerfs en bas de la colonne vertébrale. La zone concernée s’étend précisément des vertèbres lombaires L1 à L5, situées dans le bas du dos, et descend jusqu’au sacrum. Dissimulées sous la moelle épinière, ces racines nerveuses ont la forme d’une queue de cheval.

Différents symptômes caractérisent ce syndrome. Des douleurs radiculaire et rachidienne, appelées syndrome rachidien, entraînent un déficit sensitif et moteur. Des troubles sphinctériens (incontinence, perte des besoins et de la sensation d’urinerconstipation, impuissance) sont également rapportés. Des atteintes neurologiques comme une paralysie flasque (sans spasticité) des membres inférieurs sont aussi fréquentes.

Quels facteurs de risque ?

Le syndrome de la queue cheval est multifactoriel. Il peut se développer chez les patients atteints d’un cancer, lorsque les métastases sont localisées dans le canal rachidien, ou d’un neurinome (tumeur intradurale la plus fréquente au niveau lombaire). Autres facteurs de risque, la hernie discale.

Enfin, l’hématome épidural provoque une lombalgie, mécanisme qui favorise aussi ce syndrome. Cet hématome peut survenir après une ponction lombaire, une anesthésie du rachis ou chez les patients souffrant de troubles de la coagulation (thrombopénie, traitement anti-vitamine K).

Du diagnostic aux traitements 

Le syndrome de la queue de cheval peut être diagnostiqué par une radiographie ou un scanner mais l’IRM reste l’examen de premier choix. Le traitement s’effectue par chirurgie afin de lever la compression nerveuse. Si aucun signe infectieux ne survient après l’intervention, un traitement par corticothérapie est mis en place.

En cas de tumeur maligne osseuse, la radiothérapie est le traitement de référence, associée en urgence à la corticothérapie lorsque la chirurgie n’est pas envisageable ou après l’opération.  Les tumeurs intradurales et les hernies discales font elles aussi l’objet d’une intervention chirurgicale.

Mais la chirurgie ne fait pas tout. Dans les cas aigus, malgré une prise en charge dans les 6 heures, 30% des patients auront des séquelles invalidantes : troubles sphinctériens et sexuels.

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DOCTEUR, J’AI SOUVENT MAL DANS LE BAS DU DOS


Les mal de dos … souvent invalidantes et difficile de faire sa petite routine .. Faire la différence entre ces maux et au besoin d’aller consulté si cela devient plus difficile a supporter et qui ne semble pas s’atténuer
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DOCTEUR, J’AI SOUVENT MAL DANS LE BAS DU DOS

 

Docteur, j'ai souvent mal dans le bas du dos

Très fréquentes, les douleurs dans le bas du dos, appelées lombalgies, touchent les vertèbres lombaires. 

Le plus souvent bénigne, la douleur dans le bas du dos disparaît spontanément en quelques semaines. Mais parfois, elle perdure.

Pourquoi, quelles sont les causes possibles et quand consulter lorsque l’on souffre dans le bas du dos?

On distingue trois types de lombalgie: aiguë, subaiguë et chronique
  • Lorsque la douleur dure environ 1 mois, elle est dite aiguë et l’on parle de lumbago (tour de reins).
    Bien qu’elle soit de courte durée, cette douleur peut être très intense et invalidante.
  • Une douleur qui persiste entre 1 et 3 mois tout en s’accompagnant de périodes d’accalmie est dite lombalgie subaiguë.
  • Enfin, la lombalgie chronique désigne une douleur progressive et qui persiste ou récidive durant plus de 3 mois.
Quelles sont les causes possibles de lombalgie ?

La lombalgie aiguë est le plus souvent causée par une blessure au dos, induite lors de la pratique d’un sport, d’un travail physique, en tentant d’atteindre un objet placé en hauteur ou en voulant soulever une charge trop lourde.

Dans 90% des cas, ces situations n’entraînent pas de lésions et la douleur dans le bas du dos disparaît spontanément en quelques semaines.

Plus rarement, il arrive que ces blessures induisent des lésions au niveau des disques intervertébraux, des vertèbres, des muscles, des ligaments, etc., d’où la persistance de la douleur et la nécessiter de consulter pour identifier la cause.

Parmi les causes les plus fréquentes :

  • Une lésion d’un muscle, d’un tendon ou d’un ligament.
    C’est souvent le cas lors d’une torsion inhabituelle ou lors de la réalisation de mouvements répétitifs.
  • Une hernie discale ou glissement d’un disque intervertébral qui, en faisant sailli à l’extérieur, comprime un nerf, notamment le nerf sciatique.
    Les mauvaises postures sont fréquemment à l’origine d’une hernie discale, mais également le surpoids, la grossesse et la dégénérescence discale.
  • Une dégénérescence discale, liée au vieillissement des disques et qui s’observe plus particulièrement chez les personnes de plus de 60 ans certains sportifs ou chez les personnes exerçant des activités faisant pression sur la colonne vertébrale.
  • Une malformation de la colonne vertébrale.
  • Un tassement des vertèbres lié à l’ostéoporose.
  • De l’arthrose et de l’arthrite, certains traumatismes inflammatoires pouvant causer des douleurs et des raideurs dans le bas du dos.
Symptômes et causes de la lombalgie…
  • Douleur subite avec contraction musculaire après le port d’une charge lourde ou après un faux mouvement: il s’agit souvent d’une lésion musculaire, d’une entorse ligamentaire ou du déplacement d’un disque.
  • Douleur irradiant dans la ou les jambes s’intensifiant lors de la toux ou à l’effort: sciatique.
  • Une douleur matinale nécessitant un « déverrouillage »: arthrose, lésion musculaire.
  • Une douleur intense nocturne: inflammation, tumeur…
Mal dans le bas du dos: quand consulter?
  • Lorsque la douleur perdure, afin de rechercher la cause et éviter qu’elle ne devienne chronique.
  • Lorsque la douleur résiste aux traitements habituels: analgésiques,anti-inflammatoires
  • Après un traumatisme: chute, coup sur le dos…
  • En cas de symptômes associés: troubles intestinaux, urinaires, douleurs thoraciques, perte de poids inexpliquée, fièvre, perte de sensibilité des organes du bassin, etc.

Et si c’était un syndrome de la queue de cheval?

Une douleur dans le bas du dos, associée à une perte de sensibilité partielle dans les organes génitaux et les membres inférieurs, évoque un syndrome de la queue de cheval (compression des nerfs localisés en dessous de la 2e vertèbre lombaire).

Il faut consulter en urgence.

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