Les feuilles de cet arbre d’Ama­zo­nie sont plus grandes qu’un être humain


Une feuille d’un arbre plus grand que la majorité du gens, c’est immense.C’est un arbre découvert en Amazonie, il y a quelques années, mais n’avait ni fleur, ni fruit. Ils ont quand même trouver des graines qu’ils ont fait pousser, suite à cela, ils ont pu décrire cette nouvelle plante

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Les feuilles de cet arbre d’Ama­zo­nie sont plus grandes qu’un être humain

Crédits : Rogé­rio Gribel

par  Malaurie Chokoualé Datou

Une espèce d’arbres qui pousse dans l’Ama­zo­nie vient tout juste d’être offi­ciel­le­ment bapti­sée. Au début du mois de novembre, une étude a été publiée dans la revue Acta Amazo­nica par des cher­cheurs·euses de l’Ins­ti­tut natio­nal de recherche amazo­nien (INPA) de Manaus, au Brésil.

 Après des années de patience, iels ont enfin pu réper­to­rier cette espèce parti­cu­lière, appe­lée Cocco­loba gigan­ti­fo­lia, dont les feuilles sont plus grandes qu’une personne adulte, rappor­tait EcoWatch le 28 novembre.

Cet arbre a pour­tant été aperçu pour la première fois en 1982. Les cher­cheurs·euses savaient qu’il s’agis­sait d’une espèce de Cocco­loba, mais iels ne parve­naient pas à l’iden­ti­fier plus préci­sé­ment. En effet, les spéci­mens qu’iels obser­vaient n’avaient ni fleur ni fruit, des éléments capi­taux pour décrire une nouvelle espèce végé­tale.

Crédits : Rogé­rio Gribel

En 2005, les scien­ti­fiques ont fina­le­ment réussi à recueillir des graines d’un arbre. Iels les ont planté sur le campus de l’INPA, et iels ont attendu. Leur patience a été récom­pen­sée en 2018, quand l’un des arbres plan­tés a fleuri et produit des fruits, leur four­nis­sant enfin le maté­riel bota­nique néces­saire pour décrire cette nouvelle espèce.

Endé­mique de l’Ama­zo­nie brési­lienne, plus préci­sé­ment dans le bassin de la rivière Madeira, Cocco­loba gigan­ti­fo­lia est un arbre de 10 à 15 m de haut. Ce sont surtout ses feuilles qui inter­pellent les cher­cheur·euses, car elles peuvent mesu­rer jusqu’à 2,50 m de long. Vu sa rareté et sa présence dans un paysage en perpé­tuelle muta­tion, les auteur·e·s ont recom­mandé de l’ins­crire sur la liste rouge de l’Union inter­na­tio­nale pour la conser­va­tion de la nature (UICN).


Source : EcoWatch

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Les feuilles de cette fleur ressemblent à des coli­bris


Encore l’Australie !! Cette fois-ci, c’est une fleur qui est très particulière. Elle ressemble a un oiseau, le colibri. Elle est très jolie.
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Les feuilles de cette fleur ressemblent à des coli­bris


Crédits : Octo­pusP­rime / Reddit

par  Suzanne Jovet

Sur le forum Reddit, un utili­sa­teur surnommé Octo­pusP­rime a partagé la photo d’une étrange fleur austra­lienne ressem­blant trait pour trait à un coli­bri.

En moins de 24 heures, l’image a attisé plus de 47 000 réac­tions d’in­ter­nautes intri­gués. L’un d’eux, connu sous le nom de Soli­tary Bee, a fini par iden­ti­fier son sujet lundi 24 juin.

Cette fleur qui figure un oiseau atta­ché par son bec à la tige s’ap­pelle Crota­la­ria cunnin­gha­mii. Elle a été bapti­sée par le bota­niste et explo­ra­teur Robert Brown au début du XIXe siècle. Mais les habi­tants la surnomment plus simple­ment la fleur d’oi­seau royale. 

Crédits : D. Blumer

Présente dans le nord de l’Aus­tra­lie, la plante exige une expo­si­tion régu­lière au soleil. Elle est géné­ra­le­ment nichée dans les dunes de sable, le long des plages et dans la mulga, cette végé­ta­tion semi-aride austra­lienne. La Crota­la­ria cunnin­gha­mii possé­de­rait des vertus pour soigner les infec­tions oculaires.

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Système de défense : cette plante attaquée par une chenille a une réaction étonnante


Les scientifiques ont réussi à démontrer que les plantes réagissent face au danger. Elles envoient un message chimique. Donc quand un herbivore se délecte de ses feuilles, ou quand une personne coupe une tige, la plante réagit
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Système de défense : cette plante attaquée par une chenille a une réaction étonnante

 

Dans cette vidéo, une chenille mange une feuille d’Arabidopsis. Une vague de messages se propage pour préparer des feuilles éloignées à l’agression. La fluorescence permet de visualiser un message calcium. © Simon Gilroy, UW-Madison Campus Connection

Une vidéo surprenante visualise en direct la transmission d’un message dans une plante : l’agression d’une feuille conduit à la propagation d’un signal électrique qui alerte d’autres feuilles du danger. Le végétal utilise le glutamate et des mouvements d’ions calcium.

Les plantes, fixées au sol, ne peuvent pas s’enfuir à l’approche d’un herbivore. C’est pourquoi elles ont développé des systèmes de défense chimiques pour éloigner leurs prédateurs. Lorsqu’une feuille est attaquée, la plante a des moyens de préparer ses autres feuilles à l’agression. Dans la vidéo ci-dessus, vous verrez une chenille grignoter une feuille de la plante ; en moins d’une minute, un message, visualisé par une lumière fluorescente, se transmet dans la plante.

Cette vidéo a été obtenue par le laboratoire de Simon Gilroy, professeur de botanique à l’université du Wisconsin-Madison, qui explique dans un communiqué :

« Nous savons que si vous blessez une feuille, vous obtenez une charge électrique et vous obtenez une propagation qui se déplace à travers la plante ».

Les chercheurs voulaient mieux comprendre comment se propageait cette décharge électrique. La réponse à ce problème fait intervenir des ions calcium.

Des points communs avec le système nerveux des vertébrés

Un chercheur post-doctoral, Masatsugu Toyota, a mis au point des plantes Arabidopsis thaliana qui produisent une protéine fluorescente en présence de calcium. La vidéo permet donc de visualiser la propagation du message « calcium ». Dans leur recherche parue dans Science, les scientifiques ont aussi montré que le glutamate intervient dans cette signalisation.

L’acide aminé glutamate est un neurotransmetteur excitateur du système nerveux des vertébrés. Les récepteurs du glutamate sont des ces canaux qui déclenchent une cascade de modifications dans la concentration du calcium intracellulaire. Les chercheurs ont aussi montré que des plantes sans récepteur au glutamate ne transmettent plus de signaux électriques de défense utilisant le calcium.

https://www.futura-sciences.com/

Le Saviez-Vous ► Pourquoi les feuilles des arbres sont-elles si différentes ?


Pourquoi en Amazonie, les feuilles des plantes, des arbres peuvent être si grande à comparer aux arbres les températures peuvent aller jusqu’au gel. ? La relation entre soleil, accessibilité à l’eau, l’humidité ainsi que la température ont des impacts sur la grandeur des feuilles
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Pourquoi les feuilles des arbres sont-elles si différentes ?

 

Bananiers

Bananiers en Micronésie.

SUPERSTOCK/SIPA

Par Loïc Chauveau

La taille des feuilles des plantes varie d’un facteur 100.000 ! Une étude complète portant sur 7600 espèces de plantes dans toutes les zones climatiques détaille les influences qui façonnent la principale zone de contact des végétaux avec leur environnement.

LUXURIANCE. La modeste Cassiope tétragone qui couvre les sols de toundra arctique arbore des feuilles de moins d’un millimètre carré. A l’autre bout du spectre, le bananier présente des appendices de plus d’un mètre carré ! Entre les deux, toutes les tailles existent. Mais quels sont les mécanismes qui conditionnent la surface foliaire ? A priori, la réponse est évidente. En présence de chaleur et d’eau en abondance, les plantes sont plus luxuriantes. Une équipe internationale menée par Ian Wright de l’Université Macquarie en Australie a vérifié cette assertion. Leurs résultats, qui font la Une de Sciencedu 1er septembre, révèlent une réalité beaucoup plus complexe.

L’étude croise la taille des feuilles de 7600 espèces situées dans 700 zones climatiques différentes.

« Partout, tout se résume à une question de budget énergétique quotidien. En réalisant le bilan des gains et pertes d’énergie à la fois durant le jour mais aussi durant la nuit, il est possible de déterminer si la température de la feuille dépassera les seuils létaux situés entre -5°C et +50°C », explique Vincent Maire, chercheur à l’Université du Québec à Trois Rivières (Canada) et co-auteur de l’étude.

Il existe bien des zones géographiques où la chaleur et l’abondance d’eau font qu’il n’y a pas de limite théorique à la taille des feuilles. Il s’agit principalement du bassin amazonien et de la forêt équatoriale africaine. Là, les plantes ont suffisamment d’eau pour rafraîchir leurs feuilles en permanence par transpiration et maintenir une température optimale pour la photosynthèse, loin de la température de l’air ambiant.

Dans le reste de la zone intertropicale où l’eau est moins disponible, les feuilles sont plus petites « car le risque de surchauffe est trop grand durant la journée pour les grandes feuilles due à leur incapacité à perdre rapidement la grande quantité de chaleur acquise par le rayonnement solaire», poursuit Vincent Maire.

Des feuilles plus petites pour éviter de geler!

MODELE. En revanche, en zone tempérée, en altitude et dans les zones arctiques, ce n’est pas le risque de surchauffe qui est le facteur limitant, mais le risque de gel durant la nuit.

« Avec une couche isolante d’air importante, la grande feuille dissipe une trop grande part d’énergie dans les longues longueurs d’onde vers le ciel, qui ne peut pas être compensée par la température de l’air ambiant. Ce phénomène peut provoquer un gel même lorsque la température de l’air ambiant est supérieure à zéro », assure Vincent Maire.

Résultat : sur 51% de la surface de la planète, c’est le risque de dommages par le gel durant la nuit qui est le facteur limitant de la taille des feuilles et non la chaleur du jour.

« C’est une idée nouvelle qui bat en brèche l’idée que seules la chaleur et l’eau expliquent la taille des feuilles », salue Patrick Laufs, chercheur à l’Institut Jean-Pierre Bourgin (Inra-AgroparisTech) qui n’a pas participé à l’étude.

Cette règle énergétique prévaut pour expliquer les différences de taille au sein d’une même espèce selon leur emplacement au sud ou au nord de son aire de répartition. De même un même arbre peut produire des feuilles de taille différente, celles de la canopée en contact avec le rayonnement solaire étant plus petites que celles poussant à l’ombre de la canopée.

Ces résultats sont le fruit d’une double approche, empirique et théorique. En prenant en compte le rayonnement solaire, la pluviométrie, la température, le modèle théorique reconstitue le bilan énergétique d’une feuille et calcule sa taille maximale. Les valeurs observées ne dépassant pas cette taille maximale, ce modèle à l’échelle de la feuille s’en retrouve globalement validé. Ce modèle peut avoir plusieurs applications.

«Pourquoi ne pas s’en servir pour optimiser la taille des feuilles des plantes cultivées et ainsi améliorer les rendements agricoles? », propose Patrick Laufs.

 « Ce travail prédictif va aussi permettre de mieux calculer le rôle de stockage de carbone des plantes dans le cadre d’une évaluation du rôle des végétaux comme puits de gaz à effet de serre », assure Vincent Maire.

Même les paléontologues y trouveront leur compte, en déduisant de la taille des feuilles fossilisées les conditions climatiques dans le passé de la Terre.

https://www.sciencesetavenir.fr/

Truc Express ► Ne regardez pas les feuilles : Il y a une autre façon de choisir le meilleur ananas


J’aime l’ananas quand il est mûr juste à point. À l’épicerie si on choisi un ananas en regardant si une feuille s’enlève facilement, on risque d’avoir des surprises. Il y a des petits trucs pour mieux choisir ce fruit.
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Ne regardez pas les feuilles : Il y a une autre façon de choisir le meilleur ananas

Que vous preniez des fruits et légumes de votre propre jardin ou au supermarché, il est normal de choisir le plus beau et le plus meilleur à mettre sur la table.

Pour les fruits, l’état de maturité se vérifie, en s’assurant qu’ils ne soient ni trop verts ni trop mûrs ; pour les légumes, la fraîcheur est prise en compte. Cependant, lorsqu’il s’agit d’ananas, c’est difficile de choisir le meilleur, à la fois parce qu’il ne s’agit pas d’un fruit que vous connaissez bien et parce que son aspect extérieur ne peut pas révéler grand chose sur sa qualité intérieure. Cependant, voici ce que vous devez regarder pour choisir celui qui est sucré et mûr au bon moment.

1. La couleur

image: Victoria Rachitzky Hoch/Flickr

Nous commençons par observer la couleur pour comprendre si un ananas vaut la peine d’être acheté. Tout d’abord, le fruit ne doit pas être complètement vert, mais doit présenter des nuances allant du jaune-orange au vert, ce qui indique un degré de maturité correct.

2. Les feuilles

image: Raphaël Labbé/Flickr

On dit que quand un ananas est mûr c’est toujours facile d’enlever quelques feuilles au centre du fruit. En fait, s’il était vraiment facile de détacher une feuille au milieu, le fruit pourrait probablement être mou à l’intérieur. Il est vrai, d’autre part, que moins l’ananas est mûr, plus les feuilles seront attachées à la base, de sorte que la vérité se trouve entre les deux.

3. La consistance

image: Scot Nelson/Flickr

Avant d’ouvrir et de manger un ananas, essayez de le serrer légèrement dans vos mains : vous devriez sentir une certaine élasticité de l’extérieur, synonyme d’un état de maturation correct. Si le fruit s’avère trop dur, vous devrez le laisser mûrir quelques jours de plus, au contraire, s’il est trop mou, il pourrait être pourri. Touchez toute la surface et assurez-vous qu’il n’y ait pas de zones plus molles que les autres, ce qui signifierait que le fruit a pris quelques coups avant d’être exposé.

4. L’odeur de la base

image: U.S. Department of Agriculture Segui/Flickr

Vous voulez savoir comment reconnaître le meilleur ananas, sans ennuyer le marchand en touchant les fruits ? Le secret est de sentir la base de l’ananas. A maturité, une très bonne odeur d’ananas frais se répand au niveau du fond. Si aucune odeur particulière ne peut être détectée, l’ananas est probablement encore trop peu mature. Au contraire, une odeur trop sucrée ou désagréable est un signe clair que le fruit a mal tourné.

http://www.regardecettevideo.fr/

Quand les feuilles refusent de tomber


Nous avons eu un automne assez particulier cette année, les couleurs au début étaient assez terne à ce que nous sommes habitués. Et les feuilles ont vraiment tardé pour tombées. À certains endroits, des arbres ont encore leurs feuilles mêmes si elles ont connu des périodes de gels. Les conséquences, peut-être le printemps sera moins feuillus, des arbres fruitiers porteront moins de fruits … En fait, c’est seulement au printemps qu’on aura les réponses
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Quand les feuilles refusent de tomber

 

Début de décembre inhabituel dans l'île Sainte-Hélène. Comme... (Photo François Roy, La Presse)

Début de décembre inhabituel dans l’île Sainte-Hélène. Comme c’est le cas à divers endroits dans la grande région métropolitaine, de nombreux arbres sont encore entièrement couverts de feuilles.

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

 

PIERRE GINGRAS
La Presse

De nombreux arbres de la grande région métropolitaine sont toujours couverts de leurs feuilles. Elles devraient pourtant être tombées depuis des semaines. Séchées, recroquevillées, elles restent accrochées aux branches en dépit du gel, de la neige et du vent. Phénomène rare, beaucoup n’ont même pas changé de couleur au cours de l’automne.

Explications.

UN AUTOMNE EXCEPTIONNEL

Le beau temps, les températures très douces et l’absence de gel important au cours de l’automne dans la grande région métropolitaine ont eu un effet insoupçonné sur une multitude d’arbres et arbustes.

Les feuilles n’ont pas changé de couleur ou ont carrément « oublié » de tomber. On a même vu parfois des fleurs apparaître sur des lilas ou des pommetiers, comme au Jardin botanique, ou encore des bourgeons floraux sur le point d’ouvrir. Puis, du 9 au 10 novembre, la température est passée de 9 °C à -9 °C. Les feuilles ont gelé. Non seulement elles ne sont pas tombées, mais, étrangement, elles persistent à s’accrocher solidement aux branches.

UN MYSTÈRE NON RÉSOLU

Beaucoup d’espèces ornementales originaires d’Europe ou d’Asie perdent normalement leurs feuilles tardivement, souvent au début de novembre, n’étant pas totalement adaptées à notre climat. C’est le cas de l’érable rouge de Norvège, des lilas ou du nerprun, trois espèces très répandues chez nous. D’autres, comme le chêne fastigié d’Europe, très populaire à Montréal, conservent leurs feuilles fanées tout l’hiver. Par contre, le phénomène actuel touche aussi de nombreuses espèces indigènes, comme certains bouleaux, chênes ou tilleuls.

« C’est inusité. Le hic, c’est qu’on ne sait pas vraiment pourquoi cette année ces feuilles restent attachées aux branches », indique Alain Cogliastro, chercheur en écologie forestière et botaniste au Jardin botanique.

UN CYCLE ININTERROMPU

En automne, lors du changement de coloration, la feuille cède progressivement ses réserves restantes pour les fixer à la branche en vue du prochain printemps. Il y a alors formation d’un bouchon au point d’attache de la tige qui entraîne la chute de la feuille. Il semble que ce phénomène ne s’est pas produit cette saison en raison des conditions météorologiques douces, explique Alain Cogliastro. Ce qui pourrait expliquer aussi pourquoi les feuilles sont si tenaces aux branches, même si elles devraient évidemment tomber au cours des prochains mois.

« Manifestement, le climat n’a pas fini de nous surprendre », dit-il.

LES CONSÉQUENCES PRÉVISIBLES

Si l’adaptation progressive des arbres et des plantes à l’hiver (aoûtement) ne s’est pas faite normalement, les tissus tendres de l’extrémité des branches risquent de geler au cours de l’hiver. Les bourgeons qui ont produit des fleurs n’en produiront plus au printemps et ceux qui se sont gorgés d’eau risquent aussi de geler, ce qui pourrait entraver partiellement la floraison de certains arbres ornementaux et la production des arbres fruitiers. Cette situation, pas plus d’ailleurs que la chute particulièrement tardive des feuilles, ne devraient pas nuire à la santé des arbres. Les variétés ornementales plus fragiles pourraient cependant souffrir davantage.

CHEZ LES PÉPINIÉRISTES

En production commerciale, un automne clément présente un défi particulier. Début novembre, arbres, arbuste et vivaces sont couchés ou déposés sur le sol et recouverts de toiles isolantes pour être maintenus à une température constante jusqu’au printemps. Or cette année, l’opération s’est déroulée un peu trop tôt par rapport à l’activité biologique des végétaux, notamment parce que la main-d’oeuvre étrangère devait partir à date fixe. Les plantes étaient souvent couvertes de feuilles lors de l’entreposage et la température était élevée, conditions très propices à l’apparition de maladies, explique Marc Légaré, conseiller en pépinière à l’Institut québécois du développement de l’horticulture ornementale.

ATTENTION AU GAZON !

Ce n’est qu’au printemps prochain que l’on pourra mesurer les répercussions de l’automne sur nos arbres, si répercussions il y a. Même situation en pépinière et dans les centres de jardinage. L’agronome Claude Gélinas, de Varennes, conseille par ailleurs d’éviter que les feuilles ne s’accumulent sur le gazon, et de profiter des périodes de beau temps pour les éliminer ou de passer la tondeuse pour les déchiqueter. Elles peuvent faire pourrir la pelouse, dit-il. Les feuilles porteuses de maladies comme la tache goudronneuse de l’érable devraient aussi être éliminées, sans quoi les spores maléfiques se disperseront dès les premiers jours du printemps.

http://www.lapresse.ca

20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture


Certaines images demandent un peu d’imagination, alors que d’autres sont bluffantes
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20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture

 

1. Cette roche qui ressemble à une tranche de bacon.

20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture, mais vous regretteriez probablement de les avoir mangées

2. Cet arbre ressemble à un brocoli.

20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture, mais vous regretteriez probablement de les avoir mangées

3. Cette balle de golf ressemble à de la viande.

20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture, mais vous regretteriez probablement de les avoir mangées

4. Cette photo a été prise dans le Sahara algérien. La neige couverte de sable ressemble à un tiramisu.

20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture, mais vous regretteriez probablement de les avoir mangées

5. Mon dentifrice ressemble à de la chair de saumon.

20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture, mais vous regretteriez probablement de les avoir mangées

6. Ces chiots ressemblent à du poulet frit.

20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture, mais vous regretteriez probablement de les avoir mangées

7. Ce champignon ressemble à un beignet au chocolat.

20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture, mais vous regretteriez probablement de les avoir mangées

8. Ce tuyau d’arrosage ressemble à une banane.

20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture, mais vous regretteriez probablement de les avoir mangées

9. Les arbres dans ma rue ressemblent à des ananas géants.

20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture, mais vous regretteriez probablement de les avoir mangées

10. Ce matelas ressemble à un sandwich à la glace.

20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture, mais vous regretteriez probablement de les avoir mangées

11. J’ai mis du savon dans le micro-ondes et il ressemble à du pain.

20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture, mais vous regretteriez probablement de les avoir mangées

12. Cette roche ressemble à un sandwich de fromage fondu.

20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture, mais vous regretteriez probablement de les avoir mangées

13. Cette roche ressemble à une patate.

20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture, mais vous regretteriez probablement de les avoir mangées

14. Quand tu essaies de faire du savon et il ressemble à de la viande crue.

20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture, mais vous regretteriez probablement de les avoir mangées

15. Cette feuille ressemble à une banane.

20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture, mais vous regretteriez probablement de les avoir mangées

16. Cette pierre précieuse ressemble à un morceau de chocolat.

20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture, mais vous regretteriez probablement de les avoir mangées

17. Ce champignon ressemble à un beignet au chocolat.

20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture, mais vous regretteriez probablement de les avoir mangées

18. Ce morceau de papier de verre ressemble à un steak.

20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture, mais vous regretteriez probablement de les avoir mangées

19. La porte de garage chez mes parents ressemble à une tablette de chocolat.

20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture, mais vous regretteriez probablement de les avoir mangées

20. Ce champignon ressemble à une guimauve au chocolat grillée à point.

20 fois où des choses ressemblaient à de la nourriture, mais vous regretteriez probablement de les avoir mangées

https://www.ipnoze.com

Truc Express ► Quoi faire avec vos feuilles mortes?


C’est dommage de gaspiller l’engrais naturel pour les pelouses à l’automne avec toutes ses feuilles qui tombent. Chez-moi, ceux qui ramassent leurs feuilles peuvent les mettre dans des sacs en papier destinés aux feuilles, plantes, etc … ou une poubelle avec V écrit dessus et la ville le ramasse pour amener à l’écocentre
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Quoi faire avec vos feuilles mortes?

 

AUTOMNE. L’été a fait place à l’automne dans les derniers jours, les journées rafraichissent et bientôt, les feuilles vont tapisser le sol de la région. Plutôt que d’envoyer des sacs de feuilles au dépotoir, Eurêko propose deux solutions.

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Connaissez-vous le feuillicyclage? Cette procédure permet d’optimiser notre empreinte écologique en diminuant la quantité de matières destinées à l’enfouissement.

Julie Bolduc, chargée de projet pour Eurêko, a expliqué qu’il s’agit en fait de passer la tondeuse, lorsque possible, dans les feuilles et de laisser là les rognures produites.

« C’est d’ailleurs le meilleur engrais naturel que l’on peut avoir sur notre gazon, puisqu’en laissant les feuilles au sol, toutes les propriétés de celles-ci vont retourner dans le sol », a précisé Mme Bolduc.

Elle a d’ailleurs souligné qu’aujourd’hui, les gens ont énormément d’obligations et le feuillicyclage permet de sauver des étapes, soit de racler notre terrain et de mettre les feuilles dans des sacs.

Néanmoins, la chargée de projet a mentionné qu’on ne devrait pas laisser plus de cinq centimètres de feuilles sur notre terrain. On doit toujours pouvoir voir les herbes qui dépassent.

« Si on a trop de feuilles, on peut également déposer les rognures dans les plates-bandes ou dans notre jardin, elles agiront également comme engrais naturel », a ajouté Mme Bolduc.

Écocentre

Cette dernière a souligné qu’il reste quand même quelques personnes qui veulent absolument ramasser les feuilles pour avoir un terrain bien propre.

« C’est une vieille mentalité, mais pour ceux qui voudraient le faire, je conseille d’aller porter les feuilles à l’écocentre. Si tout le monde remplit quatre ou cinq sacs de feuilles et les met à la poubelle, on va remplir le dépotoir », a lancé Mme Bolduc.

http://www.lechoabitibien.ca/

Le Saviez-Vous ► Les choses que l’on a retrouvé préservées dans de l’ambre


L’ambre a une particularité d’emprisonner à jamais des insectes, des petits animaux, des plantes pendant des millions d’années. Ils sont le témoignage de la terre du passé
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Les choses que l’on a retrouvé préservées dans de l’ambre

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Une fleur toxique (Strychnos electri) – 30 millions d’années – République dominicaineplume-ambre-dinosaure

Une aile d’oiseau préhistorique avec ses plumes – 100 millions d’années – BirmanieUne feuille de Hymenaea protera dans l'ambre qu'il a produit - ? - République dominicaine

Une feuille de Hymenaea protera dans l’ambre qu’il a produit – ? – République dominicaineUne tique qui porte le même type de bactéries que celles qui causent la maladie de Lyme - 15 millions - République dominicaine

Une tique qui porte le même type de bactéries que celles qui causent la maladie de Lyme – 15 millions d’années – République dominicaineCeratomyrmex ellenbergeri, une fourmi "licorne" avec une corne et des mâchoires sur-développées - 99 millions - Birmanie

Ceratomyrmex ellenbergeri, une fourmi « licorne » avec une corne et des mâchoires sur-développées – 99 millions d’années – BirmanieUne araignée qui attaque une guêpe dans sa toile - 100 millions - ?

Une araignée qui attaque une guêpe dans sa toile – 100 millions d’années – ?La seule salamandre découverte dans de l'ambre, avec une patte amputée par un prédateur - 20 millions - République dominicaine (où il n'y a pas de salamandre de nos jours)

La seule salamandre découverte dans de l’ambre, avec une patte amputée par un prédateur – 20 millions d’années – République dominicaine (où il n’y a pas de salamandre de nos jours)Le pénis en érection d'une araignée - 99 millions - Birmanie

Le pénis en érection d’une araignée – 99 millions d’années – BirmanieUn acarien parasite qui attaque la tête d'une fourmi - 45 millions - Russie

Un acarien parasite qui attaque la tête d’une fourmi – 45 millions d’années – RussieUne fleur d'arbre parfaitement préservée, avec son pollen, ses tubes polliniques et son stigmate - 99 millions - ?

Une fleur d’arbre parfaitement préservée, avec son pollen, ses tubes polliniques et son stigmate – 99 millions d’années – ?Une mouche qui porte des bactéries de l'ancêtre de la peste - 20 millions - Dominique républicaine

Une puce qui porte des bactéries de l’ancêtre de la peste – 20 millions – République dominicaineUne plante carnivore - 40 millions - Baltique

Une plante carnivore – 40 millions d’années – BaltiqueUn combat entre deux fourmis - 100 millions - Birmanie

Un combat entre deux fourmis – 100 millions d’années – Birmanie

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Des plumes de dinosaures trouvées au Canada qui montrent la similitude de leur structure et de leur coloration avec des plumes d’oiseaux modernes.

Des plantes et une araignée - ? - ?

Des plantes et une araignée – ? – ?

http://www.laboiteverte.fr/

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