Laisser son arbre de Noël dans son arrière-cour pour aider la faune et la flore


Ceux qui ont mit un arbre naturel pour les fêtes dans la maison, ou ailleurs, bien que la ville offre un ramassage après les fêtes, il est possible de donner un coup pouce à l’environnement de votre cour. Permettre au sapin, épinette ou tout autre arbre d’être déposé dans la cour permet un abri aux oiseaux en hiver, et même en prenant des cocottes (cône de pin ou autres conifères) recouvert de beurre d’arachide, suif, graines serait le bienvenu pour les oiseaux. De plus au printemps, ces arbres de se décomposent vite et aidera à certains insectes utiles ainsi que la végétation.
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Laisser son arbre de Noël dans son arrière-cour pour aider la faune et la flore

PHOTO GRAHAM HUGHES, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE

Dan Kraus, biologiste principal à l’organisme sans but lucratif CNC, suggère de le poser près d’un autre arbre, contre une clôture ou simplement à même le sol dans son jardin.

(Montréal) Plutôt que d’envoyer son arbre de Noël au dépotoir ou à la déchiqueteuse, Conservation de la nature Canada (CNC) suggère de le déposer simplement dans son arrière-cour pour en faire profiter les espèces qui nous entourent.

LA PRESSE CANADIENNE

Dan Kraus, biologiste principal à l’organisme sans but lucratif CNC, souligne que l’arbre pourrait notamment servir d’abri pour les oiseaux pendant les mois d’hiver, en particulier lors des nuits froides et des tempêtes.

Il suggère de le poser près d’un autre arbre, contre une clôture ou simplement à même le sol dans son jardin.

Pour les plus imaginatifs, CNC propose de le transformer « en une mangeoire ornée de cônes de pin recouverts de beurre d’arachides, de guirlandes d’arachides et de suif ».

Une fois qu’il aura perdu la plupart de ses aiguilles, il sera possible de couper les branches pour les disposer là où pousseront les fleurs printanières, et de déposer le tronc ailleurs, à même le sol.

Selon Dan Kraus, l’été venu, l’arbre deviendra un habitat naturel, protégera les fleurs sauvages, retiendra l’humidité et contribuera à enrichir le sol, comme le font les branches et arbres morts dans la forêt.

Des insectes, dont des pollinisateurs comme l’abeille charpentière, pourront s’y creuser un abri.

« À l’automne, les branches et le tronc de votre arbre commenceront à retourner à la terre. Bon nombre de nos arbres de Noël, en particulier les épinettes et sapins baumiers, sont très peu résistants à la pourriture et se dégradent rapidement lorsqu’ils sont exposés aux éléments. Plus les branches coupées et le tronc sont en contact avec le sol, plus vite ils se décomposeront », souligne M. Kraus dans le communiqué publié par l’organisme.

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L’éléphant, gardien des stocks de carbone en Afrique Centrale


La disparition d’un animal, d’une plante a un effet domino sur la biodiversité. Si les éléphants disparaissaient, cela serait une catastrophe pour l’environnement. Grâce aux éléphants, les arbres les plus résistants grandissent, car ils piétinent les plus faibles, ils permettent aussi la germination de nombreuses graines leurs de leurs déplacements, ce qui renouvelle la biomasse en Afrique Centrale. Ces arbres absorbes donc plus de carbone, c’est un plus en ces temps de changements climatiques
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L’éléphant, gardien des stocks de carbone en Afrique Centrale

L'éléphant, gardien des stocks de carbone en Afrique Centrale© Pixabay

Par Juliette de Guyenro

Des chercheurs ont étudié l’impact des éléphants sur la réduction des stocks de carbone en Afrique Centrale : en façonnant leur habitat, ils piétinent les plus petits arbres et dégagent de la place pour les spécimens plus importants qui absorbent le carbone en plus grande quantité. Leur extinction pourrait donc menacer l’équilibre naturel de la biomasse de la région.

Les éléphants entretiennent précieusement les stocks de carbone en Afrique centrale. C’est le constat de l’étude réalisée par le Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement, menée par Fabio Berzaghi et se basant sur des mesures collectées dans le bassin du Congo. Pour structurer leur habitat, les éléphants de la région piétinent les plus petites espèces d’arbres avec une faible capacité à absorber le carbone, ce qui permet de libérer l’espace pour que de plus grands spécimens se développent. Conséquence : un niveau plus élevé de carbone serait stocké par les forêts et participerait au bon équilibre de la biomasse dans la région. A l’inverse, la diminution ou disparition de ces mêmes pachydermes pourrait engendrer l’expansion de forêts constituées de ce qu’on appelle le « soft-wood« , des arbres à faible absorption en carbone, entrainant notamment une perte de stockage de cet élément.

Des données difficiles à collecter

Pour vérifier leur hypothèse et arriver à cette conclusion, les scientifiques ont collecté des mesures leur permettant de comparer les différentes forêts se trouvant autour du bassin du Congo. Ils ont pu notamment remarquer une corrélation entre la présence des éléphants dans certaines d’entre elles et le nombre et la taille des arbres situés dans la même zone.

Mais le processus a été difficile à analyser. L’impact des éléphants sur leur environnement et la biomasse forestières d’Afrique centrale est un processus qui s’allonge sur une centaine d’années. Pour compléter leur étude, les chercheurs ont donc usé des technologies informatiques pour créer une simulation et visualiser l’impact des éléphants sur les forêts sur plusieurs années.

Une compétitivité réduite

Selon l’abondance des éléphants dans les forêts, la concurrence entre les différents types d’arbre varie. En supprimant les petits arbres, mesurant environ 30cm de diamètre, les éléphants réduisent leur nombre et donc la compétitivité pour l’eau, la lumière et l’espace qui existe entre les différents végétaux. Les espèces qui survivent peuvent alors atteindre des tailles plus grandes et stocker plus de carbone.

« Les éléphants de forêt sont des gestionnaires naturels qui éclaircissent les forêts en ‘élaguant’ ou en enlevant les petits arbres. Ces animaux augmentent la croissance des grands arbres et la production de bois » explique Fabio Berzaghi.

Les éléphants participent également à la germination de plus de 100 espèces d’arbres en dispersant leurs graines lors de leurs déplacements. Ils favorisent donc le renouvellement de la biomasse en Afrique centrale.

Les éléphants, l’animal « gagnant-gagnant »

La présence des pachydermes dans la région a un impact entièrement positif sur l’environnement. Les préserver serait donc un pari « gagnant-gagnant » selon l’étude du laboratoire. Cela permettrait une meilleure conservation de la faune sauvage tout d’abord, mais aussi de favoriser la biodiversité. Enfin, en augmentant son stockage, ils permettent de limiter la présence de carbone dans l’atmosphère et donc de lutter contre le changement climatique.

Problème : les éléphants d’Afrique sont aujourd’hui classés dans les catégories « vulnérables » et « en danger » de la liste rouge de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature. Or, leur extinction pourrait avoir des conséquences graves sur l’environnement.  Selon les chercheurs du laboratoire, leur disparition pourrait en effet entrainer une baisse de 7% de la biomasse à la surface des terres d’Afrique centrale et la perte de 3 milliards de tonnes de carbone dans les forêts de la région.

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Les plus grands animaux terrestres sont-ils déjà condamnés ?


Il y a eu 5 extinctions de masse sur la Terre, la dernière date est d’environs 66 millions d’années à l’époque des dinosaures. L’humain n’était pas en cause, sauf que maintenant, nous sommes responsables d’une extinction de masse chez les animaux que les scientifiques appelle la mégafaune
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Les plus grands animaux terrestres sont-ils déjà condamnés ?

Aujourd'hui, la mégafaune est victime de risques multiples... (PHOTO ARCHIVES AP)

Aujourd’hui, la mégafaune est victime de risques multiples liés à l’expansion humaine, de la perte de son habitat au braconnage, en passant par les conflits avec l’élevage, et par exemple, pour l’ours polaire, le changement climatique.

PHOTO ARCHIVES AP

MARLOWE HOOD

Agence France-Presse

PARIS

Fauves, ours, loups, mais aussi bisons, zèbres, rhinocéros, éléphants, girafes, hippopotames, grands singes… La majorité des 101 espèces de grands herbivores et carnivores terrestres sont en danger et certaines sont déjà condamnées à l’extinction.

Selon la définition communément acceptée, la «mégafaune» terrestre inclut carnivores d’au moins 15 kilos et grands herbivores de plus de 100 kilos, soit un total relativement modeste de 101 espèces.

Mais trois-cinquièmes de ces créatures emblématiques sont classées comme menacées par l’Union internationale pour la conservation de la nature (IUCN), dont plus d’une dizaine dans la catégorie «en danger critique» ou «éteinte à l’état sauvage».

«Les scientifiques responsables de la conservation vont bientôt être occupés à écrire des nécrologies pour des espèces ou des sous-espèces de mégafaune au fur et à mesure qu’elles disparaissent de la planète», se lamente Bill Ripple, de l’université de l’Oregon, principal auteur d’un appel signé en décembre par plus de 15 000 de ses collègues mettant en garde l’humanité.

Nouvelle mauvaise nouvelle cette semaine: Sudan, le dernier mâle rhinocéros blanc du Nord est mort à l’âge de 45 ans dans un zoo au Kenya alors qu’il restait encore au moins 700 de ses congénères dans la nature au moment de sa naissance.

Alors les spécialistes, autrefois mesurés, ne mâchent plus leurs mots.

«Sous nos yeux»

Pour les uns, l’antilope Addax du Sahara est «vouée à l’extinction». Pour d’autres, le gorille de l’Est, aussi chassé pour sa viande, «n’est qu’à un pas» de la disparition, comme les orangs-outans de Bornéo et Sumatra.

Des animaux fascinants encore suffisamment nombreux pour attirer des millions de touristes en Afrique chaque année sont aussi en déclin.

Les populations de lions, rhinocéros et guépards ont ainsi chuté de plus de 90% au cours du siècle dernier; le nombre de girafes, désormais classées «vulnérables», a baissé de 40% en 30 ans ; et 30% des ours polaires risquent de disparaître d’ici le milieu du XXIe siècle.

«Il est très possible que nous voyions ces géants s’éteindre dans la nature pendant notre vie, sous nos yeux», explique la directrice de l’IUCN Inger Andersen.

Et le contexte plus large n’est pas encourageant.

Les scientifiques sont d’accord pour dire qu’une nouvelle «extinction de masse» a commencé, qui voit des espèces de toutes sortes et de toutes tailles disparaître 100 fois plus vite que la normale.

La Terre a connu jusqu’à présent cinq extinctions de masse, la dernière en date, celle des dinosaures, remontant à 66 millions d’années.

Aujourd’hui, la mégafaune est victime de risques multiples liés à l’expansion humaine, de la perte de son habitat au braconnage, en passant par les conflits avec l’élevage, et par exemple, pour l’ours polaire, le changement climatique.

«Savane silencieuse»

«La première menace à laquelle fait face la faune d’Afrique est que nous la mangeons», note Paul Funston, directeur du programme lions de l’ONG Panthera. Une situation décrite dans certaines zones comme «le syndrome de la savane silencieuse».

«Certaines zones protégées ont l’air totalement intactes, les bois, les oiseaux, les abeilles, tout est là. Mais les grands mammifères ont disparu, parce qu’ils ont été mangés», poursuit Funston, notant l’augmentation de la population sur le continent.

Malgré le constat lugubre, les défenseurs de l’environnement ne perdent pas espoir et ont permis à certaines espèces de se reprendre du poil de la bête.

Mais ils doivent aussi être réalistes, souligne Michael Knight, qui dirige le groupe de l’IUCN chargé des rhinocéros africains.

«L’Afrique ne correspond plus au rêve de paysages ouverts où courent des animaux sauvages», insistent-ils. Et dans 50 ans, «les défis vont être dix, ou peut-être cinquante fois, plus difficiles».

Pour Paul Funston, la solution viendra d’investissements stratégiques dans des parcs nationaux, alors que des études montrent un lien entre les sommes investies au km2 et les taux de survie des espèces protégées.

«Nous sommes presque prêts pour le triage», explique-t-il. «Pour les lions, c’est fait, nous avons identifié 14 zones clé où l’argent doit être concentré».

Mais «nous avons un besoin urgent de nous éloigner d’une approche par espèce», insiste l’expert.

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La moitié des espèces canadiennes menacées


C’est beaucoup que la moitié des espèces canadiennes sont menacées causé par la perte d’habitat, les changements climatiques, espèces envahissantes, pourtant il y a eu des lois pour protéger des animaux et ils perdent quand même des membres. La solution serait beaucoup complexe si on veut un changement positif
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La moitié des espèces canadiennes menacées

 

Des épaulards nagent au large de Victoria.

L’épaulard du Pacifique Nord-Ouest fait partie des espèces en voie de disparition au Canada.   Photo : Eagle Wing Tours and Shorelines Photography/Valerie Shore

La population de la moitié de 903 espèces canadiennes d’oiseaux, de poissons, de mammifères, de reptiles et d’amphibiens s’est effondrée au cours des 40 dernières années, prévient une nouvelle étude.

La Presse canadienne

Ces espèces ont perdu 83 % de leurs individus entre 1970 et 2014, selon le rapport dévoilé jeudi par le Fonds mondial pour la nature (WWF). Le déclin des espèces protégées par une loi fédérale a été comparable à celui des espèces non protégées.

Le président du WWF, David Miller, a dit que, règle générale, la Loi canadienne sur les espèces en péril ne semble avoir eu aucun effet, et qu’il est maintenant « incroyablement urgent » de renverser le déclin.

L’Indice Planète Vivante (IPV) calculé par le WWF pourrait être le reflet le plus fidèle de la santé de la faune canadienne.

L’organisation environnementale a étudié 3689 populations différentes de 386 espèces d’oiseaux, 365 espèces de poissons, 106 espèces de mammifères et 46 espèces de reptiles et amphibiens. Elle a utilisé une méthode développée par la Société zoologique de Londres pour regrouper plus de 400 ensembles de données compilées par le gouvernement fédéral.

Au total, les 903 espèces étudiées ont vu leur population fondre de 8 % pendant les 44 années étudiées. Quarante-cinq espèces étaient stables et 407 se sont améliorées, notamment en raison de mesures de protection.

Les populations de gibiers d’eau, dont les marais sont protégés, ont augmenté de 54 %. Les oiseaux de proie, comme les faucons, ne sont plus menacés par le DDT, et leur population a explosé de 88 %. Sont également en hausse les populations d’animaux qui cohabitent bien avec les humains, comme les cerfs et les oies.

Gros plan sur le visage d'une grenouille léopard.

La grenouille léopard est une espèce menacée en Alberta, mais sa réintroduction dans la région des Lacs-Waterton semble prometteuse. Photo : CBC/Aquarium de Vancouver

L’étude explique que les déclins de population sont causés par des facteurs qui commencent à être bien connus : la perte d’habitat, les changements climatiques, les espèces envahissantes et la pollution.

M. Miller s’est dit surpris de constater que des lois comme la Loi canadienne sur les espèces en péril, qui a été adoptée en 2014, n’ont en rien ralenti le déclin.

La science nous démontre que cela n’a fait aucune différence concrète pour les espèces.

David Miller, président du Fonds mondial pour la nature (WWF)

Les populations des espèces mentionnées par la loi ont dégringolé de 63 % pendant la durée de l’étude. Le rapport laisse même entendre que le déclin s’est potentiellement accéléré depuis son adoption. Ce constat découle possiblement du temps qu’il faut pour agir. M. Miller rappelle par exemple qu’on savait que le béluga du Saint-Laurent était menacé bien avant l’adoption de la loi, mais que les premières protections n’ont été mises en place qu’en 2015.

« Il y a eu des délais incroyables pour adopter les mesures prescrites par la loi », a-t-il dit.

Les cerfs de Virginie ne se formalisent pas de la présence humaine sur Anticosti.

Les cerfs de Virginie ne se formalisent pas de la présence humaine sur Anticosti. Photo : Radio-Canada/Marc-Antoine Mageau

Nouvelle approche nécessaire

La loi n’est peut-être plus le meilleur outil pour protéger la faune, poursuit M. Miller, puisque les espèces en déclin sont trop nombreuses pour qu’on puisse les protéger individuellement.

« Nous avons probablement besoin d’une nouvelle approche, a-t-il lancé. Les problèmes sont très complexes, et il y a de multiples causes. On ne peut pas se fier uniquement à un plan pour les espèces. Il faut examiner tout l’écosystème. »

Par exemple, dit-il, on ne pourra pas faire grand-chose pour freiner la disparition des épaulards du Pacifique tant que les scientifiques ne comprendront pas pourquoi les populations de saumon chinook – leur principale source de nourriture – sont en déclin.

M. Miller croit que nous aurons besoin de nouveaux réseaux de zones protégées pour renverser la tendance. Il souligne que l’étude a constaté qu’une approche collective, comme celle adoptée pour protéger les gibiers d’eau, peut être efficace.

Mais l’ampleur et la rapidité du déclin exigent une intervention rapide.

Même pour nous, ces résultats sont stupéfiants. Il s’agit de déclins exceptionnellement sérieux. Il faut intervenir de toute urgence.

David Miller, président du Fonds mondial pour la nature (WWF)

En bref :

  • Les populations de mammifères ont reculé de 43 %
  • Les populations de poisson ont fondu de 20 %
  • Les populations de reptiles et amphibiens ont reculé de 16 %
  • Les populations d’oiseaux ont grimpé de 7 %, surtout grâce à l’amélioration touchant les gibiers d’eau et les oiseaux de proie. En revanche, les populations d’oiseaux des prairies se sont effondrées de 69 %, celles des insectivores de 51 % et celles des oiseaux de rivage de 43 %.

http://ici.radio-canada.ca/

La faune sauvage se meurt, selon une étude


La faune sauvage risque fort bien d’avoir plus de pertes que prévus à cause de plus facteurs tels que : la perte d’habitant, aux espèces invasives, la pollution, notre surconsommation des ressources, etc. Peut-être que nous ne pouvons tout résoudre, mais nous pouvons sûrement faire des gens concret pour minimiser ces disparitions, en commençant d’éviter le plus possible d’empiété sur leur territoire
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La faune sauvage se meurt, selon une étude

 

Selon une étude, plus de 30% des espèces... (Photo AFP)

Selon une étude, plus de 30% des espèces de vertébrés sont en déclin, à la fois en termes de population et de répartition géographique.

PHOTO AFP

 

Agence France-Presse
Paris

La sixième extinction de masse sur Terre est plus rapide que prévu et se traduit par un «anéantissement biologique» de la faune sauvage, alerte une nouvelle étude.

Plus de 30% des espèces de vertébrés sont en déclin, à la fois en termes de population et de répartition géographique, indique cette étude parue dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS).

«Il s’agit d’un anéantissement biologique qui survient au niveau global, même si les espèces auxquelles appartiennent ces populations existent toujours quelque part sur Terre», affirme l’un des auteurs de l’étude, Rodolfo Dirzo, professeur de biologie à l’Université de Stanford.

Les chercheurs ont dressé la carte de la répartition géographique de 27 600 espèces d’oiseaux, amphibiens, mammifères et reptiles, un échantillon représentant près de la moitié des vertébrés terrestres connus. Ils ont analysé les baisses de population dans un échantillon de 177 espèces de mammifères de 1900 à 2015.

Sur ces 177 mammifères, tous ont perdu au moins 30% de leurs aires géographiques et plus de 40% en ont perdu plus de 80%.

Les mammifères d’Asie du Sud et du Sud-Est sont particulièrement touchés: toutes les espèces de gros mammifères analysées y ont perdu plus de 80% de leur aire géographique, indiquent les chercheurs dans un communiqué accompagnant l’étude.

Environ 40% des mammifères -dont des rhinocéros, des orangs-outangs, des gorilles et de nombreux grands félins- survivent désormais sur 20%, voire moins, des territoires sur lesquels ils vivaient autrefois.

Le déclin des animaux sauvages est attribué principalement à la disparition de leur habitat, à la surconsommation des ressources, la pollution ou le développement d’espèces invasives et de maladies.  Le changement climatique pourrait aussi y contribuer de plus en plus.

Ce mouvement s’est récemment accéléré.

«Plusieurs espèces d’animaux qui étaient relativement en sécurité il y a dix ou vingt ans», comme les lions et les girafes, «sont désormais en danger», selon cette étude.

Cette «perte massive» en termes de populations et d’espèces «est un prélude à la disparition de nombreuses autres espèces et au déclin des écosystèmes qui rendent la civilisation possible», avertit l’auteur principal de l’étude, Gerardo Ceballos, de l’Université nationale autonome du Mexique.

Les chercheurs appellent à agir contre les causes du déclin de la vie sauvage, notamment la surpopulation et la surconsommation.

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Le Saviez-Vous ►10 Demeures Parmi Les Plus Étranges Au Monde.


Des maisons qu’on ne verrais pas ailleurs, mais qui mérite un coup d’oeil, certaines sont très intéressantes, quoique la maison transparente, c’est vraiment exagérée
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10 Demeures Parmi Les Plus Étranges Au Monde.

 

1. La maison transparente, au Japon11-21-31-4

Inspirée par nos ancètres, qui vivaient dans les arbres, cette “Maison NA” japonaise totalement transparente vous permet de profiter au maximum de la lumière du jour, mais n’offre pas beaucoup d’intimité.

Designed by: Sou Fujimoto Architects

2. La maison skateboard, aux USA.22-22-3

La maison skateboard vous permet de faire du skate sur toutes ses surfaces, à l’intérieur comme à l’extérieur, et était initialement conçue pour être construite à Malibu.

Designed by: Pierre Andre Senizergues

3. La maison la plus étroite au monde, en Pologne.33-23-33-43-53-63-7

La maison Keret, qui a été construite entre deux bâtiments préexistants, n’est large que de 92 à 152 centimètres !

Designed by: Jakub Szczęsny

4. Une ancienne tour-réservoir transformée en demeure moderne, en Belgique.44-24-34-4

Cette tour-réservoir belge, haute d’une centaine de mètres, servait de cachette nazie pendant la guerre, mais a, depuis, été transformée en espace de vie.

Designed by: Bham Design Studio

5. La maison des Pierrafeu, aux USA.55-25-35-4

Cette maison à un étage, installée à Malibu, a été construite pour ressembler à la demeure des Pierrafeu, dans le célèbre dessin-animé des années 60.

6. La maison la plus petite au monde, avec une surface d’1m², en Allemagne.66-26-46-5

Cette structure portable en bois ne mesure qu’un mètre carré de superficie, et est la maison la plus petite au monde ; on peut la trouver en Allemagne.

Designed by: Van Bo Le-Mentzel

7. La maison toboggan, au Japon.77-27-37-4

Cette maison-toboggan à trois étages se compose d’un escalier tout à fait classique d’un côté de la maison, et d’un toboggan de l’autre, qui vous permet de glisser jusqu’au rez-de-chaussée.

Designed by: LEVEL Architects

8. La maison de pierre, au Portugal.88-28-3

Bien qu’elle ressemble à un rocher énorme, cette maison portugaise possède une porte, une cheminée et une fenêtre, et est devenue une attraction touristique très populaire.

Image credits: Jsome1 | Patrícia Sofia Ferreira Photography

9. Une église transformée en demeure familiale moderne, en Hollande.99-29-39-4

Le cabinet Zecc Architecten a reconverti et recyclé deux anciennes églises abandonnées, situées dans la ville d’Utrecht, aux Pays-bas, pour en faire des demeures résidentielles très stylisées.

Designed by: Zecc Architecten

10. La maison Coquillage, au Mexique.1010-210-310-510-610-7

Inspirée par les travaux de Gaudi et de Frank Lloyd Wright, une jeune famille de la ville de Mexico a fait construire cette maison en forme de coquillage.

Designed by: Arquitectura Organica

http://bridoz.com/

200 nouvelles espèces découvertes déjà en danger


Quand on découvre une nouvelle espèce animale ou végétale, c’est que depuis longtemps elle a pu rester cacher a nos yeux mais avec l’environnement qui est de plus en plus changeant ces espèces ne peuvent plus rester dans l’anonymat et c’est probablement un malheur pour eux car certains les captures toutes sortes de raisons tel que les servir au menu dans des restaurants ou les vendre Il est dommage qu’on ne respecte pas ces animaux qui sont appelé a disparaitre par notre faute et que des lois ne les protègent pas
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200 nouvelles espèces découvertes déjà en danger

 

200 nouvelles espèces découvertes déjà en danger

© AFP photo | L.Lee Grismer – Le lézard femelle qui se reproduit par clonage.

Un lézard femelle qui se reproduit par clonage ou un singe qui éternue quand il pleut: plus de 200 nouvelles espèces, animales et végétales, ont été identifiées en 2010 dans la région du Grand Mékong, mais beaucoup sont déjà menacées, a annoncé lundi le Fonds mondial pour la nature (WWF).

«En moyenne une nouvelle espèce est enregistrée par la science tous les deux jours» dans cette zone qui comprend le Vietnam, le Cambodge, le Laos, la Thaïlande, la Birmanie et la province chinoise du Yunnan, selon le rapport «Mékong sauvage».

Soit 145 plantes, 28 reptiles, 25 poissons, 7 amphibiens, 2 mammifères et un oiseau en 2010. Qui s’ajoutent aux 1345 autres espèces identifiées par les scientifiques depuis 1997.

Parmi les nouveaux venus, un lézard femelle qui se clone sans avoir besoin de mâle, découvert au menu d’un restaurant de la province de Ba Ria Vung Tau, dans le sud du Vietnam. Ou une nouvelle espèce de singe au nez retroussé, noir et blanc, déjà connu des Birmans de l’État Kachin pour éternuer quand l’eau entre dans ses narines et qui passe les journées pluvieuses la tête entre les jambes pour éviter ce désagrément.

Nouvelles espèces

Le WWF fait également état d’un cousin de la carpe qui ressemble à un «cornichon» ou d’un lézard «psychédélique» au cou jaune vif, au corps bleu et aux pattes et à la queue orange. Mais «beaucoup sont déjà destinées aux assiettes, se battent pour survivre dans des habitats qui rétrécissent et risquent de disparaître, a commenté Stuart Chapman, responsable de WWF pour la région du Grand Mékong.

«Les trésors de biodiversité de la région seront perdus si les gouvernements n’investissent pas dans la conservation et le maintien de la biodiversité».

 Ce risque a été illustrée par la mort en 2010 au Vietnam du dernier représentant du rhinocéros de Java dans le pays, retrouvé mort la corne coupée. En danger également, le tigre et l’éléphant d’Asie, ainsi que le poisson-chat géant et le dauphin du Mékong.

WWF a ainsi appelé les six gouvernements du Grand Mékong à «accélérer les efforts vers des économies vertes».

«Les gouvernements du Mékong doivent arrêter de voir la protection de la biodiversité comme un coût et la reconnaître comme un investissement pour assurer la stabilité à long-terme» de l’environnement, a insisté Chapman.

http://fr.canoe.ca

Prisonniers des glaces Une centaine de bélugas en danger de mort


Les eaux arctiques entourent souvent des victimes par les glaces, et donne un en pâturage aux prédateurs, mais cette fois-ci des bélugas pourraient être sauver grâce a des brise-glaces
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Prisonniers des glaces

Une centaine de bélugas en danger de mort

 

Une centaine de bélugas en danger de mort

Crédit photo : archives AFP

TVA Nouvelles et Agence QMI

Pris dans un étau de glace, une centaine de bélugas risquent la mort s’ils ne sont pas libérés bientôt, en Russie.

Le troupeau de petites baleines s’est trouvé coincé entre les glaces dans un détroit à proximité de la mer de Bering, dans le district autonome de Tchoukotka, comme l’ont confirmé les autorités.

Des pêcheurs ont rapporté que les baleines étaient rassemblées dans deux cuves relativement petites qui se sont formées dans la glace. Pour le moment, elles parviennent toujours à respirer, mais les chances qu’elles arrivent à retrouver la mer sont minces étant donné les vastes étendues de glace qui bloquent le détroit.

Ours et épaulards aux aguets

La bande de bélugas n’a que peu de nourriture à sa disposition et la glace s’accumule, si bien que les baleines blanches risquent de s’épuiser rapidement et, éventuellement, de mourir affamées ou asphyxiées. Prisonnières, elles sont aussi davantage susceptibles d’être attaquées par des prédateurs tels que les ours polaires ou les épaulards.

Les autorités du district ont demandé l’aide du gouvernement fédéral afin qu’un brise-glace soit envoyé pour secourir les pauvres bêtes. Un bateau remorqueur se trouve déjà à proximité pour aider un cargo coréen, mais il lui faudrait une journée et demie pour atteindre le troupeau, et le temps presse.

La Tchoutotka fait partie des nombreux habitats naturels des canaris des mers, et il n’est pas rare que certains d’entre eux se trouvent emprisonnés dans ces eaux arctiques. Souvent, les bêtes captives ne sont pas localisées et passent inaperçues.

Le dernier sauvetage à s’être déroulé dans cette région a eu lieu en 1986. Un brise-glace était alors venu à la rescousse des petites baleines, qui ont repris le chemin vers les eaux claires de la mer.

http://tvanouvelles.ca

L’Arctique continue à se réchauffer


Le changement climatique en Arctique a de bons et mauvais côté mais a quel prix a long terme? Bien que la nature semble s’éclore de plus en plus sur terre et dans la mer, d’autres animaux risque par contre, d’être dans une situation dramatique, sans compter que l’exploitation du sol risque de grandir ainsi que l’achalandage des lieux … pas sur que cela soit mieux
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L’Arctique continue à se réchauffer

L'Arctique continue à se réchauffer

En 2011, la température moyenne annuelle de l’air près de la surface de l’océan Arctique était d’environ 1,5 degré Celsius plus élevée que durant la période de 1981 à 2010, précise le rapport de la NOAA.

Photo: Jonathan Hayward, Archives PC

Agence France-Presse
Washington

L’Arctique continue à se réchauffer, entraînant depuis ces dernières années un bouleversement durable de l’écosystème de la région, conclut un groupe international de scientifiques dans un rapport rendu public jeudi par le gouvernement américain.

Selon ces experts «un nombre suffisant de données annuelles a été collecté permettant d’indiquer un changement dans le système de l’océan Arctique depuis 2006».

Ils relèvent également la répétition en 2011 d’un vent d’hiver arctique qui sort de la norme pour la région.

Étant donné les projections de poursuite du réchauffement planétaire, «il est très probable que ces changements majeurs vont se poursuivre dans les années à venir avec des impacts climatiques, biologiques et sociaux accrus», écrivent les auteurs de ce rapport intitulé Arctic Report Card.

Cet état des lieux de l’Arctique est publié annuellement depuis ces dernières années par l’Agence nationale océanique et atmosphérique américaine (NOAA).

«Ces travaux menés par 121 chercheurs de quatorze pays concluent que l’Arctique continue à se réchauffer avec moins de glace dans l’océan et une végétation sur le sol plus abondante», relève Monica Medina, une haute responsable de la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration).

«Un Arctique plus vert et plus chaud fait qu’il fera probablement l’objet d’un plus grand développement et un rapport comme celui-ci aide à nous préparer à davantage de demandes d’exploitation des richesses arctiques et à prendre de meilleures décisions concernant la gestion et la protection de ces ressources de plus en plus accessibles», ajoute-t-elle. Les fonds marins sont notamment riches en pétrole et gaz.

En 2011, la température moyenne annuelle de l’air près de la surface de l’océan Arctique était d’environ 1,5 degré Celsius plus élevée que durant la période de 1981 à 2010, précise le rapport de la NOAA.

La superficie minimum de glace de l’océan en septembre 2011 a été la seconde plus faible pour la saison d’été, après 2007, mesurée depuis le début des observations par satellite en 1979.

Et depuis 2006, l’Arctique a connu les cinq étés durant lesquels l’étendue des glaces a été la plus faible jamais enregistrée. Durant deux années de suite, les trois principaux accès à l’océan Arctique étaient libérés des glaces et accessibles à la navigation, un fait très inhabituel.

De 2010 à 2011, l’Arctique a subi une perte nette de masse de glace de 430 milliards de tonnes, soit la plus forte réduction annuelle jamais mesurée par les satellites depuis 2002.

Une telle fonte nette de la glace de l’Arctique équivaut à une montée de 1,1 millimètre du niveau de l’océan, selon ces chercheurs.

Une acidification des eaux arctiques résultant d’une absorption accrue de dioxyde de carbone (CO2), principal gaz à effet de serre, a également été mesurée dans les mers de Beaufort et de Chukchi.

En outre, cette fonte plus étendue des glaces fait que l’Arctique réfléchit moins l’énergie solaire durant l’été et absorbe plus de chaleur aggravant d’autant plus le réchauffement, relèvent les auteurs du rapport.

Le recul des glaces dans l’Arctique menace l’habitat des morses et des ours polaires dont sept des dix-neuf sous-populations voient leur nombre diminuer.

Mais le réchauffement du pergélisol se traduit par une végétation plus verdoyante et abondante dans la Toundra des régions côtières adjacentes aux zones où les glaces de l’océan Arctique disparaissent le plus.

Autre avantage du réchauffement, le phytoplancton dans l’océan, qui est à la base de la chaîne alimentaire des espèces marines, a augmenté de 20% depuis dix ans, notent ces experts

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20 espèces en danger


Des espèces menacées que malgré la mise de protection, ils sont quand même en grand danger de disparaitre et pour la majorité des cas, nous en sommes les premiers responsables
Nuage


20 espèces en danger


A cause de la perte de leur habitat, de la chasse ou de la diminution des stocks de nourriture, des milliers d’animaux sont en danger de disparation. Parmi eux, ces 20 espèces font partie des plus menacées au monde.

Ce rapace, appelé percnoptère d’Egypte, vit aussi bien en Europe qu’en Afrique ou en Asie

20 espèces menacées d'extinction

© Servane Pauchenne


Le tamarin pinché à crête blanche ou tamarin à perruque est un petit singe qu’on ne trouve qu’au nord de la Colombie

le tamarin pinché

© Claude Garnier


Le Busard de la Réunion, aussi appelé papangue

le busard de la réunion

© Alexandre Boyer


Le diable de Tasmanie

le diable de tasmanie

© Patrick Delevoy


La tortue imbriquée qu’on trouve dans les mers tropicales

la tortue imbriquée

© Fabienne Meynieu


Le zèbre de Grévy,  on le trouve au Kenya et en Ethiopie, mais a totalement disparu en Somalie

le zèbre de grévy

© Cécile Querleu


L’indri de Madagascar

l'indri de madagascar

© Rémy Blang


Le Dragon de Komodo on  le trouve sur l’ile de Komodo,, mais aussi un peu partout en Indonésie

le dragon de komodo

© Loic Marchat


Le lycaon ou chien sauvage d’Afrique

le lycaon

© Frederic Appel


Le poisson napoléon

le poisson napoléon

© Raymond Escobar


Le rhinocéros noir vit en Afrique

le rhinocéros noir

© Michèle Bellonnet


Le tigre de Sumatra en Indonésie

le tigre de sumatra

© Patrick Peralta


Le gavial du Gange

le gavial du gange

© Valérie Dhondt


Le requin-baleine

le requin-baleine

© Thomas Dulaurent


L’éléphant d’Asie

l'éléphant d'asie

© Pierre Bacon


L’ours blanc

l'ours blanc

© Guy Violini


Le gorille de l’ouest

le gorille de l'ouest

© Jean-Marc Foquet


L’albatros des Galapagos sur l’île d’Espanola, et vit surtout sur les côtes de l’Equateur et du Pérou

l'albatros des galapagos

© Alain Coqueret


Le panda géant

le panda géant

© Pierre Bassette


Le cheval de Przewalski

le cheval de przewalski

© Cécile Querleu


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