Des substituts végétaux de poisson et de fruits de mer font leur apparition


J’aimerais bien essayer, car manger quelque chose qui ressemble un produit qui remplace la viande hachée, (comme le sans-viande), me va très bien. Par contre le poisson et fruits de mer, le goût n’est probablement pas au rendez-vous, je doute qu’ils puissent avoir beaucoup d’adeptes, en tout cas, pas pour ceux qui apprécient particulièrement ces aliments …
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Des substituts végétaux de poisson et de fruits de mer font leur apparition


Des «faux» sushis ahimis, une création d’Ocean Hugger Foods, une entreprise...

LA PRESSE CANADIENNEDes «faux» sushis ahimis, une création d’Ocean Hugger Foods, une entreprise établie à New York.

Après le Beyond Meat, au tour du «faux» sushi de faire sa place sur la marché.

  • Cassandra Szklarski

  • La Presse Canadienne

TORONTO — L’arrivée de similiviandes à base végétale dans des chaînes telles que Tim Hortons et A&W ne représente qu’un premier pas vers une alimentation plus durable, selon l’homme d’affaires Blair Bullus.

Le flexitarien de Vancouver a les yeux rivés sur ce qui constitue à son avis la prochaine étape: des substituts de poisson et de fruits de mer qui, comme les produits fabriqués par Beyond Meat et Impossible Foods, en reproduisent l’aspect et le goût pour les consommateurs qui ne sont pas tout à fait prêts à renoncer au sashimi.

Le mouvement en est encore à ses débuts, mais M. Bullus relève que des expérimentations se sont multipliées au cours des dernières années, passant du «thon» à base de pois chiche au «saumon» imité par une carotte fumée.

Prioriser l’apport nutritionnel avant le goût

Son entreprise, Top Tier Foods, vend du quinoa, dont une variété particulièrement collante conçue pour remplacer le riz dans les sushis végétaliens qui seraient sinon dépourvus des protéines et des acides gras oméga-3 du poisson.

Le quinoa de Top Tier Foods est disponible chez Yuzu Sushi, une chaîne de la ville de Québec, où les clients peuvent le commander avec une imitation de thon ahi préparée à partir de tomates. L’«ahimi» est pour sa part une création d’Ocean Hugger Foods, une entreprise établie à New York.

M. Bullus ne s’attend pas à pouvoir berner les amateurs de sushis avec cette combinaison, mais il espère pouvoir à tout le moins répondre aux préoccupations nutritionnelles et environnementales de ceux qui tournent le dos au poisson.

«Il est de plus en plus facile de prendre ces décisions sans devoir nécessairement renoncer aux sushis ou aux roulades au saumon et à l’avocat», souligne M. Bullus.

Le «faux» boeuf au centre des recherches

Les efforts pour produire des substituts plus ressemblants sont toutefois minés par la concentration de la recherche, du financement et du marketing derrière le similibœuf conçu en laboratoire, soutient Bruce Friedrich, le cofondateur et directeur du Good Food Institute.

Les «faux» poissons et fruits de mer n’en sont pas moins nécessaires, ajoute-t-il, en décrivant l’impact de la pêche commerciale sur l’environnement comme «au moins aussi grave que l’élevage de bétail».

«S’il s’agissait de pratiques agricoles terrestres, les gens seraient horrifiés», fait valoir M. Friedrich, qui critique également l’utilisation d’antibiotiques en aquaculture.

Le chef Ricardo Larrivée prévient toutefois que le fait de désigner quelque chose comme du thon quand il n’en s’agit pas vraiment pourrait s’avérer contre-productif.

«Si on prépare du faux poisson et que ce n’est pas très bon, alors ont peut obtenir la réaction contraire: ″Je l’ai essayé, je n’ai pas aimé ça, je vais continuer à manger du poisson”», fait-il valoir.

L’attachement aux fruits de mer est en partie psychologique, estime-t-il, et la clé du succès réside selon lui dans la texture des substituts.

«Dans la cuisine occidentale, s’il n’y a pas de viande ou de poisson, on a toujours l’impression qu’on a seulement des accompagnements», souligne le chef et homme d’affaires montréalais.

«C’est dans notre tête, c’est notre manière de penser.»

https://quebec.huffingtonpost.ca/

Le Saviez-Vous ► 10 phobies animales peu connues, voire même insolites !


On connaît certaines phobies qui peuvent être de vrai cauchemar pour certaines personnes. D’autres phobies qui sont moins connues, et même surprenantes peuvent aussi être invivables pour ces personnes.
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10 phobies animales peu connues, voire même insolites !

 

iStock.com/Scacciamosche

par Clara Zerbib, journaliste animalière

On a tous des peurs plus ou moins irrationnelles, dues à une méconnaissance du sujet ou à un traumatisme de l’enfance. Par exemple, l’arachnophobie (la peur des araignées), l’ophiophobie (la peur des serpents) ou encore la cynophobie (la peur des chiens) sont plutôt courantes et donc rarement jugées. Mais d’autres peurs peuvent être tout aussi terrifiantes et pourtant ne jamais être prises au sérieux.

La preuve ici !

1. L’ailurophobie (la peur des chats)

Si vous êtes un amoureux des chats, vous pourrez avoir du mal à comprendre comment des créatures aussi douces et aussi mignonnes peuvent inspirer la peur. Et pourtant… Les personnes qui souffrent d’ailurophobie ont non seulement peur des chats mais aussi de tout ce qui y est lié. Ainsi, le son d’un ronronnement, la vue de croquettes ou de litière pour chat peut également être source d’angoisse. Imaginez la dure vie que mènent ces personnes à l’heure où les félins sont de plus en plus présents dans nos foyers !

chat

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Crédits : Pxhere

2. L’alektorophobie (peur des poulets)

Lorsqu’ils voient une poule ou un coq, les alektorophobes ont tendance à être pétrifiés de peur, voire même à avoir des palpitations cardiaques. Certains vont même plus loin puisqu’ils ont également peur des poulets morts, voire même des oeufs (on dit alors qu’ils sont ovophobes).

Par extension, les alektorophobes peuvent également être ornithophobes, c’est-à-dire avoir peur des oiseaux en général.

poules

Crédits : iStock

3. La lépidophobie (peur des papillons)

Alors que certains en font collection, d’autres ne peuvent pas les approcher, de près ou de loin. En effet, contrairement à ce que l’on pourrait penser, les papillons, avec leurs couleurs multicolores et leur grâce naturelle, ne font pas l’unanimité. Au contraire, ils sont même l’objet d’une peur irraisonnée qui est bien difficile à gérer lorsque les beaux jours arrivent…

À noter que les lépidophobes peuvent aussi être entomophobes, c’est-à-dire avoir peur des insectes en général. L’entomophobie inclut également la myrmécophobie (peur des fourmis), l’apiphobie (peur des abeilles) ou encore la katsaridaphobie (peur des cafards).

battus philenor papillon

Crédits : John Flannery/Wikimedia Commons

4. L’ostraconophobie (peur des fruits de mer)

Si à chaque fois que vous mangez dans un restaurant, vous avez peur d’apercevoir un mollusque ou un crustacé sur la table voisine, c’est que vous êtes ostraconophobe. Et ne parlons même pas de ceux qui sont vivants ! Tomber nez à nez à la mer avec un homard, un crabe ou même une huître peut être d’autant plus angoissant.

À noter que la plupart des personnes atteintes de cette phobie l’ont développé après avoir mangé des fruits de mer et être tombées malades.

crabe de cocotier

Crédits : iStock

5. La batrachophobie (peur des amphibiens)

Cette peur incontrôlée des amphibiens, et plus particulièrement des grenouilles, des crapauds et des salamandres, trouve parfois son origine dans les légendes urbaines. En effet, on dit par exemple que toucher un crapaud donne des verrues… Mais cette phobie pourrait également être liée à un dégoût pour les choses gluantes.

grenouille

Crédits : Pixnio

6. L’ (peur des chevaux)

Les chevaux sont des animaux imposants et il n’est donc pas surprenant qu’ils puissent parfois inspirer une certaine crainte. D’autant plus qu’un seul coup de sabot peut être fatal… Il arrive même que le simple son des sabots sur le sol suffise à déclencher l’anxiété des personnes atteintes de cette phobie.

cheval appaloosa

Crédits : iStock

7. La musophobie (peur des rongeurs)

Vous avez peur de tous les rongeurs ? Ou simplement des souris ou des rats ? Dans tous les cas, vous êtes musophobe ! Malgré le fait qu’elle soit très répandue, cette phobie, qui touche surtout les femmes, a le don de faire rire. Pourtant, la panique qui s’empare des musophobes lorsqu’ils aperçoivent un rongeur est bien réelle…

L’origine de la musophobie est bien souvent la peur de la saleté, cette dernière étant associée aux rats et aux souris.

souris

Crédits : iStock

8. L’ichtyophobie (peur des poissons)

Cette peur maladive des poissons s’exprime par la peur d’être entouré de poissons vivants, la peur de manger des poissons morts ou la peur de toucher des poissons. Certains sont même écoeurés par la vue ou l’odeur des poissons sur les étals de marchés par exemple.

poisson rouge

Crédits : iStock

9. L’arctophobie (peur des ours)

Non seulement les personnes atteintes de cette phobie ont peur des ours (et on peut les comprendre) mais en plus elles ont peur de toutes leurs représentations… Cela signifie que la simple vue d’un ours en peluche peut être source de panique ! Imaginez en période de Noël…

ours

 

Crédits : Pxhere

10. La cuniculophobie (peur des lapins)

Un simple dessin de lapin peut faire bondir d’horreur les cuniculophobes. On imagine alors aisément qu’ils ne crient pas qu’ils sont atteint de cette phobie sur tous les toits, sous peine de subir quelques moqueries…

lapin

 

Crédits : Simona R/Pixnio

Source

https://animalaxy.fr/

Au restaurant, ne commandez surtout pas ces plats


La dernière fois qu’on m’a invité au restaurant, j’ai vu du poisson cru pour mettre dans une salade, j’ai été tenté, mais je n’ai pas osé surtout que c’était dans un buffet et beaucoup de monde tourne autour des tables d’aliments. Le tartare et autre aliments crus, je le mange que chez ma fille. Je sais que mon gendre le fait bien et c’est bon
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Au restaurant, ne commandez surtout pas ces plats

 

Si vous allez au restaurant, ne commandez surtout pas ces plats.Capture d’écran Gentside

LE POISSON QUAND ON EST LOIN DE LA MER

Ça paraît logique et pourtant, on est vite tenté par un filet ou quelques fruits de mer. Cependant, c’est plutôt risqué quand on n’a pas la mer à côté. Dans ces cas là, autant miser sur une pièce de viande.

LE MOELLEUX AU CHOCOLAT

C’est un classique des desserts français mais malheureusement, il est rarement fait sur place. Vous avez plus de chance de tomber sur du surgelé… Autant vous en préparer chez vous pour être sûr d’avoir du fait maison.

LE TARTARE OU CARPACCIO

Quand on choisit de commander de la viande crue, il faut être parfaitement sûr d’être dans un établissement qui sert des produits frais. Sinon, les conséquences peuvent être assez dramatiques.

LE CONFIT DE CANARD

Nous nous faisons souvent arnaquer en commandant un confit de canard. Certains restaurateurs peu scrupuleux préfèrent les commander en gros à des chaînes plutôt que de les cuisiner pour nous.

LA CHANTILLY EN SUPPLÉMENT

Au moment du dessert, on peut avoir envie d’ajouter une touche de gourmandise en plus à  son assiette. Mais réfléchissez bien avant de vous lancer, vous allez payer ce supplément assez cher et il y a fort à parier que la chantilly sortira d’une bombe industrielle.

http://fr.canoe.ca/

Les grands dauphins experts de la cuisine aux fruits de mer


Les êtres humains ne sont pas les seuls à se préparer leurs repas. D’autres animaux ont des techniques de cuisines assez inusitées. Le dauphin n’est pas en reste, car pour manger une seiche, il procède à plusieurs étapes pour savourer leur repas
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Les grands dauphins experts de la cuisine aux fruits de mer

 

Le grand dauphin (Tursiops aduncus) prépare la seiche géante qu'il à capturé à l'aide de techniques particulièrement complexes. © K. R. Sprogis

Le grand dauphin (Tursiops aduncus) prépare la seiche géante qu’il à capturé à l’aide de techniques particulièrement complexes. © K. R. Sprogis

Par Corlet Titouan

Avant de consommer sa proie, le dauphin déploie de véritables trésors d’ingéniosité pour mieux la préparer à son goût.

 

La préparation des aliments n’est pas l’apanage de l’Homme. Il existe de nombreux comportements dans la nature à même d’entrer dans cette catégorie. Le raton laveur, par exemple, s’en va tremper sa nourriture dans un point d’eau pour la ramollir. La loutre fait usage d’outils, deux pierres qui servent de marteau et d’enclume, pour casser ses coquillages. Encore plus subtils, certain corbeaux lâchent leurs noix les plus dures sur des passages piétons. Ils profitent ensuite du trafic pour briser la coquille et retournent consommer ce qui reste une fois le feu passé au rouge. Au court d’un récente expérience, les chimpanzés avaient manifestés un goût prononcé pour les aliments cuits ainsi que la capacité à les préparer. Mais d’après une étude publiée dans l’Australian Journal of Zoology, les dauphins portent ce genre de pratique à un tout autre niveau. Une fois n’est pas coutume, ce n’est pas tant en terme d’ingéniosité que les cétacés impressionnent mais plutôt de complexité. Pour consommer des seiches géantes, les dauphins passent par pas moins de 6 étapes.

« Dans un premier temps, ils capturent la seiche et la ramènent en surface (1), ils séparent ensuite la tête du reste du corps (2) puis vident l’animal de son encre (3). », détaillent les chercheurs. « Après avoir positionné leurs rostres sur la partie inférieure de la proie (4), ils arrachent l’os de seiche (5) et finissent par manger la chaire restante à la surface (6). » Une véritable recette de cuisine.

Un comportement dont la complexité est encore renforcée lorsque qu’on considère qu’il est propre à une seule et même population. En effet, ces dauphins ont été observés au large de Bunbury, au sud-ouest de l’Australie, mais de précédentes études mettent en évidence des techniques différentes dans d’autres endroits. Les auteurs citent notamment le cas de groupes qui ne consomment que la tête de la seiche. D’autres la plaquent sur le fond pour la frapper de leurs rostres (retirant ainsi l’encre) avant de la traîner sur le sable pour éjecter l’os. Différents procédés liés à des populations éloignées géographiquement. Difficile de ne pas y voir un nouvel exemple du phénomène de transmission déjà observé chez les dauphins. En effet, les scientifiques étaient remonté à une unique ancêtre commune pour expliquer l’apparition d’une technique singulière chez les femelles d’un groupe, consistant à porter une éponge sur son rostre pour le protéger.

http://www.sciencesetavenir.fr/