Une forêt tropicale découverte en Afrique grâce à Google Earth


On voit des choses avec Google Earth ! On peut même découvrir une forêt tropicale en Afrique !! Cette découverte date de 2012, mais cette année plusieurs spécialistes ont été visiter cette forêt vierge. Ils sont même trouver de nouvelles espèces. Espérons que cette forêt sera protégée
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Une forêt tropicale découverte en Afrique grâce à Google Earth

 

 

foret vierge tropicale

Crédits : Flickr

par Yohan Demeure

Google Earth a encore permis de faire une découverte ! En effet, la plateforme composée de photos satellites a donné la possibilité d’aller explorer une forêt tropicale perchée sur un sommet situé au Mozambique !

La découverte a été faite en 2012, mais n’avait pas fait grand bruit dans les médias. Selon Julian Bayliss, biologiste à l’Université Oxford Brookes (Royaume-Uni), il s’agit d’une forêt vierge localisée dans les plaines du nord du Mozambique au sommet du mont Lico, dont l’altitude est d’environ 700 mètres. La première expédition au cœur de ce site n’a eu lieu qu’en mai 2018 et a duré une douzaine de jours, comme le souligne le site de l’ONG Alliance Earth. Auparavant, seules deux courtes missions de reconnaissance avait été organisées afin de préparer la plus récente.

Rassemblant des chercheurs de plus d’une dizaine d’universités, l’expédition avait pour but principal d’explorer la faune et la flore environnantes. Ainsi, les 28 géologues, botanistes, biologistes et autres scientifiques spécialistes dans l’étude des animaux se sont rendus sur le mont Lico, guidés par Jules Line, spécialiste des escalades sans cordage et Mike Robertson, un militant anti-lobbys pétroliers connu pour avoir escaladé la tour Eiffel sans équipement.

Les géologues ont creusé un trou de plusieurs mètres de profondeur, le but de la manœuvre étant d’en apprendre d’avantage sur l’histoire de la forêt tropicale et de comprendre comment le changement climatique affecte les forêts dans le temps. D’autres chercheurs ont par ailleurs déniché de potentielles nouvelles espèces de poissons, de crabes, de papillons, de rongeurs, de grenouilles, etc. Par exemple, une sorte de serpent amphibien inconnu de 24 cm de long a été découvert.

Évoquons enfin le fait que cette expédition a été financée par l’African Butterfly Research Institute, le groupe de bienfaisance Transglobe Expedition Trust, ainsi que Bioconsensus, un conseil écologique canadien.

Sources : QuartzFredzone

https://sciencepost.fr/

Mystérieuses structures en pierre dans le désert saoudien


Les découvertes peuvent aussi se faire avec Google Earth pour des archéologues et amateurs. C’est ainsi qu’à été découvert un mur de pierre dans le désert saoudien. Ce mur daterait vers 2000 ans et il serait impossible que ce soit fait naturellement, le mystère demeure quand son  utilité
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Mystérieuses structures en pierre dans le désert saoudien

 

Désert saoudien

Photo non datée fournie par University of Western Australia montrant des structures de pierres mystérieuses dans le désert saoudien.

THE UNIVERSITY OF WESTERN AUSTRALIA/AFP/GRANT SCROGGIE

Par Sciences et Avenir avec AFP

Près de 400 mystérieuses structures de pierres vraisemblablement créées par l’homme il y a plus de 2.000 ans ont été identifiées dans le désert saoudien par un chercheur australien utilisant Google Earth.

David Kennedy, archéologue à l’Université d’Australie occidentale, qui dirige des équipes de chercheurs ayant recensé des milliers de sites archéologiques au Moyen-Orient, s’est dit mercredi 25 octobre 2017 incapable d’expliquer la signification de ces formations de pierre, dont les plus vieilles auraient 9.000 ans.

« On ne peut les voir de façon intelligible au niveau du sol, mais si vous vous élevez de plusieurs dizaines de mètres, ou plus haut grâce à un satellite, elles apparaissent dans toute leur beauté », a-t-il indiqué dans un communiqué.

En dépit de 40 années de recherches dans la région, le chercheur a expliqué avoir été subjugué quand il a repéré pour la première fois sur des images satellites les structures dans des champs de lave d’un ancien volcan.

« Je les ai appelées des « barrières » car quand vous les regardez d’au-dessus, elles ressemblent à des clôtures de champs mises à plat, avec deux poteaux droits de chaque côté reliés par un ou plusieurs longs traits », a-t-il dit. « Elles ne ressemblent pas à des structures dans lesquelles des gens auraient vécu, ni à des pièges pour animaux ou des structures pour se débarrasser de cadavres. Leur fonction est un mystère. »

Photo non datée fournie par University of Western Australia montrant des structures de pierres mystérieuses dans le désert saoudien-THE UNIVERSITY OF WESTERN AUSTRALIA/AFP/GRANT SCROGGIE.

Ces découvertes seront détaillées en novembre dans un article publié dans le journal Arabian Archaeology and Epigraphy. Ces structures furent initialement repérées en 2004 par le Saoudien Abdoullah Al-Saïd, neurologue et archéologue amateur qui avait repéré sur le terrain des murs de pierre, avant d’identifier certaines structures entières en 2008 grâce à Google Earth et de contacter M. Kennedy.

 « Il me dit: – je m’intéresse au patrimoine de mon pays et j’ai aperçu sur Google Earth d’étranges structures dans les champs de lave », a raconté M.

Kennedy à la chaîne ABC. Spécialiste de l’archéologie aérienne, le chercheur australien et son équipe ont photographié depuis 1997 des dizaines de milliers de structures en pierre, essentiellement en Jordanie, dont certaines utilisées comme piège de chasse.

https://www.sciencesetavenir.fr

Journée nationale des Autochtones: Google ajoute 3000 communautés à sa carte du Canada


Je trouve tout à fait normale que les réserves des peuples autochtones puissent être cartographiées sur la carte du Canada, de plus, je trouve important que la Journée nationale des peuples Autochtones soit fériée autant que la fête nationale des provinces que du Canada. Ils font partie du Canada autant que nous, sinon plus
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Journée nationale des Autochtones: Google ajoute 3000 communautés à sa carte du Canada

 

 

STEVE DEROY

RCQC  |  Par Radio-Canada.ca et La Presse canadienne

Plus de 3000 communautés autochtones du Canada apparaîtront désormais dans les cartes de Google Maps et de Google Earth.

Entamé il y a sept ans, le projet a pour but de rendre les peuples autochtones autonomes en leur donnant le pouvoir de contribuer à la cartographie de leurs communautés.

«Il y a énormément de peuples autochtones partout au pays, et le fait qu’ils étaient rayés de la carte de base était franchement insultant.» Steve DeRoy, cartographe et membre de la Première Nation d’Ebb and Flow, au Manitoba

Au Canada, plus de 1,4 million de personnes s’identifient comme Première Nation, Métis ou Inuits. Grâce à des données fournies par le ministère des Ressources naturelles du Canada et les membres de communautés autochtones, Google a cartographié les limites territoriales de plus de 3000 réserves au pays.

Le lancement des nouvelles cartes coïncide avec la Journée nationale des Autochtones.

 «Nous sommes chanceux d’avoir une plateforme qui est utilisée partout dans le monde et nous voulons que le Canada, et particulièrement ce qui nous rend Canadiens, y soit reflété», affirme Alexandra Hunnings, responsable des communications à Google Canada.

Le cartographe Steve DeRoy, qui est aussi membre de la Première Nation d’Ebb and Flow, au Manitoba, fait partie de l’initiative depuis sa mise sur pied. Pour lui, celle-ci représente un pas important vers la réconciliation.

«Le fait que Google rend ces cartes accessibles au monde entier, c’est fantastique», se réjouit-il.

Bientôt une «Journée nationale des peuples autochtones»

En cette Journée nationale des Autochtones, le Le gouvernement fédéral a l’intention de la rebaptiser pour en faire la Journée nationale des peuples autochtones.

Profitant mercredi de cette journée nationale, célébrée au solstice d’été depuis 1996, le premier ministre Justin Trudeau a expliqué dans un communiqué qu’

«aucune autre relation n’est plus importante pour le Canada que la relation que nous entretenons avec les peuples autochtones», soit les Premières Nations, les Inuits et la nation métisse.

Le chef de l’Assemblée des Premières Nations, Perry Bellegarde, a immédiatement apporté son soutien à cette nouvelle appellation, qui correspond davantage, selon lui, à la reconnaissance internationale des peuples autochtones. Son organisme avait d’ailleurs déjà adopté une résolution en ce sens.

M. Bellegarde croit que ce changement, petit en apparence, «constitue un pas de plus vers la reconnaissance que ces territoires sont d’abord la terre natale des nations et des cultures autochtones».

Plus tôt ce mois-ci, la députée néo-démocrate de Saskatchewan Georgina Jolibois avait déposé un projet de loi d’initiative parlementaire visant à faire de la Journée nationale des Autochtones un jour férié.

Le premier ministre Trudeau doit prendre la parole plus tard mercredi devant le 100, rue Wellington, l’ancien siège de l’ambassade américaine à Ottawa, face au parlement, qui doit devenir un édifice emblématique des peuples autochtones. Une source au sein du gouvernement indiquait plus tôt ce mois-ci que le gouvernement dévoilerait bientôt les détails du projet, après consultations avec les communautés autochtones.

L’édifice de pierre calcaire, de style Beaux-Arts classique, a été construit au début des années 1930 pour abriter l’ambassade des États-Unis. Le gouvernement canadien l’a acquis en 1997 et l’édifice était vacant depuis 1998. Il avait été désigné «édifice fédéral du patrimoine classé» en 1985.

Avec les informations de Karen Pauls, CBC News

http://quebec.huffingtonpost.ca

Un chasseur d’extraterrestre aurait-il trouvé un vestige de l’Atlantide sur Google Earth ?


Si vraiment il y a quelque chose dans ce coin de l’océan, je doute  que ce soit une base d’extraterrestre. Le seul moyen d’éviter la discorde serait que des scientifiques puissent s’en rendre compte sur place. Mais bon, si jamais les extraterrestres sont déjà venu, j’espère qu’un jour, ils auront plusieurs preuves formelles et difficilement contestable
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Un chasseur d’extraterrestre aurait-il trouvé un vestige de l’Atlantide sur Google Earth ?

 

L’ufologue a repéré une forme pyramidale au fond de l’océan Pacifique.

Photo : Google Maps

 

DÉCOUVERTE – Un chercheur d’ovnis argentin affirme avoir repéré une pyramide parfaite de près de 15 km de périmètre dans l’océan Pacifique, au large des côtes mexicaines. Civilisation perdue, vaisseau spatial ou base extraterrestre, sa découverte a ouvert le débat dans la communauté.

Et si le secret de l’Atlantide, ou de la vie ailleurs était percé par Google Earth ? Un chasseur d’ovnis chevronné, Marcelo Irazusta, affirme avoir repéré une pyramide parfaite – dotée de faces isocèles – au fond de l’océan Pacifique via l’application web. Dans un relief de la carte, l’ufologue argentin a repéré les traits d’un édifice dont le périmètre serait d’environ 15 km. À titre comparatif, il faut parcourir 922 mètres pour contourner la célèbre pyramide de Khéops en Egypte.

Base extraterrestre ou vestige d’Atlantide ?

Dans une vidéo publiée le 20 juin sur YouTube, l’auteur affirme que cette étrange forme est d’origine extraterrestre. Il s’agirait d’un vaisseau enfoui sous l’eau, peut-on lire en commentaire. Pour le blogueur Scott C. Waring , lui aussi en quête d’une vie ailleurs , cette pyramide pourrait être les vestiges d’une base extraterrestre. Pour d’autres encore, « il s’agit des restes de l’île mythique d’Atlantide », avance l’agence de presse argentine Télam .

Même si pour Scott C. Waring, « seuls des extraterrestres auraient pu accomplir une structure si importante », cette forme triangulaire cachée dans les circonvolutions de Google Earth pourrait également révéler les vestiges de populations précolombiennes, aztèques ou mayas, implantées sur l’actuel Mexique.

En matière d’archéologie, l’outil numérique avait par ailleurs fait ses preuves en 2012, dans la découverte de plusieurs pyramides en Egypte par une chercheuse aux Etats-Unis.

Google Earth, un outil utile mais faillible

Bien sûr, n’écartons pas l’hypothèse d’une faille de Google Earth. Les fans de petits hommes verts étaient déjà tombés dans le panneau en observant des quadrillages dans les reliefs de l’océan, qui reflétaient en réalité la route des différents bateaux chargés de cartographier les fonds marins. Si cette « pyramide » n’est probablement pas la preuve que l’île de Platon ensevelie par les flots a existé, l’océan reste inexploré dans de nombreuses zones, promettant de nombreuses surprises.

http://www.metronews.fr/

Des scientifiques à la recherche d’une île fantôme


Certains disent qu’elle existe d’autre l’ayant chercher ne l’ont pas vue .. A t’elle été engloutie par l’océan, les scientifiques l’auraient dans ce cas-là vue  a moins que … les iles fantômes existent 😉
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Des scientifiques à la recherche d’une île fantôme

 

 

Capture d’écran de Google Earth

C’est un grand mystère auquel est confrontée une équipe de scientifiques : partis à la recherche d’une île répertoriée par Google Earth dans le Pacifique Sud, les chercheurs ne l’ont pas trouvée.

C’est une histoire incroyable. Visible sur l’atlas numérique de Google Earth, Sandy Island serait située dans la mer de Corail, à mi-chemin entre l’Australie et la Nouvelle-Calédonie. Elle est également répertoriée par le « Times Atlas of the World », un atlas de référence, sous le nom de Sable Island. De même, l’île est signalée sur les cartes maritimes utilisées par le Southern-Surveyor, un navire de recherches scientifiques.

Pourtant, selon une équipe de scientifiques australiens, cette île n’existe pas. Les chercheurs ont effectué pendant 25 jours une mission d’identification des fragments de la crôute continentale australienne submergée en mer de Corail et n’ont rien trouvé.

« Nous voulions vérifier. Or les relevés indiquaient à cet endroit une profondeur de 1400 mètres, soit une très grande profondeur » a commenté Maria Seton, membre de l’équipe de scientifiques travaillant sur cette île. « C’est sur Google Earth et sur d’autres cartes. Mais on a vérifié et il n’y a pas d’île. On est vraiment étonnés, c’est très bizarre » a-t-elle ajouté.

« Une des choses les plus excitantes à propos des cartes et de la géographie, c’est que le monde n’arrête pas d’évoluer. Et garder le rythme de ces changements est une tâche qui ne finit jamais » a, de son côté, déclaré Google.

http://www.ladepeche.fr

25 ans après, il retrouve sa famille grâce à Google Earth


Être un enfant pauvre dans un pays ou les jeunes parcours les routes pour ramasser un maigre butin est une situation pénible, mais quand on s’endort dans un train .. et au réveil c’est le commencement d’un destin totalement différent qui s’ouvrent est inimaginable. Mais qu’en plus avec le temps on réussit l’impossible pour renouer avec le passé … la famille c’est vraiment le summum du destin
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25 ans après, il retrouve sa famille grâce à Google Earth

 

L'itinéraire de Saroo pour retrouver sa famille adoptive dont il avait perdu la trace à l'âge de 5 ans. DR
L’itinéraire de Saroo pour retrouver sa famille adoptive dont il avait perdu la trace à l’âge de 5 ans. DR

Saroo Brierley, un Australien d’adoption a retrouvé sa famille dont il avait perdu la trace en Inde quand il avait 5 ans. Son histoire pourrait faire l’objet d’un film.

«Par où commencer?» C’est la question que s’est posée Saroo Brierley, quand il a décidé de rassembler ses souvenirs pour retrouver ses origines, après vingt-cinq ans de mystères. Adopté par une famille australienne, l’enfant d’origine indienne devenu un jeune adulte a retrouvé son village et sa famille grâce à Google Earth,raconte Vanity Fair.

Au début des années 1990, Saroo a 5 ans lorsqu’il part avec son frère Guddu, de quatre ans son aîné, pour ramasser les pièces de monnaie tombées dans les trains de sa région. Comme à chaque fois qu’ils partent à l’aventure mendier dans les wagons, les deux frères prennent toujours les mêmes itinéraires. Mais un jour, épuisé par leur quête, le plus jeune s’endort pendant que l’autre continue sa collecte. En se réveillant, il a perdu la trace de son grand frère et s’égare en partant à sa recherche.

Illettré et ne sachant pas compter, Saroo ne connaît pas non plus le nom de sa ville, ni de sa région ni même son nom de famille. Après avoir pris plusieurs trains en espérant se rapprocher de chez lui, l’enfant parcourt plus de 1500 kilomètres et atteint Calcutta,  capitale de l’État du Bengale-Occidental, en Inde. Accueilli par une association et adopté par un couple d’Australiens, Saroo prend l’avion pour la première fois et atterri en Tasmanie, île du sud de l’Australie

Dix ans d’enquête

Quinze ans plus tard, diplômé et intégré à la société australienne, le jeune homme est pris d’envie de retrouver ses racines. Il lance alors Google Earth, et pointe son curseur vers l’Inde. Il ne se souvient que d’une gare, d’un barrage et d’une cascade, d’une fontaine, d’un grand pont et d’un grand complexe industriel. Mais, traumatisé par l’immensité de la carte de l’Inde, il laisse tomber et ne reprendra ses recherches que trois ans plus tard. Après sept années d’enquête supplémentaires, Saroo réussit enfin son pari en poussant sa réflexion: il multiplie le nombre d’heures durant lesquelles il était resté endormi dans le train avec la vitesse de croisière d’un train de l’époque et réussi à réduire la zone de recherche à 1200 kilomètres de diamètre.

En remontant la voie ferrée sur les images satellites, il tombe sur un pont près d’une usine bordant une rivière, précisément là où il avait perdu son frère. «J’ai eu un choc», explique Saroo. Il retrouve finalement son village en repérant une fontaine où il s’était blessé vingt-cinq ans plus tôt. Un événement qui l’avait marqué.

 «Ganesh Talai, c’est donc le nom de mon village».

Afficher L’itinéraire de Saroo

Encouragé par sa famille adoptive, Saroo décolle en février 2010 en direction de l’Inde, à la recherche de ses proches.

 «J’en suis arrivé à pleurer tellement les flash-back étaient puissants», raconte-t-il.

Arrivé à Ganesh Talai, il passe devant des lieux familiers et tombe sur une habitation faite de briques de boue avec un toit d’étain: c’est sa maison. Sans dire un mot, une femme, sa mère biologique s’approche vers lui et le serre dans ses bras.

«La joie dans mon cœur était aussi profonde que l’océan», explique-t-elle.

Saroo retrouve ainsi sa petite sœur Shekila, son frère Kullu, mais pas son aîné Guddu, retrouvé un mois après sa disparition, le corps coupé en deux sur une voie ferrée.

Saroo est resté 11 jours près des siens pour rattraper le temps perdu. Il leur a promis de leur envoyer chaque mois 100 dollars pour compenser leurs faibles revenus. Soulagé, il est reparti en Australie en sachant que ni sa mère ni son frère ne l’avaient abandonné. Originale, son histoire intéresserait déjà éditeurs et producteurs de films, selon la BBC.

Gary Assouline

http://www.lefigaro.fr/