L’étonnante vertu des frites McDonald’s


Faut-il en rire ou en pleurer ! Une vertu dans les frites McDonald’s, enfin si on peut appeler cela une vertu, un ingrédient utilisé comme agent anti-mousse dans l’huile, donne des poils aux souris
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L’étonnante vertu des frites McDonald’s

 

© thinkstock.

Des chercheurs japonais ont découvert qu’un produit chimique trouvé dans les frites du géant du fast food permettait de faire pousser des follicules pileux sur les souris.

Nous vous en parlions hier: une équipe de chercheurs de l’université de Yokohama, au Japon a découvert que le polydiméthylsiloxane permettait de faire pousser des poils chez les souris. Plus étonnant encore: cette substance est notamment utilisée dans la préparation des frites chez McDonald’s.

Les scientifiques ont utilisé le polydiméthylsiloxane pour fabriquer 5.000  « germes de follicules pileux ». Implantés ensuite sur le dos nus de souris, ces germes ont permis de produire efficacement des poils. D’après le professeur Junji Fukuda, les follicules pileux « répètent le cycle de vie des poils ordinaires ».

Le polydiméthylsiloxane est également retrouvé dans les adhésifs, certains produits calfeutrant, les cosmétiques et certains médicaments. Selon l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (FDA) ce produit ne serait pas dangereux mais ne s’apparenterait pas non plus à de la nourriture…

Selon les informations disponibles sur le site de McDonald’s, cet ingrédient est utilisé comme agent anti-mousse dans l’huile utilisée pour faire frire les aliments comme les frites et les nuggets de poulet.

http://www.7sur7.be

Un chat tente de voler une frite à un chien…


Par une belle journée, un chien, un chat regarde attentivement leur maître en train de manger. Ce dernier décide de lancer une frite à son chien (pas très bon pour les animaux) On voit bien le chat qui s’apprête à voler la frite, malgré sa rapidité, cela n’a pas vraiment fonctionné.
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Un chat tente de voler une frite à un chien…

 

Vaut-il mieux ne pas trop griller ses toasts?


Personnellement, j’aime les rôties bien grillées juste avant de brûler. Doit-on changer nos habitudes ? À moins de manger beaucoup de pains grillés, des frites et des pommes de terres bien rôties, les études ne sont pas concluantes sur la quantité ingéré
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Vaut-il mieux ne pas trop griller ses toasts?

 

Les personnes friandes de toasts, de pommes de terre frites ou rôties... (Pixabay)

PIXABAY

Agence France-Presse
Londres

 

Les personnes friandes de toasts, de pommes de terre frites ou rôties ne devraient pas trop les griller, recommandent lundi les autorités sanitaires de la Grande-Bretagne dans une campagne soulignant les risques cancérigènes associés aux cuissons extrêmes.

Les zones des aliments brunies dans ces circonstances contiennent en effet de l’acrylamide, un produit de glycation alimentaire découvert en 2002 par des chercheurs suédois, potentiellement cancérigène et neurotoxique.

L’acrylamide, souligne l’Agence britannique de sécurité alimentaire (FSA), se forme notamment dans les aliments riches en amidon (pommes de terre, pain…) lors des cuissons à haute température.

Pour minimiser l’exposition à cette substance chimique, la FSA conseille de limiter la cuisson des aliments, et donne aux consommateurs une petite astuce visuelle pour y arriver : préférer la couleur « or » au brun, signe de cuisson prolongée.

« La majorité des gens ne sont pas au courant de l’existence de l’acrylamide », souligne la FSA, en espérant que cette campagne donnera aux consommateurs les moyens de réduire « leur consommation d’acrylamide ».

« 320 tranches par jour »

Son lancement était particulièrement commenté lundi dans la presse britannique, la BBC se demandant s’il fallait « abandonner les rôties ? ».

Le tabloïd Daily Mail tentait de son côté de rassurer ses lecteurs en affirmant, expert à l’appui, qu’à moins d’en manger « 320 tranches par jour », les rôties bien grillés, voire brûlées, n’ont rien de spécialement dangereux.

Selon l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), « les données issues des études animales démontrent que l’acrylamide et son métabolite, le glycidamide, sont génotoxiques et cancérigènes ».

Dans les études sur l’homme, « les preuves qui démontreraient qu’une exposition alimentaire à l’acrylamide provoque le cancer sont actuellement limitées et non concluantes ».

http://www.lapresse.ca/

Au Venezuela, les frites McDo sont de retour, mais elles coûtent 133 dollars


Est-ce de l’arrogance de la part de McDonald’s offrir une portion de frite a un prix plus qu’exorbitant. Pourquoi  Burger King, ne semble pas avoir de problème
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Au Venezuela, les frites McDo sont de retour, mais elles coûtent 133 dollars

 

Des frites dans un restaurant McDonald's | Katy Warner via Flickr CC License by

Des frites dans un restaurant McDonald’s | Katy Warner via Flickr CC License by

Repéré par Christophe-Cécil Garnier

 

En pénurie de frites depuis dix mois, la firme la plus célèbre de burgers a réintroduit son accompagnement phare sur le marché vénézuélien. Seul problème: leur prix.

Vous ne le saviez sûrement pas mais depuis janvier 2015, les frites de McDonald’s étaient aussi rares que les licornes au Venezuela. La firme américaine avait blâmé un différend contractuel et les bâtonnets de pommes de terre s’étaient fait remplacer par des frites de manioc (ce qui n’était pas du goût de nombreux clients). Son rival, Burger King, en avait d’ailleurs profité pour expliquer que les frites étaient bien présentes dans ses restaurants.

Début novembre, McDonald’s a fièrement annoncé que l’accompagnement phare du burger était de retour, en plus 100% vénézuéliennes. Fusion explique cependant qu’une grosse portion de ces «nouvelles» frites coûtait la bagatelle de 800 bolivars, soit 133 dollars selon le taux de change officiel du pays.

«Qu’attendez-vous pour essayer?» demande la filiale de McDonald’s au Venezuela.

Si au marché noir les mêmes frites coûtent bien 1,15 dollars, elles correspondent tout de même à presque 10% du salaire minimum selon le taux du marché noir, qui se situe à douze dollars mensuels.

Un retour teinté d’une certaine indifférence

Les nouvelles frites proviennent directement des fermes vénézuéliennes car il est trop difficile en ce moment d’importer des pommes de terre, avec la situation de pénurie qui touche le pays.

Le retour des frites McDonald’s a donc surtout provoqué l’indifférence des Vénézuéliens, qui continuent de critiquer l’effondrement de l’économie.

«La situation du Venezuela est de pire en pire», a indiqué la directrice générale de RBC Capital Market’s à Business Insider cet été.

http://www.slate.fr/

McDonald’s : les 19 ingrédients contenus dans les frites révélés


La patate frite, il n’y a pas si longtemps, ce n’était pas compliqué !! Des patates et de l’huile !!! Alors pourquoi autant d’ingrédients pour simplement vendre une frite !!! En bref, l’ingrédient principal n’est peut-être pas tout à fait la patate …
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McDonald’s : les 19 ingrédients contenus dans les frites révélés

 

Pour ces frites, Mac Donald utilise pas moins de 19 ingrédients... dont des pommes de terre (ouf!) ©DURAND FLORENCE/SIPA

Pour ces frites, Mac Donald utilise pas moins de 19 ingrédients… dont des pommes de terre (ouf!) ©DURAND FLORENCE/SIPA

Grant Imahara, espiègle journaliste scientifique américain, a pu tourner un reportage dans une usine de fabrication de frites du célèbre géant de la « junk-food ». Et ce qu’il y a trouvé a de quoi surprendre.

FRITES. Bon, déjà, on vous rassure tout de suite, il y a bel et bien de la pomme de terre dans les frites de McDonald’s. Pour le reste, c’est plus compliqué… Pas moins de 18 autres ingrédients sont utilisés. L’ingénieur journaliste Grant Imahara, diplômé de l’université Californie du Sud, a été accueilli dans une usine de fabrication pour suivre l’ensemble de la chaîne de fabrication, assez impressionnante. Pour autant, il ne faut pas s’attendre à des révélations fracassantes puisque la visite a été très encadrée et sert désormais la promotion du géant de la « junk-food »…

 Parmi ces ingrédients on trouve des composants assez classiques comme le sel bien sûr, mais aussi l’huile de canola, de soja, des arômes naturels de bœuf ou de l’acide citrique. Plus surprenant en revanche, le recours à une forme de silicone assez commune dans les shampoings : le dimethylpolysiloxane (persévérez…) qui est ajouté pour éviter que l’huile ne mousse au moment de la cuisson. Un composé également utilisé dans les sodas au cola. Ou dans le Silly Putty, un caoutchouc très particulier.

Ci-dessus, Imahara présente, entre autres, le TBHQ, un antioxydant chimique utilisé dans l’industrie alimentaire pour éviter le rancissement des huiles et des graisses.

APPROUVÉ. Selon le reportage (approuvé par McDonald’s) aucun de ces composants ne constitueraient un risque pour la santé des consommateurs. Notons néanmoins que les recettes commercialisées sont parfois très différentes d’un pays à l’autre. Rien ne nous permet donc d’affirmer que, si vous ne vivez pas aux États-Unis, les frites que vous trouverez à votre prochain passage au fast-food sont faites de la même façon que cela est présenté dans ce reportage. Rappelons en outre que les produits proposés par les fast-foods sont en général très riches en graisses et tendent à favoriser l’explosion du nombre de personnes obèses risquant à terme de développer des maladies comme un diabète de type 2.

Ci-dessous, la visite complète du site de fabrication de la découpe de la pomme de terre jusqu’aux dernières étapes précédant le passage en « restaurant » :

http://www.sciencesetavenir.fr/

Le Saviez-vous ? ► La frite est-elle belge ou française ?


 

Au Québec, nous mangeons la frites seule ou comme accompagnement a un repas ..  on en fait des poutines (ce que je n’aime pas du tout) ou a toutes sortes de sauces .. mais nous ne savons probablement pas vraiment l’origine de la patates frites .. ou on suppose que c’est français .. mais est-ce bien vrai ???
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La frite est-elle belge ou française ?

Seules ou accompagnées, avec sauce ou natures, les frites ne se mangent pas de la même façon des deux côtés de la frontière franco-belge.

Seules ou accompagnées, avec sauce ou natures, les frites ne se mangent pas de la même façon des deux côtés de la frontière franco-belge. © Colonnade / via Flickr, Licence CC,

Pour les spécialistes, l’histoire de cet aliment emblématique des deux pays reste encore un mystère.

 

Les uns affirment qu’elle est née sur un pont de Paris, les autres sur les bords de la Meuse : Français et Belges revendiquent la paternité de la frite, ce plat emblématique dont les origines plongent dans la culture populaire des deux pays.

« La frite est une fille de la cuisine de rue, de basse extraction. C’est pour cela qu’il est difficile d’établir son certificat de naissance », explique l’historienne française Madeleine Ferrière.

Le mystère des origines du bâtonnet de pomme de terre trempé dans l’huile bouillante intrigue les spécialistes de la gastronomie, en particulier en Belgique où la frite fait partie du patrimoine national.

« Les Belges adorent les frites, mais il n’y a eu aucune recherche scientifique sérieuse sur ce sujet jusqu’à récemment », a souligné Pierre Leclerc, professeur à l’université de Liège, lors d’un débat sur « les origines de la frite » qui s’est récemment tenu à Bruxelles en clôture de l’Année de la gastronomie, Brusselicious.

Légendes à l’huile

Ce flou historique a permis à de multiples hypothèses, voire de légendes, de prospérer. En France est ainsi défendue la « pomme frite pont Neuf », qui aurait été inventée par des marchands ambulants sur le plus vieux pont de Paris au lendemain de la Révolution de 1789.

« Ils proposaient de la friture, des marrons chauds et des tranches de patate rissolées », raconte Madeleine Ferrière.

Cette thèse a longtemps été en vogue, notamment auprès des écrivains.

« C’est parisien le goût des frites », a ainsi écrit Louis Ferdinand Céline dans Voyage au bout de la nuit.

Mais pour certains Belges, la frite serait née à Namur, dans le sud du pays. Ses habitants avaient l’habitude de pêcher dans la Meuse du menu fretin et de le faire frire. Ce qui fut impossible lorsque la rivière gela lors d’un hiver particulièrement rigoureux au milieu du XVIIe siècle. À la place, ils découpèrent des pommes de terre en forme de petits poissons, selon Pierre Leclerc, qui relate cette histoire tout en la jugeant peu vraisemblable.

Avec les doigts

 

« Finalement, on se fiche d’où vient la frite. L’important, c’est la façon dont elle a été adoptée », lance Roel Jacobs, spécialiste de la culture de Bruxelles.

« Les Français et les Belges ont choisi des voies différentes. Pour les premiers, la frite accompagne une viande, normalement un steak, alors que les Belges mangent souvent les frites seules, accompagnées d’une sauce », selon lui.

 « Nous, les Belges, avons fait de la frite un produit noble, pas un simple légume », renchérit Albert Verdeyen, cuisinier et coauteur de l’ouvrage Carrément frites.

« Et surtout, nous maîtrisons mieux que quiconque l’art de la double cuisson, afin qu’elles soient dorées et croustillantes. »

Si les Français piquent la frite avec une fourchette dans une assiette, au restaurant ou à la maison, les Belges préfèrent nettement la manger avec les doigts, à n’importe quelle heure. S’est ainsi développé un réseau serré de « fritkot », ou baraques à frites, sur les places, le long des boulevards ou devant les gares de Wallonie comme de Flandre.

« Il y a 5 000 friteries et plus de 90 % des Belges y vont au moins une fois par an », affirme fièrement Bernard Lefèvre, président de l’Union des frituristes.

« Aller à la friterie, c’est le comble de la belgitude », résume Philippe Ratzel, qui possède le fritkot Clémentine, l’un des plus populaires de Bruxelles.

« Chez moi, vous pouvez rencontrer en même temps la petite vieille qui s’arrête en promenant son chien, l’étudiant ou le ministre qui habite dans le coin ».

Mais, à l’intérieur des baraques, les choses changent : les frituriers d’origine étrangère sont de plus en plus nombreux, comme en témoigne l’entrée du mot « frietchinees » (« friturier chinois ») dans le dictionnaire de référence de la langue néerlandaise en Belgique.

À découvrir sur le sujet : le musée de la frite, à Bruges

http://www.lepoint.fr

Massachussetts Les frites, une arme dangereuse?


D’accord que ce n’est pas très gentil mais de la a aller en cours de justice pour une histoire de frites au visage … c’est fort !!!! S’il fallait qu’on traine en justice toutes personnes lançant quelque chose On aurait pas fini de remplir les cours de justice
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Massachussetts

Les frites, une arme dangereuse?

 

Les frites, une arme dangereuse?

Crédit photo : archives TVA Nouvelles

TVA Nouvelles

Un homme du Massachusetts a été accusé d’agression armée pour avoir jeté un cornet de frites au visage de sa belle fille de 11 ans.

C’est le média américain Gawker qui rapporte la nouvelle. James Hackett, sa femme et sa fille attendaient leur commande au service au volant d’un McDonald’s quand les deux adultes ont commencé à se disputer. La fillette aurait tenté de s’interposer et l’homme lui aurait jeté ses frites au visage.

La police rapporte que la jeune fille n’aurait souffert d’aucune blessure, mais que «la chaleur de l’huile aurait pu lui brûler la peau et les yeux».

Lors de sa comparution au palais de justice, Hackett aurait plaidé non coupable. En attendant son jugement, il n’est plus autorisé à s’approcher de sa belle-fille.

http://tvanouvelles.ca

Les frites rongent notre cerveau


Quoiqu’il en soit, le fait de mal se nourrir a des répercussions sur le corps et maintenant, les études peuvent mieux comprendre les conséquences des mauvais aliments. Une bonne alimentation tout en se permettant de temps a autre de petits écarts permet un meilleur fonctionnement de notre cerveau et par le fait même de notre corps
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Les frites rongent notre cerveau

Selon une nouvelle étude publiée dans  la revue médicale Neurology, les personnes qui consomment des aliments riches en mauvais gras auraient davantage de problèmes cérébraux que celle qui se nourrissent sainement.

Le chercheur Gene Bowman en est venu en cette conclusion en comparant la santé cérébrale au régime alimentaire d’une centaine de patients de plus de 65 ans.

Les personnes qui avaient un taux élevé de gras trans dans le sang avaient moins de mémoire, d’attention et de réflexes que celles sans gras trans de le sang, mais plus étonnant, le cerveau de ceux qui avaient une alimentation riche en gras trans montraient de même des signes de rétrécissement, comme on le voit chez les personnes souffrant d’Alzheimer.

Les patients démontrant les meilleurs facultés cérébrales avaient une bonne quantité de vitamines B, C, D et E dans le sang ainsi que des oméga-3.

Tous les détails sont publiés sur le site Internet de la revue Neurology

La semaine/Les trucs de la cuisine/ Février 2012