Ces hommes qui se nourrissent uniquement de pâtes, burgers et pizzas


Notre alimentation évolue avec les années, de la purée au solide, les goûts se développent. Pourtant, il y a des personnes, surtout des hommes qui demeurent au même stade alimentaire quand ils étaient petits. Ils ne mangent ce qu’ils connaissent et éliminent surtout les légumes, car comme on le sait, les légumes et beaucoup de tout-petits ne font pas toujours bon ménage. Et pour ajouter aux problèmes, avec tout ce qui est vendu pour satisfaire au palais des enfants, ce n’est pas des produits très bons pour la santé.
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Ces hommes qui se nourrissent uniquement de pâtes, burgers et pizzas


Certains hommes n'ont jamais mangé de légumes lorsqu'ils étaient petits et ne voient pas l'intérêt de le faire aujourd'hui. | Oliver Sjöström via Unsplash

Certains hommes n’ont jamais mangé de légumes lorsqu’ils étaient petits et ne voient pas l’intérêt de le faire aujourd’hui. | Oliver Sjöström via Unsplash

Repéré par Odile Romelot

Repéré sur Mel Magazine

Pourtant adultes, ils ne dépassent jamais le stade du Happy Meal.


Bruce, originaire de Pennsylvanie, est l’opposé parfait d’Alain Passard. Contrairement au chef étoilé, il se targue de n’avoir jamais mangé un seul légume de sa vie. Même quand sa mère assure qu’elle l’a nourri de purée de petits pois lorsqu’il était bébé, il nie. La preuve, il s’étouffe s’il essaie d’avaler des légumes.

Alors Bruce mange du poulet, beaucoup de poulet. Ou des mac and cheese. Ou encore des bagels, des céréales, des pizzas. Et deux fois par semaine, petit plaisir: dix McNuggets et des frites, le tout copieusement arrosé de Coca-cola zéro. Le problème? Bruce a 56 ans et son régime alimentaire est le même depuis qu’il est enfant.

Selon Nancy Rucker, directrice du Duke Center for Eating Disorders, Bruce n’est pas le seul, loin de là, dans ce cas. Elle explique que sur un échantillon de 2.600 personnes se considérant comme des fines bouches, 75% déclarent que leur comportement a commencé dès l’enfance.

Aujourd’hui, lorsque Bruce commande son plat habituel au restaurant, spaghettis et boulettes de viande, il ne panique plus à la vue d’éventuels légumes dans la sauce. Mais il les exclut quand même méthodiquement, par crainte d’infecter le reste de l’assiette.

«Je les mets de côté et continue mon repas», raconte-t-il, tout en reconnaissant que c’est «étrange d’avoir 56 ans et d’entasser tous ces trucs sur le bord de l’assiette».

Habitudes enracinées

Normalement, avec l’âge, les gens abandonnent naturellement le régime alimentaire enfantin, indique David Wiss, un diététicien de Los Angeles.

«Mais beaucoup de gens sont piégés dans une version d’eux-mêmes vieille de 10 ans et n’atteignent jamais l’âge adulte nutritionnel», poursuit-il.

Selon lui, c’est plus souvent le cas chez les hommes, car «traditionnellement, les femmes ont été les gardiennes de la famille et sont plus susceptibles d’adopter un comportement nutritionnel spécifique».

Ally peut le confirmer. Elle a constaté qu’à 28 ans, son petit copain Brad continuait de «manger comme un enfant de 7 ans»: steaks, pâtes, burgers et bagels pizza, accompagnés de lait chocolaté. Brad n’a jamais fait l’effort de goûter les aliments qu’il n’aimait pas lorsqu’il avait 7 ans. Mais lorsqu’Ally le convainc d’essayer, cela fonctionne la plupart du temps, à la surprise de Brad.

Opter pour des alternatives plus saines peut toutefois être un véritable combat pour le mangeur difficile dont les habitudes alimentaires restrictives sont profondément enracinées.

Les aliments ultra transformés, colorés et assaisonnés procurent plus de plaisir que «les aliments entiers, [qui] demandent beaucoup de travail et libèrent moins de dopamine dans le cerveau», détaille David Wiss.

Parfois, le corps est même incapable de décomposer des aliments entiers non transformés (comme les lentilles), parce qu’il ne l’a jamais fait.

Les risques sur la santé sont évidents. Pourtant, peu d’hommes reconnaissent souffrir d’un trouble de l’alimentation. Ils considèrent plutôt que manger ce qu’ils veulent leur permet de s’affirmer en tant qu’individu libre de ses choix. Seulement, lorsque les conséquences de ces choix commencent à apparaître sur leurs corps, ils sont un peu désemparés.

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KFC lance un nouveau sand­wich avec des donuts à la place du pain


Ça prend bien les Américains pour faire une telle innovation alimentaire, si on peut appeler une innovation. Alors qu’on pointe du doigt la malbouffe, il faut que la restauration rapide invente des mets de plus en plus calorique et gras.
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KFC lance un nouveau sand­wich avec des donuts à la place du pain


Crédits : KFC

par  Mathilda Caron

La célèbre chaîne de fast-food KFC propose une nouvelle recette à ses clients améri­cains : un hambur­ger de poulet frit entre deux donuts, rapporte CNN ce 18 septembre.

Pour l’ins­tant, l’étrange combi­nai­son sucrée-salée est réser­vée aux habi­tants de Norfolk, en Virgi­nie et Pitts­burgh en Pennsylvanie, pour une durée limi­tée.

« Dans le cadre de sa stra­té­gie d’in­no­va­tion alimen­taire, KFC est toujours à la recherche de moyens de servir ses clients avec de nouveaux choix déli­cieux et inno­vants », explique l’en­tre­prise dans un commu­niqué.

Rempla­cer les buns par des donuts, ça se pose là ques­tion inno­va­tion.

Si ce nouveau sand­wich est un succès, il pour­rait bien arri­ver dans tous les restau­rants améri­cains… voire même en Europe.

Source : CNN

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La fin de la viande… et le début du hamburger


Il y a plusieurs raisons louables pour essayer d’amadouer les amateurs de boeuf, mais en faire un procédé compliqué me parait toutefois bizarre. Être végétarien ou végétalien demande une connaissance de la nourriture pour éviter de manquer des besoins essentiels que la viande peut donner. Je crois plus à l’éducation et au changement de mentalité sans nécessairement abolir la viande, mais diminuer de beaucoup la quantité
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La fin de la viande… et le début du hamburger

 

TARA MOORE

Ce qu’on ne ferait pas pour plaire aux carnivores.

Dans un laboratoire californien, des biochimistes préparent le futur avec du ketchup et de la laitue. Ils se sont donné un défi : élaborer un hamburger juteux, croustillant, saignant… mais sans viande. Réussiront-ils à séduire les carnivores ?

Patrick Brown, l’un d’entre eux, en est persuadé. Ce professeur de biochimie quitte l’Université Stanford en 2009 pour trouver une alternative à la production industrielle de viande. Cette activité est, rappelons-le, extrêmement polluante : selon une estimation de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), elle serait responsable de 18 % des émissions de gaz à effet de serre planétaires. En particulier, c’est le bœuf que l’on pointe du doigt : par rapport au poulet et au porc, son élevage requiert 28 fois plus de terres et 11 fois plus d’eau.

Sachant que la population mondiale ne cesse de croître, trois options s’offrent à nous, selon le co-fondateur de Google, Sergey Brin : devenir végétariens, ignorer les défis environnementaux engendrés par la production de viande, ou encore innover. Optant pour l’innovation, il finance plusieurs recherches dans le domaine.

« Si les gens mangent encore des burgers dans 50 ans, ils ne viendront pas des vaches. Nous sauvons le burger », prophétise le professeur Brown.

Ce « nous » désigne sa compagnie Impossible Foods et son produit phare, l’Impossible Burger. Ceux qui ont pu y goûter dans la poignée de restaurants américains qui le proposent, s’entendent sur un point : son goût est très proche de celui du bœuf.

Mission impossible ?

Quand on sait que la première mouture de l’Impossible Burger goûtait la polenta moisie, selon les paroles d’un de ses goûteurs relayées par Brown, on comprend vite que le chemin parcouru depuis la création de l’entreprise en 2011 est impressionnant. Car la reproduction chimique de la viande est extrêmement tortueuse, selon Don Mottram, professeur en chimie alimentaire à l’université de Reading.

 

« À cause de sa structure complexe, la viande déploie de la saveur selon différentes étapes, à mesure que le gras, les muscles et les os cuisent à tour de rôle », expliquait-il au MIT Technology Review en 2015.

Comment l’équipe d’Impossible Foods s’y est-elle prise ? Pour l’ex-professeur de Stanford, l’idée de départ est très simple :

 « en gros, les animaux sont faits de plantes. Ils transforment des plantes en viande. L’idée était de faire la même chose ».

Plus concrètement, l’équipe a commencé par analyser la viande de bœuf au niveau moléculaire, afin de comprendre d’où vient son goût. Quand on croque dans une boulette de viande, ses milliers de composés chimiques différents se croisent simultanément. Pris individuellement, certains rappellent le beurre, le caramel, le lilas ou encore le soufre. C’est leur combinaison qui évoque le goût si particulier du bœuf au niveau du cerveau.

Un spectromètre de masse permet d’isoler les molécules et de les sentir individuellement, au moyen d’un tube. Après avoir identifié plus de 150 saveurs principales, les biochimistes ont sélectionné un assemblage d’aliments végétaux dont le cocktail rappelle la viande de bœuf. Le « tissu musculaire » est donc composé de protéines de pommes de terre et de blé, alors que le « tissu conjonctif » est fait de soja. L’huile de noix de coco fait quant à elle office de corps gras.

Mais il manquait quelque chose : le sang, primordial selon Brown. Pour le remplacer, l’hème, un composé chimique riche en fer qui rend le sang rouge et qui livre de l’oxygène aux muscles, est reproduit dans leur laboratoire. On le retrouve à l’origine dans diverses sources végétales, dont la levure, qui a le mérite d’être peu énergivore et peu coûteuse. Grâce à cette découverte de l’équipe d’Impossible Foods, le burger est complet !

Pas si vite, répond l’agence américaine des aliments et des drogues (FDA). Le New York Times rapportait en août que l’hème, ingrédient clé de l’Impossible Burger, pourrait être un allergène, selon la FDA. L’agence gouvernementale estime de surcroît que les tests menés par Impossible Foods ne sont pas suffisants pour décréter que l’hème est propice à la consommation humaine. Bien que d’origine végétale, c’est sous forme synthétique qu’il est présent dans le burger, ce qui explique les réserves.

En plus de cet obstacle majeur, l’Impossible Burger doit être identique en tous points à une boulette de viande animale s’il veut devenir une alternative viable aux végétariens, mais surtout aux carnivores. Ceux qui ont eu l’occasion d’y goûter disent que ce n’est pas encore le cas. Impressionnés par la texture et l’apparence, ils ne retrouvent pas exactement la saveur d’une boulette grasse et juteuse. Pourtant, une alternative existe.

60 milliards de cellules pour une boulette

Mark Post propose d’atteindre le même but par une méthode différente, soit en développant des cellules animales en laboratoire pour qu’elles forment de minuscules lamelles de viande. Ce professeur en physiologie vasculaire à l’Université de Maastricht a réussi en 2013 à assembler une boulette de viande de bœuf à partir de 20 000 de ces lamelles.

C’est ce que l’on appelle de la viande cultivée, ou in vitro. Post et son équipe commencent par extraire d’une vache des cellules souches de muscles squelettiques. Ces cellules sont ensuite cultivées dans des boîtes de Petri, où elles se multiplient de manière exponentielle. Il en faut 60 milliards pour produire les 20 000 lamelles, qu’on colle pour produire la boulette finale.

Alors que l’Impossible Burger tente d’imiter autant que possible les particularités d’une boulette de viande à partir de diverses sources végétales, Mark Post cherche à reproduire à l’identique cette boulette, grâce à la magie de l’ingénierie tissulaire. Le premier prototype a été dévoilé il y a quatre ans, notamment grâce au soutien financier de Sergey Brin, nécessaire au vu de son coût affiché de 375 000 $.

Pour Nicholas Genovese, co-fondateur de la société Memphis Meats, cité en 2013 par la revue Science, ce moment représente « un changement paradigmatique dans la manière de produire des protéines animales ». Également domiciliée dans la Silicon Valley, cette entreprise s’inspire des travaux de Mark Post pour élaborer des boulettes de viande de bœuf qu’elle espère déployer sur le marché américain d’ici 2021.

Les premiers testeurs ont soulevé les défauts gustatifs de la viande cultivée de Post : sèche, coriace, dépourvue de gras. Bien qu’il ait réussi à reproduire les fibres musculaires in vitro, certains détails la distinguent d’une véritable viande de bœuf : il manque le corps gras, les nerfs et les vaisseaux sanguins. Ceux-ci sont bien plus complexes à reproduire, selon Post.

Parmi les autres défis techniques non résolus, Genovese note qu’il faut découvrir une source de cellules souches renouvelable dans laquelle puiser à profusion. Pour l’instant, l’équipe néerlandaise doit constamment trouver de nouvelles vaches pour en extraire des cellules souches.

Par ailleurs, selon Linda Saucier, professeure titulaire de l’Université Laval et spécialiste en microbiologie des viandes, il n’existe pas encore de chercheurs québécois travaillant sur la question.

Des besoins pressants

Pour les pionniers de ce domaine, les raisons de trouver une alternative synthétique à la viande animale rejoignent celles avancées par Patrick Brown d’Impossible Foods. La demande mondiale pour cet aliment riche en protéines devrait croître de 70 % dans les 30 prochaines années. Produire 15 grammes de viande requiert 100 grammes de protéines végétales. Le bétail monopolise 70 % des terres arables du globe, selon la FAO.

Des considérations médicales se rajoutent à cette liste : la viande rouge contient un taux élevé de cholestérol et de gras saturés. Sa consommation excessive peut provoquer des maladies cardiaques, l’obésité, le diabète et certains cancers.

Enfin, le bien-être animal est aussi à considérer, quand on pense par exemple au traitement des animaux dans les abattoirs. D’un point de vue strictement moral, beaucoup estiment que les animaux méritent les mêmes droits que les êtres humains. Léonard de Vinci avait par exemple pour habitude d’acheter des oiseaux en cage afin de leur redonner leur liberté.

Mark Post est conscient que la bataille n’est pas gagnée d’avance :

« la viande a une multitude de significations différentes pour nous. On en mange depuis un million et demi d’années », souligne-t-il.

Saurons-nous substituer notre rapport de domination sur l’animal au profit d’un procédé entièrement technologique ?

Les yeux plus gros que le ventre ?

Anthony Bourdain, chef américain reconnu, est loin d’en être persuadé :

« quand on voit la nourriture seulement comme un moyen de subsistance, sans considérer le bonheur, la joie et même la magie qu’elle peut procurer, il y a un problème », exprimait-il en entrevue avec Tech Insider.

Le film de Claude Zidi L’Aile ou la Cuisse, sorti en 1976, souligne les appréhensions de bien des gens par rapport à ce sujet sensible. On y voit comment une chaîne de restauration rapide produit du poulet artificiel : en remplissant la carcasse d’une pâte blanche ensuite plongée dans une peinture rosâtre.

Malgré tout convaincus du bien-fondé de leurs démarches, les protagonistes du domaine foncent, peaufinent leurs techniques et attirent de plus en plus de financement. Le hamburger de Mark Post, qui coûtait 375 000 $ en 2013, ne coûterait plus que 11 $ aujourd’hui selon ses calculs.

L’Impossible Burger est quant à lui disponible dans plus de 30 restaurants américains pour environ 15 $. Les récentes réserves exprimées par la FDA pourraient toutefois freiner leurs ardeurs…

Cet article est le résultat d’un partenariat entre l’Agence Science-Presse et l’Association des communicateurs scientifiques du Québec dans le cadre de son programme de Bourse Fernand-Seguin.

http://quebec.huffingtonpost.ca

La mondialisation


C’est une triste réalité, pourtant nous pourrions changer les choses, si nous refusons toutes exploitations des êtres humains, partage des richesses … L’orgueil, le pouvoir est un choix qui est trop souvent mit de l’avant. Je me souviens d’un voyage au Mexique, alors qu’après quelques jours, nous voulions manger quelque chose que notre palais connaissait. On a choisi un Mc Do, les employés n’avaient pas les moyens de manger du fast-food, car leur salaire était trop bas
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La mondialisation

 

Sur la balance de la mondialisation, une tête d’enfant du tiers-monde pèse moins lourd qu’un hamburger

Fatou Diome

À Moscou, on s’arrache le burger… au ragondin


Il y a des endroits dans le monde qu’on apprête le rat, mais en Russie, c’est le ragondin, un rongeur plus gros que le rat, il serait herbivore et propre… Mais l’idée d’y goûter un jour, me rebute
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À Moscou, on s’arrache le burger… au ragondin

 

 

Omniprésent au sud de la Russie, facile à cuisiner, bon marché et riche en nutriments, le gros rongeur est le nouveau mets tendance du tout-Moscou.

Vous n’en rêviez sûrement pas, les Moscovites l’ont fait quand même. La dernière mode en date au pays de Soljenitsyne, nous informe The Guardian, c’est le burger au rat. Enfin, plus exactement, le burger au ragondin. Vous savez ce gros rongeur aux longues moustaches et aux dents orange foncé.

D’aucuns diraient que le ragondin n’est pas très ragoûtant. Mais il en faut plus pour décourager le tout-Moscou, qui apprécie ses qualités nutritives et son prix abordable – comptez 550 roubles (8 €) le burger au très en vogue Krasnodar Bistro de Moscou. La bestiole, omniprésente dans le sud de la Russie où elle est consommée depuis les années 1990, est aussi un moyen tout trouvé de succomber à la mode du locavore.

« Les diététiciens le recommandent »

Les grands restaurants de la capitale ont en tout cas tous craqué pour lui cet automne. Et ils veulent mettre à mal les idées un peu préconçues que l’on se fait au sujet des rongeurs – qu’on appelle avec dédain « nuisibles ».

« Le ragondin est un animal très propre », indique ainsi Takhir Kholikberdiev, le chef du Krasnodar Bistro, au quotidien britannique. « Non seulement il est herbivore, mais il nettoie toujours ce qu’il mange avant de l’avaler. Il est en outre très riche en Oméga-3. De nombreux diététiciens le recommandent. »

Force est de constater qu’à l’image, le burger au ragondin a l’air plutôt appétissant.

« Le goût était assez bon », note le journaliste du Guardian, qui a croqué dans un de ces sandwichs. « Toutefois, en mâchant, on a parfois quelques flashs de moustaches frémissantes et de grandes dents oranges ».

Alors, tentés?

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Le Saviez-Vous ► Cette jeune femme à barbe détient l’un des records les plus fous du livre Guinness des records 2017


Le livre de Records Guinness est sorti il y a quelques jours. Certains des records sont sérieux, d’autres naturels ou encore inutiles, voir stupides
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Cette jeune femme à barbe détient l’un des records les plus fous du livre Guinness des records 2017

 

« N’ayez jamais peur de qui vous êtes vraiment supposés être. Vous êtes absolument magnifiques tels que vous êtes« , écrivait Harnaam Kaur en juillet 2015.

Si certains n’ont pas entendu son message de tolérance, ça ne devrait plus être le cas bien longtemps. La jeune Anglaise à barbe, atteinte d’un déséquilibre hormonal, a désormais son nom dans le livre Guinness des records, dont le dernier est sorti le 8 septembre dernier.

À 24 ans, Harnaam Kaur, également mannequin, a décroché le record de la plus jeune femme à barbe du monde.

« J’espère que ceux qui verront mon record pourront en tirer du positif, de l’inspiration et réaliser que, qui que tu sois et quelle que soit ton apparence, tu es officiellement extraordinaire! », a-t-elle écrit jeudi.

Harnaam Kaur n’est pas la seule à détenir un record hors norme dans le nouveau Guinness des records. Comme tous les ans, les exploits insolites et souvent inutiles se côtoient dans les pages de ce livre désormais culte.

Bernd Schmidt a par exemple battu le record du monde de la plus grande bouche, la sienne mesurant près de 9 centimètres. Cet Allemand peut ainsi engloutir un double cheeseburger en une bouchée.

livre guinness des records 2017

À 67 ans, Charlotte Guttenberg est la senior la plus tatouée du monde. Environ 91,5% de la surface de son corps sont couverts de tatouages.

livre guinness des records 2017

Maxwell Day, un jeune Britannique vivant à Londres, peut quant à lui tourner ses pieds à 157 degrés.

livre guinness des records 2017

L’Italien Dimitri Panciera possède deux records du monde grâce à son métier de glacier. Il possède la plus grande cuillère à glace du monde (près d’1,83 mètre de longueur), et a aussi réussi à empiler un nombre record de boules de glace sur un seul cône: 121.

livre guinness des records 2017

livre guinness des records 2017

Lizzy of Alva, qui vit en Floride, est la chienne la plus grande du monde. Lorsqu’elle a été mesurée pour le Guinness Book des records, à 7 ans, elle mesurait presque un mètre de haut.

livre guinness des records 2017

Le record de Caspa dépasse encore les limites de l’insolite. Ce lama, qu vit avec sa propriétaire en Grande-Bretagne, détient désormais le record du saut d’obstacle le plus haut jamais réalisé par un lama. Il a sauté à plus de 91 centimètres de haut.

livre guinness des records 2017

Dans la même veine, l’Autrichien Josef Tödtling possède un record très spécial: celui de la plus longue distance parcourue en étant à la fois traîné par un cheval et en feu. L’homme a parcouru 500 mètres ainsi en juin 2015. Fascinant.

livre guinness des records 2017

Le record du monde de la plus grande collection d’articles « hamburgers » revient à l’Allemand Harry Sper, qui aime se faire appeler « Hamburger Harry ». Il possède 3724 articles « hamburgers ».

livre guinness des records 2017

Quelques stars font aussi leur apparition dans le classement 2017 des records du monde. Justin Bieber réunit ainsi huit records du monde (dont celui de l’album le plus écouté sur Spotify en une semaine et celui du plus grand nombre de followers sur Twitter), et Game of Thrones empoche ceux de la série la plus piratée et celle qui a reçu le plus d’Emmy Awards en une saison.

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Le Saviez-Vous ► Un hamburger de 74.75 kg (164.8 livres) commercialisé dans un restaurant du Michigan


C’était en 2008, a quoi cela sert de faire ce genre de records ? L’histoire ne dit pas, si ce hamburger est encore au menu et combien ils en ont vendu depuis, je trouve personnellement que c’est plus dégoutant qu’autre chose
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Un hamburger de 74.75 kg (164.8 livres) commercialisé dans un restaurant du Michigan

 

Le 29 août 2008, Steve Mallie entrait dans le Guinness World Records grâce à son hamburger géant.

Composé de steak haché, de feuilles de salade, de tomates, de fromage fondu, d’oignons et de cornichons, il pèse près de 75 kilos.

Pour pouvoir le déguster, il faut se rendre au Mallie’s Sports Grill & Bar à Southgate aux États-Unis et débourser la modique somme de 399$ US.

http://www.insoliteqc.com/

Il a perdu 25 kg en mangeant McDo et fait la promo du fast-food à l’école


Ce n’est pas fort, fort, qu’un professeur fasse la promotion du Mcdo en autant de s’en tenir à 2000 calories par jour et un peu d’exercices, et prétendre qu’on peut maigrir ainsi, Mais toutes les calories ne sont pas égales. 100 calories de fruits sont mieux que 10o calories de frites
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Il a perdu 25 kg en mangeant McDo et fait la promo du fast-food à l’école

 

Repéré par Claire Levenson

L’Américain John Cisna a perdu beaucoup de poids en se nourrissant exclusivement de burgers, frites et glaces dans les restaurants McDonald’s. Il est devenu ambassadeur de la marque, y compris auprès des jeunes enfants.

En 2014, un prof de sciences dans un collège de l’Iowa a décidé de perdre du poids en mangeant tous les jours chez McDonald’s. Son idée était de contester le documentaireSuper Size Me, dans lequel Morgan Spurlock a pris onze kilos en ne mangeant que du McDo pendant un mois. À l’inverse, John Cisna a mangé du McDo pendant six mois, mais a instauré une limite de 2.000 calories par jour, avec quarante-cinq minutes de marche quotidienne.

Ce «régime» de burgers, frites et glaces lui a fait perdre vingt-cinq kilos et lui a permis de réduire son taux cholestérol. Il a ensuite posté une vidéo sur YouTube, a été invité partout dans les médias américains. Il a même écrit un livre intitulé «Mon régime McDonald’s», dans lequel il écrit:

«Manger chez McDonald’s au petit-déjeuner, déjeuner et dîner a probablement sauvé ma vie.»

Assez vite, McDonald’s l’a embauché pour devenir ambassadeur de la marque à travers le pays, particulièrement dans les écoles publiques. Ensemble, ils ont créé un documentaire de vingt minutes parfois diffusé dans des écoles.

Informations nutritionnelles malhonnêtes

 

Comme le rapporte le Washington Post, cetteintrusion de la chaîne ne plaît pas à tout le monde:

«À partir du moment où ils ont décidé de montrer le documentaire à des collégiens, ils ont dépassé les bornes, explique une spécialiste du droit de l’alimentation. Faire comme si c’était des informations nutritionnelles essentielles n’est pas honnête.»

Selon McDo, il s’agit d’apprendre à mieux manger, à savoir faire des choix qui permettent de ne pas prendre du poids tout en mangeant au fast-food

Mais si l’ambassadeur de McDo est invité dans les écoles, c’est aussi pour une raison simple: McDonald’s donne de l’argent aux associations de parents d’élèves et d’enseignants. Aux États-Unis, ces associations passent leur temps à lever des fonds pour mettre en œuvre des projets supplémentaires dans les écoles, comme des voyages ou des cours de musique, et elles acceptent parfois de l’argent venant de grandes entreprises.

Les liens entre la chaîne et les écoles vont plus loin encore. Les restaurants McDonald’s ont dépensé plus de 2,5 millions de dollars pour accueillir des soirées«McTeacher» (McProf), des événements de fundraising pour les écoles.

Le point de vue de McDonald’s sur le documentaire et sur les interventions de John Cisna est qu’il s’agit d’apprendre à mieux se nourrir chez McDo, à savoir faire des choix qui permettent de ne pas prendre du poids tout en mangeant au fast-food. Mais certains enseignants qui ont vu le documentaire sont sceptiques.

«Ce qui est suggéré, c’est que si vous faites attention, vous pouvez manger chez McDonald’s plusieurs jours par semaine», expliquait une professeure interviewée par le Washington Post.

Sur le site Change.org, une pétition pour interdire ce programme a déjà été signé par 45.000 personnes.

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De la matière fécale dans presque tous les hamburgers


La viande industrialisée n’est guère appétissante quand on sait ce qu’il y a vraiment de dent. Je me demande si c’est le même constats dans tous les pays pour la viande industrialisée
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De la matière fécale dans presque tous les hamburgers

 

 

De la matière fécale dans presque tous les hamburgers

© Fotolia

par Emilie Cailleau

Vous ne mangerez plus votre burger de la même façon en lisant la conclusion d’une enquête d’un magazine américain. Celle-ci révèle que la viande présente dans un des repas les plus consommés au monde contiendrait des traces d’excréments.

Si vous aviez prévu de vous faire une soirée fast-food au sein d’une grande enseigne américaine, il se peut que la lecture de cette information ravale votre envie.

Une enquête du magazine américain Consumer Reports révèle que quasiment tous les hamburgers contiennent de la matière fécale, disséminée (et heureusement invisible à l’œil nu), dans le steak haché.

Pour arriver à ces résultats, les auteurs de l’enquête ont acheté 300 boîtes de steaks hachés industriels, soit près de 200 kilos de viande commercialisée dans une centaine de magasins de plusieurs villes des États-Unis, rapporte le site Metro qui relaie l’information. 181 échantillons de viande hachée issue de « l’élevage conventionnel » ont également été décortiqués.

Les résultats de cet examen carné sont peu ragoûtants. L’ensemble de la viande hachée présentait des entérocoques. Ces bactéries ne causent pas d’infections chez les gens en bonne santé mais elles peuvent favoriser des infections urinaires ou des infections du sang.

Pire, un cinquième du bœuf haché industriel analysé contenait des bactéries résistantes à au moins trois classes d’antibiotiques. Soit trois fois plus que la viande élevée en plein air, compare Métro.

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Un restaurateur assemble un hamburger de 30.000 calories


Les conneries culinaires ne cessent d’aller de pire en pire. En plus d’être hyper caloriques, il est impossible de prendre une bouché vu la hauteur de ce gigantesque multi hamburgers. C’est du pur gaspillage, et un très mauvais exemple à donner
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Un restaurateur assemble un hamburger de 30.000 calories

 

Le cuisinier anglais John Clarkson, qui a déjà créé un Ferrero Rocher frit de 5 kg, a décidé de mettre la main à la pâte et de créer un gigantesque hamburger.

Un « met » composé de plusieurs étages de viandes mais aussi de pizzas et de spaghetti..

hamburger

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Pour voir les autres folies du cuisinier, visitez la page Facebook de l’homme aux défis les plus gras.

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