La réalité virtuelle pour réduire l’anxiété des vaches


Au lieu de laisser de l’espace dans un coin tranquille aux vaches, on leur offre des casques de réalité virtuelle. Elles pourront voir des champs d’herbes verdoyantes pour apaiser leur stress et augmenter leur production de lait. C’est ce qu’expérimente une ferme laitière en Russie. Alors qu’on nous dit que nous sommes trop longtemps devant les écrans … on met les vaches devant un écran
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La réalité virtuelle pour réduire l’anxiété des vaches

Une vache munie d'un casque de réalité virtuelle.

Si les résultats continuent d’être positifs, il est envisagé de déployer le projet de réalité virtuelle à d’autres fermes laitières.

PHOTO : MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE ET DE L’ALIMENTATION DE MOSCOU


  • Radio-Canada

    Une ferme laitière russe a choisi de munir ses vaches de casques de réalité virtuelle afin de réduire leur inquiétude extrême.

Selon une déclaration du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation de Moscou, cette expérimentation a eu lieu à la ferme RusMoloko, située dans le district de Ramensky, au sud-est de la capitale russe.

Le système de réalité virtuelle, qui offre « une simulation unique de champs estivaux », aurait augmenté l’humeur générale du troupeau ayant servi de cobaye.

« Des études menées dans les fermes laitières de plusieurs pays montrent que lorsque les vaches sont dans une atmosphère calme, la quantité – et parfois la qualité – de leur lait augmente de façon marquée », affirme le ministère dans sa déclaration.

L’équipe de recherche responsable de l’expérimentation examinera les effets du programme sur le long terme. Si les résultats continuent d’être positifs, il est envisagé de déployer le projet à d’autres fermes laitières.


Avec les informations de BBC

https://ici.radio-canada.ca/

Un coq attend chaque jour le retour du bus de sa maitresse


Généralement, on voit un chien courir pour aller chercher ses jeunes maître de retour à l’école, mais un coq, c’est surprenant. C’est dans une ferme du Texas dès que le coq entend l’autobus scolaire arriver, il court rejoindre sa maitresse pour être pris dans ses bras
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Un coq attend chaque jour le retour du bus de sa maitresse

 

Il trouve sa poule bizarre


Cela se passe dans une ferme en Nouvelle-Galles du Sud, un matin, un fermier passe devant le poulailler, il est surpris qu’une poule refuse de bouger, elle réagissait bizarrement, alors il décide de lever sa poule. Elle couvait bien sûr ses oeufs, mais elle gardait aussi au chaud des chatons en attendant que la maman reviennent. Une bonne gardienne …
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Il trouve sa poule bizarre

 

Être différent


 

Chris est né sans bras ni jambes, il doit donc travailler beaucoup plus fort pour accomplir des tâches de tous les jours comme tout le monde. Cela n’a pas empêché de travailler sur une ferme malgré qu’il soit né quadriplégie, il a grandi parmi les tracteurs et animaux sur la ferme de la famille en Alberta au Canada. Il n’a jamais voulu porter de prothèse même pour aller à l’école, il a défié tous les obstacles pour réussir son indépendance sur la ferme. Ses parents n’ont rien fait de différent pour l’élever qu’un autre enfant. Il a appris à conduire des tracteurs aussi bien qu’un autre. Vous verrez sur la vidéo qu’il écrit vraiment très bien malgré son handicap, mieux que bien des gens.
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Être différent

 

Ce refuge sauve les chats… en leur trouvant du travail


C’est une bonne idée qui a pris naissance aux États-Unis pour aider les chats abandonnés à se trouver un endroit pour y vivre. Quoi de plus naturel de laisser les chats être des chasseurs et qui en plus sont utiles pour leur maitre.
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Ce refuge sauve les chats… en leur trouvant du travail

 

Photo : Spokanimal/Farm Livin’

C’est l’histoire d’une idée brillante, née à Spokane dans l’Etat de Washington, aux Etats-Unis, il y a sept ans. Alors que 3,4 millions de chats sont recueillis par les refuges du pays chaque année, « près de la moitié y laisse la vie », faute de trouver une famille d’adoption, constate Sopkanimal, un foyer de la région.

Mission naturelle

Pour lutter contre l’euthanasie des chats abandonnés, trop vieux et parfois agressifs après un passé éprouvant, Sopkanimal a lancé un programme de « reconversion » pour ses pensionnaires. Le refuge les place dans des fermes volontaires où les félins reçoivent tendresse et soins en échange d’une mission : rester naturels.

Ces chats deviennent des « managers de rongeurs » et sont chargés de chasser les rats et les souris qui squattent les granges, au grand désespoir des fermiers. « Les chats sont âgés de 12 semaines au moins, et ils sont tous indépendants », détaille Spokanimal.

Chaque année, 3,4 millions de chats entrent en refuge aux Etats-Unis. Près de la moitié sont euthanasiés.

Chaque année, 3,4 millions de chats entrent en refuge aux Etats-Unis. Près de la moitié sont euthanasiés.

Photo : Spokanimal/Farm Livin’

Une vie de pacha

Ces malheureux matous sont vaccinés et stérilisés avant de rejoindre leur nouveau « lieu de travail », dans lequel ils apprennent la vie en communauté auprès de leurs maîtres reconnaissants et des autres animaux.

Spokanimal propose de les placer chez des agriculteurs pour les aider à combattre les rongeurs.

Spokanimal propose de les placer chez des agriculteurs pour les aider à combattre les rongeurs.

Photo: Spokanimal/Farm Livin’

« Depuis que nous avons [cinq] chats sur notre propriété, nous n’avons plus de problème de rongeurs », témoigne Tony, l’un des fermiers participant au programme, Et pour lui, ces chats font désormais partie de la famille.

En échange, les chats reçoivent l'amour et les soins dont ils ont besoin.

En échange, les chats reçoivent l’amour et les soins dont ils ont besoin.

Photo: Spokanimal/Farm Livin’

Grâce à cette action, Spokanimal a sauvé 1700 chats d’une mort probable. Les soigneurs cherchent désormais à élargir cette initiative, pour faire converger les intérêts des fermiers et des chats de refuge dans d’autres Etats, voire d’autres pays.

Depuis 2009, le refuge a placé 1700 chats dans des fermes ou équivalents.

Depuis 2009, le refuge a placé 1700 chats dans des fermes ou équivalents.

Photo : Spokanimal/Farm Livin’:

En France, l’an dernier, la SPA a secouru au total 46.000 animaux dans ses refuges (sur une moyenne de 100.000 chiens et chats abandonnés chaque année) dont 7700 n’ont pas (encore) trouvé de famille.

http://www.metronews.fr/

Vidéo : il joue du trombone pour rassembler ses vaches


Une façon très originale pour ressembler son troupeau de vaches. Les vaches semblent curieuses, et semblent apprécies les choix musicaux du fermier
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Vidéo : il joue du trombone pour rassembler ses vaches

 

Le troupeau entier s #39;est approch eacute; de l #39;agriculteur en entendant la musique. (Capture Youtube)

Pour appeler son troupeau, un fermier américain utilise une méthode douce : il joue du trombone. Un procédé efficace puisque ses vaches se rassemblent quelques minutes après les premières notes de musique.

Derek Klingenberg, agriculteur originaire du Kansas et joueur de trombone, a eu une idée originale pour rassembler rapidement son troupeau de vaches.

Dans une vidéo publiée ce dimanche, il s’est mis en scène interprétant le titre « Royals » de Lorde dans un pré désert. Dès les premières notes, des vaches ont fait leur apparition et ont couru vers le musicien.

A la fin du morceau, l’ensemble du troupeau visiblement intrigué s’était amassé devant l’agriculteur.

http://actualite.portail.free.fr

Courte cavale pour un alpaga à Aylmer


En France, ils ont eu leur lama qui avait été momentanément kidnappé, alors que chez nous a Gatineau, c’est un alpaga qui lui a pris lui-même la clé des champs, mais pas pour trop longtemps
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Courte cavale pour un alpaga à Aylmer

 

PATRICK WOODBURY, LEDROIT

LOUIS-DENIS EBACHER
Le Droit

Un alpaga s’est échappé de sa ferme d’élevage, dans le secteur Aylmer, vendredi matin.

L’animal a pris la clé des champs pendant environ une heure.

Un patrouilleur de la police de Gatineau a surveillé la bête avant que son propriétaire vienne la chercher en l’attirant avec de la nourriture.

La police de Gatineau ferme un autre chapitre animalier, une semaine après avoir eu à sécuriser la Montée Paiement, dans l’est de la ville, à cause d’une vache qui s’était échappée de sa ferme.

Le bovin avait causé des ralentissements à l’heure de pointe, ce qui n’a pas été le cas dans le secteur Aylmer, vendredi matin.

L’alpaga a fini sa cavale dans un secteur campagnard de la rue Grande-Allée, non loin du club de golf Kingsway.

http://www.lapresse.ca

«Ferme de l’horreur» Une centaine d’animaux à l’abandon, ou presque


Comment peut-on faire une exposition d’animaux pour ensuite les mettre dans une ferme et les abandonné a leur triste sort dans des cages .. ?
Comment peut-on prétendre de bien les soigné quand une odeur nauséabonde se dégage, des animaux en très mauvaises conditions ?
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«Ferme de l’horreur»

Une centaine d’animaux à l’abandon, ou presque

 

 

animaux morts

VA Nouvelles

Une centaine d’animaux sont laissés dans un état de presqu’abandon dans une ferme de Sainte-Christine-d’Auvergne, dans Portneuf.

Ces animaux, qui avaient semble-t-il été exposés dans des centres commerciaux, ont été transportés dans cette ferme par leurs propriétaires, qui ont loué l’endroit vers la fin-août pour les loger.

Mais, graduellement, il semble que les propriétaires soient venus de moins en moins souvent pour s’en occuper. Quant au propriétaire de l’endroit, un homme âgé, des contraintes physiques l’empêchent de prendre soin des animaux.

«Je trouve ça misérable, dit Roland Gauthier. Les animaux, ça meurt. Ils manquent d’eau, manquent de nourriture, pas de nettoyage. Ils ne les soignent pas et il y a des journées où ils ne viennent pas du tout. Quand j’ai vu les cochons morts, je n’en pouvais plus.»

Selon des voisins, qui ont alerté TVA Nouvelles, les animaux n’avaient pas été nourris depuis plusieurs jours ce matin.

L’équipe de TVA Nouvelles y a découvert 80 lapins, 25 chèvres, des chevaux, des poneys et des oies vivant dans des conditions insalubres, ainsi que des cochons et des lapins morts. Une odeur insupportable règne sur l’endroit et l’eau laissée aux animaux pour s’abreuver est dans un état indescriptible.

Arrivée sur place, Martine Gravel, copropriétaire des animaux, nie les avoir laissés à l’abandon.

«- On change l’eau, on donne le foin, on donne la moulée, je viens voir pour mes lapins. (…) je les traite bien, oui.
– Comment vous expliquez qu’il y ait des décès?
– Ça, là, c’est un mystère.»

En fin de journée, des agents de la Sûreté du Québec se sont pointés sur place avec des représentants du ministère de l’Agriculture, des pêcheries et de l’alimentation et des vétérinaires et ont entrepris une vérification.

 

lapins

oies

http://tvanouvelles.ca

Le lion est un animal de ferme comme les autres


L’homme a toujours chassé pour subvenir a ses besoins alimentaires que les plantes ne peuvent pas nécessairement fournir, mais quand la chasse est un sport pour tuer, avoir des sensation et rapporter un trophé comme pour le lion … c’est abominable .. et pour que ce soit acceptable on joue sur les mots .. animaux sauvages se retrouvent comme animaux domestiques .. foutaise !!
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Le lion est un animal de ferme comme les autres

 

Le lion est un animal de ferme comme les autres

Photo: AFP

Jean Liou

Dans l’imaginaire collectif, le roi des animaux domine les parcs et réserves sud-africains. Pourtant, 60% des lions du pays vivent en cage pour être revendus à des zoos ou relâchés juste avant d’être abattus par des chasseurs de trophées.

 

Au grand dam des défenseurs de l’environnement, les exploitants expliquent que le lion est un animal de ferme comme les autres.

«Le principe d’élever des animaux sauvages à des fins d’exploitation économique est une pratique internationalement admise», souligne Pieter Potgieter, président de l’association sud-africaine des éleveurs de prédateurs.

«Le problème, c’est qu’on a fait du lion le roi des animaux. Walt Disney, avec son « Roi Lion », a créé cette image! Un lion a une personnalité comme un être humain, il parle à ses enfants… Mais un lion n’est ni supérieur, ni inférieur aux autres espèces.»

Alors qu’il y a environ 3000 lions sauvages en Afrique du Sud, leurs congénères en captivité sont plus de 5.000, élevés dans plusieurs dizaines d’exploitations.

«Les fermiers sont peu enclins à donner les chiffres exacts», reconnaît M. Potgieter.

Ce qui n’aide pas à lever le côté un peu sulfureux de l’activité. Et s’ils accueillent volontiers les touristes, les éleveurs de fauves n’aiment pas parler aux journalistes.

Dans la savane du centre du pays, la ferme de Bona Bona, près de Wolmarransstad, est un bon exemple.

A quelques centaines de mètres d’un lodge fort prisé pour les mariages, de vastes enclos y abritent neuf lions placides (et trois tigres du Bengale!), qui étaient encore trois fois plus nombreux jusqu’à la vente aux enchères annuelle de l’exploitation, en juin.

Les félins sont nourris le dimanche matin, en public, moyennant un droit d’entrée de 80 rands (7 euros). Et les petits servent à l’occasion de mascottes aux visiteurs du lodge, comme l’équipe d’Espagne de football, basée à proximité, lors de la Coupe du monde de football de 2010.

Jouer avec des lionceaux

De nombreuses attractions touristiques sud-africaines proposent d’ailleurs de jouer avec des lionceaux, pour environ 300 rands (27 euros), voire de leur donner le biberon.

«Les lionceaux sont loués par les éleveurs à des complexes éco-touristiques pour être caressés par des touristes», accuse Chris Mercer, qui dirige une campagne contre la chasse.

«Ce qui est intrinsèquement cruel, c’est que les petits sont spécifiquement retirés de leur mère à la naissance afin qu’ils puissent être utilisés comme des jouets et pour augmenter le rythme de reproduction, sans parler des méthodes employées pour s’assurer qu’ils sont dociles avec les touristes», ajoute Paul Hart, qui gère un refuge dans la région du Cap.

Et contrairement à ce qu’on dit parfois aux visiteurs, ils ne seront jamais libérés dans la nature.

«Ces lionceaux sont des animaux d’élevage qui resteront en cage jusqu’à ce qu’ils soient assez vieux pour être chassés», soupire Chris Mercer.

Selon des détracteurs, certains lions seraient aussi spécialement élevés pour leurs os, qui sont envoyés en Asie pour finir dans des philtres d’amour. Ce que démentent les éleveurs, qui assurent que seuls les fauves morts naturellement ou victimes des chasseurs sont concernés par ce commerce en plein essor.

Si l’on ne chasse pas à Bona Bona, près de 10% des lions d’élevage sud-africains sont abattus tous les ans par des amateurs de trophées.

Ceux-ci sont prêts à payer environ 22 000 dollars par mâle, et presque autant en frais annexes (organisation, logement, taxidermie…). Tirer une lionne est bien moins cher: 4000 dollars.

Les pratiques font débat: dans la province du Nord-Ouest, la plus riche en fermes à fauves, les lions ne sont souvent relâchés, affamés, que quatre jours avant le jour de la chasse, dans un espace inconnu où ils n’auront que peu de chance d’échapper à leurs poursuivants.

«En France, ils élèvent des millions de faisans, et ils les relâchent le samedi matin quand la chasse commence. Le principe est le même», justifie le représentant des éleveurs Pieter Potgieter, lui-même grand chasseur.

«Que vous tuiez un boeuf, un mouton ou un cochon, ou que vous tuiez un lion, c’est exactement la même chose, c’est un animal!»

http://fr.canoe.ca

Un camp vachement original


Quelles belles expériences offerte a ces enfants cette opportunité de s’occuper des vaches .. Surtout qu’aujourd’hui, les enfants de la villes ont peut-être moins de chance d’être en contact avec la nature ..
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Un camp vachement original

 

Au programme du camp de jour Ferme en folie: soins aux vaches, balades en tracteur et jeux dans un labyinthe tracé dans un champ de maïs.

PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE

Marie Allard

(Sainte-Anne-des-Plaines) Baptiser un joli veau tout juste né: c’est ce qu’ont fait les enfants participant au camp de jour Ferme en folie. Le nom qu’ils ont donné au bébé de 100 livres? Disney.

Plutôt que de passer l’été au parc ou à la piscine, ces jeunes ont choisi de s’initier à la vie agricole à la ferme Geobastien, de Sainte-Anne-des-Plaines. Au programme: soins aux vaches, balades en tracteur et jeux dans le labyrinthe tracé dans un champ de maïs. Que les parents se rassurent: contrairement aux agriculteurs, les enfants n’ont pas à faire la traite à 5h.

«Les enfants vont à l’épicerie acheter du lait, sans savoir d’où il vient, dit Yvan Bastien, propriétaire de la ferme Geobastien, exploitée par sa famille depuis 1965. C’est pareil pour les oeufs. Comme notre ferme est proche de la ville, on a décidé de montrer ce qu’on fait.»

C’est ainsi que, depuis 2008, l’étable a ouvert ses portes à 800 enfants de 5 à 12 ans, que l’organisme L’Air en fête transporte de Rosemère, Terrebonne et Mirabel, matin et soir. Chaque participant choisit la vache qui sera la sienne, le temps du camp. Rapidement, les petits rats des villes se transforment en rats des champs.

Les veaux ont-ils un nombril?

Allyson Tellier, 5 ans, a adopté la vache Lisa «parce qu’elle est belle», a expliqué la blondinette. Victor Vosburg, 11 ans, a préféré Dénature, «la première qui n’a pas dit meuh quand je suis passé devant», a-t-il indiqué.

«J’aime m’occuper des vaches, a dit Victor. Il y a du monde qui trouve ça bizarre, mais c’est comme un chien: on lui donne à manger, on ramasse ses cacas et on peut jouer avec elle. En plus, elle donne du lait.»

«Un fort lien d’appartenance se crée entre les enfants et les animaux, a dit Cloé Poudrier, alias Catastrophe, coordonnatrice du camp Ferme en folie. À la fin de la semaine, on voit beaucoup de larmes.»

Lors du passage de La Presse, les enfants ont constaté que comme eux, les veaux ont un nombril, héritage du cordon ombilical. Ils ont assisté à l’expulsion placentaire de la vache qui venait de mettre bas. En plus d’apprendre qu’il s’agissait d’une mère porteuse, ayant mené à terme l’embryon d’une autre vache, à la génétique supérieure!

Une fois l’été passé, la ferme reçoit divers groupes, notamment scolaires.

«Même des adultes ignorent que pour donner du lait, une vache doit avoir eu un veau», a souligné Isabelle Hardy, agronome et conjointe de M. Bastien.

Afin de mieux faire connaître leur réalité, une centaine de fermes accueilleront gratuitement les visiteurs le dimanche 9 septembre prochain, à l’occasion des 10es portes ouvertes de l’Union des producteurs agricoles (UPA). Même les incurables citadins pourront admirer animaux de ferme et machinerie agricole au cours d’une fête champêtre, offerte par l’UPA le même jour, au parc Jean-Drapeau de Montréal.

http://www.lapresse.ca