Le fric dans le foot


Je n’ai rien contre le sport, c’est important, ce que je désapprouve, c’est quand le sport devient un business qui gère des milliards de dollars dans le sport professionnel.  Imaginez ce que cela pourrait faire pour les plus démunies, la famine …
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Le fric dans le foot

 

 

Je ne dis pas qu’il y a trop de fric dans le foot. Mais en vendant les 22 joueurs, on éradique la faim dans le monde deux fois.

KwesMat

Grotte en Thaïlande: plus de cent forages, la lettre d’excuses de l’entraîneur


Suite au décès d’un plongeur expérimenté de la marine, on doute que des enfants puissent réussir un trajet de plusieurs kilomètres, et plusieurs endroits sont inondés. Un péril qui se fait en 5 heures par des plongeurs expérimentés. Des forages sont faits par le haut, mais pour le moment, rien. En attendant, le taux d’oxygène semble inquiéter les secouristes.
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Grotte en Thaïlande: plus de cent forages, la lettre d’excuses de l’entraîneur

 

© reuters.

Source AFP

Des lettres des douze enfants bloqués depuis 14 jours avec leur entraîneur de foot dans une grotte inondée en Thaïlande ont été transmises samedi via les plongeurs et plus de cent forages ont été réalisés à la verticale, alternative à une extraction en plongée jugée trop dangereuse. L’entraîneur de football a écrit une lettre d’excuses aux parents: « Merci pour tout le soutien moral. Je demande pardon à tous les parents », dit le jeune entraîneur de 25 ans, Ekkapol Chantawong.

En parallèle, les autorités, qui veulent éviter à tout prix une sortie en plongée, ont insisté sur la poursuite de l’option d’une évacuation par le haut.

« Nous avons réalisé plus de cent forages. Mais nous n’avons pas encore localisé leur position », a déclaré le chef de la cellule de crise, Narongsak Osottanakorn, devant la presse samedi.

A l’intérieur, les enfants sont « en bonne santé », a-t-il assuré, malgré les inquiétudes quant à la baisse du niveau d’oxygène.

Après la publication de deux vidéos, la première filmée lors de la découverte du groupe par des plongeurs britanniques lundi soir, la deuxième mardi, aucune vidéo n’avait plus été publiée depuis du groupe retrouvé perché sur un rebord, à plusieurs kilomètres dans les tréfonds de la grotte. Les lettres écrites par les enfants à leurs familles sont les premières preuves de vie publiques transmises depuis mardi

« Ne vous inquiétez pas, Papa et Maman. cela fait deux semaines que je suis parti, mais je vais revenir vous aider à la boutique », écrit Ekkarat, signant de son surnom, Bew.

Ses parents tiennent une petite épicerie.

« Un peu froid ici »

« Je vais bien, mais il fait un peu froid ici. ne vous inquiétez pas pour moi. N’oubliez pas de me préparer une fête d’anniversaire », dit un autre enfant, Duangphet, signant de son surnom, Dom.

« Si je sors, s’il vous plaît, emmenez-moi manger du moo krata », un plat thaïlandais à base de porc grillé et de légumes, dit un troisième, Piphat, signant de son surnom, Nick.

Le jeune entraîneur y apparaissait amaigri, prostré, suscitant de vifs débats en Thaïlande sur son sentiment de culpabilité d’avoir emmené les enfants qui étaient sous sa responsabilité dans une grotte connue pour être inondable à la mousson.

Une liaison téléphonique que les autorités ont tenté d’installer, pour que les enfants puissent parler à tout moment à leurs familles, en déroulant des kilomètres de câble dans la grotte, n’a jamais fonctionné.

Plus de 1.100 journalistes

L’opération de sauvetage fait toujours la Une de l’actualité, avec désormais plus de 1.100 journalistes enregistrés sur place, leurs caméras alignées dans la boue de cette forêt tropicale. Un ancien plongeur de la marine thaïlandaise a péri vendredi lors d’une opération de ravitaillement des enfants, ce qui a semé le doute quant à la faisabilité d’une extraction sans risque du groupe. Une bonne partie des enfants, âgés de 11 à 16 ans, ne savent pas nager, et aucun n’a fait de plongée, ce qui complique d’autant plus les opérations.

Pour le moment, il faut onze heures à un plongeur aguerri pour faire l’aller-retour jusqu’aux enfants: six heures aller, cinq heures retour grâce au courant. Le parcours est long de plusieurs kilomètres dans des boyaux accidentés, avec de difficiles passages sous l’eau.

© reuters.

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Le saviez-vous ► Expression : « Etre mis (rester) sur la touche/Botter en touche »


Une expression connu avec son contraire qui je pense est moins connu. Donc deux expression qui ont pris leur origine sur un terrain de football ou de rugby soit pour être mit a l’écart ou profiter d’une occasion pour surprendre  en changeant de direction
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« Etre mis (rester) sur la touche/Botter en touche »



Être mis (rester) à l’écart / Se dégager habilement en déplaçant l’objet du débat

Ces expressions datent du début du XXe siècle.
Les supporters de foot ou de rugby auront tout de suite compris leur origine.

Dans ces jeux de ballon, la touche c’est la zone qui se trouve hors des limites latérales du terrain, celle où on n’a plus le droit de jouer.

Les bancs de touche sont ceux où sont assis les joueurs exclus ou en attente de rentrer sur le terrain.

Être mis sur la touche
, c’est donc être exclu de la partie, ne plus avoir le droit d’y participer, qu’il s’agisse d’un jeu, de négociations, d’une direction d’entreprise ou de toute autre chose où il y a plusieurs acteurs ou participants.

La touche, c’est aussi la zone où, lors d’un match, un joueur peut avoir intérêt à envoyer le ballon, histoire de suspendre temporairement la partie soit pour permettre à ses équipiers de se replacer sur le terrain, soit pour éloigner un danger de la part des adversaires.

C’est de cette action de dégager ou botter en touche que la deuxième expression a pris un sens figuré pour désigner celui qui réussit habilement à (ou qui tente de) amener le sujet d’une dicussion, par exemple, sur un autre terrain que celui initial.

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