Controverse Les compteurs intelligents préoccupent


Nous ne sommes pas les seuls a contesté les compteurs intelligent, des consommateurs de la France et des États-Unis sont inquiet a la venu de ces appareils que les compagnie d’électricité veulent imposé sur leur territoire.
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Controverse - Les compteurs intelligents préoccupent

Manifestation contre les compteurs «intelligent» devant l’Assemblée Nationale le 5 février dernier.

©Karl Tremblay / Archives/ Agence QMI

MONTRÉAL – Il n’y a pas qu’au Québec où le projet d’implantation de compteurs «intelligent» soulève la controverse.

En France, le déploiement de 35 millions de compteurs de nouvelle génération est contesté par de nombreux groupes.

Une association de consommateurs estime que ces compteurs ont été conçus «dans l’intérêt exclusif du gestionnaire de réseau et des fournisseurs d’énergie et bien peu dans celui des consommateurs», ont rapporté plusieurs médias français, mardi.

L’association juge que les compteurs ne permettent pas aux consommateurs de «mieux connaître leur consommation d’énergie en temps réel et de la maîtriser».

Elle a demandé mardi au Conseil d’État (plus importante juridiction administrative en France) de laisser le choix aux clients d’adopter ou non la nouvelle technologie.

Le coût annoncé du projet, qui doit être terminé en 2021, est de 4,3 milliards d’euros. Toutefois, selon certains, la facture pourrait grimper à 10 milliards d’euros.

Au Québec, Hydro-Québec souhaite implanter 3,8 millions de compteurs «intelligents» d’ici 2017.

De nombreux organismes et individus soulèvent de sérieux doutes sur les bénéfices du projet et son impact sur la santé.

La société d’État a toutefois déposé à la Régie de l’énergie une proposition qui, si elle est acceptée, donnerait le droit aux clients de refuser qu’un compteur «intelligent» soit installé chez lui.

Si un client refuse la technologie, il pourrait lui en coûter jusqu’à 200 $ de plus par année.

En Californie, l’implantation de cette technologie soulève également de l’inquiétude. Le comté de Santa Cruz a émis un moratoire sur l’implantation de compteur intelligent parce que les autorités médicales régionales jugent que l’exposition aux radiofréquences constitue un risque significatif pour la santé publique.

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Plusieurs maladies alimentaires proviendraient des restaurants


Même si des inspections sont fait et des programmes sont mit de l’avant dans la restauration, pour une meilleur qualité a la consommation d’aliments, il semble que cela n’est pas suffisant .. et ce a divers paliers.
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Plusieurs maladies alimentaires proviendraient des restaurants

Paul Clarke
La Presse Canadienne
Ottawa

Un nouveau rapport sur la salubrité des aliments publié par le Conference Board du Canada indique qu’au moins la moitié des maladies provenant de la nourriture au pays sont contractées dans des restaurants ou chez d’autres fournisseurs de produits alimentaires.

Le rapport souligne également que les Canadiens souffrent plus souvent de salmonelle, de la bactérie E. coli, de la camplyobactérie et des bactéries Yersinia que les Américains.

L’étude note que la majorité des aliments consommés par les Canadiens sont sans danger, mais elle rappelle que 8,5 pour cent des adultes canadiens ont souffert l’an dernier d’une maladie de source alimentaire suffisamment sévère pour leur faire manquer le travail.

Selon Daniel Munro, l’un des chercheurs ayant pris part à l’étude, le rapport conclut sur le fait que le Canada possède un bon système d’inspection des aliments, mais que des améliorations peuvent être apportées à la chaîne de distribution, particulièrement dans les services alimentaires et dans les foyers.

La majorité des maladies sont causées par des erreurs lors de la préparation finale et de la manipulation de la nourriture, y compris lorsque la nourriture est réchauffée, ainsi que lors de contamination croisée. Chaque année au Canada, environ 6,8 millions de cas de maladies d’origine alimentaire sont recensés.

Une partie des problèmes peut être reliée aux systèmes d’inspections dans les restaurants qui sont vus comme étant trop sporadiques pour avoir un impact sur les pratiques alimentaires quotidiennes des restaurants.

Cependant, selon Garth Whyte, le président-directeur général de l’Association canadienne des restaurateurs et des services alimentaires, le rapport mérite d’être rejeté, étant «étrangement pauvre en faits vérifiés».

«Les auteurs de cette étude n’ont même pas cru bon de nous contacter pour connaître les mesures que nous avons mises en place, et s’ils l’avaient fait, ils auraient appris qu’il existe trois programmes gouvernementaux de salubrité alimentaire qui forment annuellement des dizaines de milliers de personnes manipulant de la nourriture», a dit M. Whyte.

Le rapport présente une série de recommandations pour améliorer le système de salubrité alimentaire du pays, incluant la diffusion d’informations et de conseils aux restaurants et aux autres fournisseurs de services alimentaires sur la façon de minimiser les risques liés aux aliments.

L’étude presse également les gouvernements de profiter des initiatives d’information de la population en faisant participer les consommateurs aux discussions concernant la salubrité alimentaire.

Le rapport a été rendu public au dernier jour d’une conférence de 48 heures du Canadian Food Summit organisée à Toronto.

http://www.cyberpresse.ca