44 000 calories pour la "cheeseburger pizza"


Tout simplement écoeurant, et franchement à l’heure qu’on parle de pauvreté, difficulté à joindre les deux bouts, SDF, de famine et de questionnement comment nourrir tous les gens de la terre, que des cons, et ce s’est pour rester poli, imagine des recettes qui sont contre toute logiques d’une bonne alimentation. Je trouve c’est de je m’en foutisme, tant qu’on épate la galerie
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44 000 calories pour la « cheeseburger pizza »

VIDEO – Pizza ou cheeseburger ? Pourquoi pas les deux ! Preuve en est avec la dernière vidéo des cuisiniers de l’Epic Meal Time.

Vous ne connaissez pas encore la web-série canadienne Epic Meal Time? Votre estomac ne vous en tiendra pas rigueur, surtout quand vous aurez découvert la « cheeseburger pizza ». Les participants sont tous des cuisiniers avec une seule lubie, faire de la cuisine poussée à l’extrême. Vu le nom du show, on vous laisse deviner les « plats » dont ils s’inspirent pour confectionner des recettes hybrides : fromage, bacon, pâtes, pop-corn.

44 000 calories, soit 18 jours des besoins journaliers d’un adulte

Après la « fast-food lasagna » ou « l’ultimate pizza sandwich », leur dernière trouvaille en date a de quoi faire saliver, ou au contraire dégoûter, leurs nombreux abonnés YouTube. Grands amateurs de pizzas et de cheeseburgers, c’est tout naturellement qu’ils ont inventé la « cheeseburger pizza ». Un mélange de viandes et de fromages indigeste qui risque de rester quelque peu sur l’estomac : le plat entier équivaut à pas moins de 44 000 calories.

Sachant que pour un homme adulte ayant une activité dans la moyenne, il est conseillé d’avaler 2 500 calories par jour, ingurgiter une « cheeseburger pizza » est l’équivalent de près de 18 jours des besoins journaliers. Bon appétit !

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McDonald’s : un site réservé aux employés tacle les fast-foods


McDonald’s donne des conseils à ses employés pour éviter des problèmes de santé causée par son menu de malbouffe. C’est comme avouer en coulisse que la nourriture aux McDonald’s est un risque certain pour la santé
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McDonald’s : un site réservé aux employés tacle les fast-foods

 

Le géant américain donne des conseils santé à ses salariés… leur déconseillant de manger des hamburgers avec du fromage et de la sauce.

 

Photo d’illustration. © Scott Olson / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP

McDonald’s donne d’étranges conseils à ses salariés, comme le révèle le site du Figaro. Sur le site « McDonald’s Resource Line », réservé à ses employés, le chantre de la restauration rapide offre des conseils santé qui ont de quoi surprendre, selon la chaîne de télévision américaine CNBC.

Le géant américain invite notamment ses employés à ne pas consommer les aliments gras et sucrés des fast-foods, les poussant à

« remplacer les aliments qui font grossir et qui ne sont pas sains par des produits diététiques comme les fruits et légumes ».

Ce conseil santé se retrouve en dessous d’un dessin représentant un menu composé d’un hamburger, de frites et d’un soda – tout ce que propose McDonald’s en somme.

Éviter les suppléments « comme le fromage, le bacon »

Le site créé par une société spécialisée en conseils nutritionnels explique par ailleurs que

« la restauration rapide est presque toujours trop chargée en calories, en gras, en sel et en sucre », avant d’ajouter qu' »avoir un régime équilibré en mangeant souvent dans des fast-foods n’est pas impossible, mais c’est un vrai challenge ».

Les conseils nutritionnels du site ne s’arrêtent pas là, puisqu’il est notamment conseillé d’éviter les suppléments « comme le fromage, le bacon et la mayonnaise » si l’on décide de manger un sandwich. Autant dire que McDonald’s se tire une balle dans le pied. Adieu, les bacon-cheese et autres hamburgers de la chaîne de restauration rapide. Et le site de préciser que

si on ne peut faire autrement que de manger chez McDonald’s, il vaut mieux consommer « un burger avec un seul steak, sans fromage ni sauce ».

Un tel conseil élimine beaucoup des sandwichs proposés par la chaîne.

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États-Unis : des burgers à vie pour le sauveur de Cleveland


Un bon coup publicitaire pour les restaurants rapides avec l’homme qui a pu aider à la délivrance des trois femmes séquestrées par Ariel Castro. Charles Ramsey va pouvoir manger du Mc Do a vie jusqu’en s’en écoeuré
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États-Unis : des burgers à vie pour le sauveur de Cleveland

 

Des burgers (photo d’illustration). © Matthew Mead / AP/SIPA

Par NICOLAS GUÉGAN

L’Amérique et les fast-foods, c’est toute une histoire d’amour. Charles Ramsey, un habitant de Cleveland (Ohio), fait partie de ceux qui tiennent le Big Mac pour religion.

Le 6 mai dernier, sa vie a pris un tournant inattendu. Entre deux bouchées de son sandwich préféré, il a arraché aux griffes d’Ariel Castro trois femmes retenues en otage. L’homme, élevé au statut de héros national, n’a pas manqué d’offrir son témoignage aux caméras. Enchaînant les interviews, Charles Ramsey a tenu à préciser le rôle, ô combien important, de son burger à demi-entamé. De quoi déclencher chez les internautes une vague de sympathie :

« Des burgers gratuits à vie pour notre héros ! » réclamaient-ils au roi du fast-food sur Twitter.

Charles Ramsey

Après avoir fait la sourde oreille, McDonald’s vient d’offrir un an de burgers à son publicitaire de premier choix. Mais la multinationale ne s’est pas encore prononcée sur la présence ou non de Charles Ramsey aux côtés de Ronald pour la prochaine campagne de publicité, comme le réclamaient certains twittos. Et pour cause, le héros traîne derrière lui un lourd passé judiciaire, où figurent, entre autres, des condamnations pour violences domestiques. L’entreprise, toujours dans sa grande générosité, n’a pas manqué de faire don de 10 000 dollars au Centre national des enfants disparus et exploités.

Un burger « Ramsey »

L’autre avantage avec l’Amérique, c’est la surenchère permanente. Charles Ramsey s’est aussi vu offrir une mystérieuse « Chuck Card ». Cette carte de fidélité, qui n’existe qu’à un seul exemplaire, et à son nom, lui permet de manger des hamburgers gratuits dans quatorze restaurants de Cleveland, et cela, à vie. Du coup, il a le temps d’aller la chercher et n’a pas encore été la réclamer.

Summum de la réussite sociale américaine, Hodges, un restaurant du centre-ville de Cleveland, vient de mettre à sa carte un burger au nom du héros qui, selon lui, fait un tabac. Interrogé par CNN, le manager n’a pas oublié de préciser que Ramsey avait travaillé à la plonge dans ce même restaurant, voilà quelques années.

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Contre l’obésité infantile, faites cuisiner les petits


Se pourrait t’il que nous ayons oublier ce qu’est les repas en famille, Faire participer les enfants a la préparation des repas .. ? Comment se fait t’il que nous acceptions le tout cuit dans la bouche .. Nous voyons les effets négatifs d’une mauvaise gestion de l’alimentation chez nos jeunes
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Contre l’obésité infantile, faites cuisiner les petits

 

© Herb Swanson / Reuters/REUTERS

Plus les enfants contribuent à la préparation des menus et plus ils aiment les légumes et les fruits.

Par figaro icon Martine Perez – le 07/07/2012

Les grandes règles de santé publique passent souvent par des petites choses de la vie quotidienne. Des médecins canadiens, dans une étude publiée récemment en ligne dans Public Health Nutrition , révèlent que le simple fait de mettre les enfants aux fourneaux transforme de manière positive leur manière de se nourrir.

L’alimentation inadaptée, excessive, est un facteur majeur d’obésité, de maladies cardio-vasculaires, d’attaques cardiaques, de diabète… Manger sainement est un des grands défis du XXIe siècle. Comment se nourrir de manière équilibrée lorsque l’offre agroalimentaire incite en permanence à absorber des produits rapides à préparer comme les pizzas, les hamburgers, les glaces et les gâteaux, au détriment des fruits et des légumes?

Quelques études ont démontré que le fait de prendre les repas en famille était associé à un risque moindre d’obésité par rapport aux plateaux consommés devant la télé par des enfants seuls. Une nouvelle enquête réalisée dans 150 écoles primaires de l’Alberta (ouest du Canada)vient de prouver que lorsque l’on implique les écoliers dans la préparation des repas, ils ont une alimentation bien plus diversifiée.

Dans cette enquête, un tiers des enfants affirmaient aider tous les jours leur parent pour la préparation du dîner, un tiers une à trois fois par semaine, les autres évitaient la cuisine ou apportaient leur contribution au maximum une fois par mois. Selon les résultats, plus les enfants contribuent à la préparation des menus et plus ils aiment les légumes et les fruits. De surcroît, les jeunes cuisiniers sont plus sensibles aux qualités nutritionnelles des aliments par rapport à ceux qui ne mettent pas la main à la pâte.

«On peut développer dans les écoles des cours de cuisine ou des clubs gastronomiques pour améliorer en particulier l’appétence pour les fruits et légumes et apprendre à faire les bons choix alimentaires», propose le Dr Yen Li Chu, coauteur de l’étude (université d’Alberta). Selon le

Dr Paul Veugelers, qui a signé l’article, les mêmes programmes sont valables pour des jeunes plus âgés, à la fin du secondaire.

 

Mangez en famille pour prévenir

l’obésité

 

StÈphanie LACOMBE / M.Y.O.P/StÈphanie LACOMBE / M.Y.O.P

En mangeant en famille, les enfants apprennent à prendre du plaisir tout en s’alimentant plus sainement.

Manon Paulic

Une étude américaine confirme que le partage des repas autour de la table familiale réduit les risques d’obésité chez l’enfant.

Interdire les sucreries au goûter, contrôler la consommation de sodas ou se battre pour faire avaler des légumes: certains parents redoublent d’efforts pour garantir une bonne santé à leurs bambins. Pourtant, une habitude simple leur faciliterait la tâche et diminuerait naturellement les risques de «malbouffe»: manger en famille.

L’obésité infantile ne concerne pas que les États-Unis. En France, les derniers chiffres sont préoccupants: 18 % des enfants sont en surpoids et 4 % obèses. Les dangers (maladies cardio-vasculaires, diabète…) sont bien réels. Une journée de dépistage de l’obésité infantile a lieu chaque année, mais bien que la cuisine française soit reconnue au patrimoine immatériel de l’Unesco, l’appel des fast-foods reste fort.

Apprendre le plaisir de manger

Après avoir étudié les résultats de près de 70 rapports scientifiques, des chercheurs de l’université de Rutgers, près de New York, ont souligné une nouvelle fois l’importance des repas en famille sur la santé des enfants. En plus de favoriser une alimentation plus équilibrée à base de fruits, légumes, fibres, vitamines et aliments riches en calcium, les repas préparés à la maison font naître de meilleurs réflexes alimentaires.

Les liens affectifs entre les membres de la famille, renforcés à l’occasion des repas, ont également une incidence sur la façon de s’alimenter.

En effet, «la complicité qui s’installe entre parents et enfants à cette occasion développe les principes d’un plaisir alimentaire qui est la condition nécessaire d’une alimentation bien régulée et équilibrée», explique Jean-Pierre Corbeau, professeur de sociologie de l’alimentation à l’université de Tours.

Eviter les conflits

Paul Veugelers confirme.

Selon ce chercheur à l’université d’Alberta (Canada), «on observe moins de surpoids mais aussi moins de consommation de tabac ou de drogues chez les enfants qui prennent régulièrement leurs repas en famille».

En revanche, «s’il y a conflit dans la famille, la table peut en devenir le théâtre et les enfants vont s’y sentir mal», ajoute Jean-Pierre Corbeau.

Le repas perdra alors ses bienfaits sur l’alimentation de l’enfant, qui l’assimilera à un moment stressant.

La télévision, sans en abuser

Les bénéfices des repas en famille sur la santé reposent donc sur le partage. Or, dans les catégories populaires, poursuit le Pr Corbeau, manger en famille se fait souvent devant la télévision. Le plateau-repas accompagné d’une consommation médiatique peut nuire au plaisir de se nourrir et à l’équilibre alimentaire.

Néanmoins, «la télévision fonctionne de plus en plus comme une “musique d’ambiance”,fournissant des matrices pour des commentaires et des discussions intergénérationnelles», explique-t-il.

Alors, la recette pour des enfants en bonne santé: manger en famille, éventuellement avec la télé mais pas trop, et surtout, partager.

http://sante.lefigaro.fr