Le Saviez-vous ►Les oiseaux sont les animaux les plus fidèles en amour


Parmi les animaux, les oiseaux seraient les plus fidèles, certains le sont pour toutes la vie, d’autres le temps que les petits soient autonomes, d’autres ont une belle excuse pour leur infidélité, en se trompant de partenaire. Ce qui est important pour eux, c’est la sécurité de leurs petits qui se fait beaucoup mieux à deux.
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Les oiseaux sont les animaux les plus fidèles en amour

 

Scrays Jays sont parmi les rares animaux qui restent monogames

Les geais sont parmi les rares animaux qui restent monogames (Photo: Creative Commons)

par Clara Zerbib, journaliste animalière

Cela peut sembler étonnant, mais les oiseaux sont les animaux les plus monogames du règne animal. En effet, lorsqu’ils s’associent à un ou une partenaire, c’est généralement pour la vie. Ainsi, plus de 90% des espèces d’oiseaux seraient fidèles en amour, contre moins de 10% chez les mammifères. Explications !

Pour les oiseaux, la vie à deux, c’est mieux

Le cygne est l’exemple le plus célèbre d’animal fidèle qui soit. Et pour cause, il ne tombe amoureux qu’une seule fois dans sa vie. Et si son âme soeur meurt avant lui, il se laisse alors bien souvent mourir de chagrin. Mais ce couple idéal n’est pas une exception dans le monde des oiseaux.

En effet, de nombreuses espèces d’oiseaux s’unissent pour un temps relativement long. En ce sens, les femelles, tout comme les mâles, se montrent bien plus difficiles que les autres animaux lorsqu’il s’agit de choisir leur partenaire potentiel. Et pour cause, mieux vaut ne pas se tromper !

cygnes

Crédits : iStock

Mais comment expliquer que les couples restent ensemble après l’accouplement ? En réalité, les oiseaux ont compris qu’il était plus facile d’élever des petits à deux. Et pour cause, contrairement aux mammifères, les oisillons n’ont pas besoin de téter leur mère. Ainsi, ce sont leurs parents qui doivent aller leur chercher de la nourriture tout en continuant à couver les oeufs ou tout en veillant à ce que les petits restent en sécurité dans le nid.

Or, pour accomplir ces deux tâches à la fois, il est essentiel d’être deux. Sans la présence du père, les oisillons auraient plus de risques de se faire dévorer par un prédateur ou de tomber du nid. Leurs chances de survie seraient alors minimes. Pour assurer la survie de l’espèce, les couples d’oiseaux doivent donc rester soudés.

Unis pour la vie, vraiment ? 

Chez les mammifères, les mâles s’accouplent avec une ou plusieurs partenaires lors de la saison de reproduction. Puis ils se séparent immédiatement, laissant les femelles se charger seules de la mise au monde et de l’éducation des petits. Ce n’est pas le cas chez les oiseaux car, comme nous l’avons vu, les petits ne pourraient pas survivre si les deux parents n’unissaient pas leurs forces.

Toutefois, attention, cela ne signifie pas que les couples d’oiseaux restent ensemble pour la vie. Hormis quelques espèces, comme le cygne, le manchot ou encore la cigogne, la plupart des oiseaux se séparent au bout d’une année ou d’une saison. En effet, une fois que le mâle a joué son rôle de père auprès de ses petits, il quitte le nid.

oiseaux couple

Crédits : ddimitrova/Pixabay

De plus, l’infidélité existe aussi chez les oiseaux. Il n’est pas rare que les mâles ou les femelles aillent voir ailleurs, notamment lorsque les territoires sont relativement proches les uns des autres. Ainsi, vous l’aurez compris, il est important de différencier la monogamie sociale, qui permet aux oiseaux de rester ensemble le temps que les oisillons soient suffisamment autonomes, de la monogamie sexuelle. En effet, il arrive que les oiseaux se trompent mutuellement, donnant même parfois lieu à la naissance d’oisillons dont le père biologique n’est pas celui qui s’en occupe.

En d’autres termes, les oiseaux socialement monogames ne sont pas toujours fidèles sexuellement. Cependant, ils se soucient de leur partenaire et de leur descendance.

Source

https://animalaxy.fr//

Les 4 ancrages de la vie


Je crois que si des personnes sont aussi perdues, qu’ils cherchent un sens à leur vie, à ne pas être bien avec leur propre personne comme avec les autres, n’ont pas de but, c’est qu’ils ne savent plus s’apprécier, se faire confiance et surtout s’estimer.
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Les 4 ancrages de la vie

 

 

Apprendre à se responsabiliser
Apprendre à s’aimer avec bienveillance
Apprendre à être fidèle à soi
Apprendre à se respecter

JP Bernard

Être fidèle à soi-même


On cherche le superflu, on s’inquiète sur notre apparence, comment les autres nous perçoivent, alors qu’on devrait plutôt enrichir notre propre personnalité
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Être fidèle à soi-même

 

 

Je sais qu’à moins d’être fidèle à moi même, je ne peux pas être heureuse. De nos jours on met trop l’accent sur les apparences et pas assez sur la personnalité

Betty White

Code Moral


Une règle de vie qui devrait faire partie de notre quotidien, il serait pourtant si simple si tout le monde l’appliquait
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Code Moral

 

 

La Politesse : C’est le respect d’autrui
La Sincérité : C’est de l’exprimer sans déguiser sa pensée
L’Honneur : C’est d’être fidèle à la la parole donnée
La Modestie : C’est de parler de soi-même sans orgueil
Le Respect : Sans respect, aucune confiance ne peut naitre
Le Controle de soi : C‘est de savoir se taire lorsque montre la colère

Auteur Inconnu

S’encourager


Tu ne peux pas , par exemple, aider un dépressif, si toi-même tu as des émotions à fleur de peau. Ou encore donner des conseils, que tu ne suis pas. Il faut d’abord commencer par mettre soi-même sur de bonnes bases avant d’aller aider les autre
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S’encourager

 

 Soyez d’abord fidèle à vous-même. Vous ne pouvez pas encourager et aider les autres si vous ne pouvez pas vous encourager et vous aider en premier.

Sagesse Amérindienne

Le choc de novembre : comment le corps s’apprête à passer l’hiver


Novembre annonce la fin de tout, la fin des plaisirs de la saison estivale. Novembre annonce aussi le froid qui se fait de plus en plus ressentir sans oublier cette neige qui ne tardera pas a laisser sa trace. Novembre la nature change et nous changeons pour faire front aux mois glacials qui suivront
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Le choc de novembre : comment le corps s’apprête à passer l’hiver

 

Gilles Brien

Biométéorologue, scénariste et auteur du livre «Les Baromètres humains»

Le récent changement d’heure au tout début de novembre en a bouleversé plus d’un. Parlez-en aux deux millions de canadiens qui en ont fait une migraine. Ou aux victimes d’infarctus et de crises d’angines qui ont augmenté de 5% dans les jours qui ont suivi le changement d’heure. Malgré sa technologie et son confort moderne, l’homme n’échappe pas aux influences des changements de saison. Certains s’en réjouissent. D’autres s’en rendent malade.

En automne, toute la nature commence à stocker. Notre corps s’en rend compte et fait pareil. En général, c’est à la fin de l’automne, en novembre surtout, que les gens gagnent le plus de poids dans l’année. Curieusement, c’est aussi à l’automne que les gens sont les plus fidèles dans leurs relations amoureuses. Selon un sondage auprès de 10 000 Français et Européens réalisé par le site internet Gleeden, le plus populaire des sites de rencontres en ligne, le taux d’infidélité des couples atteint son maximum en été (39 %), et son plus bas taux en automne (12 %). Selon les spécialistes, le temps froid de l’automne inciterait les gens à rechercher de la chaleur humaine sincère plutôt que des aventures sans lendemain. On devrait déplacer la St-Valentin en novembre.

Les variations saisonnières dans notre vie sentimentale sont fortement liées à l’action de la sérotonine dans le cerveau. La sérotonine, surnommée l’hormone du bonheur, est un neurotransmetteur qui relaie des messages sous forme bioélectrique dans le corps. De nos émotions amoureuses aux crises de colère en passant par nos désirs sexuels, notre mémoire et notre appétit, tout l’éventail de nos sentiments et de nos émotions est géré par cette hormone qui agit comme un vrai chef d’orchestre dans notre humeur du jour. Or, les changements de lumière saisonniers sont connus pour affecter sérieusement le taux de sérotonine dans l’organisme. Par ailleurs, on sait que les déséquilibres dans les niveaux de sérotonine engendrent de l’anxiété, des crises de panique et des idées sombres. La mélancolie de l’automne tire surtout son origine du débalancement hormonal qui affecte tous les humains à cette époque de l’année.

Ce qui change surtout pour l’organisme au cours du mois de novembre, c’est l’alimentation. Subtilement, les gens changent peu à peu de diète à l’automne. Novembre devient le mois où les glucides (les pâtes, le riz, le pain) prennent de plus en plus de place dans les repas. Novembre est aussi l’un des mois où les gens ont le plus faim dans l’année. La même grosseur d’assiette qui nous aurait rassasié en juillet n’est plus suffisante en novembre. Vers la fin de l’automne, la consommation de calories peut augmenter de 10% par jour comparé aux autres mois de l’année.

Cet appétit et cette passion pour la bouffe et les émissions culinaires à la télé qui revient à chaque rentrée chez les Québécois est dicté par le cycle des saisons. Le climat s’apprête à changer. Et avec lui, nous aussi. Comme si le corps anticipait l’arrivée prochaine du froid de l’hiver, l’organisme se conditionne lui-même et fait ses propres réserves.

Lorsqu’il s’agit de lutter contre le froid, ce n’est pas la quantité de nourriture qu’on absorbe qui compte, c’est le type de nourriture. La chaleur énergétique d’un homme après avoir mangé un repas riche en protéines animales et en gras est estimée à 33 cal/h. Si le repas est composé de glucides (pour une même teneur en calories), cette valeur tombe à 21 cal/h. Bref, quand on a froid, le corps tire meilleur profit d’un repas riche en viande plutôt qu’en légumes, en pâte, pain ou riz. Le hic, c’est que la viande rouge augmente le risque de cancer colorectal. Voilà peut-être l’une des raisons pourquoi la mortalité au Québec augmente en flèche à partir de la mi-novembre…

Après tout, novembre n’est pas le mois des morts pour rien.

Source : Sargent. F. «Season and the metabolism of fat and carbon hydrates», Meteorological Monographs 1954, 2,8, 68-80; INSPQ, la mortalité et l’espérance de vie au Québec en 2012, mai 2013, no, 26.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Le chien a-t-il un seul maitres?


Tout comme l’être humain, un chiot a besoin de sa mère pour acquérir une autonomie, s’il est adopté trop jeune, le maitre devra faire office de parent pour finaliser son développement
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Le chien a-t-il un seul maitres?

 

Le chien a-t-il un seul maître?

Shutterstock

Anne-Lise Paul

 

On entend souvent des maîtres déclarer fièrement: «Mon chien n’écoute que moi!» ou, à l’inverse, dire un peu tristement: «Mon chien aime tout le monde et écoute n’importe qui…» Qu’en est-il vraiment? La fidélité canine est-elle une question d’éducation, de race, de tempérament?

L’attachement: essentiel à la vie

Si l’attachement à la mère a des fonctions multiples, il permet avant tout la survie du jeune animal. Grâce à lui, le chiot sera rassuré et capable d’explorer son environnement, d’interagir avec ses congénères et les autres espèces, d’éviter les prédateurs, d’apprendre les rituels canins… Bref, l’attachement à la mère est un processus indispensable à l’équilibre mental, physique et affectif du chiot.

Le détachement: une étape clé vers l’autonomie

Lorsque les chiots atteignent l’âge de quatre mois, la mère se détache naturellement d’eux afin de les rendre le plus autonomes possible. À partir de ce moment, elle ne répond plus à leurs sollicitations (demandes de contact, de tétée, etc.) Or, ce processus ne peut pas s’exprimer si un chiot est adopté et séparé de sa mère vers l’âge de deux mois.

À ce moment, seul le sevrage alimentaire est terminé; c’est pourquoi l’humain doit impérativement prendre le relais afin de sécuriser le chiot en détresse nouvellement adopté. Il y a donc un transfert d’attachement de la mère à l’être humain. Une fois que le chiot aura atteint quatre mois, son nouveau maître devra ensuite créer une période de détachement, tout comme l’aurait fait la chienne.

Attachement multiple: le secret des chiens équilibrés

À la suite de la période de détachement, le chiot est devenu plus autonome et peut se lier avec d’autres personnes que son maître. Il est alors essentiel que les autres membres de la famille deviennent eux aussi des «ressources» pour le chiot, c’est-à-dire qu’ils lui prodiguent les soins quotidiens (le nourrir, jouer avec lui, le promener, etc.). De cette façon, le jeune chien pourra s’attacher à d’autres êtres que son «premier parent humain». Il deviendra ainsi capable de fonctionner même en l’absence du propriétaire principal, sans risquer de souffrir d’hyperattachement ou de crises d’anxiété.

Existe-t-il des races plus indépendantes?

Il est faux de croire que la race détermine complètement le tempérament. En effet, celui-ci est bien plus influencé par le caractère des parents et par la lignée d’origine du chiot. Certains individus seront plus joueurs, d’autres plus craintifs, d’autres encore plus téméraires, et ces différents aspects de leur personnalité seront ou non appelés à s’exprimer plus fortement suivant le milieu de vie du chien.

Un chien bien dans son poil

Vous l’aurez compris, le fait pour le chien d’être autonome et fonctionnel avec d’autres personnes que son maître ne veut absolument pas dire qu’il y est moins attaché, bien au contraire! Cela prouve simplement qu’il est équilibré et peut rester calme et serein en votre absence. C’est un gage d’amour que de lui laisser cette autonomie, qui ne l’empêchera pas du tout d’avoir une relation privilégiée avec vous!

Q: «Mon chien n’a eu que moi comme maître. Si je dois m’en défaire, pourra-t-il s’adapter à un nouveau foyer?»

R: Contrairement à une idée très répandue, le chien a de formidables capacités d’adaptation. Il peut donc, moyennant une période de transition de trois semaines à deux mois, s’adapter à un nouvel environnement et à de nouveaux maîtres. Cependant, certains chiens auront besoin d’un peu d’aide pour se familiariser avec leur milieu, tandis que d’autres seront plus facilement adaptables

http://fr.canoe.ca/

Une chienne refuse pendant 3 jours de quitter son compagnon blessé


On sait que des chiens peuvent éprouver une fidélité sans bornes à son maitre a deux pattes, mais envers un autre chien, au point de mourir pour un autre chien, c’est plutôt rare
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Une chienne refuse pendant 3 jours de quitter son compagnon blessé

Par Sophie Le Roux Crédits

photo : Facebook – Holbrook Animal Rescue

La fidélité bien connue des chiens n’est pas réservée à nous seuls humains. Non, entre eux aussi nos meilleurs amis à 4 pattes se secourent et se soutiennent. Comment ne pas être ému par l’histoire de ces deux chiens grecs, inséparables après avoir passé trois interminables journées ensemble, attendant que quelqu’un leur vienne en aide.

Laissé pour mort dans un fossé

Grièvement blessé par quelque 38 tirs de fusil à plombs, Roméo, un setter croisé, serait mort aujourd’hui sans la présence de sa fidèle compagne. Le pauvre animal avait été laissé pour mort dans un fossé de l’île de Zakynthos. Seule sa tête sortait de l’eau.

Pendant trois jours, sa compagne est restée près de lui, sans rien manger. Elle n’a cessé d’aboyer pour alerter les passants, jusqu’à ce qu’un bon samaritain s’arrête enfin et conduise les deux chiens chez un vétérinaire.

Surnommés Roméo et Juliette, les animaux ont été pris en charge par un refuge britannique, le Holbrook Animal Rescue, situé à Horsham dans le West Sussex, après avoir passé plusieurs semaines dans les locaux d’une association locale. C’est grâce à une collecte de fonds lancée par cette association sur le site Gofundme que leur voyage jusqu’en Angleterre a pu être financé.

« Juliette aurait pu mourir de faim plutôt que de le quitter »

Soigné grâce à un lourd traitement médicamenteux, Roméo va aujourd’hui beaucoup mieux.

« Il était en danger et je pense que (Juliette) aurait pu mourir de faim plutôt que de le quitter. Elle est restée là pendant trois jours, ce qui est très long pour un chien » souligne Laura Santini, une employée du refuge britannique.

Les sauveteurs de Roméo ne pensaient pas qu’ils devraient prendre Juliette avec eux. Mais la chienne ne leur a pas vraiment laissé le choix. Et il est aujourd’hui impensable de séparer les deux amis. Au refuge, ils ne s’intéressent pas à leurs congénères, n’appréciant visiblement rien tant que la compagnie l’un de l’autre. Un tel lien est unique, affirme Laura Santini.

Une amitié rare

« Je pense qu’ils étaient amis avant l’accident. Il est très rare que deux chiens qui ne se connaissent pas deviennent à tel point inséparables. Je pense qu’ils ont vécu ensemble » explique-t-elle. Et de confier : « C’est l’une des histoires les plus mignonnes dans lesquelles j’ai été impliquée ».

Le refuge espère désormais trouver une famille qui acceptera d’adopter les deux chiens. Et depuis que les médias britanniques, comme le Dailymail, ont raconté cette belle histoire, les appels se succèdent.

http://wamiz.com

Pendant 8 jours, un chien attend son maître devant l’hôpital


Ce chien se fout bien que son maitre ne soit pas riche et qu’il a une apparence négligée. Ce qui importe, c’est l’affection qu’il reçoit et en retour, c’est une fidélité sans limite à son maitre
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Pendant 8 jours, un chien attend son maître devant l’hôpital

 

Seco retrouve son maître après huit jours de séparation.Photo : Youtube

Une belle preuve de fidélité. Le 31 mars, Lauri da Costa, un SDF de Passo Fundo, dans le sud-est du Brésil, a été violemment attaqué par des voyous. Blessé au front par une pierre, il se rend alors à l’hôpital le plus proche avec son chien, Seco, âgé de 4 ans. Mais quand les médecins examinent Lauri, ils diagnostiquent un mélanome sur son visage qui doit immédiatement être opéré.

La visite qui ne devait durer que quelques heures va en fait s’étaler sur plusieurs jours. Et dehors, Seco attend patiemment son maître : pendant huit jours, il ne quitte pas le parking de l’hôpital

. Le personnel médical, qui s’aperçoit de sa présence, va finalement lui fournir de l’eau et de la nourriture.

Explosion de joie

Puis finalement, alors qu’il n’est pas encore rétabli et se déplace en fauteuil roulant, Lauri est autorisé à sortir de l’établissement pour retrouver Seco pendant quelques minutes. Et là c’est l’explosion de joie : le chien ne cesse de tourner et de bondir autour du sans-abri.

Mais ce dernier doit rester à l’hôpital quelques jours supplémentaires le temps de complètement se rétablir. Son chien reprend alors sa place sur le parking en attendant la sortie définitive de son maître. 

http://www.metronews.fr/

Un chien fugueur fouille les décombres, là où son maître est mort


Le glissement de terrain aux États-Unis qui fait ressortir une histoire bien étrange d’un chien qui a retrouvé la nouvelle maison de son ancien maître. Comment a-t-il pu se rendre dans un endroit qu’il n’a jamais été
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Un chien fugueur fouille les décombres, là où son maître est mort

 

Boomer, le golden retriever fugueur, retrouvé errant dans les ruines où son ancien maître a trouvé la mort.

Boomer, le golden retriever fugueur, retrouvé errant dans les ruines où son ancien maître a trouvé la mort.Photo : Arlington Veterinary Hospital

MEILLEUR AMI – Un chien donné par un homme à sa soeur parce qu’il déménageait, a fugué et a été retrouvé dans les ruines de la bâtisse où son ancien maître est mort.

 

L’histoire du jour est touchante et assez troublante. On sait la fidélité des chiens à leurs maîtres, leur sens aigu de l’orientation et peut-être leur sensibilité hors du commun par delà les distances. Cela reste à prouver, mais l’histoire de Boomer, un golden retriever âgé de quinze ans, abonde en ce sens.

Cette semaine, près de quinze jours après un glissement de terrain terriblement meurtrier à Oso, un village de l’Etat de Washington, dont le bilan est à ce jour de 30 morts et 15 disparus, les secours continuaient jeudi de fouiller les décombres. Même si un garçonnet a miraculeusement réchappé de la catastrophe, après si longtemps, ils n’avaient plus d’espoir de retrouver un être en vie quand la découverte d’un chien, blessé, déshydraté, mais bien vivant, les a requinqués.

Boomer avait apparemment senti quelque chose

A quelques coupures près aux pattes et à la hanche, l’animal qui se remet à la clinique vétérinaire d’Arlington se porte bien. Au début, on a cru qu’il avait survécu à l’éboulement, mais il s’avère qu’il est arrivé sur les lieux après le drame. Il n’en revient pas moins de loin.

« Il n’a peut-être pas été victime du glissement de terrain, mais sans le dur labeur des secouristes, il n’aurait certainement pas survécu », a estimé le docteur vétérinaire Krystal Grant, qui souligne à quel point ce sauvetage a fait du bien au moral des troupes.

Ce chien ne connaissait apparemment pas cette commune rurale. C’est là que l’histoire prend une autre tournure. Il s’avère que Boomer a été confié par son ancien maître à sa soeur lorsqu’il a déménagé de cinq kilomètres, pour s’installer à Oso, où il est mort. L’animal a fugué après l’accident et il a déniché la demeure en ruines de son ancien maitre. On peut imaginer, imaginer seulement, que le chien a senti qu’il était arrivé malheur à son vieux compagnon.

On aimerait beaucoup poser la question à Boomer et avoir une explication. Le fait est que l’on ne saura jamais ce qu’il avait en en tête quand il a pris la poudre d’escampette

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