Pam Ishiguro est propriétaire de sept canards. L’un d’eux, a noué une relation, son chien, un Golden Retriver. Lorsqu’ils sont ensemble, ils se chassent mutuellement, mais séparés, ils se cherchent
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Amitié entre un chien et un canard
Pam Ishiguro est propriétaire de sept canards. L’un d’eux, a noué une relation, son chien, un Golden Retriver. Lorsqu’ils sont ensemble, ils se chassent mutuellement, mais séparés, ils se cherchent
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Amitié entre un chien et un canard
Le rêve de tous parents d’avoir un chien bien dressé pour aider aux ramassages de jouet.
Ce Golden Retriever à été dressé depuis son jeune âge et pour lui, ce genre d’activité semble être un jeu
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Ce chien qui a un talent fou pour le rangement
Les chiens sont plus que des animaux de compagnie, certaines races sont des aides précieuses en cas d’extrême urgence. Les victimes des avalanches sont un bon exemple de l’aide précieuse des chiens sont indispensables
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La montagne est aussi belle que dangereuse, surtout lorsque l’hiver vient, et avec lui les risques d’avalanches de neige. Heureusement, les chiens d’avalanche permettent chaque année de retrouver des personnes portées disparues.
Les chiens, bien plus rapides et efficaces que les hommes
Plus rapides, et donc plus efficaces que les hommes, les chiens sont irremplaçables dans des situations d’extrême urgence telles que la recherche de personnes ensevelies sous la neige.
En quelques minutes seulement, ils couvrent des zones qui demanderaient des heures de travail aux pisteurs.
La survie des victimes d’avalanche est une question de minutes. La rapidité est donc primordiale pour espérer les sauver.
En France, on distingue deux types d’équipes de recherches cynophiles en montagne : celle de l’Armée et de la Gendarmerie, et celle des C.R.S et des stations de ski.
Quelles races de chiens sont adaptées à la vie en haute-montagne ?
Si le Saint-Bernard est bien souvent le premier auquel on pense lorsque l’on évoque les chiens sauveteurs, cette race n’est pas adaptée à la vie en montagne en hiver. Trop lourd, il manque d’efficacité, et la neige se colle à ses longs poils.
Ce sont essentiellement des Bergers Allemands et des Bergers Belges qui sont mobilisés. Ces chiens s’adaptent vite aux conditions de la haute-montagne.
Leur pelage change et les protège plus efficacement du froid. Leurs coussinets se transforment aussi. Ils durcissent afin de mieux supporter la neige et le sel qui ont tendance à irriter les pattes des chiens.
D’autres races, telles que le Boxer, le Golden Retriever ou le Labrador sont aussi parfois formées au sauvetage de victimes d’avalanche.
La formation
Les chiens sauveteurs doivent naturellement être formés avant de participer à des sauvetages en montagne. Ils commencent cette formation à l’âge de 1 à 4 ans, et il faut compter à peu près 1 an et demi d’entraînement pour qu’un chien soit prêt et mobilisé sur des missions.
Ils apprennent alors à reconnaitre une odeur particulière du corps humain, qui remonte à la surface du manteau neigeux. Grâce à leur incomparable flair, les chiens peuvent repérer cette odeur, même lorsque les victimes sont ensevelies sous une couche de neige atteignant plusieurs mètres.
Les chiens ne connaissent pas la notion de travail, et leur formation est avant tout un jeu pour eux. L’entraînement s’articule autour de différents exercices, certains visant à développer leur rapidité de découverte, et d’autres à leur apprendre la persévérance.
Une confiance sans faille entre le chien et son maître
Si la formation des chiens est bien sûr indispensable, la relation qu’ils entretiennent avec leur maître est elle aussi primordiale.
Une complicité et une confiance sans faille doivent naître entre l’animal et l’homme.
Un chien sauveteur reste ainsi généralement auprès du même maître tout au long de sa carrière, et très souvent toute sa vie. La relation liée est en effet si forte qu’il est inenvisageable de séparer les deux compagnons de travail.
Les gros chiens ne devraient pas être tondus, sauf en cas de nécessité. Sinon, un bon bain, séchage et une bonne séance de brossage est sans doute mieux que le tondre le chien au printemps
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Les gros chiens à poil long, comme le golden retriever, n’ont pas besoin de passer sous la tondeuse, sauf en cas d’hygiène douteuse ou de problème de santé.
PHOTO TIMOTHY A. CLARY, AFP
MARIE-FRANCE LÉGER
La Presse
La mue du printemps va bientôt commencer chez les chiens. Pour les propriétaires d’animaux à poil long, la question revient annuellement : faut-il faire raser pitou ?
Certes, afin d’éviter les chutes de poils trop abondantes dans la maison, le propriétaire sera tenté de lui faire faire une « petite coupe ». Mais est-ce bénéfique ou nécessaire pour l’animal ? Non, pas forcément, répondent toiletteurs et vétérinaires.
Parmi les 10 chiens les plus populaires, le top 3 est composé de gros chiens à poil long : le labrador, le berger allemand et le golden retriever. Or, ces chiens n’ont pas besoin de passer sous la tondeuse, sauf en cas d’hygiène douteuse ou de problème de santé.
« Ce n’est vraiment pas obligatoire, souligne la vétérinaire Marie-Hélène Tétreault, de la Clinique vétérinaire DIX30 et de la Clinique vétérinaire Griffintown. Les gens le font davantage pour des problèmes de poils. Mais s’il y a des problèmes de peau, là, c’est indiqué. C’est bon de faire aérer la peau pour des infections superficielles. »
Cette question, Valérie Dickson se la pose chaque année. Son chien, un labrador croisé husky de 9 ans, a souffert de problèmes de démangeaisons et de rougeurs au cours de l’été 2014. L’an dernier, et pour la première fois, elle l’a fait raser, sous les conseils de son vétérinaire. Et les problèmes de peau ne sont pas réapparus l’été dernier.
Mais ce n’est pas parce qu’elle l’a fait raser que les ennuis de peau ont cessé, précise Samuel Leblanc, toiletteur depuis plus de 15 ans. C’est parce qu’il a été soigné.
«En général, on ne devrait pas raser les gros chiens. On affecte la texture des poils», mentionne Samuel Leblanc, toiletteur.
« Dans ce cas-ci, un chien croisé labrador-husky – ou un husky – possède deux couches de poils pour le protéger. Ça garde davantage l’humidité prisonnière. Ce qu’il faut pour éviter les problèmes, avant tout, c’est plutôt de donner un bon bain et surtout un bon séchage avec le souffleur. »
UN BROSSAGE PLUTÔT QUE LE RASAGE
Samuel Leblanc, qui travaille à la Clinique vétérinaire DIX30, note que les problèmes de peau sont effectivement de plus en plus fréquents chez les chiens. Il y voit entre autres une augmentation de la présence des allergènes, plus nombreux avec les changements climatiques.
En général, si le chien est en bonne santé, il vaut mieux s’en tenir à un bon brossage à la période de mue. Les gros chiens, comme les labradors, les golden, les huskies, les bergers allemands, même les colleys, ne devraient pas être tondus, croit également Yvan Besner, propriétaire du salon Pour chien et chat seulement, à LaSalle.
« Il n’est pas nécessaire de tondre. Après, parfois, le poil va changer de texture ou pousser différemment ou moins bien. Et si c’est trop court, des plaques de poils peuvent ne pas repousser du tout », souligne Yvan Besner, qui organise des événements et des compétitions avec des dizaines de toiletteurs au Québec.
Les poils de ces gros chiens finissent par arrêter de pousser, contrairement aux races comme le caniche ou le bichon, dont le poil bouclé est à croissance continue. De plus, la robe de ces grands chiens très populaires est peu propice aux noeuds ou à l’emmêlement. Raison de plus pour bien réfléchir avant de faire tondre pitou !