La peur des vaccins menace officiellement la santé mondiale


Les campagnes d’anti-vaccin risquent de faire reculer les avantages des maladies qui avaient quasi disparu. Plusieurs décident de ne pas vacciner croyant que cela fait plus de tort que de bien. Des maladies comme la rougeole reviennent à la surface, et pourtant les vaccins ont sauvé des millions de vies
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La peur des vaccins menace officiellement la santé mondiale

 

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par Brice Louvet, rédacteur scientifique

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) vient de lister dix des problèmes qui nécessiteront le plus d’attention en 2019. Et parmi eux figure le refus de vacciner, qui menace d’inverser les progrès accomplis dans la lutte contre certaines maladies évitables.

L’OMS estime que la vaccination permet actuellement de prévenir 2 à 3 millions de décès par an. Elle considère également qu’environ 1,5 million de décès en plus pourraient être évités si la couverture mondiale de la vaccination venait à s’améliorer. Une étude publiée il y a un peu plus d’un an suggérait de son côté que depuis 2001 et d’ici 2020, les programmes de vaccination (hépatite B, papillomavirus, rougeole, fièvre jaune, rubéole, ou encore trois souches bactériennes qui causent la pneumonie et la méningite) auront permis de sauver près de vingt millions de vies dans les pays les plus pauvres.

Une méfiance envers les vaccins

Malheureusement, des campagnes anti-vaccins circulent depuis quelques années en nombre sur Internet, menant de nombreuses personnes à se méfier des vaccins. Une certaine complaisance semble également s’être installée, notamment à l’égard de la rougeole qui fait son grand retour. L’année dernière, le nombre de cas de rougeole signalés a augmenté de plus de 30 % dans le monde. Tous ces facteurs contribuent aujourd’hui à faire hésiter beaucoup de personnes à se faire vacciner, si bien que les nombreux progrès enregistrés au cours de ces dernières décennies pour tenir en échec des maladies facilement évitables pourraient bien ralentir.

rougeole

Les cas de rougeole se multiplient dans le monde. Crédits : Wikimedia Commons

En ce sens, l’OMS prend le problème très au sérieux, et exhorte les agents de santé à conseiller les moins informés en matière de couverture et de composition vaccinales. L’organisation note également son intention d’intensifier ses efforts de lutte contre le cancer du col de l’utérus, en augmentant la couverture du vaccin contre le VPH (en prenant exemple sur l’Australie). Des vaccins contre la polio devraient également être distribués en Afghanistan et au Pakistan pour tenter d’endiguer complètement la maladie.

Les principales menaces

Parmi les autres menaces qui pèseront en 2019 sur la santé mondiale figurent également la pollution atmosphérique, ou encore les problèmes de diabète, le cancer et les maladies cardiovasculaires. Une pandémie de grippe est également source d’inquiétudes : « la seule chose que nous ne savons pas, c’est quand elle va frapper et quelle sera sa gravité », peut-on lire dans le rapport. La résistance aux antibiotiques fait elle aussi partie des préoccupations, tout comme la dengue, qui sévit depuis des décennies. L’OMS compte également renforcer les soins médicaux primaires dans les pays pauvres. Vous pouvez voir le rapport complet ici.

Source

https://sciencepost.fr/

Le Saviez-Vous ► Les virus et bactéries les plus mortels pour l’Homme


 

Il est bien de connaitre l’ennemi à combattre par son physique, ses forces et ses faiblesses. Chez les bactéries et les virus, ils sont minuscules et ne peuvent se voir qu’au microscope, ils sont pour plusieurs des tueurs en séries tant que la médecine n’arrive pas a le contrôler.
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Les virus et bactéries les plus mortels pour l’Homme

 

Le staphylocoque doré, terreur des hôpitaux

 

Staphylococcus aureus, le staphylocoque doré, n’est pas une bactérie intrinsèquement dangereuse pour l’humanité. La plupart du temps, elle ne provoque que de petites infections bénignes. Mais cette sournoise se terre parfois dans les hôpitaux, et profite d’une lésion pour s’insérer dans un patient affaibli pour le coloniser et entraîner une septicémie. Il est toujours temps de la soumettre aux antibiotiques… mais elle se montre de plus en plus insensible aux médicaments qu’on lui oppose et développe une résistance grandissante !

© NIAID, Flickr, cc by 2.0

Le virus de l’hépatite B, cette MST terriblement infectieuse

 

On en parle moins que le VIH pourtant, il mérite toute notre attention. Le virus de l’hépatite B se transmet cent fois mieux que le virus du Sida lors des relations sexuelles et s’attaque ensuite aux cellules du foie. Le plus souvent, la maladie n’évolue pas beaucoup et le patient ne ressent rien. Mais parfois, l’hépatite devient chronique, comme chez plus de 300 millions de patients, et détruit peu à peu les cellules hépatiques, aboutissant à une cirrhose ou un cancer du foie, qu’il est très difficile de soigner.

© Sanofi Pasteur, Flickr, CC by-nc-nd 2.0

Neisseria meningitidis, principal responsable des méningites

 

La méningite ne connaît pas un, mais plusieurs coupables. Parmi les formes bactériennes les plus graves, le principal accusé est Neisseria meningitidis, impliqué dans 90 % des cas. S’il n’y avait pas de traitements, l’infection serait presque à coup sûr mortelle. Malgré les antibiotiques, un nouveau-né sur cinq et un adulte sur quatre succombent à cette infection des méninges.

© Sanofi Pasteur, Flickr, CC by-nc-nd 2.0

Le virus de la rage, la morsure qui fait un carnage

 

Grâce aux travaux de Louis Pasteur, la rage a très nettement reculé dans le monde. On dénombre tout de même plus de 50.000 morts humains sur la Planète en 2004 à cause du virus de la famille des rhabdoviridés. Transmis par morsure, celui-ci fonce droit dans le système nerveux et y fait des ravages à tel point que la mort est presque inéluctable. Heureusement que les vaccins sont là !

© Sanofi Pasteur, Flickr, CC by-nc-nd 2.0

Yersinia pestis, la bactérie responsable des épidémies de peste

 
  • Yersinia pestis, la bactérie responsable des épidémies de peste

     

    Qui ne se souvient pas de ces cours d’Histoire évoquant les épidémies de peste au Moyen Âge ? Derrière tout ça, se cache Yersinia pestis, une bactérie qui s’attaque d’abord aux rongeurs avant de s’en prendre à l’Homme. La maladie existant le plus souvent sous forme bubonique (un bubonétant une inflammation et le grossissement d’un ganglion), elle peut évoluer en peste septicémiqueet devenir plus mortelle et plus contagieuse. Dans l’histoire de l’humanité, sa mortalité est difficile à évaluer mais elle est très probablement responsable de plus de 100 millions de victimes.

    © NIAID

    Bacillus anthracis, la bactérie à l’origine de l’anthrax

     
  • Bacillus anthracis, la bactérie à l'origine de l'anthrax

    La maladie du charbon, ou anthrax, est due à une bactérie nommée Bacillus anthracis, ou bacille du charbon. Le plus souvent, celle-ci pénètre dans l’organisme par l’intermédiaire d’une blessure dans la peau. Le corps parvient alors à s’en débarrasser tout seul.

    En revanche, lorsque les spores de la bactérie sont avalées ou respirées, c’est une tout autre histoire. Par voies aériennes, elle n’est pas loin d’être mortelle dans 100 % des cas. C’est pour cela qu’elle inspire autant les bioterroristes.

    © Janice Haney Carr, CDC

    Les hantavirus et leur terrible syndrome pulmonaire

     

    Les hantavirus et leur terrible syndrome pulmonaire

    Les hantavirus sont un peu différents des autres pathogènes présentés dans ce diaporama : ils préfèrent s’attaquer aux rongeurs mais, parfois, de manière malencontreuse, ils peuvent infester un Homme. Dans ces cas-là, leur action peut-être foudroyante. Causant des fièvres hémorragiques ou le syndrome pulmonaire à hantavirus, ils se montrent à l’occasion très agressifs et couramment mortels. Le virus Sin nombre, ou Sin Nombre virus (SNV), que l’on voit à l’image, frappe rarement, mais sûrement.

    © Brian et al., CDC

    Le virus Marburg, une vraie machine à tuer

     

    Le virus Marburg, une vraie machine à tuer

    Le virus Marburg est conçu pour tuer mais reste malgré tout un peu moins mortel que son cousin Ebola. Entraînant également des fièvres hémorragiques, ce filovirus emporte plus de 80 % des personnes qu’il contamine. Sa transmission d’Homme à Homme est malgré tout relativement difficile puisqu’elle nécessite un contact très rapproché entre individus, avec transmission par les selles, les vomissements, les urines ou la salive.

    © Frederic Murphy, CDC

    Le virus de la dengue gagne du terrain

     

    Le virus de la dengue gagne du terrain

    Il est loin d’être le plus mortel et le plus pathogène de cette liste mais il ne faut pas le négliger pour autant. Le virus de la dengue, transmis par les moustiques du genre Aedes, contamine entre 50 et 100 millions de personnes dans le monde. Pour 500.000 personnes, surtout des enfants, la maladie se présente sous une forme sévère qui emporte 10.000 âmes. Problème de taille : il est en recrudescence ces dernières décennies. Lui qui se limitait à neuf pays avant 1970 touche désormais une centaine d’États.

    © Sanofi Pasteur, Flickr, CC by-nc-nd 2.0

    Ebola, le virus à la mortalité la plus élevée ?

     

    Ebola, le virus à la mortalité la plus élevée ?

    Connu depuis 1976, le virus Ebola, du nom d’une rivière congolaise, est l’un des plus mortels. Certaines de ses souches entraînent des fièvres hémorragiques qui tuent dans 90 % des cas. Ce virus a causé plusieurs épidémies en Afrique, notamment en Sierra Leone, en Guinée et au Liberia, faisant plusieurs milliers de victimes. On ne dispose malheureusement d’aucun traitement préventif ni thérapeutique contre ce terrible fléau.

    © Frederic Murphy, CDC

    Le virus de la grippe espagnole, cette épidémie ravageuse de 1918

     

    L’année 1918 fut très meurtrière, d’une part parce que les combats avaient toujours lieu en Europe et même au-delà, d’autre part parce qu’une souche particulièrement virulente de grippe H1N1 a sévi dans le monde entier. Elle aurait infecté un Terrien sur deux, soit 500 millions de personnes à l’époque, et aurait fait entre 30 et 100 millions de victimes, selon les estimations. Une véritable arme de destruction massive…

    © Terrence Tumpey, CDC

    Clostridium botulinum, la bactérie qui empoisonne au botox

     

    Clostridium botulinum, la bactérie qui empoisonne au botox

    Clostridium botulinum a une technique bien à elle pour commettre ses meurtres : la bactériepréfère l’empoisonnement. En effet, elle produit l’une des toxines les plus puissantes du monde, la toxine botulique. Cette molécule résiste à de fortes chaleurs et à l’acidité du système digestif, si bien que, lorsqu’elle est ingérée, elle intègre la circulation et va bloquer la communication nerveuse, entraînant des paralysies parfois mortelles.

    © CDC

    Mycobacterium tuberculosis, l’agent mortel de la tuberculose

     

    Mycobacterium tuberculosis, l'agent mortel de la tuberculose

    Devenue rare en France comme dans les pays riches depuis l’instauration du BCG, la tuberculosepoursuit pourtant son œuvre meurtrière à travers le monde. Rien qu’en 2010, la bactérieresponsable, Mycobacterium tuberculosis, a infecté 8,8 millions de personnes et tué 1,4 million d’entre elles, en s’attaquant à leurs poumons. La bactérie sévit depuis 3 millions d’années.

    © Janice Haney Carr, CDC

    Le Virus A H5N1, à l’origine de la grippe qui fait trembler le monde

     

    Le Virus A H5N1, à l'origine de la grippe qui fait trembler le monde

    Apparaissant en 1997 à Hong-Kong, c’est seulement 9 ans plus tard que la grippe H5N1 a fait paniquer la Terre entière. Le virus (ici en doré dans des cellules de chien), transmis à l’Homme uniquement par des oiseaux contaminés, s’avère mortel dans 60 % des cas. En août 2012, l’OMS dénombrait 608 personnes ayant contracté le virus depuis ses débuts, pour 359 morts, même si de nombreux cas bénins ou asymptomatiques auraient pu ne pas être comptabilisés.

    Les scientifiques restent néanmoins inquiets, car le pathogène circule encore dans la nature et on sait que quelques mutations pourraient suffire pour qu’il devienne contagieux dans l’espèce humaine. Dans ce cas, les morts pourraient se compter en millions…

    © CDC

    VIH : le virus du Sida et ses 30 millions de victimes

     

    VIH : le virus du Sida et ses 30 millions de victimes

    Depuis 1981 et la date de sa découverte, le VIH (les petites boules vertes sur l’image) a tué environ 30 millions d’êtres humains à travers le monde et continue encore de se répandre. Ce rétrovirus engendre le Sida (Syndrome d’immunodéficience acquise) et ravage surtout les pays pauvres, ceux du continent africain en tête. Pourtant, il existe des thérapies qui entravent la progression du virusdans l’organisme et permettent aux patients de vivre avec le VIH sans déclarer le Sida durant de très longues années. Mais celles-ci ont du mal à s’exporter en dehors des pays riches.

    © Goldsmith et al., CDC

    https://www.futura-sciences.com/

  • Ces virus incroyables quand ils sont observés au microscope


    Les virus qui nous affectent pour certaines maladies, vues au microscope semblent pourtant inoffensifs, mais dans la réalité, il peut en être tout autre
    Nuage

     

    Ces virus incroyables quand ils sont observés au microscope

     

    Le norovirus (gastro-entérite)

    © Jean-Yves Sgro/Visuals Unlimited, Inc

    A l’origine de la gastro-entérite, le norovirus semble nettement moins dérangeant observé de cette façon !

    Le papillomavirus

    © Jean-Yves Sgro/Visuals Unlimited, Inc

    Dans 10% des cas, le papillomavirus (ou « HPV« ) peut entraîner des lésions au niveau du col de l’utérus, parfois cancéreuses. Vu de près, ce virus ressemble pourtant plus à une boule surmontée de petites étoiles violettes qu’à un danger pour notre corps.

    Le rhinovirus (rhume et rhinite)

    © Jean-Yves Sgro/Visuals Unlimited, Inc

    Responsable des rhumes et autres rhinites, le rhinovirus a un aspect assez amusant. Avec ces petites étoiles à sa surface, difficile de le croire à l’origine de votre nez bouché !

    Le virus de l’hépatite B

    © Jean-Yves Sgro/Visuals Unlimited, Inc

    Extrêmement contagieux et potentiellement grave, le virus de l’hépatite B semble plutôt amusant à l’échelle microscopique !

    Le virus du Nil occidental

    © Jean-Yves Sgro/Visuals Unlimited, Inc

    Transmis le plus généralement par la piqûre d’un moustique infecté, le virus du Nil occidental captive l’attention de celui qui l’observe !

    Le syndrome pieds-mains-bouche

    © Jean-Yves Sgro/Visuals Unlimited, Inc

    Les enfants s’amuseraient sûrement de sa forme sphérique et de ses couleurs douces formant des dessins fascinants à sa surface. Pourtant, ce sont eux les principales victimes de cette affection le plus souvent bénigne heureusement !

    Le virus de la dengue

    © Jean-Yves Sgro/Visuals Unlimited, Inc

    Touchant près de 100 millions de personnes chaque année, la dengue vous captive lorsque vous l’observez au microscope.

    Le virus simien 40

    © Jean-Yves Sgro/Visuals Unlimited, Inc

    Alors qu’il peut être à l’origine de tumeurs chez certains patients, le virus simien 40 semble inoffensif sur les images du Dr Jean-Yves Sgro. Bien au contraire, sa ressemblance avec un champ de choux le rend plutôt sympathique.

    Le poliovirus

    © Jean-Yves Sgro/Visuals Unlimited, Inc

    Si le poliovirus est mortel dans 1% des cas, le Dr Jean-Yves Sgro a réussi, grâce à ses microscopes, à le rendre plutôt sympathique à regarder.

    http://www.medisite.fr/

    Rappel de patients: la clinique fautive identifiée


    De 2002 a 2010, il était temps qu’on ai remarquer des anomalies dans cette clinique médicale qui le médecin a agit de façon irresponsable mettant en danger ses patients et ceux que ces personnes côtoient .
    Nuage

    Rappel de patients: la clinique fautive identifiée

    Rappel de patients: la clinique fautive identifiée

    Le Dr Isra Levy affirme avoir agi « dans le meilleur intérêt de la population » lorsqu’il a dévoilé, ce week-end, que près de 6800 patients d’une clinique d’Ottawa pourraient y avoir contracté le virus de l’hépatite ou le VIH. Le nom de l’endroit a été dévoilé, hier : il s’agit de la clinique de la Dre Christiane Farazli.

    Archives, LeDroit

     

    François Pierre Dufault
    Le Droit

    Le médecin chef en santé publique de la Ville d’Ottawa dit qu’il a agi « dans le meilleur intérêt de la population » lorsqu’il a dévoilé, ce week-end, sans plus de détails, que près de 6800 patients d’une clinique médicale de la capitale pourraient y avoir contracté le virus de l’hépatite ou le VIH au cours des 10 dernières années.

    Le Dr Isra Levy savait que sa sortie aurait l’effet d’une bombe. Il a tout de même décidé d’appuyer sur le détonateur, samedi, après qu’il a eu vent qu’un média de la région se préparait à en faire autant. Lors d’un point presse, hier,

    le patron de Santé publique Ottawa (SPO) a dit craindre que ce média se base sur des « informations qui auraient pu être erronées ».

    « Ça aurait causé plus de tort que de bien. J’avais devant moi un dilemme », a-t-il déclaré.

    Vent de panique inévitable

    Un vent de panique était inévitable, aux yeux du Dr Levy. Mais certaines informations étaient tout simplement « trop délicates », selon lui, pour être partagées avec le grand public avant que SPO soit fin prête à faire face à la crise. Hier, au moment même où le médecin chef rencontrait la presse, des lettres étaient envoyées par courrier recommandé afin de joindre les 6800 patients à risque.

    On sait à présent que ces personnes pourraient avoir contracté le virus de l’hépatite B, de l’hépatite C ou le VIH lorsqu’elles ont subi un examen endoscopique à la clinique de la Dre Christiane Farazli (située au 1081 avenue Carling, suite 606), entre avril 2002 et juin 2010. Cette clinique n’a maintenant plus le droit de pratiquer ce type d’examen, après qu’une inspection de l’Ordre des médecins et chirurgiens de l’Ontario (OMCO) eut révélé que les protocoles de nettoyage et de prévention des infections n’y étaient pas toujours respectés.

    En d’autres mots, des instruments médicaux n’étaient pas toujours adéquatement désinfectés ou stérilisés. Certains produits chimiques utilisés pour la désinfection étaient périmés.

    Enquête approfondie

    Les pratiques de la Dre Farazli font l’objet d’une enquête approfondie de l’OMCO. Sa clinique demeure ouverte entre-temps. Tout dépendant des résultats de cette enquête, l’Ordre pourrait sévir davantage contre la médecin et « les mesures disciplinaires pourraient aller jusqu’à la révocation complète de son droit de pratiquer », a indiqué au Droit la porte-parole Kathryn Clarke.

    http://www.cyberpresse.ca