21 rares bébés animaux


Des bébés, c’est toujours beaux, même chez les animaux. Ces bébés pour la plupart sont probablement inconnus, c’est une chance de voir via le net, la beauté animale
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21 rares bébés animaux

 

1. Bébé pieuvre dumbo

2. Bébé tapir

3. Bébé fennec

4. Bébé pangolin

5. Bébé chat marsupial

6. Bébé pudu

7. Bébé musaraigne éléphant

8. Bébé chauve-souris blanche

9. Bébé oryctérope du cap

10. Bébé chat marsupial

11. Bébé phalanger volant

12. Bébé tarsier

13. Bébé dik-dik

14. Bébé okapi

15. Bébé échidné

16. Bébés renards à oreilles de chauve-souris

17. Bébé tatou

18. Bébé goundi

19. Bébé aye-aye

20. Bébé mara

21. Bébés hérissons

https://www.ipnoze.com

9 animaux qui ont trouvé des endroits très étranges pour dormir


Les animaux trouvent parfois de bien drôle d’endroit pour faire leur petit roupillon.
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9 animaux qui ont trouvé des endroits très étranges pour dormir

 

1. « C’est mon lit à partir de maintenant! »

Imgur

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2. « En dehors de l’odeur de transpiration des pieds, c’est l’endroit idéal pour dormir! »

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3. « Il y a des endroits pires pour dormir …. »

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4. « C’est mon pain maintenant! »

Imgur/MichaelBallman

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5. « Les bottes sont destinées à marcher – et à être portées »

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6. « Moi et l’eau – je suis chat, et je n’aime pas l’eau! »

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7. « Une piña colada de plus, s’il vous plaît! »

Pinterest

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8. « Qu’est-ce qui a commencé à pousser dans le jardin du voisin? »

Facebook/Nothing But Kitty Cats

Facebook/Nothing But Kitty Cats

9. « Je suis une fleur- je suis beau n’est-ce pas? »

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http://incroyable.co/

Les hérissons ont réussi à s’adapter à la vie en ville


Dans les villes, certains animaux sauvages y trouvent à son compte pour survivre. La moufette, les ratons-laveurs, mais aussi les hérissons se sont très bien adaptés à la vie urbaine
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Les hérissons ont réussi à s’adapter à la vie en ville

 

En ville, le hérisson quitte son nid vers minuit | hedera.baltica via Flickr CC License by

En ville, le hérisson quitte son nid vers minuit | hedera.baltica via Flickr CC License by

Repéré par Camille Malnory

Des chercheurs ont découvert que les hérissons des villes se sont plutôt bien intégrés.

Les hérissons ont délaissé les bois pour venir s’installer en milieu urbain. Forte de ce constat, une équipe de chercheurs de l’Université de Hambourg a choisi d’étudier l’adaptation des petites créatures à piquants à l’environnement humain afin de pouvoir mieux les protéger, signale le blog Gizmodo. Il apparaît qu’ils se sont plutôt bien intégrés, comme le montre leur étude présentée cette année devant la Society for Experimental Biology Annual Meeting.

En attachant des capteurs de température à des hérissons sauvages, les chercheurs se sont aperçus que les érinacéidés des villes ont conservé une hibernation similaire à celle de leurs comparses des champs malgré un accès continu à la nourriture et un habitat considérablement réduit (5 hectares, contre 50 dans la nature). Leur comportement s’est également transformé. À l’origine, l’animal est semi-nocturne, c’est-à-dire qu’il chasse alors que la nuit tombe. L’étude démontre qu’en ville il quitte son nid vers minuit, une fois que les jardins et parcs sont vides de tout animal domestique et présence humaine.

Cette adaptabilité surprenante nécessite tout de même un environnement particulier.

 D’après la docteure Lisa Warnecke, qui a dirigé l’étude, les hérissons des villes ont «besoin d’accéder à des parcs et des jardins ayant suffisamment d’espaces naturels et de buissons pour construire un nid et hiberner. Ce type d’habitat est primordial pour eux».

La ville reste cependant hostile à ces petits mammifères à cause du poison pour nuisibles, des clôtures, des outils susceptibles de les blesser et de l’homme lui-même, qui a une fâcheuse tendance à les déloger. Actuellement, plusieurs associations attirent l’attention sur la fragilité de l’espèce. 

http://www.slate.fr/

Après les chats, les lapins ou les chouettes, un café à hérissons s’est ouvert à Tokyo


J’aime les cafés ayant des chats, mais un hérisson !! C’est d’aller contre sa nature. D’abord, c’est un animal qui doit vivre en état sauvage et il dort le jour et hiberne l’hiver, de quoi a stresser l’animal de se faire tripoter pas tout le monde à toute heure de la journée
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Après les chats, les lapins ou les chouettes, un café à hérissons s’est ouvert à Tokyo

 

 

Par Gouty Félix

« Harry » est le nom d’un nouveau bar à animaux, ouvert en février 2016 à Tokyo. Cette fois, les vedettes attendrissantes de ce café sont des hérissons. Et c’est malheureusement une fausse bonne idée.

 

ÉPINES. Voilà un lieu de détente qui devrait plaire à tous les fans du célèbre personnage de jeux vidéo Sonic… En février 2016, s’est ouvert un nouveau bar à animaux à Tokyo. Avec déjà des bars à chats, à chiens ou à chouettes, « Harry » est le premier café à hérissons de la capitale nippone. Son nom est dérivé de « harinezumi« , qui veut dire « hérisson » en japonais. Café très prisé depuis son ouverture, il est situé dans le quartier Roppongi, un quartier « chaud » la nuit mais très fréquenté par les touristes le jour. Outre le prix des consommations, passer une heure à cajoler l’un des 30 petits mammifères (ils sont « à disposition » sur place) coûte environ 1.000 Yens, soit 8 € (près de 12 $ cad). Le principe d’un tel lieu peut paraître attrayant... Il peut néanmoins faire tiquer ! Car les hérissons ne sont pas des animaux domestiques. En outre, ils sont nocturnes ou semi-nocturnes, donc supportent mal la vie en plein jour, et ont besoin d’hiberner chaque année à la fin de l’automne. Deux règles qu’auront du mal à respecter les propriétaires du bar.(…)

http://www.sciencesetavenir.fr/

Découverte de fossiles de tapir et de hérisson en C.-B


Deux mammifères complétement différents vieux de plusieurs millions d’années mais après l’extinction des dinosaures ont été retrouvés et grâce a la technologie, ils ont pu identifier l’espèce qui s’était incrusté dans une roche
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Découverte de fossiles de tapir et de hérisson en C.-B

 

Le tapir et le hérisson dans une reconstitution de leur milieu de vie, il y a 52 millions d’années. Photo :  CBC/Julius T. Csotonyi

Les mâchoires fossilisées de deux mammifères préhistoriques ont été découvertes lors de fouilles archéologiques dans le parc provincial du canyon Driftwood, en Colombie-Britannique.

Le fruit des fouilles menées en 2010 et 2011 par le biologiste David Greenwood, de l’Université Brandon, fait la une de l’édition de juillet du Journal of Vertebrate Paleontology, une publication américaine.

Les deux mammifères ont vécu il y a 52 millions d’années en Amérique du Nord, soit 13 millions d’années après l’extinction des dinosaures. L’un d’entre eux est un parent d’une ancienne espèce de tapir. Il était toutefois deux fois moins gros que les tapirs contemporains : il aurait eu environ le poids et la grandeur d’un chien de grosseur moyenne.

L’autre animal est un parent du hérisson, et il aurait été plus petit qu’une souris, d’une longueur d’environ 5 cm. Les chercheurs estiment qu’il avait environ la taille d’un pouce humain. Il serait parmi les plus petits hérissons jamais découverts.

Les scientifiques ont donné à cette nouvelle espèce le nom de Silvacola acares, ce qui signifie « petit habitant de la forêt ».

En comparaison, les plus petits hérissons contemporains mesurent de 10 cm à 15 cm. Leurs proches cousins, les musaraignes, ont quant à eux une longueur d’environ 46 cm.

De rares fossiles de cette époque au pays

Selon David Greenwood, peu de fossiles de l’époque de l’Éocène (il y a de 55 à 34 millions d’années) ont été auparavant découverts au Canada.

Cette découverte se démarque également parce que l’époque à laquelle ces mammifères ont vécu marquait l’apogée du réchauffement climatique préhistorique, une période qui a vu une importante réorganisation de la faune et de la flore.

« Nous pouvons mieux comprendre comment la Terre a fait face à un problème qui resurgit maintenant », a déclaré David Greenwood.

Utilisation de la technologie

L’utilisation de récentes technologies a été nécessaire pour arriver à identifier le petit hérisson. Le minuscule fossile de mâchoire était pris dans le roc, et il était impossible de l’en extraire.

Natalia Rybczynski, une scientifique du Musée canadien de la nature à Ottawa, a donc envoyé le fossile à l’Université Penn State, en Pennsylvanie, aux États-Unis. Il a alors été passé dans un scanneur à haute résolution, une technique de plus en plus utilisée pour étudier des fossiles enfouis dans du roc.

Elle a ensuite fait faire un modèle informatique en 3D par un animateur qui oeuvre dans le domaine du cinéma et de la télévision. Les résultats ont été envoyés à Jaelyn Eberle, du Musée d’histoire naturelle de l’Université du Colorado, qui a finalement identifié le petit animal, après l’avoir comparé à d’autres fossiles.

http://ici.radio-canada.ca

Quand un chat se frotte un hérisson… et s’y pique !


De plus en plus nos animaux domestiques tels que les chats et les chiens ont des compagnons de plus en plus exotiques (qui pour ma part devrait rester en liberté) alors ils apprennent a cohabiter
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Quand un chat se frotte un hérisson… et s’y pique !

 

Crédits photo : mamoth100 – Youtube

Par Sophie Le Roux

Tout le monde le sait, les hérissons piquent. Tout le monde sauf ce chat, une femelle Ragdoll âgée de 8 mois ayant encore beaucoup de choses à apprendre !

Lily s’est donc approchée sans se méfier de la petite Lucy, un hérisson pygmée d’Afrique ayant investi son canapé. Intriguée, la chatte commence par toucher du bout de la patte cette étrange créature…
Mais bien vite elle comprend qu’il ne vaut mieux pas essayer de caresser un hérisson, et encore moins de s’asseoir dessus !

Lily devra trouver un autre moyen de faire connaissance avec sa piquante mais adorable colocataire !

Il est bien connu qu’on ne règle pas un problème en s’asseyant dessus !

http://wamiz.com/

Le chien et le hérisson, ou la naissance d’une amitié


Il faut avouer que c’est vraiment mignon, malgré qu’un hérisson ne devrait vraiment pas être un animal de compagnie … et devrait vivre en liberté au près des siens
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Le chien et le hérisson, ou la naissance d’une amitié

 

Besoin d’un peu de douceur et de tendresse pour illuminer votre journée ? Rien de plus simple ! Nous avons exactement ce qu’il vous faut.

Prenez un magnifique chien, un Spitz blanc comme neige par exemple, puis présentez-lui un petit hérisson. Regardez-les se jauger, faire connaissance, puis devenir amis. Et voilà, le tour est joué !

Voici donc le chien Nimbus, aussi doux que gentil, et le hérisson Poki-Hontas, aussi mignon que piquant ! Il ne leur aura fallu que quelques minutes pour devenir inséparables.

Le petit Poki-Hontas aime tout particulièrement se cacher dans la fourrure de son copain canin, et celui-ci ne s’en plaint pas. Bien au contraire. Il semble ravi d’avoir un tout petit copain avec lequel partager son quotidien.

Postée sur Youtube il y a 4 jours, cette vidéo terriblement attendrissante a déjà fait le tour du web, faisant au passage fondre le coeur de près de 230 000 internautes.

http://wamiz.com

Des animaux adorables dans des tasses


Comme les humains, les bébés animaux sont craquants et on aime certaines mise en scène l’instant d’une photo
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Des animaux adorables dans des tasses

 

Préparez-vous à fondre pour ces animaux pris en photo dans des tasses, bols et autres coupes. Plus à croquer qu’à boire, ces chats, canards et autres animaux ont été trouvés par Le Huffington Post américain sur les différents réseaux sociaux.

Imgur via reddit

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http://www.huffingtonpost.fr

Quand un chaton rencontre un hérisson


Une belle vidéo qui fait craquer toutes personnes aimant les animaux. Un chaton très curieux voit pour la première fois un hérisson. Chaton est sur ses gardes car les piquants d’un hérisson … ca pique
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Quand un chaton rencontre un hérisson

 

 

Faites connaissance avec Loki le chaton et Harley le hérisson, un duo adorable, devant lequel il est absolument impossible de ne pas fondre.

La petite boule de poils et la petite boule de piquants se rencontrent visiblement pour la première fois, et apprennent à se connaître, s’observant l’un l’autre avec autant de méfiance que de curiosité.

Loki est bien sûr très intrigué par son drôle de copain, et apprend bien vite le sens propre de l’expression « qui s’y frotte s’y pique » !

Merci à Harvey et Loki pour ces si jolies images ! Quelque chose nous dit que ces deux là ne tarderont pas à devenir les meilleurs amis du monde.

 

http://wamiz.com

Le porc-épic pris en modèle pour des piqûres indolores


Est-ce que nos hérissons d’Amérique vont donner des idées aux chercheurs pour créer des aiguilles aussi pénétrante mais moins douloureuses .. car nombre d’entre nous détestent les piqures .. et pour les enfants la vue d’une seringue ne serait peut-être plus synonyme d’horreur
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Le porc-épic pris en modèle pour des piqûres indolores

 

National Park Service

Les piquants du porc-épic d’Amérique ( Erethizon dorsatum ) sont plus difficiles à retirer de la peau que ceux des porcs-épics africains.

Des chercheurs ont analysé pourquoi les épines de porc-épic rentrent si facilement dans la peau. Des informations qui pourront servir à réaliser des aiguilles de seringue qui font moins mal.

Le porc-épic d’Amérique du Nord a une particularité que ne partagent pas les porcs-épics d’Afrique, les hérissons, les échidnés et autres animaux dotés de piquants: chacune des 30.000 épines qu’il porte sur son dos est dotée d‘écailles microscopiques qui rendent très difficile leur extraction une fois plantées dans la peau. En étudiant la structure de ces épines, des chercheurs américains ont constaté que ces microreliefs rendaient aussi plus facile leur pénétration dans les tissus, une particularité très intéressante pour la conception d’aiguilles de seringues moins douloureuses pour les patients.

Vue au microscope électronique de la structure d'une pointe de porc-épic africain (en haut) et d'un porc-épic américain (en bas). Crédit: PNAS.
Vue au microscope électronique de la structure d’une pointe de porc-épic africain (en haut) et d’un porc-épic américain (en bas). Crédit: PNAS.

L’équipe de scientifiques, dirigée par Jeffrey Karp de la Harvard Medical School à Boston, a mesuré très finement les forces nécessaires pour enfoncer des aiguilles dans divers types de tissus biologiques, comme de la peau de cochon et du muscle de poulet. Parmi les échantillons testés figuraient deux épines de porc-épic nord-américain, dont une très légèrement poncée pour retirer le relief en écailles, une épine de porc-épic d’Afrique et une aiguille médicale en acier de même diamètre.

Le piquant de l’animal africain avait sensiblement le même comportement que l’aiguille métallique, à la fois pour entrer et pour sortir de la peau et du muscle. Comme prévu, la pointe de l’animal nord-américain a nécessité une force 100 fois supérieure à celle de l’aiguille en acier lors de son extraction des tissus, montrant l’efficacité des écailles, qui agissent comme les barbules d’une pointe de flèche ou d’un hameçon.

Comme les dents d’un couteau

En revanche, les chercheurs ne s’attendaient pas à ce que l’aiguille du porc-épic américain entre aussi facilement dans la peau, nécessitant une force deux fois plus faible pour atteindre une même profondeur qu’une aiguille métallique. En analysant au microscope une coupe de peau pénétrée par l’épine de l’animal, ils ont constaté que l’entaille était très nette, alors qu’une pointe lisse entraîne des déchirures plus grossières. Les écailles de la pointe agissent en fait comme les dents d’un couteau et facilitent la découpe des tissus.

Par moulage, les chercheurs ont réussi à reproduire ces étonnantes microstructures propres au gros rongeur nord-américain sur des pointes en plastique, ce qui ouvre la voie à diverses applications pour réaliser du matériel médical.

«De la même manière que le biomimétisme a permis d’inventer le Velcro en s’inspirant des crochets des graines de bardane, ou de produire des adhésifs à partir des pattes de gecko, le porc-épic pourrait servir de modèle pour des applications biomédicales diverses», concluent les scientifiques dans leur étude publiée en ligne lundi dans les Comptes rendus de l’Académie américaine des sciences (Pnas).

En plus des aiguilles plus pénétrantes pour des seringues ou des gros trocarts, qui servent pour faire des ponctions, les chercheurs imaginent aussi des systèmes d’accroches pour rapprocher les tissus, afin d’éviter les sutures par exemple.

http://sante.lefigaro.fr/