La police d’Ottawa sonne l’alarme sur une nouvelle escroquerie téléphonique


Un supposé  policier, un numéro de téléphone plausible donne une arnaque par téléphone pour soutirer de l’argent via internet. Une belle confusion pour permettre a des gens a se faire avoir .. Mais pourtant ce n’est pas la façon de faire des policiers
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La police d’Ottawa sonne l’alarme sur une nouvelle escroquerie téléphonique

 

La police d’Ottawa est la recherche de malfaiteurs à l’origine d’une nouvelle arnaque téléphonique. Les fraudeurs disent être des policiers et exigent que les résidents paient une amende par transfert électronique.

En cas de refus, ils menacent d’envoyer des policiers au domicile des personnes afin de prélever l’argent. Les fraudeurs utilisent un numéro de téléphone qui commence par 1-911 pour rendre l’appel plausible.

La police d’Ottawa informe la population qu’il s’agit d’un faux numéro vraisemblablement créé via Internet.

Elle ajoute qu’il s’agit d’une escroquerie et que les résidents ne doivent en aucun cas envoyer de l’argent.

La police recommande aux résidents de raccrocher et d’appeler le Centre antifraude du Canada.

 

Centre antifraude du Canada
1-888-495-8501

http://actualites.ca.msn.com

Gatineau ► Un réseau de fraudeurs sévit


Ils sont plusieurs a suivre des personnes vulnérables comme les personnes âgées, ils sont muni qu’un cellulaire et sont organisé a plusieurs pour avoir le NIP et cartes de crédits, ou de débits de leur proie potentielle. C’est vraiment décevant que ce genre de personne qui n’ont aucun scrupule de dévaliser ainsi des personnes .. Si cela se passe a Gatineau, ca peut se passer aussi ailleurs
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Gatineau

Un réseau de fraudeurs sévit

 

Par Doug Hempstead | Agence QMI

Des dizaines de fraudeurs vident des comptes bancaires de personnes âgées peu méfiantes de Gatineau, au Québec.

L’agent Pierre Lanthier de la police de Gatineau a expliqué que c’est dans les stationnements de magasins à grande surface que les voleurs opèrent depuis plus d’un an.

En 2011, plus d’un cas par semaine a été signalé et près de 20 cas ont été répertoriés seulement depuis le début de cette année. Les suspects seraient des gens de Montréal.

En octobre dernier, huit personnes originaires de Roumanie ont été arrêtées (quatre à Montréal et deux à Brossard), lors d’une frappe policière orchestrée par les enquêteurs de la division des crimes économiques après des perquisitions à Montréal et à Brossard.

Le procédé est souvent le même. Un suspect suit une victime, généralement une femme plus âgée, dans un supermarché ou un grand magasin et les regarde magasiner. Lorsque la victime va passer à la caisse et va utiliser sa carte de débit ou de crédit, le suspect filme le numéro d’identification avec l’appareil photo de son téléphone intelligent.

À l’extérieur du magasin, deux complices du premier suspect accostent la victime, et le plus souvent, ils sortent une carte routière et demandent de l’aide. Lorsque la victime est distraite, on lui subtilise sa carte sans qu’elle s’en rende compte.

Selon Pierre Lanthier, les victimes ne courent aucun danger.

« Ils ne sont pas violents, a-t-il dit. Ils sont très polis et ils parlent français. Après avoir obtenu les directions, ils remercient la dame.»

Le policier a ajouté que les suspects sont bien habillés et ont généralement entre 25 et 35 ans.

Une enquête d’un autre corps de police a conduit à l’arrestation de quatre personnes et a permis de savoir que près de 80 personnes seraient impliquées.

«C’est un travail à plein temps pour eux, a déclaré M. Lanthier. Il est difficile de dire combien ils sont.»

Le policier a recommandé aux personnes âgées de faire attention, notamment lorsqu’elles font leurs achats et particulièrement lorsqu’elles composent leur code d’identification personnel (NIP).

http://tvanouvelles.ca

Protégez vos données, elles valent de l’or!


Plus nous sommes sur Internet, plus nous partageons divers renseignements, mais il est important d’avoir un bon comportement face aux sites qui demandent des informations personnelles. Il faut s’assurer de ne donner que le strict minimum et que ce soit sur une page sécurisé pour le protéger nos biens et notre vie personnelle
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Protégez vos données, elles valent de l’or!

Entrevue avec Jennifer Stoddart - Protégez vos données, elles valent de l'or!

© Shutterstock

Agence QMI
Gérard Samet

Jennifer Stoddart, Commissaire à la protection de la vie privée du Canada, donne quelques trucs pour protéger vos données personnelles et commente la situation actuelle.

1- Comment peut-on protéger ses données personnelles du vol ou de l’utilisation abusive?

Il n’est pas possible d’éliminer les risques, mais de les atténuer.
Voici comment:
– vous assurer que la version la plus récente de votre navigateur internet est installée sur votre ordinateur avec les dernières options de confidentialité;
– prendre le temps de lire les politiques de confidentialité des sites internet avant de transmettre des renseignements personnels et vous assurer de ne jamais accepter quelque chose que vous ne comprenez pas;
– ne fournir que les renseignements absolument nécessaires lorsque vous remplissez un formulaire de demande en ligne.

2- Les données concernant la santé sont elles assez protégées?

Ce sont les Provinces qui gèrent les services publics de santé. Il faudrait leur demander.

Le Commissariat recommande d’être prudent et de prendre le temps de se renseigner au sujet de la politique de confidentialité de toute entreprise proposant, par exemple, des services d’examen génétique s’adressant directement aux consommateurs.

3- Les données concernant les paiements par carte de crédit sur internet sont elles assez protégées?

Le mieux est de vous assurer que la connexion est sécurisée
(chiffrée) avant de transmettre des renseignements sur votre carte de crédit ou d’autres informations financières. Recherchez dans le navigateur une connexion qui commence par « https » plutôt que par « http ».

4- L’utilisation des réseaux sociaux est-elle dangereuse pour nos données personnelles?

L’affichage de renseignements personnels en ligne peut avoir de lourdes conséquences.

Des personnes ont été congédiées, ont échoué à une entrevue d’emploi, ont raté des possibilités d’études ou ont été suspendues de leur établissement scolaire.

Les sites de réseautage sont de plus en plus ciblés par les fraudeurs, à la recherche d’adresses électroniques associées à des renseignements personnels, comme le lieu de travail, le niveau de scolarité, les amis, les membres de la famille, les émissions de télévision préférées, etc.

5- Nos comportements et nos goûts, que nous manifestons sur internet, ne peuvent-ils pas être récupérés par des commerçants pour des sollicitations commerciales?

La publicité comportementale en ligne implique des activités de suivi des consommateurs au fil du temps dans le but de diffuser des publicités qui sont ciblées selon leurs intérêts présumés. En décembre, nous avons publié de nouvelles lignes directrices sur la publicité comportementale en ligne, qui établissent également des restrictions sur le suivi des enfants et l’utilisation de technologies de suivi que l’internaute ne peut désactiver.

6- Que peut-on souhaiter pour ce 28 janvier, journée de la protection des données personnelles?

Dans un monde idéal, nous aimerions que les individus et les organisations placent la vie privée et les renseignements personnels au centre de leurs préoccupations quotidiennes.

 
http://fr.canoe.ca/

Des escrocs qui veulent votre bien


Ah oui, des escrocs qui veulent notre bien, en fait ils veulent tout Notre bien. Soyons prudent que ce soit au téléphone ou sur internet. Au téléphone, ne donner pas des informations personnelles sans au préalable de faire des vérification et rappeler la compagnie en question et les sites web un cadenas dans la barre d’adresse est un des signes qu’on court moins de risques
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Des escrocs qui veulent votre bien

Le site canadacreditchecker.org (capture d’écran fournie par l’ACFC)

Par Stéphanie Perron

Des fraudeurs se font passer pour l’Agence de la consommation en matière financière du Canada (ACFC) afin de berner leurs victimes.

Deux incidents récents signalés à l’ACFC sont de grands classiques du monde de l’escroquerie.

La première tentative de fraude concerne un individu prétendant représenter l’agence fédérale au téléphone.

«Cette personne détenait des informations relatives au solde de carte de crédit d’un consommateur et l’a contacté en lui offrant la possibilité de consolider ses dettes», indique Sylviane Desparois, de l’ACFC.

Pour rendre le tout plus plausible, l’individu disait que l’offre faisait partie d’un programme gouvernemental. Heureusement, la victime s’est rendu compte du subterfuge et a alerté l’agence fédérale.

Ce type de stratagème a pour but de susciter une réaction spontanée chez le consommateur. Aussitôt l’information saisie (numéro d’assurance sociale, date de naissance, NIP, etc.), le fraudeur essaie généralement d’utiliser les cartes de crédit de sa victime, de retirer de l’argent de son compte bancaire ou d’ouvrir de nouveaux comptes à son insu.

Soyez vigilant

Si vous croyez qu’on vous appelle afin de vous arnaquer, posez des questions à votre interlocuteur.

«Demandez-lui son nom, le nom de l’organisation et le numéro de téléphone. Puis, vérifiez sur Internet [ou sur vos relevés] si les coordonnées concordent», suggère Sylviane Desparois.

Cela dit, il est possible que votre institution financière vous téléphone si elle soupçonne que des opérations frauduleuses ont été effectuées à l’aide de votre carte de crédit ou de débit.

«La personne au bout du fil pourrait vous poser certaines questions pour s’assurer qu’elle s’adresse bel et bien à vous, mais elle ne vous demandera jamais votre NIP ou votre mot de passe au téléphone», souligne Sylviane Desparois.

Faux site Web

La deuxième escroquerie signalée à l’agence fédérale concerne des charlatans virtuels qui tentaient d’obtenir les informations personnelles des internautes. Le site canadacreditchecker.org affichait le logo de l’ACFC et promettait de fournir gratuitement à ceux qui le demandaient leur dossier de crédit. Un consommateur ayant flairé l’arnaque a prévenu l’ACFC, qui souligne que personne ne semble être tombé dans le panneau pour l’instant. Le site a d’ailleurs été désactivé.

5 indices pour déceler un faux site Web

Des fautes d’orthographe.
Méfiez-vous des sites qui vous invitent à consulter votre compte «banquaire». Les organisations légitimes vérifient généralement la qualité du français sur leur site.

Des images à faible résolution.
Attardez-vous à l’apparence du site. Les cyberpirates créent leurs sites rapidement. Cela se voit d’après la qualité des images (logos déformés, images pixellisées, etc.).

Une adresse Web légèrement différente. Souvent, les URL utilisés par les fraudeurs ressemblent à s’y méprendre aux vraies adresses. Par exemple, banques-gena.com deviendrait banque-gena.com. En cas de doute, vérifiez l’adresse exacte sur vos relevés ou autres documents.

Des hyperliens trompeurs. Les cyberpirates utilisent couramment des hyperliens qui mènent vers une page autre que celle annoncée.
Pour connaître la destination réelle d’un lien, placez le curseur au-dessus de celui-ci sans cliquer; la destination apparaîtra en haut ou en bas de la fenêtre du navigateur.

Un site non sécurisé.
Les fraudeurs ne cryptent pas toujours leurs données. Si un site légitime traite des informations sensibles (numéros de cartes de crédit, par exemple), son adresse devrait
commencer par «https://» et un cadenas devrait apparaître sur le bord de la fenêtre de votre navigateur.

http://www.protegez-vous.ca