Un opioïde 100 fois plus puissant que le fentanyl se répand au pays


Je déteste la drogue, cette manie de faire des mélanges a l’insu des consommateurs sur le marché noir et faire des victimes avec des doses qui sont de plus en plus néfaste en étant plus puissant. Le sel de carfentanil, est plus fort que l’héroïne, plus fort que le fentanyl qui déjà fait beaucoup de mort. Un seul grain est 100 fois plus puissant que le fentanyl
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Un opioïde 100 fois plus puissant que le fentanyl se répand au pays

 

L'apparition de cet opioïde 100 fois plus puissant... (Photo tirée du compte Facebook de la police de Kensington)

L’apparition de cet opioïde 100 fois plus puissant que le fentanyl sur le marché noir inquiète les autorités.

PHOTO TIRÉE DU COMPTE FACEBOOK DE LA POLICE DE KENSINGTON

 

La Presse Canadienne

La médecin hygiéniste en chef par intérim du Nouveau-Brunswick  a mis la population de la province en garde, vendredi, contre le carfentanil.

La Dre Jennifer Russell a dit s’inquiéter sérieusement de l’apparition de cet opioïde 100 fois plus puissant que le fentanyl sur le marché noir de la province.

Un rapport toxicologique rédigé à la suite du décès d’un individu dans le sud du Nouveau-Brunswick a révélé la présence du carfentanil dans son système.

Pour des raisons de confidentialité et pour ne pas nuire à l’enquête en cours, la Dre Russell n’a pas pu préciser le lieu et les circonstances du décès.

En conférence de presse à Fredericton, la médecin hygiéniste en chef intérimaire s’est adressée à l’ensemble de la province afin de mettre tous les Néo-Brunswickois en garde contre la nouvelle substance, plus particulièrement les groupes vulnérables et à risque élevé.

Selon la Dre Russell, il ne suffit que de l’équivalent d’un grain de sel de carfentanil ou deux milligrammes de poudre pour que la drogue soit fatale à l’inhalation, à l’ingestion ou même à l’absorption par la peau.

La drogue peut avoir été mêlée à une autre substance, ce qui la rend impossible à détecter sans un test en laboratoire.

C’est d’ailleurs ce qui rend le carfentanil aussi dangereux, car les consommateurs de stupéfiants ne peuvent pas savoir s’il a été ajouté à une autre drogue vendue dans la rue.

La Dre Jennifer Russell a indiqué que le Nouveau-Brunswick avait appris en observant les expériences vécues ailleurs au pays pour combattre le fléau des opioïdes.

La province s’inspire particulièrement de la Colombie-Britannique, qui a déclaré l’état d’urgence en 2016 en raison du nombre élevé de cas de surdoses de fentanyl.

Le Nouveau-Brunswick a recensé 25 décès liés aux drogues entre le 1er janvier et le 30 juin 2017. D’après la Dre Russell, 17 de ces décès seraient liés aux opioïdes.

La Gendarmerie royale du Canada maintient que la lutte au trafic de fentanyl et de carfentanil demeure au sommet de ses priorités.

En octobre dernier, des policiers du sud de l’Ontario avaient saisi 42 kilogrammes de carfentanil, la plus grosse saisie de cette nature au Canada.

http://www.lapresse.ca

Opioïdes: autopsie d’une crise


Une épidémie de mort à cause des opioïdes. Au début, ce fût des surprescriptions de médicaments anti-douleurs qui a été encouragée par l’industrie pharmaceutique. Puis les gens n’ayant plus de prescription pour éviter l’accoutumance, se sont viré vers le marché noir. Le problème pour ces gens et pour les consommateurs de drogues dures, les laboratoires clandestins font des mélanges qui sont 100 à 10 000 fois plus puissants que la morphine
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Opioïdes: autopsie d’une crise

 

Par Annie Labrecque –

 

L’an dernier seulement, plus de 64 000 Américains et 2 800 Canadiens ont succombé à une dose mortelle d’opioïdes. Cette inquiétante vague de décès continue de s’amplifier.

Avec quelle force frappera-t-elle le Québec ?

Sinistre, effrayante, intenable; médecins, politiciens et chercheurs sont désormais à court de mots pour décrire l’ampleur de la crise des opioïdes qui, aux États-Unis, toutes les trois semaines, fait autant de victimes que les attentats du 11 septembre 2001. Le portrait n’est pas plus rose au Canada : le pays affiche le deuxième plus haut taux de consommation d’opioïdes par personne, après les États-Unis. En 2016, on comptait 978 décès en Colombie-Britannique, 586 en Alberta et 865 en Ontario. Dire que la crise est sans précédent est un euphémisme. Les victimes ? D’une part, les consommateurs de drogues dures et, d’autre part, des gens « ordinaires » qui deviennent accros aux opioïdes prescrits par leur médecin.

Multifactoriel, l’abus d’opioïdes s’est construit sur une longue période en s’intensifiant dans les années 2000. À l’origine de la crise, la surprescription de ces médicaments analgésiques par les médecins depuis les années 1980, une tendance largement encouragée par l’industrie pharmaceutique. Les opioïdes, qui prennent des noms aussi divers que morphine, codéine, oxycodone, hydromorphone ou fentanyl, existent depuis longtemps pour soulager la douleur aiguë. Inoffensifs lorsque bien utilisés sur une courte période, ils calment les maux de dos, aident à récupérer d’une chirurgie ou apaisent la douleur pendant l’accouchement. Mais, sans encadrement, ils procurent aussi un effet euphorique et créent rapidement une dépendance, assortie d’un besoin progressif d’augmenter les doses.

En effet, le quart des personnes à qui sont prescrits des antidouleurs pour des pathologies autres que le cancer deviennent dépendantes, selon une analyse publiée en décembre 2016 par le Center for Disease Control. Encore plus alarmante, une étude de la University of Arkansas for Medical Science, publiée en mars 2017, rapporte que le risque de dépendance s’accroît chaque jour de traitement. Cela devient d’autant plus difficile pour ces patients de diminuer les doses ou d’arrêter la prise d’antidouleurs.

Lorsque leur prescription n’est plus renouvelée, ces gens se tournent parfois vers le marché noir. Avec le risque de tomber sur du fentanyl ou du carfentanil fabriqués dans des laboratoires clandestins. Ces opioïdes sont respectivement 100 et 10 000 fois plus puissants que la morphine. Dans la rue, on les retrouve combinés de façon sournoise à des doses d’héroïne et de cocaïne ou, encore, intégrés dans des médicaments contrefaits. Les doses sont disproportionnées, aléatoires et souvent fatales : il ne faut pas plus de 2 mg de fentanyl pour provoquer une surdose mortelle, le plus souvent par détresse respiratoire (ralentissement extrême de la respiration).

Le Québec échappera-t-il à cette épidémie ?

Illustration: Dushan Milic

http://www.quebecscience.qc.ca

Un bambin de Winnipeg aurait fait une surdose de fentanyl


Ou bien, on est responsable des enfants, ou bien, on n’a pas d’enfant et on peut faire l’imbécile avec le drogues et on en paie les seuls les conséquences et non les deux, cela est incompatible
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Un bambin de Winnipeg aurait fait une surdose de fentanyl

 

PC  |  Par La Presse canadienne

WINNIPEG – Le service de police de Winnipeg enquête sur le cas d’un bambin qui aurait fait une surdose de fentanyl plus tôt cette semaine.

Le sergent Rob Carver indique que les ambulanciers ont trouvé l’enfant de moins de 18 mois dans un état critique, mardi soir.

Les policiers auraient trouvé sur les lieux des résidus de ce qu’ils croient être du fentanyl, un opioïde cent fois plus puissant que l’héroïne.

Bien que Santé Canada n’ait toujours pas confirmé la nature de la substance, le sergent Carver affirme que les enquêteurs ont immédiatement enfilé des combinaisons de protection contre les matières dangereuses.

La condition du bébé s’est maintenant stabilisée et les médecins se montrent optimistes, a ajouté le sergent.

Le fentanyl pose un sérieux danger pour la sécurité publique partout en Amérique du Nord, signalent les autorités médicales et les policiers.

L’opioïde est employé en guise d’analgésique chez les personnes atteintes de cancer en phase terminale.

« Cette drogue est mortelle, et pas que pour les personnes qui en consomment », a soutenu le sergent Carver, ajoutant que des accusations pourraient être déposées dans cette affaire.

L’enquête est en cours et la nature des résidus trouvés sur les lieux devrait être identifiée au début de la semaine prochaine.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Une nouvelle drogue hautement toxique en circulation


Je suis contre les drogues vendues dans la rue sans contrôle, mais ai quoi sert de vendre des drogues si c’est pour tuer les clients ?
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Une nouvelle drogue hautement toxique en circulation

 

La nouvelle drogue W-18 peut être présente dans... (Photo Alberta Law Enforcement Response Teams)

La nouvelle drogue W-18 peut être présente dans les comprimés de fentanyl (sur la photo).

PHOTO ALBERTA LAW ENFORCEMENT RESPONSE TEAMS

La Presse Canadienne
EDMONTON

La police et les responsables de la santé publique en Alberta sonnent l’alarme au sujet d’une nouvelle drogue dangereuse appelée W-18 qui est beaucoup plus toxique que le fentanyl, un autre opiacé synthétique lié à des centaines de décès au Canada.

Le sergent-chef Dave Knibbs affirme que la police d’Edmonton a saisi environ quatre kilos d’une poudre blanche en décembre et que des tests effectués par Santé Canada ont confirmé qu’il s’agit de W-18.

M. Knibbs affirme que le W-18 est environ 100 fois plus puissant que le fentanyl, et 10 000 fois plus puissant que la morphine.

La substance a vraisemblablement été importée d’autres pays et aurait pu être transformée en des millions de pilules, dit le sergent.

Laura Calhoun, une médecin qui travaille au sein des services de santé de l’Alberta, a précisé que le personnel médical de première ligne avait été avisé d’être à l’affût de surdoses.

Mme Calhoun souligne que le W-18 n’est pas réglementé par les lois fédérales sur les drogues et n’a aucun usage clinique.

Elle avise les utilisateurs de drogue que du W-18 peut être présent dans les comprimés de fentanyl et que cette puissante drogue peut tuer.

La substance ne peut être détectée par des tests standards de drogues.

La police n’a pas voulu dire si des personnes ont été arrêtées ou accusées en lien avec cette saisie.

Le site web de Santé Canada indique que le W-18 est un opiacé synthétique qui a été conçu comme analgésique et qui a été breveté au Canada et aux États-Unis en 1984. Il n’a jamais été mis en marché.

http://www.lapresse.ca/

Une drogue 10 000 fois plus puissante que la morphine dans l’Ouest canadien


Un spécialiste en drogue conseille d’être vigilent et bien connaitre son fournisseur alors qu’il serait plus simple de ne pas se droguer. Mais bon !
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Une drogue 10 000 fois plus puissante que la morphine dans l’Ouest canadien

 

Downtown Eastside à Vancouver

Des piétons dans le Downtown Eastside à Vancouver Photo :  PC/JONATHAN HAYWARD

Le toxicologue judiciaire de la Colombie-Britannique, Wayne Jeffrey, met en garde les usagers de drogues contre une substance extrêmement dangereuse qui fait son entrée dans les rues de l’Ouest canadien. Le W18 est un opioïde synthétique qui est 10 000 fois plus puissant que la morphine.

Après le fentanyl, un autre opioïde surpuissant ayant déjà causé des centaines de surdoses dans l’Ouest, le W18 pourrait aussi faire des ravages au cours des prochains mois, selon Wayne Jeffrey.

La police de Calgary a aussi tiré la sonnette d’alarme le mois dernier après la saisie de pilules de W18 lors d’une perquisition.

« Nous sommes très inquiets, on parle d’une drogue 100 fois plus dangereuse que le fentanyl », a expliqué le sergent Martin Schiavetta.

« Difficile à détecter »

Le fentanyl a causé 213 morts par surdoses en Alberta l’année dernière. En Colombie-Britannique, il est responsable de plus de 30 % des 465 décès d’une surdose de drogues illicites. À l’échelle du pays, le Centre canadien de lutte contre les toxicomanies estime que le fentanyl tue une personne tous les trois jours.

Le W18 est d’autant plus inquiétant qu’il est difficilement palpable et que les tests pour le détecter sont complexes.

« En tant que toxicologue, c’est une substance difficile à détecter dans le système d’une victime tellement qu’elle est puissante », souligne Wayne Jeffrey.

Le spécialiste rappelle aux consommateurs de drogues d’être extrêmement vigilants et de connaître au mieux leur fournisseur pour limiter les risques.

http://ici.radio-canada.ca/