Il s’élance vers le ciel et se blesse en voulant prouver que la Terre est plate


Il l’a fait, il s’est élancé dans le ciel avec sa fusée artisanale. C’est courageux, mais il s’est écrasés dans le désert aux États-Unis. Il n’a donc pas pu vérifier son hypothèse, que la terre selon lui, est plate
Nuage

 

Il s’élance vers le ciel et se blesse en voulant prouver que la Terre est plate

 

Il a fait 570 mètres dans les airs dans une fusée artisanale, puis s’est écrasé dans le désert.

  • The Associated Press

Un scientifique autodidacte qui croit que la Terre est plate s’est propulsé à environ 570 mètres dans les airs à bord d’une fusée artisanale avant de se blesser légèrement en atterrissant durement dans le désert de Mojave aux États-Unis.

« Je suis soulagé » a-t-il déclaré après avoir été examiné par des ambulanciers.

« Je suis fatigué d’entendre des gens dire que je suis un dégonflé et que je n’ai même pas construit de fusée, j’en ai marre, maintenant j’ai réussi, je l’ai fait. »

« Mad » Mike Hughes a raconté à l’Associated Press qu’il s’était blessé au dos, mais qu’il se portait plutôt bien après le lancement qui a eu lieu samedi près d’Amboy, en Californie.

Dans sa fusée, l’homme a atteint une vitesse que son assistant, Waldo Stakes, a estimé être de 560 kilomètres par heure avant de sortir son premier parachute.

Il a dû déployer un deuxième parachute avant d’atterrir.

Le décollage, qui a eu lieu dans cette ville du désert – à environ 320 kilomètres à l’est de Los Angeles, était initialement prévu au mois de novembre 2017.

À l’époque, l’homme avait rencontré des ennuis mécaniques et le Bureau de Gestion du Territoire (Bureau of Land Management), auquel revient la gestion des terrains publics aux États-Unis, avait refusé de lui permettre de décoller.

Le chauffeur de limousine âgé de 61 ans a converti une roulotte en rampe de lancement sur laquelle il a installé la fusée.

Pendant des mois, il s’est enfermé dans son garage pour construire sa propre fusée.

Avant le lancement, Mike Hughes a souvent eu des discussions animées sur les médias sociaux avec des gens qui doutaient de sa capacité à réaliser son projet.

Contrairement à ce que plusieurs personnes croyaient, il a indiqué, avant le lancement, que cette mission n’avait pas pour objectif de prouver que la Terre était plate.

« Est-ce que je crois que la Terre est plate comme un « frisbee », oui je le crois, a-t-il déclaré. Est-ce que j’en suis certain? Non, c’est pour cette raison que je veux aller dans l’espace »

« Mad » Mike Hughes souhaite maintenant construire une autre fusée qu’il appellera « Rockoon » et qu’il transporterait dans l’atmosphère à l’aide d’un ballon rempli de gaz, pour ensuite s’élancer dans l’espace.

Selon lui, l’engin lui permettrait de s’élever à 110 kilomètres dans les airs.

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Un étrange phénomène lumineux a affolé les habitants de Los Angeles


Un phénomène lumineux dans l’état de Californie à Los Angeles est apparu dans le ciel. Assez impressionnant que certains ont pensé qu’un vaisseau d’extraterrestre avait fini par voler dans un ciel terrien. Comme de raison, la logique l’emporte sur le fictif … Et non, ce ne sont pas les aliens qui débarquent sur terre, mais plutôt une fusée qui prend son élan vers l’espace
Nuage

 

Un étrange phénomène lumineux a affolé les habitants de Los Angeles

Insolite

 

Les habitants de Los Angeles ont bien cru voir des aliens débarquer chez eux durant la nuit du vendredi au samedi 23 décembre. Un étrange phénomène lumineux est apparu dans le ciel californien en début de soirée.

Des dizaines de messages accompagnés de vidéos ont envahi les réseaux sociaux hier soir. Les habitants de Los Angeles ont bien cru voir des aliens voler dans le ciel, et affolés ou amusés, tous ont tenté de comprendre quelle était cette mystérieuse chose dans le ciel, qui dégageait une puissante lumière et laissait d’immenses traces de fumée derrière elle.

Les images sont d’ailleurs impressionnantes, et il n’est pas si étonnant qu’elles aient créé un petit vent de panique à L.A. Toutefois, il s’agit simplement d’une belle frayeur puisque ce n’était pas un vaisseau extra-terrestre, mais plutôt une fusée de la société américaine SpaceX. L’entreprise avait pourtant annoncé le lancement de la fusée sur Twitter, mais l’information n’est pas si bien remontée jusqu’aux internautes. Les réactions des internautes ont d’ailleurs beaucoup amusé le créateur de SpaceX.

https://www.ladepeche.fr

Convaincu que la terre est plate, il construit une fusée artisanale pour le prouver


Comment aujourd’hui, nous pouvons douter que la terre est ronde, et non plate ? C’est pour moi inconcevable. Même, avant d’aller dans l’espace, de grands scientifiques ont prouvé que la terre était ronde et avec les images des astronomes envoyer depuis l’espace, c’est une évidence
Nuage

Convaincu que la terre est plate, il construit une fusée artisanale pour le prouver

Christophe Da Silva

23/11/17 – 14h45  Source: The Sun

Mike Hughes en est convaincu: la Terre est plate et entourée d’un mur de glace. Il est prêt à risquer sa vie pour le prouver.

Mike « Mad » Hughes n’en est pas à son premier coup d’essai. En 2014, il avait déjà effectué un vol avec une autre fusée fabriquée « maison ». L’engin avait décollé sur une quinzaine de mètres avant d’exploser en plein vol. Il avait réussi à s’échapper en parachute, rappelle le Sun.

Mike Hughes est aujourd’hui convaincu que notre planète est plate. Il veut aussi le prouver dès ce week-end grâce à sa fusée artisanale, qu’il doit faire décoller depuis le désert de Mojave en Californie. Il espère atteindre les 550 mètres d’altitude à près de 800 km/h, durant 1,6 km de distance.

20.000 euros

« Je ne crois pas la science. Je connais l’aérodynamique, la dynamique des fluides et la façon dont les choses évoluent dans l’air. Mais ce n’est pas de la science, c’est juste une formule », a déclaré Mike Hughes.

Mike Hugues, chauffeur de limousine au quotidien, a dépensé 20.000 euros pour construire son engin.

« C’est effrayant, mais aucun d’entre nous ne sortira vivant de ce monde », a conclu l’homme de 61 ans.

http://www.7sur7.be/

Éclipses, fusées et satellites, tout ce qui va se passer dans l’espace en 2017


En 2017, le ciel n’est pas supposé de tomber sur notre tête, il va quand même se passer beaucoup de choses dans l’espace pour cette nouvelle année
Nuage

 

Éclipses, fusées et satellites, tout ce qui va se passer dans l’espace en 2017

 

Le HuffPost  |  Par Gregory Rozieres

ESPACE – En 2016, il s’est passé de nombreuses choses au-dessus de nos têtes. Certaines réjouissantes comme l’arrivée de la sonde Juno autour de Jupiter. D’autres, à l’instar de l’écrasement de l’atterrisseur européen de la mission ExoMars ou de l’explosion d’une fusée de SpaceX, un peu moins.

2017 devrait également compter de nombreux rendez-vous spatiaux et astronomiques. Le HuffPost fait le point sur les grands rendez-vous spatiaux de l’année.

 

13 janvier : sortie dans l’espace de Thomas Pesquet

ESA

L’astronaute français va sortir de la Station spatiale internationale pour y installer de nouvelles batteries. Il pourrait rester en combinaison dans le vide spatial plus de 7 heures. Ce sera le 11e astronaute européen à réaliser une sortie extravéhiculaire sur l’ISS. Le retour sur Terre de Thomas Pesquet est prévu en mai 2017.

Premier trimestre : test du lanceur de SpaceX destiné à aller sur Mars

SpaceX

C’est la fusée, ou plutôt le propulseur qui devrait envoyer, à terme, l’homme sur Mars, selon SpaceX. Initialement prévu pour fin 2016, mais retardé à cause de l’explosion de septembre, le lanceur de la société d’Elon Musk Falcon Heavy devrait être testé dans le premier trimestre de l’année.

Cette fusée géante est en réalité composée, pour faire simple, de trois Falcon 9, le lanceur utilisé actuellement par la société pour ravitailler la Station spatiale internationale.

21 août : éclipse solaire totale (aux États-Unis)

Manoj.dayyala

Ce sera la première éclipse totale pour les États-Unis du XXI siècle.

Deuxième semestre : La Chine se pose sur la Lune

DR

Dans le deuxième semestre, la Chine devrait envoyer sa sonde Chang’e 5 sur notre satellite naturel. Ce serait la première fois qu’un vaisseau chinois se pose sur la lune, y collecte des matériaux et échantillons et rentre sur Terre. La sonde Chang’e 3 s’était déjà posée sur la lune en 2013. La Chine souhaite poser un rover sur la Lune d’ici 2020.

15 septembre : la chute finale de la sonde Cassini

nasa

Depuis le 30 novembre, la sonde américaine observe au plus près les anneaux de Saturne. Elle va continuer de s’en rapprocher puis, en avril, va une nouvelle et dernière fois changer de trajectoire. Une modification qui lui sera finalement fatale, le 15 septembre 2017. Car sa nouvelle orbite va l’envoyer entre les anneaux intérieurs et à moins de 2000 km de l’atmosphère de Saturne. Durant ses derniers instants, Cassini va tenter d’analyser comme elle peut ce qu’elle voit, avant d’enfin pénétrer dans l’atmosphère de Saturne et d’y finir sa vie.

Décembre 2017 : TESS, le chasseur d’exoplanète

Nasa

D’ici la fin de l’année, la Nasa devrait lancer son Transiting Exoplanet Survey Satellite. En orbite autour de la Terre, TESS va tenter de trouver dans l’espace des exoplanètes, à l’instar du télescope spatial Kepler qui a déjà découvert des milliers de planètes en dehors de notre système solaire.

500.000 étoiles devraient être analysées, bien plus brillantes que celles surveillées par Kepler, selon la Nasa, parmi lesquelles les 1000 naines rouges les plus proches. Le lancement pourrait toutefois être différé à juin 2018.

Décembre 2017 : Cheops, le chasseur de planètes européen

Si tout se passe bien, l’ESA, l’agence spatiale européenne, devrait elle aussi lancer un satellite à la recherche d’exoplanètes, CHEOPS, pour CHaracterising ExOPlanet Satellite. Cette fois, le but ne sera pas d’observer de nouvelles étoiles, mais de regarder plus en profondeur celles dont les chercheurs savent qu’elles abritent des exoplanètes.

Avec une technologie de pointe, le satellite va permettre par exemple de connaître la taille de ces planètes avec une précision accrue. Car si l’on a déjà repéré de nombreuses exoplanètes, leurs caractéristiques ne sont encore que des estimations très imprécises. Or, ce que veulent les chercheurs, c’est pouvoir analyser le plus en détail possible ces astres.

Dans l’année : une société privée sur la Lune

Moon Express

Il n’y a pas de date de lancement fixée, mais une chose est sûre: Moon Express a bien obtenu l’autorisation du gouvernement américain pour se poser sur la Lune. Le PDG de la société privée, Bob Richards, souhaite à terme exploiter les ressources minières lunaires, même si les missions de retour d’échantillons ne sont pas prévues avant 2020, précise le site Nom de Zeus. Pour autant, nombreux sont ceux qui doutent de la capacité de la société à réaliser une chose pareille, voire même à simplement se poser sur la Lune.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Parole d’enfant ► L’espace


Mlle a quelques notions de l’espace et des personnes qui y voyagent. Elle sait qu’ils n’ont pas de nourriture et de l’eau, ce qu’elle ne sait pas par contre, c’est qu’ils sont ravitaillés pour survivre
Nuage

 

L’espace

 

 

Grand-maman raconte :

Mlle explique ce qui arrive à ceux qui sont dans l’espace

– Il y a du monde dans espace il y a du monde dans l’espace qui n’ont pas d’eau puis ils meurent. Il n’y a pas de nourriture pour eux et eux aussi ont faim
– Comment ils font pour vivre ?
Ils ne peuvent vivre il n’y a pas d’eau, ils ne peuvent rien faire sauf conduire
– Ils conduisent quoi ?
– Leurs vaisseaux, leurs fusées

Ana-Jézabelle,  4 ans/18 Novembre 2016

Le Saviez-Vous ► 7 bugs informatiques catastrophiques.


Des bugs informatiques, c’est bien embêtant, mais quand cela fait un désastre financier ou des morts inutiles, c’est encore plus dramatique
Nuage

7 bugs informatiques catastrophiques.

Un étrange halo bleu sème l’émoi sur internet


Sur internet, on voit souvent des vidéos qui reviennent de temps à autre, comme cet halo vue au lever du jour à Miami qui date de septembre dernier et qui a fait aussi la une à l’époque. Beaucoup spéculent encore que cela pourrait être un phénomène extraterrestre alors que la réalité est simple et bien terrienne
Nuage

 

Un étrange halo bleu sème l’émoi sur internet

 

Récemment, une vidéo sensationnelle a refait surface sur Internet. Relayée sur plusieurs comptes Facebook, la séquence présente un étrange halo lumineux et bleuté traversant le ciel du petit matin. 

L’enregistrement a été vu plus de 2 millions de fois et a fait l’objet de nombreuses discussions et spéculations quant à  l’origine d’un tel phénomène. Il suffit cependant de remonter le temps à septembre 2015 pour trouver tout simplement la vraie explication.

UN LANCEUR AMÉRICAIN

En explorant les archives du web, on se rend rapidement compte que ce n’est pas la première fois que la vidéo intrigue les internautes. Cette séquence a en réalité été filmée le 22 septembre, à l’aéroport de Miami, en Floride. La zone se situe non loin de la base de lancement de Cap Canaveral, d’où partent les fusées américaines.

Ainsi, l’auréole de lumière bleue que l’on peut observer n’est autre que le lanceur américain Atlas V, filant à  travers la voûte céleste au lever du soleil. Étant donné l’ampleur de la combustion nécessaire au décollage, la trainée laissée dernière la fusée est particulièrement impressionnante. Toutefois, elle n’a rien d’anormal.

L’ENVOI D’UN SATELLITE DE COMMUNICATION MILITAIRE

Encore une fois, les amateurs d’OVNI et d’extraterrestres devront se faire une raison. Le phénomène n’a en effet rien de surnaturel. Il est tout simplement le résultat du kérosène et de l’oxygène liquide brulé dans l’atmosphère terrestre. Le spectacle n’en reste pour autant pas moins impressionnant.

Selon les astronomes, Atlas V aurait été lancé ce jour-là pour envoyer un des cinq satellites de communication MUOS (Mobile User Objective System) dans l’espace. Les dispositifs de la Marine de guerre américaine placés en orbite autour de la Terre sont destinés à améliorer de manière significative les communications au sol pour l’armée américaine. 

http://fr.canoe.ca/

Le Saviez-Vous ► Les expériences dangereuses des scientifiques


Peut-on qualifier ces hommes de savants fous ? Ils ont été leur propre cobaye pour vérifier leur théorie. Certains sont morts, d’autres ont survécu, mais certains ont été très malades. Parmi eux,  des savants ont été récipiendaire du prix Nobel pour leur découverte et bien sûr leur courage.
Nuage

 

Les expériences dangereuses des scientifiques

 

 

Quels risques prendriez-vous au nom de la science? Resteriez-vous tard au labo, au risque de vous mettre à dos vos proches ? Travailleriez-vous avec des produits chimiques toxiques ou mortellement pathogènes? Tenteriez-vous de manger du verre ou monter sur une luge-fusée? Et que diriez-vous de vous pendre?

Si ces trois dernières options semblent un peu fantaisistes, imaginez-vous que des scientifiques les ont vraiment tentées; ils ont même essayé des choses plus dangereuses encore (et tous n’y ont pas survécu d’ailleurs).

En lisant ce qui suit, vous apprendrez les incroyables histoires des scientifiques mangeur de verre, conducteur de luge-fusée, et pendu – ainsi que celles de sept autres chercheurs ayant risqué leur vie dans leurs expérimentations.

1. Wan « Ça devrait marcher » Hoo a essayé de conduire une chaise-fusée.

wan hu
Illustration représentant Wan Hu sur sa chaise-fusée.

 

On doit rendre justice à Wan Hoo. Selon la légende, quand ce fonctionnaire chinois (dont le nom selon les versions était Wan Hu ou Wang Hu) a décidé de se rendre sur la lune, il n’a pas demandé à ses laquais de prendre place sur le dangereux siège. Il s’est assis lui-même sur une chaise en osier rattachée à 47 fusées. Quand les 47 assistants ont allumé les fusées avec leurs torches, on a entendu un énorme bruit, une intense fumée s’est dégagée – mais il n’y avait plus de Wan Hoo.

Il reste néanmoins un cratère nommé d’après Wan Hoo sur la surface de la lune.

2. Isaac « Ça ne me dérange pas » Newton s’est mis une aiguille dans l’œil.

isaac newton
Portrait d’Isaac Newton peint autour de 1715.

 

Bien qu’il soit plus connu pour avoir formulé la loi de la gravité et co-inventé le calcul, Isaac Newton a aussi accompli des travaux pionniers en optique. Il a testé les prismes, mais cela ne l’a pas vraiment renseigné sur l’anatomie de l’œil ou la façon dont ce dernier percevait les couleurs.

Pour en savoir plus, le physicien excentrique s’est emparé d’un passe-lacet et, selon ses mots :

« mis entre mon œil et l’os le plus loin possible à l’arrière de mon œil: j’ai pressé mon œil avec le bout (…) sont apparus alors plusieurs cercles sombres et colorés… »

3. Nicolae « Vous voulez ma photo? » Minovici s’est pendu.

nicolae minovici
Nicolae Minovici au travail.

 

Quelle meilleure façon de connaître les sensations de la pendaison qu’en se pendant soi-même? Il semblerait que ce soit la motivation de Nicolae Minovici, un scientifique qui travaillait à Bucarest (Roumanie) au début du 20ème siècle.

Minovici a expérimenté une série d’auto-asphyxies lors desquelles il s’étranglait avec des cordes. Une fois, il a ainsi fixé un nœud coulant au plafond, s’est mis la tête dedans et ses assistants l’ont ensuite hissé. Bien qu’apparemment ses pieds n’aient jamais quitté le sol, il aurait ressenti une profonde douleur dans le cou et demandé à être rabaissé. Il aurait ensuite du mal à avaler durant un mois entier.

Les résultats de ses recherches ont été publiés en 1904 en Roumanie et en 1905 en France sous le titre « Etude sur la pendaison ».

 

4. Franz « Ça m’a l’air bien solide  » Reichelt a testé son parachute en sautant de la Tour Eiffel.

 Le 4 février 1912, un tailleur autrichien nommé Franz Reichelt testa ainsi son costume parachute – un uniforme d’aviateur conçu pour fonctionner comme parachute en cas d’urgence.

Hélas, le parachute ne s’ouvrit pas et Reichelt plongea vers la mort. L’événement a été enregistré sous forme de photo ainsi que dans la vidéo d’époque

5. Evan « Laissez-moi gérer ça » O’Neill Kane s’est enlevé son propre appendice.

evan oneill kane
Le Dr. Evan O’Neill Kane pratiquant de la chirurgie sur lui-même.

 

Que ressent-on quand on est sous opération chirurgicale? L’anesthésie générale est-elle vraiment nécessaire ou une anesthésie locale suffit-elle pour une chirurgie abdominale? Le Dr Kane, un chirurgien pratiquant au début du 20ème siècle en Pennsylvanie, voulait en avoir le cœur net (sans mauvais jeu de mots). Alors quand il a eu besoin de faire enlever son appendice le 15 février 1921, il a décidé de s’opérer lui-même.

Il s’est appuyé sur des oreillers et a installé un miroir pour bien voir la zone d’incision. Ensuite, après avoir anesthésié son abdomen avec des injections, il a commencé à couper. Trente minutes plus tard, son appendice était extrait et il s’était recousu. Le seul moment vraiment dangereux durant la procédure eut lieu lorsque ses intestins sont sortis de l’incision – mais Kane les a calmement remis à leur place et a continué à travailler.

6. Werner « Peut-être que maintenant ils vont m’écouter » Forssmann s’est enfoncé un cathéter dans son propre coeur.

werner forssmann
Radio montrant le cathéter (la ligne blanche courbe) dans le cœur du Dr Werner Forssmann.

 

Le cathétérisme cardiaque est aujourd’hui une procédure médicale courante dans laquelle un tube fin et long est inséré dans le cœur via une incision faite dans le bras, le cou ou l’aine. Bien sûr, ça n’a pas toujours été si courant. Au début du siècle dernier, on croyait qu’insérer quelque chose dans un cœur battant lui serait fatal.

Werner Forssmann pensait autrement. Alors un jour de 1929, ce jeune Allemand interne en chirurgie s’est anesthésié le bras et a inséré un cathéter dans une veine jusqu’à son cœur. Pour s’assurer que le cathéter était au bon endroit, il a vérifié avec une radio. Il a survécu à cette expérience osée mais a perdu son travail et reçu le mépris de ses collègues. Un Prix Nobel reçu en 1956 est cependant venu récompenser cet acte de bravoure.

7. Frédéric « Nourrissez-moi » Hoelzel a mangé du verre.

frederick hoelzel

Frederick Hoelzel avant et après un long jeûne.

Et pas seulement du verre. Durant les années 1920 et 30, le chercheur Frederick Hoelzel aurait avalé du gravier, des billes de verre, des roulements à billes, des ficelles, des câbles, et d’autres objets non comestibles du genre, afin de montrer le temps qu’ils prendraient à passer à travers ses intestins. En 1930, ses recherches ont été publiées par l’American Journal of Physiology sous le titre: « Le rythme de transit de matières inertes à travers l’appareil digestif ».

Malgré ce régime dangereux, Hoelzel a vécu jusqu’à un âge avancé.

8. Albert « Vers l’infini et l’au-delà » Hofman a vécu le premier trip d’acide.

albert hofman
Albert Hofman en 1993.

 

Le LSD a été synthétisé la première fois en 1938 par le chimiste suisse Albert Hofman. L’intérêt pour la molécule fut faible jusqu’à ce que cinq ans plus tard, Hofman ressente d’étranges sensations après avoir resynthétisé le LSD.

Comme il l’a écrit plus tard, il s’est senti dans un « état pas si déplaisant d’intoxication, caractérisé par une imagination particulièrement stimulée. Dans un état proche du rêve, les yeux clos, je percevais un flot ininterrompu d’images fantastiques, des formes extraordinaires avec un jeu de couleurs intenses et kaléidoscopiques. Au bout de deux heures environ, cet état a disparu. »

Hofman en conclut qu’il avait accidentellement ingéré ou respiré du LSD. Le lundi suivant, il vérifia sa théorie en prenant 0,25 mg du composant. Il ressentit effectivement les mêmes sensations, comprenant de l’anxiété, des déformations visuelles, des symptômes de paralysie, une envie de rire. Incapable de continuer à travailler, il est revenu en vélo chez lui, où il a été saisi par l’angoisse – notamment celle d’avoir été dangereusement empoisonné.

Après s’être assuré par un examen médical que ce n’était pas le cas, il a commencé à en profiter. Comme il l’a écrit plus tard :

« Petit à petit, j’ai commencé à profiter de ces couleurs sans précédent et du jeu de formes qui persistait sous mes yeux fermés. Des images fantastiques, kaléidoscopiques se pressaient en moi, alternant, variant, s’ouvrant et se refermant sous formes de cercles et de spirales, explosant dans des fontaines colorées, se réarrangeant et se recréant dans un flot constant. »

9. Paul « Peu importe si je deviens aveugle » Stapp a conduit une luge plus rapide qu’une balle de revolver.

 

Après des décennies d’expériences avec des avions et des vols aérospatiaux, on sait clairement comment réagit un corps humain confronté à la puissante force g – et la façon dont il faut concevoir harnais et sièges éjectables pour que le pilote soit en sécurité. Mais cela comportait un grand degré d’incertitude jusqu’à ce que le Colonel Paul Stapp de la Air force, chercheur en médecine, accepte de soumettre son propre corps aux incroyables forces g à bord d’une « luge-fusée » lancée dans le désert de Californie.

La possibilité que ce vol puisse le rendre aveugle n’a pas découragé Stapp ; durant la phase préparatoire du vol, il s’est simplement exercé à s’habiller et à se déshabiller dans le noir. Il a ensuite effectué le vol le 10 décembre 1954, passant de l’arrêt à une vitesse de 1017 km/heure en cinq secondes. Puis, la « luge-fusée » a freiné, s’arrêtant complètement en 1,4 seconde et soumettant Stapp à 46.2 fois la force de la gravité.

Stapp est effectivement devenu aveugle, mais temporairement. Il a connu la célébrité en tant qu’homme le plus rapide sur Terre.

10. Barry « Cul sec » Marshall a bu un bouillon rempli de bactéries.

h pylori
Micrographe d’une bactérie H. pylori

 

Durant des années, les médecins n’avaient qu’une vague idée des causes provoquant les ulcères de l’estomac. Beaucoup imputaient la maladie au stress psychologique. Mais un obscur professeur de microbiologie australien nommé Barry Marshall était convaincu que bien des ulcères résultaient d’une infection à une bactérie en forme de tire-bouchon connue comme l’Helicobacter pylori et qu’une batterie d’antibiotiques fournissait le meilleur traitement. Mais il n’existait pas de façon simple pour le Dr Marshall de tester sa théorie, puisque le H. pylori n’affectait que les primates et que des soucis d’étique l’empêchaient de la vérifier sur des humains. Il décida donc d’être son propre cobaye: il a extrait des germes d’un patient infecté, les a mêlés à une solution et l’a bue.

Quelques jours plus tard, après une phase de vomissements et d’épuisement, il a fait une biopsie de ses propres intestins et a prouvé le lien entre germes et ulcères. Il a remporté un Prix Nobel en 2005 pour cette expérience audacieuse.

http://www.huffingtonpost.fr

Une grenouille s’envole avec la sonde Ladee une fusée de la NASA


Non, la grenouille ne devait pas aller en expédition lunaire, mais elle a été au mauvais endroit, au mauvais moment …. Dure, dure la vie de grenouille, si ce n’est pas pour finir en cuisses de grenouilles, ce n’est non plus pour devenir astronaute
Nuage

Une grenouille s’envole avec la sonde Ladee une fusée de la NASA

 

Un invité surprise (à gauche sur la photo) a participé au lancement de la sonde Ladee de la NASA, vendredi dernier.Photo : NASA/Wallops/Mid-Atlantic Regional Spaceport

NSOLITE – Une grenouille a été photographiée décollant avec la sonde Ladee de la NASA, vendredi dernier. Une image étonnante qui a fait le tour de la Toile. L’amphibien n’aurait cependant pas survécu.

 

Vers l’infini et l’au-delà ! Si c’est le rêve de nombreux êtres humains que de pouvoir un jour aller dans l’espace, une grenouille a pu le réaliser brièvement. Une photo en atteste. Vendredi dernier, alors que la sonde Ladee de la NASA s’envole dans l’espace pour étudier l’atmosphère de la lune, un invité surprise apparaît bien distinctement sur le cliché capturant ce moment. Une grenouille prenant la pose de l’homme de Vitruve, de Léonard de Vinci.

Destin incertain

Aussi invraisemblable que cette photo puisse paraître, elle demeure bien réelle et n’a en aucun cas été retouchée, a précisé le site Universe Today.

« Ce petit être a été surpris par l’allumage du lanceur Minautor V », peut-on lire sur le site, « malheureusement, nous ne pouvons pas certifier qu’aucune grenouille n’a été blessée durant la prise de cette photographie ».

 Le site avance comme explication le fait que l’amphibien s’est sûrement retrouvé dans la piscine de refroidissement du lanceur.

Le destin tragique de cette grenouille a ému la Toile et certains lui ont même rendu hommage sur Twitter, à l’image du chef technique du Huffington Post britannique, Michael Rundle. Optimiste, The Atlantic retient surtout que

« c’est la grenouille qui s’est le plus approchée de la Lune ». Ironisant : « un petit pas pour la grenouille, un grand bond pour l’espèce ».

http://www.metronews.fr

 

Danger Enlever nos débris de l’espace devient une urgence


Cela fait plusieurs années qu’on entend parler des dangers de la pollution spatiale. Tous ces débris qui pourraient endommager des satellites en fonction pourraient provoquer de gros dégâts. Depuis le temps, il aurait pu agir avant. Quand on pense qu’ils veulent faire des voyages de non-retour vers Mars, ils pourraient au moins commencer a nettoyé l’espace
Nuage

 

Danger

Enlever nos débris de l’espace devient une urgence

 

Danger - Enlever nos débris de l'espace devient une urgence

Photo Fotolia

PARIS – Il faut agir rapidement pour réduire le nombre des débris spatiaux tournant autour de la Terre, qui risquent de polluer certaines orbites dans quelques décennies, ont estimé jeudi des experts internationaux à l’issue d’une réunion en Allemagne.

Morceaux de fusées, satellites en fin de vie, outils perdus par des astronautes… Ces objets sont les résidus des quelque 4900 lancements effectués depuis le début de l’ère spatiale qui, sous l’effet de dislocations et collisions en chaîne, «le syndrome de Kessler», n’ont cessé de se multiplier.

Depuis 1978, «leur nombre a triplé» avec «un risque de collision démultiplié», avertit Heiner Klinkrad, directeur du département des débris spatiaux à l’Agence spatiale européenne (ESA), lors d’une retransmission par internet.

«Il suffirait de quelques décennies pour qu’un tel environnement devienne instable», a-t-il souligné durant la 6e Conférence européenne sur les débris spatiaux, qui s’est tenue durant quatre jours à Darmstadt (Allemagne).

Plus de 23 000 débris de plus de 10 cm sont actuellement recensés par la Nasa ou l’ESA, dont la majorité sur les orbites basses (en-dessous de 2000 km) utilisées par les satellites d’observation de la Terre ou la Station spatiale internationale (ISS).

Pour traiter le problème, il est nécessaire d’une part de placer systématiquement les satellites désactivés sur des voies de garage, où ils ne gêneront pas et finiront par se désintégrer dans la haute atmosphère terrestre.

Mais il faut aussi débarrasser l’espace des plus gros débris, au rythme de 5 à 10 objets chaque année si on veut stabiliser la situation.

«Il y a un consensus fort sur la nécessité urgente d’agir dès à présent pour commencer à enlever ces débris», a assuré M. Klinkrad à l’issue de la conférence de Darmstadt, qui a rassemblé quelque 350 acteurs de l’industrie spatiale.

http://fr.canoe.ca