Un graffiti semble confirmer la date précise de l’éruption du Vésuve


On disait que l’éruption de Vésuve étant en août 79, pourtant, il y avait certains signes qui ne correspondaient pas vraiment en été. Puis un graffiti est découvert sur un mur de Pompéi qui viens de réécrire l’histoire de cette journée fatidique.
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Un graffiti semble confirmer la date précise de l’éruption du Vésuve

© epa.

POMPÉI

 Un graffiti découvert sur un mur de Pompéi, l’un des sites touristiques les plus visités en Italie, semble confirmer que la ville romaine a été ensevelie par l’éruption du Vésuve en octobre 79 et non en août, rapportent mardi les médias italiens.

Selon le directeur des fouilles à Pompéi, Massimo Osanna, l’inscription tracée par un ouvrier travaillant dans une villa comporte la date du « 16ème jour avant les calendes de novembre, ce qui correspond au 17 octobre ».

La destruction de Pompéi était généralement située au 24 août 79 en raison d’écrits de Pline le Jeune, mais M. Osanna a rappelé que plusieurs éléments retrouvés sur place avaient déjà suggéré que l’éruption aurait pu avoir lieu en automne.

« Au XIXème siècle déjà, la découverte de traces de branches contenant des fruits d’automne, ainsi que de grenadiers et de braseros avait fait réfléchir » puisqu’ils ne devaient pas y en avoir en été, a expliqué M. Osanna.

« Aujourd’hui, avec beaucoup d’humilité, peut-être que nous réécrivons les livres d’histoire car nous datons l’éruption à la seconde moitié d’octobre », a commenté le ministre italien de la Culture, Alberto Bonisoli.

Site italien le plus visité après le Colisée de Rome, Pompéi a accueilli un record de 3,4 millions de touristes en 2017 et près de 3 millions pour les seuls huit premiers mois de 2018.

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En croisade contre les graffitis haineux


Il en faudrait beaucoup comme cet homme. Il enlève les graffitis haineuse grâce à son entreprise de nettoyage sous pression. Le hic, c’est qu’il ne conçoit pas retirer quelques salaires pour ce travail, il le fait bénévolement. L’argent qu’il peut recueillir va pour ce projet de lutter contre la haine que ce soit la croix gammée, le raciste, antisémitisme, islamophobie etc ..
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En croisade contre les graffitis haineux

 

Corey Fleischer efface un graffiti haineux sur une... (PHOTO DAVID BOILY, LA PRESSE)

Corey Fleischer efface un graffiti haineux sur une pancarte. Le propriétaire d’une entreprise de nettoyage à pression s’est lancé en mission contre la présence de tels messages dans l’espace public.

PHOTO DAVID BOILY, LA PRESSE

 

LELA SAVIC
La Presse

Le vrai métier de Corey Fleischer, c’est son entreprise de nettoyage à pression, sa spécialité étant les graffitis. Or, lorsqu’il s’agit de nettoyer les symboles haineux, le diplômé en études féministes est catégorique : c’est sa mission de vie.

Depuis sept ans, islamophobie, anti-embourgeoisement, antisémitisme, racisme, il les retire tous bénévolement. Tous ses éventuels profits sont réinvestis dans son projet qu’il a intitulé «L’armée contre la haine». 

«Ce n’est pas tous les gens qui ont l’argent pour enlever ces graffitis. Les gens qui m’appellent ne sont pas tous directement affectés par les graffitis. Je ne m’imagine pas recevoir un appel pour retirer un graffiti haineux et demander de l’argent pour ce service.»

Les inscriptions antisémites sont celles qu’il efface le plus souvent. Le reste se compose de graffitis homophobes et contre les Noirs et les autres minorités, notamment les musulmans. La croix gammée est le symbole qu’il retire le plus souvent. Récemment, il affirme avoir remarqué un grand nombre de croix gammées accompagnées de la mention «Only the Whites Matter» («Seuls les Blancs ont de l’importance»).

«Parfois, j’ai l’impression de vivre dans les années 60», déplore-t-il.

Si durant les cinq premières années il a nettoyé 50 graffitis haineux, il en aurait retiré 1000 l’an dernier. Ce printemps, il a effacé 30 croix gammées à Laval en une seule journée. Difficile de savoir si le nombre de graffitis haineux a augmenté durant les dernières années.

«Je ne dirais pas qu’il y en a plus. Certains datent d’il y a 30 ans, 5 ans; un quart de ceux que j’ai retirés cette année étaient nouveaux», dit Corey Fleischer.

Tout a commencé avec une croix gammée.

«Je me rendais au travail et j’ai vu une croix gammée. J’ai continué mon chemin, je suis allé terminer mon contrat de peinture, mais je ne me sentais pas bien. Et après, je me suis dit : « Qu’est-ce que je suis en train de faire? » J’ai donc renvoyé mes gars à la maison et je suis retourné retirer la croix gammée. […] Mon entreprise n’a pas un énorme impact, je ne change pas grand-chose dans la vie des gens. Donc, pendant longtemps, je n’ai pas été heureux dans la vie. J’ai enlevé la croix gammée et après cela j’en ai trouvé une autre, et une sorte de dépendance s’est installée. Le sentiment que j’ai eu, à ce moment-là, était quelque chose que j’avais cherché toute ma vie. J’ai tout abandonné, c’est devenu mon activité principale : je ne sors plus le vendredi soir, je ne fais plus de hockey, tout mon temps et mon argent sont investis dans ce projet.»

Huit croix gammées en une semaine

Lors de notre passage, Corey était dans le quartier Sainte-Dorothée pour retirer des graffitis contre l’embourgeoisement. Dans les rues de ce quartier aisé, le slogan «Burn the Rich» («Brûlez les riches») ornait quelques murs. Les habitants du quartier semblaient horrifiés à l’idée de devoir expliquer à leurs enfants pourquoi ces messages étaient là, explique Corey.

La Presse a repéré une croix gammée sur une affiche publicitaire à la sortie de l’autoroute menant à Sainte-Dorothée, rue Samson. Corey a décidé d’aller la retirer.

«Je suis allé faire un nettoyage de graffitis sur l’embourgeoisement et vous êtes tombés sur une croix gammée, on n’y échappe pas.»

Cette semaine seulement, il a retiré huit croix gammées.

Lorsque Corey reçoit des appels de citoyens, ils ont souvent déjà appelé la municipalité.

«Certains graffitis haineux restent sur des bâtiments publics pendant un mois sans que la Ville y touche. À Côte-Saint-Luc, il y a eu une dizaine de croix gammées sur des bâtiments pendant une semaine et demie sans que personne y touche avant que j’arrive.»

Mais il remarque que beaucoup de graffitis sont également faits sur des voitures, des appartements, des affiches. La semaine dernière, il a dû nettoyer l’inscription antisémite «Fuck all the Jews» sur une voiture. Pour lui, il était important d’offrir ce service à la propriétaire de la voiture, car il ne pouvait concevoir que cette femme doive conduire son véhicule ainsi.

«Il y aura toujours des gens qui commettront des actes haineux, mais nous devons nous demander ce que fait notre société pour contrer cette tendance.»

Couvrir des croix gammées avec une survivante de l’Holocauste

Des croix gammées étaient gravées dans le ciment sur le boulevard Décarie. Après deux semaines et demie, aucune action n’avait été entreprise par la Ville de Montréal, soutient Corey Fleischer. Il a donc décidé de les recouvrir de ciment en compagnie d’Angela Oros, une survivante de l’Holocauste.

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Immigration


Depuis que le monde est monde nous avons marché, envahit de nouveaux territoire, nous avons déménagé, nous nous sommes installées Nos ancêtres viennent d’ailleurs, d’un autre pays, d’un autre territoire … pour se mélanger à d’autres, apportant notre bagage d’expérience .. Nous sommes donc tous a quelques part des immigrés Il ne faudrait pas l’oublier
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Immigration

Nous sommes tous des immigrés, il n’y a que le lieu de naissance qui change.

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